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theepochtimes.com/world/trump-… Donald Trump met with French President Emmanuel Macron and Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy at The Elysee Presidential Palace in Paris on Saturday evening.
"Macron was seen giving a thumbs-up as Trump and Zelenskyy flanked him for a photo opportunity at the presidential palace.
Macron had planned to meet with Zelenskyy, and the French president’s office said he proposed the three-way meeting shortly before Trump’s arrival.
Their meeting comes as Trump has signaled he would prefer to quickly negotiate an end to the ongoing Russia–Ukraine war, but with questions remaining about how he would halt the fighting.
If a cease-fire freezes the conflict along the current battle lines, Russia could retain a sizeable swathe of Ukraine’s pre-war territory.
Zelenskyy has indicated he would be open to negotiating for a cease-fire if the North Atlantic Treaty Organization (NATO) extends alliance membership over the parts of Ukraine not currently under Russian control."
Trump Meets With France’s Macron, Ukraine’s Zelenskyy in Paris
French President Emmanuel Macron arranged a last-minute meeting with President-elect Donald Trump and Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy on Dec. 7.Ryan Morgan (The Epoch Times)
Rongke Power has completed a 175MW/700MWh vanadium redox flow battery energy storage project in Ushi, China is now the largest in the world, surpassing their previous 100MW/400MWh project in Dalian.
It can store energy for up to 4 hours, making it suitable for ensuring grid stability and smoothing out the variability of renewable energy sources like solar and wind. Such large-scale VRFB projects are currently exclusive to China.
energy-storage.news/rongke-pow…
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World's largest vanadium flow battery in China completed
Rongke Power has completed a 175MW/700MWh vanadium redox flow battery project in China, the largest of its type in the world.Cameron Murray (Energy-Storage.News)
#Satire
13 More People Biden Is Considering Pardoning
President Joe Biden has been under fire this week for pardoning his son, Hunter, leaving political experts and the general public wondering what else he might have up his sleeve before leaving office next month.The Babylon Bee
POURQUOI NOS MILLIARDAIRES CHOISISSENT LE FASCISME | LUDIVINE BANTIGNY, MARLÈNE BENQUET - Le Média
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Les liens cachés d’un géant du journalisme avec le gouvernement américain | Mediapart
#politique #médias #propagande
Oh ben ça alors, les grands réseaux de médias sont manipulés par les services US, quelle surprise !
L’OCCRP, le plus important réseau de médias d’investigation au monde, a dissimulé l’ampleur de ses liens avec le gouvernement américain, qui fournit la moitié de son budget, bénéficie d’un droit de veto sur ses dirigeants et finance des enquêtes sur la Russie ou le Venezuela.
Drew Sullivan est inconnu du grand public, mais cet Américain de 60 ans est pourtant l’un des journalistes les plus influents au monde. Il a cofondé et dirige l’Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP). Créé en 2008 à Sarajevo, c’était au départ un réseau de médias destiné à enquêter sur la corruption et le crime organisé dans les Balkans. Seize ans plus tard, l’OCCRP est devenu, comme l’indique Drew Sullivan, « la plus grosse organisation de journalisme d’investigation sur terre ».
Écoutez Yann Philippin résumer son enquête
Que pensez-vous de ce format audio ?
Avec 20 millions d’euros de budget annuel et 200 salarié·es sur tous les continents, cette ONG a lancé ou nourri les plus grandes enquêtes journalistiques internationales de ces dernières années, souvent basées sur des fuites massives de données : Panama Papers, Pandora Papers, Suisse Secrets, Narco Files, Pegasus Project, Cyprus Confidential, ou la série des Laundromat, qui a révélé les détournements de fonds des élites dirigeantes de la Russie et de l’Azerbaïdjan.
La spécialité de l’OCCRP est d’organiser la collaboration entre médias du monde entier. « Si quelqu’un veut faire une histoire mondiale, il peut la proposer à l’OCCRP et obtenir cent journalistes », explique Drew Sullivan. Aujourd’hui basé à Washington, Amsterdam et Sarajevo, l’OCCRP fédère 70 médias membres, ainsi que 50 partenaires, parmi les plus prestigieux : le New York Times et le Washington Post aux États-Unis, le Guardian au Royaume-Uni, Der Spiegel et la Süddeutsche Zeitung en Allemagne, ou Le Monde en France.
Drew Sullivan, directeur de la publication de l’OCCRP. © Sébastien Calvet / Mediapart
L’OCCRP, qui a reçu plus de cent prix de journalisme, est réputé pour la qualité et le courage de ses reporters, dont certain·es sont en exil ou ont fini en prison. Selon Drew Sullivan, les enquêtes de l’OCCRP auraient permis à de nombreux États de récupérer plus de 10 milliards de dollars, et provoqué la chute de chefs de gouvernement dans « cinq ou six pays ».
Mais il y a un revers à cette médaille. Alors que l’OCCRP se présente comme totalement indépendant, ses dirigeants l’ont placé dans une situation de dépendance structurelle vis-à-vis du gouvernement des États-Unis.
C’est ce que révèle une enquête menée par Mediapart, Drop Site News (États-Unis), Il Fatto Quotidiano (Italie), Reporters United (Grèce) et la télévision publique allemande NDR, qui a décidé de censurer au dernier moment la diffusion de son sujet. La NDR avait pourtant lancé ce projet et suspendu sa collaboration avec l’OCCRP sur la base des faits découverts par ses journalistes.
Un financement inavoué
Notre enquête révèle que l’OCCRP a été créé grâce au soutien financier du bureau de coopération judiciaire et policière du ministère des affaires étrangères des États-Unis. Washington fournit, aujourd’hui encore, la moitié du budget de l’OCCRP et dispose d’un droit de veto sur la nomination de ses hauts dirigeants, dont Drew Sullivan.
L’OCCRP indique certes sur son site internet qu’il reçoit de l’argent du département d’État et de USAID, agence états-unienne d’aide au développement. Mais il a dissimulé l’ampleur de ce financement et ses conséquences à ses médias partenaires, à ses journalistes et au grand public. Le financement américain n’est d’ailleurs jamais mentionné dans les articles, dont ceux publiés par Le Monde en France.
Nos révélations sont basées principalement sur des documents publics et des interviews filmées accordées à la NDR par Drew Sullivan et plusieurs hauts fonctionnaires américains.
« Je suis très fier de dire […] que l’OCCRP est l’un des meilleurs projets jamais réalisés par USAID dans le domaine de la démocratie et de la gouvernance », indique Michael Henning, cadre au bureau Europe et Eurasie d’USAID. « Nous sommes fiers que […] le gouvernement américain soit le premier donateur public de l’OCCRP. […] Mais nous savons également très bien à quel point cette relation peut parfois être embarrassante » pour une organisation journalistique, reconnaît sa collègue Shannon Maguire, chargée du dossier OCCRP à USAID.
[L’OCCRP] permet aux États-Unis d’apparaître comme vertueux et de définir ce qui est considéré comme de la corruption.
Le responsable d’une rédaction sud-américaine
En 2021, Samantha Power, patronne d’USAID, avait qualifié l’OCCRP de « partenaire » du gouvernement américain. Son agence finance même un programme qui transforme les enquêtes de l’OCCRP en armes, en essayant de déclencher systématiquement des enquêtes judiciaires ou des procédures de sanctions basées sur les articles.
L’OCCRP a confirmé la plupart de nos informations mais en conteste l’importance, indiquant que les États-Unis n’ont aucune influence sur le choix et le contenu des articles – dont la qualité n’est pas en cause. « Dès le début, nous avons veillé à ce que les financements gouvernementaux soient accompagnés de garde-fous impénétrables qui protègent le journalisme produit par l’OCCRP. […] Nous sommes convaincus qu’aucun gouvernement ou donateur n’a exercé de contrôle éditorial sur les articles de l’OCCRP », nous a répondu le conseil d’administration de l’ONG.
La stratégie de Washington est en effet plus subtile. « Ceux qui critiquent l’OCCRP à la manière de Vladimir Poutine en prétendant qu’il sont aux ordres des États-Unis ont tort. Ils ne comprennent pas comment fonctionne le “soft power” », explique le responsable d’une rédaction sud-américaine qui a collaboré avec l’OCCRP. « C’est une armée de journalistes aux mains propres qui enquêtent en dehors des États-Unis, poursuit-il. Pour Washington, c’est intéressant qu’il y ait des enquêtes sur ses ennemis comme sur ses alliés. Ça permet aux États-Unis d’apparaître comme vertueux et de définir ce qui est considéré comme de la corruption. »
De fait, non seulement le gouvernement des États-Unis est largement épargné par l’OCRRP, mais il parvient aussi à aiguiller le travail journalistique de l’ONG, en lui accordant des financements qu’elle a l’obligation d’utiliser pour travailler sur certains pays. Dont la Russie et le Venezuela, dirigés par des autocrates par ailleurs ennemis déclarés de Washington.
Dans leurs réponses écrites (à lire dans les annexes de cet article), l’OCCRP et son patron nous menacent de poursuites judiciaires. Drew Sullivan a exercé des pressions sur Mediapart et ses médias partenaires avant la publication de cette enquête. Il a aussi lancé des accusations diffamatoires pour tenter de discréditer plusieurs des journalistes qui y ont participé, dont l’un des auteurs de cet article (lire notre boîte noire).
2003 : les journalistes et le major américain
Pour comprendre, il faut retracer l’histoire de Drew Sullivan. Ingénieur de formation, il entre en 1987 chez le géant états-unien de l’aéronautique Rockwell. Il y travaille pendant six ans sur la navette spatiale, et plus précisément sur le lancement par cette navette de satellites espions, ce qui lui vaut d’être habilité secret-défense. C’était aussi le cas de « dizaines de milliers d’employés » du programme, et cela « ne [lui] a donné aucun statut particulier vis-à-vis du gouvernement américain », indique-t-il.
Au début des années 1990, Drew Sullivan se reconvertit dans le journalisme, travaille à l’agence Associated Press, puis au journal The Tennessean, à Nashville (Tennessee). En 2000, il démissionne, entame une brève carrière de comique, et effectue son premier voyage à Sarajevo, en Bosnie, pour y former des journalistes locaux, dans le cadre de programmes financés par USAID.
En 2003, Drew Sullivan parvient à convaincre Michael Henning, à l’époque responsable d’USAID à Sarajevo, de financer la création d’une ONG journalistique bosniaque, afin de compenser le manque de professionnalisme et d’indépendance des médias locaux.
USAID accepte, avec l’idée que le journalisme d’enquête peut contribuer à améliorer la gouvernance et le caractère démocratique de ce pays encore meurtri par la guerre qui s’est achevée en 1995.
Le Centre pour le journalisme d’investigation (CIN) ouvre à Sarajevo en 2004. Le financement américain est géré par Journalism Development Group (JDG), une société contrôlée par Drew Sullivan, immatriculée au Delaware, un paradis fiscal des États-Unis. Son adresse est une boîte postale à New York.
Drew Sullivan, directeur de la publication de l’OCCRP, lors d'une audition devant le Sénat à Washington (États-Unis), le 18 juillet 2023, au sujet des sanctions contre la Russie. © Rod Lamkey / CNP / Abaca
En 2006, Sullivan quitte la direction du CIN. Il s’est lié d’amitié avec Paul Radu, journaliste au Centre roumain pour le journalisme d’investigation (CRJI). Les deux hommes veulent créer un réseau capable de mener des enquêtes transnationales sur la corruption et le crime organisé, en fédérant les efforts de reporters indépendant·es, de médias et d’ONG journalistiques de plusieurs pays des Balkans. Le concept de l’OCCRP est né.
En avril 2007, le Fonds de l’ONU pour la démocratie (Fnud) leur accorde un premier financement de 346 000 dollars. Mais c’est insuffisant.
Nous révélons aujourd’hui que l’homme qui a rendu possible la création de l’OCCRP est un militaire et haut fonctionnaire américain nommé David Hodgkinson. Juriste de formation, il a été déployé par l’armée des États-Unis dans vingt-cinq pays, dont l’Irak et le Panamá. Il est ensuite resté militaire de réserve et a occupé des postes à responsabilité au département d’État et à la Maison-Blanche, dans le domaine des affaires étrangères, du contre-terrorisme et des services secrets. Il a aujourd’hui le grade de colonel (à la retraite) et travaille au Bureau du directeur national du renseignement (Odni), l’organisme chargé de coordonner l’activité des différents services secrets américains.
Au printemps 2007, David Hodgkinson avait le grade de major de réserve, et était le directeur des affaires de sécurité, policières et judiciaires, au bureau Europe et Eurasie du département d’État. Drew Sullivan indique avoir été mis en relation avec lui sur les conseils de fonctionnaires d’USAID, parce que l’agence ne pouvait pas financer l’OCCRP à l’époque. Les deux hommes se rencontrent et David Hodgkinson accepte de financer le projet. Il mobilise des fonds de l’INL (Bureau of International Narcotics and Law Enforcement Affairs), le bureau de coopération policière et judiciaire du département d’État, chargé de pousser les pays étrangers à lutter contre le trafic de drogue et le crime organisé.
Comme l’INL n’a aucune compétence en matière de médias, le bureau a transmis l’argent et la gestion du dossier à USAID. Sur le papier, c’est donc l’agence d’aide au développement qui a débloqué le premier financement de Washington à l’ORCCP en mai 2008 : 1,7 million de dollars jusqu’en novembre 2020, versés à la société JDG de Drew Sullivan.
Le colonel David Hodgkinson et la page d'accueil du site web de l'INL, le bureau de lutte contre le trafic de drogue du ministère des affaires étrangères des États-Unis. © Illustration Sébastien Calvet / Mediapart
Pourquoi un bureau à caractère policier et judiciaire finance-t-il un média d’investigation ? « Parce que découvrir les schémas de corruption et la façon dont l’argent a été blanchi est un travail incroyablement complexe. […] Et la beauté des journalistes d’investigation et des journalistes véritablement indépendants, […] c’est que les gens parleront peut-être plus à un journaliste qu’à un fonctionnaire du gouvernement. […] Les forces de l’ordre sont donc ravies de confier ce genre de travail à des acteurs externes », explique Michael Henning, haut fonctionnaire à USAID.
« L’INL n’est pas un bureau judiciaro-policier. Il n’a pas de pouvoir de police et ne peut pas arrêter des gens. […] Nous ne considérons pas le financement de l’INL comme problématique tant que leurs financements n’interfèrent pas dans notre travail éditorial », répond Drew Sullivan. Son conseil d’administration ajoute que l’« OCCRP ne cherche pas à cacher l’implication de l’INL ».
L’OCCRP n’a pourtant jamais dévoilé publiquement le rôle joué par l’INL et le major Hodgkinson dans sa création. « Je pense que Drew est simplement mal à l’aise avec le fait qu’on le considère comme lié aux forces de l’ordre, commente Michael Henning, le fonctionnaire d’USAID. Parce que les sources pourraient être mal à l’aise, n’est-ce pas ? Si des gens qui veulent vous donner des informations pensent : “Oh, mais vous êtes un flic.” […] Ça vaut aussi pour les autres gouvernements. […] L’indépendance, la réputation, c’est incroyablement important. »
L’OCCRP a même effacé de son histoire officielle le rôle joué par le gouvernement des États-Unis dans sa création : il mentionne seulement le don de l’ONU. Drew Sullivan répond qu’il s’agit bien du premier financement reçu, mais reconnaît que la création de l’OCCRP n’aurait pas été possible sans l’argent de Washington.
Depuis le début, un énorme soutien financier des États-Unis
En 2011, USAID accorde, cette fois avec son propre argent, un second financement. Les fonds sont versés à une nouvelle structure créée aux États-Unis par Drew Sullivan, l’organisation à but non lucratif Journalism Development Network (JDN), qui gère toujours l’OCCRP aujourd’hui.
Pour révéler l’ampleur du soutien de Washington à l’OCCRP, il nous a fallu décortiquer pendant des semaines les audits financiers publics que l’ONG est obligée de fournir au gouvernement américain, mais qu’elle ne publie pas sur son propre site.
Depuis sa création, l’OCCRP a reçu au moins 47 millions de dollars du gouvernement des États-Unis, auxquels s’ajoutent 1,1 million de l’Union européenne et 14 millions versés par six pays européens, dont le Royaume-Uni (7 millions), la Suède (4 millions), le Danemark, la Suisse, la Slovaquie et la France (le Quai d’Orsay a donné 100 000 dollars l’an dernier).
Je suis très reconnaissant envers le gouvernement américain.
Drew Sullivan, directeur et cofondateur de l’OCCRP
Selon notre enquête, ces gouvernements ont fourni 70 % du budget annuel de l’OCCRP sur la période 2014-2023, et 52 % pour les seuls États-Unis. Washington a versé 11,7 millions de dollars en 2023, soit 53 % des fonds dépensés.
Drew Sullivan conteste nos chiffres, estimant qu’il ne faut pas prendre en compte l’argent que l’OCCRP reverse à des organisations partenaires. Avec cette méthodologie, la part des dépenses financées par Washington sur la période 2014-2023 tombe, selon Sullivan, à 46 %, ce qui reste considérable.
© Infographies Donatien Huet / Mediapart
Interrogé face caméra par la télévision allemande NDR, Drew Sullivan a d’abord affirmé que l’OCCRP a « un grand nombre de donateurs » parmi lesquels « aucun n’est dominant » : « Le gouvernement américain […] est l’un des plus gros donateurs, mais ce n’est pas un pourcentage énorme. » C’est seulement lorsqu’il a été confronté aux résultats de notre enquête qu’il a fini par avouer : « C’est le plus gros donateur de l’OCCRP, oui, et il l’a été pendant la plus grande partie de notre histoire. […] Je suis très reconnaissant envers le gouvernement américain. »
Il a également reconnu que les gros financements gouvernementaux posent un problème structurel, car ils peuvent être coupés si jamais une enquête déplaît. « Au final, il n'est pas forcément souhaitable que les gouvernements financent le journalisme d'investigation. […] Nous devons réduire la part des financements gouvernementaux. Et nous avons fait un effort concerté pour essayer d’y parvenir. »
« Nous avons fait le choix entre accepter l’argent des gouvernements ou ne pas exister. Nous avons compris dès le début qu’accepter des fonds gouvernementaux était controversé, mais les donateurs privés ne travaillaient pas en Asie centrale, dans les Balkans et dans le Pacifique », nous a indiqué ensuite Drew Sullivan par écrit. Il précise que sans le soutien des États-Unis, l’OCCRP aurait été incapable de financer ses nombreuses enquêtes, mais aussi ses organisations partenaires, qui sont « souvent les derniers médias indépendants dans de nombreux pays ». Il souligne enfin que d’autres organisations journalistiques ont également accepté des dons de Washington.
L’OCCRP semble pourtant mal à l’aise au sujet de la générosité du gouvernement américain. Sur son site internet, l’ONG ne publie aucun chiffre.
Drew Sullivan répond que l'OCCRP « doit trouver un équilibre entre la transparence et le besoin d'assurer la sécurité » de ses « journalistes qui travaillent dans des pays autoritaires ».
Tous les bénéficiaires des fonds d’USAID doivent en échange afficher publiquement ce soutien, selon des modalités précises. USAID nous a confirmé que l’OCCRP avait obtenu une dérogation aux règles habituelles (« partial branding waiver »), qui lui permet de mentionner l’agence de façon plus discrète.
Depuis au moins 2010, il y avait, en bas de la page d’accueil, la mention « l’OCCRP a été rendu possible par », avec le logo d’USAID et des plus gros donateurs. La mention a été retirée en 2018 et les logos en 2019. Désormais, USAID apparaît seulement comme un donateur parmi d’autres, sur la page listant vingt-trois soutiens de l’OCCRP.
Le conseil d’administration de l’OCCRP justifie l’effacement d’USAID sur sa page d’accueil par le fait que c’était « intrusif et souvent trompeur, parce que l’OCCRP a de nombreux donateurs différents ». Le gouvernement des États-Unis a pourtant fourni 64 % du budget de l’OCCRP en 2019.
Droit de veto et contreparties
Le problème, c’est que l’argent américain n’est pas totalement gratuit. « Il y a des contreparties », indique le haut fonctionnaire d’USAID Michael Henning.
Sa collègue Shannon Maguire explique que l’accord actuel avec l’OCCRP, conclu en 2023, est un « accord de coopération » assorti d’une « clause d’implication substantielle ». Laquelle donne notamment à USAID un droit d’agrément sur le « plan de travail annuel » de l’OCCRP et un droit de veto sur ses « personnels clés » lors de l’attribution du financement.
Par la suite, « si l’OCCRP veut changer ses personnels clés, par exemple le responsable principal, qui est Drew Sullivan, alors il doit soumettre une demande avec un CV » et USAID l’examine, explique Shannon Maguire. Ce droit de veto concerne « les plus hauts dirigeants », dont « le rédacteur en chef ou le PDG », précise Michael Henning.
Drew Sullivan l’a confirmé face caméra lors de l’interview accordée à la NDR : « En vertu des accords de coopération, que nous n’aimons pas accepter, ils ont leur mot à dire sur les gens. […] Ils peuvent poser leur veto à quelqu’un. S’ils posent leur veto à quelqu’un, nous pouvons dire que nous ne prenons pas l’argent. Ils n’ont jamais posé leur veto à qui que ce soit. Nous n’avons jamais eu de problème avec cela. » Mais l’OCCRP pourrait-il vraiment renoncer à une part aussi importante de son budget ?
Dans leurs réponses écrites, Drew Sullivan et son conseil d’administration confirment le droit de veto sur le remplacement des dirigeants de l'OCCRP en cours de contrat, mais estiment que ce n’est pas le cas avant la signature. Ils précisent que lors de l’examen des demandes de financement, l’évaluation des « personnels clés » compte dans la note finale attribuée par le gouvernement américain, laquelle détermine si les fonds sont versés ou pas.
Nous avons également découvert que l’OCCRP a l’interdiction d’enquêter sur les États-Unis avec l’argent fourni par Washington. « Notre politique est de ne pas faire de journalisme sur un pays avec son propre argent. […] Je pense que le gouvernement américain ne nous le permet pas. Mais même dans d’autres pays qui n’ont pas ces dispositions, nous ne le faisons pas, parce que cela nous mettrait en situation de conflit d’intérêts et nous voulons éviter ce genre de situations », a confirmé Drew Sullivan face caméra.
À la fin des années 2000, des scandales de corruption ont éclaboussé, dans plusieurs pays des Balkans, deux multinationales américaines : Microsoft et le géant du BTP Bechtel. Ces affaires n’ont pas été couvertes par l’OCCRP, alors qu’elles correspondaient à sa ligne éditoriale et à sa zone géographique.
La question s’était pourtant posée. Le 31 juillet 2009, Drew Sullivan écrit un mail aux journalistes de l’OCCRP, pour les prévenir qu’il a été alerté au sujet d’une histoire sur « les autoroutes et la firme américaine Bechtel » en Albanie : « Est-ce que quelqu’un connaît des journalistes albanais (ou d’autres gens pertinents) qui seraient bien renseignés à ce sujet ? » Un journaliste roumain répond qu’il y a aussi, dans son pays, « un énorme scandale avec “l’autoroute Bechtel” ». « Si vous voulez en savoir plus, dites-le-moi », ajoute-t-il. Un journaliste macédonien apporte des précisions et recommande un journaliste albanais.
À notre connaissance, ces mails sont restés sans réponse et l’OCCRP n’a pas travaillé sur le sujet. Drew Sullivan indique ne plus se souvenir de cette affaire, mais qu’il l’aurait traitée s’il l’avait jugée importante.
Dans un email envoyé en 2023 aux journalistes de l’OCCRP, Drew Sullivan a reconnu que son organisation « ne faisait pas d’articles sur les États-Unis […] pendant ses premières années », car l’intégralité de son budget était fournie par Washington et l’Open Society Foundations du milliardaire progressiste George Soros : « Nous n’avions pas le droit d’utiliser l’argent du gouvernement américain et de Soros pour faire des articles sur les États-Unis. »
Le financement de l’OCCRP s’étant diversifié depuis, Drew Sullivan et son conseil d’administration nous ont indiqué que la restriction ne pose pas de problème, puisque l’OCCRP peut utiliser l’argent des autres donateurs pour travailler sur les États-Unis.
Ils soulignent que l’OCCRP emploie un journaliste chargé de développer des sujets aux États-Unis et a publié régulièrement des enquêtes liées au pays, par exemple sur les hommes d’affaires qui ont aidé l’avocat de Donald Trump à nuire au président Joe Biden, sur les livraisons d’armes du gouvernement américain aux rebelles syriens, ou encore sur un contrat passé par le gouvernement des États-Unis avec une compagnie aérienne dont les dirigeants sont liés à la mafia russe. Mais ces enquêtes représentent une part très minoritaire de la production.
L’OCCRP est également tenu de respecter le Foreign Assistance Act, la loi états-unienne sur l’aide distribuée à l’étranger, dont le principe de base est que les financements doivent être « alignés avec et faire avancer la politique étrangère et les intérêts économiques des États-Unis ».
Drew Sullivan répond que cela n’affecte en rien l’indépendance de l’OCCRP : « La présence de bons journalistes d’investigation dans le monde contribue à faire avancer la politique étrangère américaine. C’est la raison pour laquelle ils nous ont accordé ces financements. […] Il n’y a jamais eu de tentative d’influence sur ce que nous faisons. »
En 2015, le départ de Lowell Bergman, figure du journalisme
Notre enquête montre que l’OCCRP n’a pas informé ses membres et ses médias partenaires de l’ampleur de son financement par les États-Unis, ni des conditions qui lui sont attachées (lire l’encadré).
Le Monde, qui publie les enquêtes de l’OCCRP en France, a refusé de nous dire s'il avait été informé. « Le Monde a toujours travaillé en toute indépendance avec l’OCCRP. Rien dans cette expérience de travail ni dans les explications de l’OCCRP sur son fonctionnement ne nous incite à remettre en cause notre relation de confiance », nous a répondu le quotidien.
Le New York Times nous a indiqué que l’OCCRP ne lui a jamais dévoilé la nature de ses financements.
C’est aussi le cas d’anciens membres de son propre conseil d’administration. Le journaliste américain Scott Simon indique que lorsqu’il siégeait au conseil, l’OCCRP lui avait dit qu’il avait des financements gouvernementaux, mais qu’« il n’y avait pas de contreparties et que leurs financements étaient diversifiés, et surtout pas dominés par un gouvernement ».
Le célèbre journaliste d’investigation américain Lowell Bergman, incarné à l’écran par Al Pacino dans le film Révélations de Michael Mann, indique qu’il a démissionné du conseil d’administration de l’OCCRP dès 2015, en partie pour cette raison : « J’étais débordé par mes engagements ailleurs. C’est aussi à ce moment-là que j’ai pris conscience de l’implication du gouvernement américain. Comme il s’agissait d’un problème compliqué, j’ai fait part de mes inquiétudes à Drew Sullivan et à d’autres, et j’ai respectueusement quitté le conseil d’administration. »
Nous avons soumis nos découvertes à une autre grande figure du journalisme, qui dirige une organisation comparable à l’OCCRP : Stephen Engelberg, rédacteur en chef de l’ONG journalistique américaine ProPublica, qui a remporté à plusieurs reprises le prestigieux prix Pulitzer. Il indique que les conditions posées par le gouvernement américain à l’OCCRP seraient inacceptables pour lui.
Stephen Engelberg affirme que ProPublica « ne permet à personne d’imposer des restrictions sur l’activité journalistique », n’accepterait jamais un droit de veto d’une puissance étatique sur les dirigeants de son média, et refuse tout financement gouvernemental. « Si le gouvernement paie la moitié de votre masse salariale, ça pèse sur votre esprit. Je préfère ne pas avoir à y penser. »
La Russie, Malte, Chypre et le Venezuela dans le viseur des États-Unis
C’est l’argument répété en boucle par l’OCCRP en réponse à notre enquête : le financement par les États-Unis ne pose pas de problème, car il n’a aucune influence sur les articles. « Tous les accords de financement de l’OCCRP prévoient que les donateurs n’ont pas le droit d’intervenir dans la politique éditoriale », nous a répondu le conseil d’administration, qui a toutefois refusé de nous fournir une copie de ces documents.
« Ils sont 100 % indépendants. Nous ne décidons pas des articles sur lesquels ils travaillent », ajoute la fonctionnaire d’USAID Shannon Maguire. Le gouvernement américain « a été professionnel et ne cherche pas à influencer les médias, contrairement à de mauvais acteurs comme la Russie », appuie Drew Sullivan.
Mais l’OCCRP a accepté plusieurs dons « orientés » du gouvernement américain, qu’il est obligé de dépenser pour enquêter sur certains pays jugés prioritaires par Washington.
Exemples de financements orientés accordés à l'OCCRP par le ministère des affaires étrangères américain (Department of State) et par son bureau de coopération judiciaro-policière, l’INL. © Illustration Sébastien Calvet - Mediapart
Entre 2015 et 2019, le département d’État a ainsi donné 2,2 millions de dollars à l’OCCRP pour l’opération « Contrebalancer la sphère médiatique russe ».
Puis entre 2019 et 2023, l’OCCRP a reçu 1,7 million de dollars du département d’État pour « renforcer le journalisme d’investigation en Eurasie », une zone qui inclut la Russie et l’Asie centrale. En 2021 et 2022, l’OCCRP a dirigé l’enquête internationale Russian Asset Tracker, basée sur la création de la plus grande base de données non gouvernementale au monde sur les avoirs des politiques et des oligarques russes.
Le département d’État a également donné 173 324 dollars à l’OCCRP pour « révéler et combattre la corruption au Venezuela », pays dirigé par l’autocrate Nicolás Maduro, ennemi des États-Unis.
L’OCRRP a également accepté des financements orientés de l’INL, le bureau judiciaire-policier du département d’État – celui-là même qui avait accordé en secret le premier financement américain à l’OCCRP en 2008.
En 2013, l’INL a ainsi versé 200 156 dollars pour un « projet Mexique », pays gangréné par les cartels de la drogue.
Et en 2022, l’INL a accordé à l’OCCRP un financement de 1 million de dollars sur deux ans pour « révéler le crime et la corruption et accélérer l’impact du journalisme d’investigation à [Malte et à Chypre] ». Ce programme a été renouvelé en septembre 2024, avec 1,3 million de dollars supplémentaires versés à l’OCCRP.
Pendant la même période, l’OCCRP a participé à la vaste enquête internationale Cyprus Confidential, coordonnée par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ). Le 14 novembre 2023, au lendemain de la publication, le président chypriote annonçait l’ouverture d’une enquête sur des violations présumées des sanctions contre la Russie révélées par les articles. Trois semaines plus tard, plus de vingt agents américains, issus notamment du FBI et de l’agence antiblanchiment (FinCEN), débarquaient à Nicosie pour assister leurs collègues chypriotes.
Drew Sullivan répond que ces financements fléchés du gouvernement américain « n’influencent pas [son] agenda », car l’OCCRP postule seulement aux appels d’offres liés aux pays qui l’intéressent, et à condition qu’il n’y ait pas de sujets imposés. « Chaque subvention doit correspondre à la fois à la mission voulue par le donateur et à la mission, aux normes et à l’éthique de l’organisation journalistique. Lorsque les deux sont alignés, on postule », indique-t-il.
Le journalisme d’investigation transformé en arme par les États-Unis
Le gouvernement des États-Unis a aussi transformé les articles de l’OCCRP en armes, par l’intermédiaire du Global Anti-Corruption Consortium (GACC), né en 2016 à la suite d’un appel d’offres lancé par le département d’État et remporté par l’OCCRP, en partenariat avec l’ONG anticorruption Transparency International.
Le GACC est cofinancé par le Royaume-Uni, le Danemark et des donateurs privés. Mais le gouvernement américain est son plus gros contributeur, avec 10,8 millions de dollars déjà donnés à l’OCCRP, dont 3 millions ont été reversés à Transparency.
Le Global Anti-Corruption Consortium a deux activités. La première consiste à déclencher, sur la base des articles de l’OCCRP, des enquêtes judiciaires, des procédures de sanction et des mobilisations de la société civile, grâce à l’appui des sections locales de Transparency, présentes dans soixante-cinq pays.
Le secrétaire d’État des États-Unis, Antony Blinken, a promis d’augmenter la contribution de son pays au GACC, l’organisme destiné à provoquer des procédures judiciaires et des sanctions sur la base des enquêtes de l’OCCRP. © Illustration Sébastien Calvet / Mediapart
La seconde est de faire du lobbying auprès des États pour qu’ils durcissent leur législation sur la corruption et le blanchiment d’argent. En mai 2024, l’OCCRP a produit un rapport à l’attention des gouvernements sur la meilleure façon de combattre les intermédiaires (prête-noms, avocats) qui facilitent le contournement des sanctions contre la Russie. Ce document a été produit grâce à un financement du ministère des affaires étrangères du Royaume-Uni, en partenariat avec le Royal United Services Institute (RUSI), un think tank britannique proche du gouvernement et des milieux militaires, dont l’un des vice-présidents est David Petraeus, ancien patron de la CIA.
Le fait, pour une organisation journalistique, de mener de telles activités à l’initiative et avec l’argent des États-Unis, même pour la bonne cause, pose d’importants problèmes déontologiques. « Si cette approche a d’abord été jugée controversée, elle a été adoptée depuis par d’autres médias. Nous pensons que le GACC est un grand succès », répond Drew Sullivan.
L’OCCRP et Transparency International assurent travailler en toute indépendance, et que Washington ne leur interdit pas d’aller à l’encontre de ses intérêts.
Mais le font-ils vraiment ? Un rapport d’évaluation du GACC a été réalisé par l’OCCRP en 2021 à la demande du gouvernement américain, mais n’a jamais été publié. Selon un résumé que Transparency International nous a transmis, le rapport a identifié « 228 exemples d’impact sur le monde réel ». Seulement onze concernent « les Amériques ». Le nombre de cas liés aux États-Unis n’est pas mentionné.
Transparency International nous a fourni seulement trois exemples de plaidoyers menés contre les États-Unis dans le cadre du GACC. L’ONG a par exemple plaidé pour que Washington mette fin à l’opacité qui règne dans ses paradis fiscaux internes (comme le Delaware), après que les États-Unis ont été désignés comme l’un des plus gros centres offshores de la planète par l’une des enquêtes issues des Pandora Papers.
Sauf que l’OCCRP n’a pas participé à cet article (réalisé par le Consortium international des journalistes d’investigation et le Washington Post), et s’est concentré, lors des Pandora Papers, sur ses zones de prédilection : la Russie, l’Asie centrale et l’Europe de l’Est.
En 2017, l’OCCRP a recruté comme « cheffe des partenariats mondiaux et des politiques » une haute fonctionnaire états-unienne, Camille Eiss, qui avait autorité sur le GACC. Juste avant son embauche, elle était conseillère anticorruption au département d’État. Elle y est retournée en 2022, pour travailler au bureau chargé des procédures de sanctions.
Interrogé au sujet de ce possible conflit d’intérêts, Camille Eiss n’a pas répondu. « Nous avons embauché Mme Eiss parce qu’elle est une personnalité talentueuse dans le domaine de la lutte contre la corruption », nous a répondu Drew Sullivan.
Washington semble en tout cas ravi du travail accompli. Dans un document publié en décembre 2021 par la Maison-Blanche, le Global Anti-Corruption Consortium est présenté comme l’une des initiatives qui a permis au gouvernement des États-Unis d’« enrôler le secteur privé comme partenaire à part entière », et « de déchaîner les plaidoyers des acteurs privés de la société civile en faveur de réformes anticorruption ». Au même moment, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a promis d’augmenter le financement du GACC, et a appelé d’autres gouvernements à fournir 10 millions de dollars supplémentaires.
mediapart.fr/journal/internati…
Les liens cachés d’un géant du journalisme avec le gouvernement américain
L’OCCRP, le plus important réseau de médias d’investigation au monde, a dissimulé l’ampleur de ses liens avec le gouvernement américain, qui fournit la moitié de son budget, bénéficie d’un droit de veto sur ses dirigeants et finance des enquêtes sur …Yann Philippin (Mediapart)
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Interesting take.
He also could have just been using subsonics.
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Why Did Assassin's Gun With Silencer Malfunction In United Healthcare CEO Shooting?
The tragic shooting involving the UnitedHealthcare CEO has left many people asking a technical question: Why was the shooter’s gun malfunctioning?In this vid...YouTube
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I invested in $TSLA when they announced the model 3.
It looks like tesla is about to reach the previous all-time-high, if it does what is the play?
- Liquidate 100% (50%, 2 votes)
- Liquidate 50% (25%, 1 vote)
- HODL (0%, 0 votes)
- I'm going to post a silly idea in the comments (25%, 1 vote)
Do you have any concerns around capital gains and possible restrictions on individual IRA contributions to take into account?
My opinion shouldn't matter to your decision of course, but if you have enough to sell out of the money call options, that's probably how I'd get out of a portion. It's likely too volatile to do anything with trailing stop. Then again who knows which direction it'll go in this environment.
@Chrisk In the tax system in my county. A person who buys shares in a few personally selected companies, and holds for a long while before selling does not pay capital gains tax. Just like when we buy houses or cars. My country is identified as a tax haven for this reason.
If you buy and sell houses, restore cars, buy and sell shares as a main job or hobby, in my country, then you have to pay tax on that, because you do it like a job, a main activity of your daily life.
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All of a sudden Jerome Powell of the Federal Reserve is warning about "unsustainable Federal Debt".
Say what?
thehill.com/business/5022592-f…
Powell calls for ‘change’ in ‘unsustainable’ fiscal path
Federal Reserve Chair Jerome Powell warned Wednesday that the U.S. is on an “unsustainable” fiscal path and called for a course correction days after the national debt topped $36 trillion for the f…Taylor Giorno (The Hill)
Un p'tit rayon de Soleil...
Beethoven: Sonate pour violon et piano n° 1, en ré majeur Op. 12, 3 ème mouvement, rondo : allegro. Par Perlman et Ashkenazy. youtube.com/watch?v=ccLYecWBFM…
#music #musiques #classique
Beethoven: Sonata For Violin And Piano No. 1 In D, Op. 12 No. 1: 3. Rondo (Allegro)
Provided to YouTube by Universal Music GroupBeethoven: Sonata For Violin And Piano No. 1 In D, Op. 12 No. 1: 3. Rondo (Allegro) · Itzhak Perlman · Vladimir A...YouTube
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provides a deep dive into Russia’s next moves in Syria as Turkey and Israel escalate their proxy war in Aleppo and beyond. We examine the secret meetings held by Turkey in preparation for this operation, shedding light on the broader implications for the region. From the shifting dynamics between Ankara, Tel Aviv, and Moscow to the potential fallout of this covert strategy, Pepe Escobar unpacks the latest developments and what they mean for Syria’s future.
• Erdogan’s betrayal: what will be Putin’s response?
• Who is really behind the Syria war?
• Will Russia rescue Syrian President Bashar Al-Assad?
About the preparation for a Greater Israel and possible consequences for West Asia.
#ukraine trained jihadis
#war will spread.
#Lebanon #ceasefire #iran #hizbolla
Latest I read was that Russia decided to drop Syria. Is that so?
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hugequestions.com/Eric/TFC/Fro…
#Paul #faul #McCartney died in 1966: forensic #evidence
A #DNA test!
Carlesi and Gavazzeni commented that if McCartney really wanted to put an end to these rumors, he could have offered to take a DNA test with his father or his younger brother, Mike, but he didn't. McCartney took a DNA test only once, but the authors of the article point out that the DNA test created more confusion and suspicion of his true identity, not less.
In 1962, when the Beatles were living in Hamburg, Germany and still unknown to most people, Paul McCartney had a brief affair with a German woman named Erika Wohlers. She gave birth to a daughter, Bettina, in December 1962, which was during the time the Beatles were starting to become famous. The Beatles soon left Germany, and McCartney abandoned Erica. Around 1967 McCartney agreed to pay 30,000 deutsche marks to support Bettina, but he was not admitting to being her father, even though she claims her German birth certificate identifies him as her father!
Once Bettina became an adult, she asked a German court to have McCartney recognize her as his natural daughter. McCartney had to submit to a DNA test, and the test showed that he was not her father. Interestingly, based on an autograph signed by McCartney, together with some photos taken for the occasion, Bettina accused the person who took that DNA test of being a substitute for Paul, not the real Paul McCartney! The autograph, for instance, was signed by somebody right-handed (Paul was left-handed).
This is the transcript from 1:38:15 in this Mike Williams 2016 interview with Sofia Smallstorm, which might be THE very best introduction to the entire thing. ( edited slightly for easier reading, omitting some repetitions, hesitations, and so on.)
"The fourth biggie is a paternity suit that started back in 1982 after he had had a relationship with a lady by the name of Erika Hubers when he was in Hamburg, Germany.
We’re talking about the biological Paul now, not Bill Shepherd. This is the biological Paul, so this goes back to 1962 and it was pretty long relationship, 18 months. It wasn’t a one night stand, and the relationship was well established. They were pictures of the two of them together.
So out of that relationship, a daughter was born. Her name was Bettina Hubers, and back then child support was agreed to by the real Paul McCartney. And Shepherd, as the character Paul McCartney, continued the child support obligations put in place by biological Paul McCartney.
However as we know with child support, it runs out after a certain age. You don’t have to make any payments any more. So Bill Shepherd had to submit DNA, and the DNA did not match. I guess they’re matching Billy’s DNA against Bettina’s DNA.
Now this became very very sticky, because Erika Hubers, the mother, was very very adamant two things happened.
One was, she was looking at pictures of Bill Shepherd, And she said, that’s not Paul McCartney. She was making a lot of noise about this, and then what happened was he signed a document. And because he’s right-handed, he signed it with a right-handed lean or tilt. She looked at the the signature, and said, it’s not his signature.
So then what happened was they had to go to a Beatle Museum, and they compared the handwriting. They concluded it was not the same handwriting. The signatures did not match. So he was sued for fraud.
I tried to find out what happened with that case. I’m not sure if it’s still active or not. What Billy Shears says in the book is that he’s gonna let the DNA do the talking, that’s it. So based upon that position, she’s out of the money because the DNA is not going to match. He even says in the book: Bettina, if you’re reading this, now you understand."
Quand je serai grande
Dans cet article, Emma reflète brillamment la confusion totale qu’implique la vente de services sexuels et le décalage entre le battage médiatique selon lequel « le travail sexuel est un vrai travail » et la réalité, et la façon dont cette confusion persiste parfois même des années après la sortie de la prostitution.
Si la prostitution était vraiment un travail…
entreleslignesentrelesmots.wor…
La prostitution n’est pas une question individuelle mais sociale
Avec l’aimable autorisation de l’autrice Pour Christiane Marty, membre de la Fondation Copernic et d’Attac, en matière de prostitution, une politique cohérente consisterait à la fois à …Entre les lignes entre les mots
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MILANO, 5.000 IN CORTEO CONTRO GUERRA E DDL SICUREZZA
Oggi ha sfilato il corteo cittadino contro DDL Sicurezza e guerra. Contestazione alla Scala dove l'accesso era interdetto dove l'accesso era interdetto da un fitto blocco di transenne con lancio di torce e petardi.
All'arrivo in Largo Cairoli rilanciato il corteo nazionale del 14 dicembre a Roma
A69 : L’intérêt public majeur, c’est d’arrêter immédiatement ce chantier
Alors que la décision de justice sur la légalité de l’A69 est attendue, l’Atécopol expose les raisons de renoncer à ce projet. Les auteur·es rappellent la fragilité des justifications socio-économiques de cette autoroute, contestent l’argument selon lequel l’état d’avancement des travaux impliquerait de les achever, et rappellent que la compensation écologique n’est pas fondée scientifiquement.
entreleslignesentrelesmots.wor…
Les 200 scientifiques de l’Atécopol demandent l’arrêt immédiat des travaux de l’A69
Lettre ouverte à Carole Delga (Présidente de la Région Occitanie), Christophe Ramond (Président du Conseil Département du Tarn), Pascal Bugis (Maire de Castres), Clément Beaune (Ministre des Transp…Entre les lignes entre les mots
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Vietnam vet returns lost diary to fallen soldier's family
youtube.com/watch?v=_qrTGDFrRb…
A Vietnam veteran from Bergenfield, New Jersey recently returned something he found on the battlefield almost six decades ago. It seemed an impossible task when he decided it was finally time to do it, but he soon found out the information he needed was right in front of him.
Comments below the video:
"In the culture of the Vietnamese people this is huge. Their loved one’s spirit has ...
Vietnam vet returns lost diary to fallen soldier's family
A Vietnam veteran from Bergenfield, New Jersey recently returned something he found on the battlefield almost six decades ago. It seemed an impossible task w...YouTube
“US, Canadian universities hire Israeli firms to curb pro-Palestinian protests”
“A report published on Saturday by the Israeli newspaper Yedioth Ahronoth says that several universities in both the US and Canada have entered into agreements with Israel-linked security companies to suppress pro-Palestinian protests occurring on their campuses.”
I have no insults left at this point, just pure disgust
aje.io/y5lfzx?update=3369792
LIVE: Israeli attacks cut power, wound children at key north Gaza hospital
Health Ministry and rights groups report ‘atrocities’ as Israeli assault on the Kamal Adwan Hospital in continues.Usaid Siddiqui (Al Jazeera)
how are these people not considered treasonous? oh thats right, bc Israel is actually just our military colony.
See Gold Star family get life-changing surprise on TODAY
youtube.com/watch?v=Rk2fQeG46r…
The Ardron family, who lost their father while he was serving in the military, sits down with Hoda and Jenna to share their story of perseverance and discuss how they keep his memory alive. Then the family is surprised with a brand-new mortgage-free home thanks to Wells Fargo and the Military Warriors Support Foundation.
See Gold Star family get life-changing surpise on TODAY
The Ardron family, who lost their father while he was serving in the military, sits down with Hoda and Jenna to share their story of perseverance and discuss...YouTube
I have just been enjoying this album by @alisynthesis
When you hear people talk about political demonstrations, what do you think it's a demonstration of?
It's power. And threat.
A demonstration is meant to show power and a willingness to use it by the populace. It's intended to be a threat that such power can be used in more disruptive ways if the subjects of the demonstration aren't addressed. To achieve that, you have to cultivate a belief among the intended audience that there is real risk, that threats can be followed through on. Demonstrations should be disruptive, and they should not shy away from more radical elements.
This is true in every sense and every political ideology. A liberal demonstration might seek to communicate "we're angry, we'll keep showing up, and if you don't listen we'll turn this into a campaign to primary you". That's power and the threat to use it. A theocratic demonstration might seek to communicate "the people who work at this hospital aren't safe from us so long as they're helping the kids we want dead. We won't forget who works here". Power and threat.
Whether it's occupying lunch counters or blocking traffic or doing a sit in or whatever, you're trying to display that you have the power to be disruptive and that you're willing to escalate.
>> Demonstrations should be disruptive, and they should not shy away from more radical elements.
I think it depends because there are other important considerations like 1) being able to trust that the people at the thing with me won’t put me at additional risk 2) we all need to agree what kind of radical, disruptive stuff we are willing and able to do 3) overall movement discipline.
1/2
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"Deny, defend, depose
Against a CEO, he rose..."
good find, thank you for sharing!
BREAKING NEWS: Donald Trump And Emmanuel Macron Meet In Paris Ahead Of Notre Dame Reopening Ceremony
youtube.com/watch?v=DXQ4ePAuNX…
BREAKING NEWS: Donald Trump And Emmanuel Macron Meet In Paris Ahead Of Notre Dame Reopening Ceremony
On Saturday, President-elect Donald Trump and France's President Emmanuel Macron met before the Notre Dame Reopening Ceremony in Paris, France.Fuel your succ...YouTube
Cult of dom keller - this is how it feels to live your life dead - 2011
youtu.be/bed_rQueLBk
Cult of dom keller - this is how it feels to live your life dead
Video credit: R.DelGaudioCult of dom keller - s/t debut albumEurope: ( vinyl) http://mannequinrecords.bandcamp.com/album/mnq-037-the-cult-of-dom-keller-s-t-...YouTube
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Danke für die Meldung! Wir arbeiten dran: mastodon.de/@ErikUden/11361271…
Warst die erste Person der es aufgefallen ist ;)
Purr-n-Fur UK | Church Cats | Tom of St Mary Redcliffe, Bristol
Tom was the church cat from 1912 to 1927, and his memorial stone can still be seen in the churchyard.www.purr-n-fur.org.uk
every single computer in every school and college I have attended in the UK (from 1994 - 2009) was a Windows computer with Microsoft Office. Everything I was taught about computers was "here's how to use *a particular program from Microsoft Office*. Everything.
This is how Windows / Microsoft gets widespread use. They get us while we're young.
Das troet.cafe hat momentan Bilder-Probleme, das liegt an unserem Bild-Host Wasabi! Es ist eine höhere Gewalt, deswegen können wir lediglich abwarten bis seitens dieser Firma alles geklärt ist.
Zukünftig wird Wasabi lediglich als Backup dienen und unsere eigenen Server die Bilder bereitstellen, dann kommt sowas nicht mehr vor und bei Problemen können wir sie selbst lösen!
Edit: Ist gelöst! Sollte jetzt wieder alles gehen.
#fediAsk
#learningQuestion #fediAdmin
About the temporary image storage issue, in this case of troet.cafe.
Could this kind of storage be managed with IPFS storage?
Actually even shared by several instances in the case of publicly accessible images?
New favorite #FolktaleMoment form Iran:
A princess really wants a pet donkey but her father refuses. Her magical aunt finds a way to convince the father (with some clever spells) to allow the donkey anyway.
When princess kisses the donkey on the nose, it turns into a handsome prince. Turns out he had been cursed.
In return for saving him, the princess asks the prince to buy her a new donkey.
POWERLINE BLOG - The Week in Pictures: Pardon Me?
POWERLINE BLOG - The Week in Pictures: Pardon Me?
powerlineblog.com/archives/202…
The only surprise about the Hunter Biden pardon is that anyone was surprised—outside the mainstream media, which had treated “my word as a Biden” as though it was ever serious. Predictions: Biden isn’t done with his dubious pardons yet, and he will leave office in January with the lowest public approval rating in history, topping even Nixon in 1974.
DarkMahesvara likes this.
god they are now writing entire scenarions with lolis and it's so autistic
this is proof they def belong in phase connect
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Bilder bei mir.
@adipoeserPursch Hier werde Ich weitere Infos posten, falls es diese gibt. Ich bin mir ziemlich sicher, dass das ganze keine Stunde andauern wird:
Murdered Insurance CEO Had Deployed an AI to Automatically Deny Benefits for Sick People
Just over a year before United Healthcare CEO Brian Thompson was murdered in cold blood in Midtown Manhattan, a lawsuit filed against his firm revealed just ...Noor Al-Sibai (Yahoo News)
the u.s. government wants to ban tiktok so you cant listen to the new protest folk the kids are putting out.
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Richard Trevithick
Article publié en 2004 et proposé dans sa forme originale
Introduction
Un évènement est passé inaperçu dans la presse ferroviaire belge en 2004 : la naissance, il y a 200 ans, du chemin de fer. Or, même s'il s'agit d'un évènement qui intéresse plus nos voisins britanniques, nous ne pouvons pas nier l'influence que cette découverte aura eue sur notre continent et particulièrement pour la Belgique qui sera parmi les premiers pays du continent européen à se doter d'un chemin de fer. Partons, si vous le voulez bien à la découverte de l'histoire de Richard Trevithick, le père de la machine à vapeur.
Ci-dessus Portrait de Richard Trevithick par John Linnen (1816) - Domaine Public
Biographie
Né à Illigon, dans les Cournouailles, le 13 août 1771, ce fils d'un ingénieur des mines étudiera les techniques nouvelles qu'il découvrit tout jeune. En effet, des dizaines de machines à vapeur stationnaires fonctionnaient déjà dans sa région natale. Déjà à 20 ans, il est ingénieur et créera vite des machines permettant de dégager les mines.
En 1801, il crée une machine étonnante, une diligence à vapeur! Surnommée "Puffing Devil", elle est véritablement l'ancêtre des tramways à vapeur qui apparaîtront plus tard dans le siècle dans nos rues. Cette première machine disparut dans un incendie, son constructeur ayant oublié qu'elle avait besoin d'eau pour "étancher sa soif".
Ci-dessus Exemple de locomotive construire par Richard Trevithick. Domaine public
Cela ne découragea pas Trevithick puisqu'il construisit une deuxième machine à vapeur avec laquelle il se rendit à Londres. Cela se passait en 1803. Il est rapporté que ce véhicule pouvait transporter jusqu'à 10 personnes et que sa vitesse atteignait 16 km/h. Du fait qu'elle ne pouvait tracté d'autres véhicules, sa rentabilité n'était pas prouvée par rapport à la diligence classique tirée par des chevaux.
Peu de temps après cet exploit, Richard Trevithick rencontra Samuel Homfray, propriétaire de l'aciérie Pen-y-darren au Pays de Galles. Ce dernier avait fait le pari sur la construction d'une machine capable de tirer des wagons sur des rails d'acier ce qui fut réalisé par Trevithick.
1804 voit la naissance de la toute première locomotive à vapeur sur rails d'acier. Cette machine, sans nom, peut tirer jusqu'à dix wagons chargés d'acier à la vitesse de 8 km/h. Le 13 février de cette année-là, la locomotive tire son premier train sur une section de voie construite à cet effet. Une semaine plus tard, la première ligne de chemin de fer moderne est parcourue de bout en bout. Elle relie les "Ironworks" de Pen-y-darren (situés à Merthyr Tydfil) à Cardiff. Cette première expérience ne fut pas entièrement couronnée de succès car les rails ne supportèrent pas longtemps le poids de la locomotive et cassèrent rapidement.
Quatre ans plus tard, Richard Trevithick construit une nouvelle locomotive. Nous sommes à Londres en 1808 lorsqu'il construit un circuit de 60 m de diamètre et où sa locomotive de 8 tonnes tire une diligence adaptée pour circuler sur les rails. Surnommée par les londoniens "Catch-me-who-can" (Attrapes moi si tu peux), cette attraction est accessible au public pour 1 shilling. Pour ce shilling, le visiteur peut, soit simplement regarder ou se faire transporter dans la remorque. Très vite, il fallu construire une palissade tout autour du circuit car personne ne voulait payer pour voir le spectacle et pour cause, on pouvait voir sans payer! L'expérience dura deux mois, moment où un rail cassa et mit un terme à celle-ci.
Ci-dessus Catch me who can - Domaine public
En 1816, il quitte le Royaume-Uni pour le Pérou où il va travailler comme ingénieur des mines et construire des locomotives à vapeur. Il connut quelques succès là-bas mais la guerre civile qui ravagea le pays en 1826 l'obligea à quitter le Pérou. Il revint en Grande-Bretagne sans un sou.
Le fait de ne pas avoir avoir eu la fibre commerciale, priva Richard Trevithick du succès qu'il aurait du avoir avec cette invention. Il mourut le 22 avril 1833 à Dartford complètement ruiné. Il évita la "fosse commune" grâce à la bonté de ses collaborateurs qui se cotisèrent pour lui offrir une tombe digne de ce nom. Il restera longtemps ignoré malgré son invention qui changea la face du monde.
En 1981, le musée national des chemins de fer à York fit construire une réplique de sa première locomotive. Elle fut restaurée et remise en état de marche à l'occasion du bicentenaire du rail en Grande-Bretagne en 2004. Un petit détail diffère cependant entre l'original et la réplique: les roues ont été adaptées pour circuler sur les voies ferrées actuelles alors qu'à l'origine, elles étaient conçues pour circuler dans des voies à gorge.
🌈 Barbapulpe 😇 ᴾˡᵘᵐᵉ likes this.
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Frustrated Customer - EUROPE SAYS
Frustrated Customerhttps://cdn.mos.cms.futurecdn.net/4WERDEA42z4SJGFRFvsJLi-768-80.jpgby n0ahbodyEUROPE SAYS (EUROPESAYS.COM)
euronews.com/green/2024/12/04/…
The Arctic could be ice-free by summer 2027: What it means for weather, shipping and polar bears
The Arctic Ocean may see its first ice-free day before 2030, earlier than scientists predicted.Jennifer Marsden (Euronews.com)
youtu.be/yDmlrrN_ZQc
#postpunk#deathrock
Ugly Shadows - Kids Of Tomorrow
Album: Kids Of Tomorrow (2016)Post Punk from Istanbul, Turkey -featuring members of Era of Fear (GR) and Poster-iti (TR)-YouTube
CEO of EviCore should probably lie low for a while right now
propublica.org/article/evicore…
EviCore, the Company Helping U.S. Health Insurers Deny Coverage for Treatments
When companies like Aetna or UnitedHealthcare want to rein in costs, they turn to EviCore, whose business model depends on turning down payments for care recommended by doctors for their patients.ProPublica
rumble.com/v5wx32z-the-future-…
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The Future of Censorship (2022)
SHOW NOTES AND COMMENTS: https://corbettreport.com/the-future-of-censorship/ FROM 2022: If you've heard my recent interview with Whitney Webb, then you'll know about the problem of digital repersoningRumble
A víte vy co? Mě ta reakce ČT (viz mastodon.social/@danielsnor/11…) vlastně docela sere, tak jsem jim napsal. Když nic jinýho, tak aspoň budou vědět, že nám to není úplně fuk. Jestli jim chcete napsat taky (info@ceskatelevize.cz), tak klidně vyjděte z mojí zprávy (je v alt textu).
Daniel Šnor (@danielsnor@mastodon.social)
Attached: 1 image Mám pro vás dvě zprávy. Jednu dobrou a jednu špatnou. Dobrou zprávou je, že ČT už o existenci Mastodonu ví. Špatnou zprávou je, že jediné, co nám to přináší, je, že musím zrušit zprávobotíky ČT.Mastodon
{#DRC} #Maladie inconnue à #Panzi : la société civile invite la #population au calme
Source: Radio Okapi, radiookapi.net/2024/12/07/actu…
{Excerpt}
L’ASBL Action Plus, une structure de la société civile locale œuvrant notamment dans le domaine de la santé, a appelé samedi 7 décembre la population au calme et à ne pas paniquer face à la maladie inconnue qui décime la population dans la zone de santé de Panzi située dans le territoire de Kasongo-Lunda (Kwango).
Le Gouvernement est en train de travailler et les experts sont déjà sur terrain pour faire face à cette maladie non encore diagnostiquée, a assuré Jude Tshangata, le coordonnateur de cette ASBL, lors d’un entretien avec radio Okapi.
Il a évoqué notamment le ministre provincial de la santé et sa suite, qui sont « en train de travailler d’arrachepied sur place » pour déterminer la vraie nature de cette maladie.
Jude Tshangata a plutôt invité la population locale au respect strict des règles d’hygiène édictées par les autorités sanitaires, pour limiter la transmission de cette maladie non encore diagnostiquée :
« Ce que nous demandons à la population, c’est d’appliquer les mesures de prévention parce que jusque-là, la maladie n’est pas encore connue. C’est pourquoi, (les habitants) doivent se protéger, se laver les mains régulièrement avec du savon, appliquer les mesures barrière comme cela est exigé par les professionnels de la santé ».
Il s’agit, selon lui, de ne pas toucher n’importe où, ne pas se saluer à la main, et aussi l’hygiène est exigée.
(…)
____
#blog #DRC #francais #french #nonClasse #rybelsus #undiagnosedIllness
Maladie inconnue à Panzi : la société civile invite la population au calme
L’ASBL Action Plus, une structure de la société civile locale œuvrant notamment dans le domaine de la santé, a appelé samedi 7 décembre la population au calme et à ne pas paniquer face à la maladie inconnue qui décime la population dans la zone de sa…Radio Okapi
Packed with photos and information on the whereabouts of other, hardly ever mentioned 'less important' Nazis, who also escaped to the #Argentine Nazi enclave in #Patagonia.
#Argentina
Source: youtube.com/watch?v=veVqh9XoXU…
#our #fake #history by you know who
Operation Eagle Flight: The #Escape from #Berlin to Bariloche
Operation Eagle Flight: The Escape from Berlin to Bariloche
Remove your personal information from the web at https://JoinDeleteMe.com/thewhyfiles and use code thewhyfiles for 20% off. DeleteMe International Plans: htt...YouTube
My laptop doesn't go to sleep, how can I diagnose this?
It should be that if i close the laptop and leave it, even overnight, it should only lose maybe 5% battery, but it actually loses all of it, as if it was on (it gets maybe 5 hrs of battery life)
I have it set to sleep after 5 minutes. What sorts of logs should I check to diagnose the problem?
Fedora 41 KDE spin on a 6th gen lenovo x1 carbon (intel i5-8650U)
aside from this, i really am enjoying linux on my new toy
thank you all
I had that symptom, and I found that my laptop was using S2 idle (suspend to idle). I fixed it by switching to S3 sleep (suspend to RAM). I suggest following the instructions in section 3 in this page: wiki.archlinux.org/title/Power…
Like many Arch Wiki guides, most of the information on that page is applicable to most Linux distros, not just Arch.
This is interesting. I have the same laptop.
I had this exact issue in popos on it.
I changed a setting in the bios (can't recall exactly now), and that did nothing.
Recently I moved to fedora 41, and the problem disappeared.
So I suspect it's a bios setting.
The 75th Anniversary of VJ Day, August 14, 1945. World War II Ends. Honolulu Celebrates.
youtube.com/watch?v=CZ85j6U2Fv…
Comments at link above:
What truly amazing footage this is. I've never seen something quite so beautiful. Everything about it brings you right there to that time period, from the people, to the cars and buildings. I've never seen a collection of shots that really put you there, right on that date. Hard to believe. Incredible....
2020 Marks The 75th Anniversary of VJ Day, August 14, 1945. World War II Ends. Honolulu Celebrates.
August 14, 1945: Waikiki erupts in joyful celebration as the first news of the surrender of Japan comes over the radio. Shot by my dad, and presented here as...YouTube
Laurent Nours
in reply to Emmanuel Florac • • •