libertytree.ca/quotes/Henry.Br…
“Nothing in education is so astonishing as the amount of ignorance it accumulates in the form of inert facts.”

~ Henry Brooks Adams
(1838-1918) Pulitzer prize-winning historian (1919), great-grandson of John Adams, grandson of John Quincy Adams, and son of US Secretary of State, Charles Adams
The Education of Henry Adams: An Autobiography, 1918



Zwei weitere Versuche im Krefelder Missbrauchsfall auf Schultoilette


Der Mann, der in Krefeld zwei Grundschulkinder sexuell missbraucht haben soll, hat offenbar noch mehr Kinder angesprochen.#Polizei #Krefeld #Missbrauch #Schulklo #Schulen #Kinder #Grundschule #Schultoilette #sexualisierteGewalt
Zwei weitere Versuche im Krefelder Missbrauchsfall auf Schultoilette


Das #Wahlsystem in Deutschland muss grundlegend reformiert werden. In seiner jetzigen Form führt fast automatisch dazu, dass parteiübergreifend die völlig falschen Charaktere nach oben kommen und es setzt darüber hinaus selbst bei reflektierten Politikern so massive Fehlanreize, die dazu führen, dass alle grundlegenden Probleme dieses Landes nicht gelöst sondern verschlimmert wurden.
Wer glaubt, dass es lediglich eine andere Partei oder anderes Personal bedarf, dass sich daran grundsätzlich etwas ändert, hofft meiner Meinung nach vergebens.

libertytree.ca/quotes/Michel.d…

“I prefer the company of peasants because they have not been educated sufficiently to reason incorrectly.”

~ Michel de Montaigne
[Michel Eyquem De Montaigne] (1532-1592) French Renaissance scholar, philosopher, writer

Indian State Claims 17 Guerrillas Killed In Firefight With Security Forces In Sukma District


At least 17 persons alleged to be cadres of the CPI (Maoist) were killed in a fierce gun battle with security personnel along the inter-district border area of Sukma-Dantewada close to Gogunda hilly forest terrain, about 480 km south of Raipur on Saturday morning, Inspector General of Police of Bastar Range Sundarraj P announced to the press today.

According to the IGP, the firefight broke out around 8am in the forest area under the Kerlapal police station limits, when a joint team of security personnel was out on an anti-Maoist operation.

In his report the IGP stated that personnel from the District Reserve guard (DRG), a unit of the state police, and the Central Reserve Police Force’s (CRPF) 159th battalion were involved in the operation, launched on Friday night based on intelligence inputs about the presence of Maoists in the forests of Gogunda, Nendum and Upampalli villages in the Kerlapal police station area.

In his prepared remarks, the IGP said three DRG personnel and one CRPF jawan sustained minor injuries in the skirmish, adding that the injured jawans have been admitted to a hospital, and their condition was stated to be normal.

The IGP told the press that after the exchange of fire stopped, the bodies of 17 individuals purported to be Maoists were recovered from the encounter site, in addition to a large cache of firearms, including an AK-47 rifle, self-loading rifle (SLR), INSAS rifle, .303 rifle, a rocket launcher and barrel grenade launcher (BGL), and explosive materials.

As per the IGP’s report, seven of the deceased persons have been identified so far, while efforts are underway to ascertain the identity of the others.

According to the IGP, one of the deceased identified by police is believed to be Kuhdami Jagdish, alias Budhra, a Special Zonal Committee member of the Maoist party and a secretary of the Maoist party’s Darbha Division.

The IGP reported that six of the deceased individuals include four Area Committee Members of the Maoist party.

The IGP concluded his statement by saying that a search operation was still underway in the area, and that further details are awaited, adding that Saturday’s encounter in Sukma is the fifth this month in Bastar division.

Sukma, among the seven most Maoist-affected districts in Bastar zone, is cited as an epicenter of Maoist activities in south Chhattisgarh.

source: Red Spark

abolitionmedia.noblogs.org/?p=…

#asia #guerrilla #india #maoist #repression

Le sort de Marine Le Pen et la crise qui sourd


par Denis COLLIN

En lui-même le sort de Madame Le Pen m’est assez indifférent. Ses malheurs ne me réjouissent ni ne m’attristent. Se faire prendre la main dans le pot de confiture alors que tout le monde l’attendait au tournant, c’est plutôt ballot. Évidemment, on remarquera que le reste de la classe politique agit tout comme le RN et utilise à toutes sortes de tâches les assistants parlementaires, mais eux s’en tirent. Bayrou avait simplement commis quelques « erreurs », mais n’était pas coupable : non-lieu. Ce qui lui permet d’être Premier ministre et gageons que l’appareil d’État sera mobilisé pour lui éviter des ennuis avec l’affaire Betharam qui en restera là. On rappellera les affaires anciennes du PS (Urba, par exemple) ou celles Chirac et du RPR.

Une question annexe : l’élimination de Mme Le Pen ouvre le champ à Bardella, un jeune homme qui a donné à la classe dirigeante tous les gages de sérieux et a rejeté tout le vernis « social » de Marine Le Pen. Les juges pourraient n’avoir pas fait qu’un choix négatif, mais aussi un choix positif : après Macron, un blanc-bec qui n’a jamais travaillé, jamais exercé de mandat local, on serait dans la continuité.

Mais, nous disent les justiciers, pour une fois que la justice passe, approuvons. Mais on approuve surtout l’inéligibilité qui empêche Marine Le Pen d’être candidate en 2027, alors que les sondages la donnent à 35 % environ au premier tour, avec des chances sérieuses d’être élue au second tour. Tant pis si on viole un principe de droit en rendant immédiate l’application de la peine d’inéligibilité, sans attendre l’appel ou un éventuel recours en cassation. Le juge invoque un possible ’trouble à l’ordre public » pour justifier cette décision. Ce bon vieux « trouble à l’ordre public » qui peut être utilisé à toutes les sauces contre la démocratie.

Ce que je trouve plus inquiétant, c’est l’indifférence radicale de l’intelligentsia « de gauche » face à une situation de délabrement politique et moral de notre pays qui appellerait un sursaut. Mais rien n’y fait. L’intellectuel de gauche appelle à faire barrage au « fascisme » et, ayant échoué sur le plan électoral à faire avancer la cause des siens, il a fait élire l’ennemi du peuple, Macron, et se réjouit que les magistrats, qui depuis 2017 choisissent les candidats acceptables, ait fait barrage à Marine Le Pen. L’intellectuel de gauche, qui vit dans son petit monde, fier de sa haute valeur morale, n’a aucune de ce qui se passe dans le « petit peuple », celui des gens « qui ne sont rien », de ces « fachos » des campagnes que l’intellectuel de gauche voudrait éliminer, celui des prolos qui veulent garder leur emploi et n’aiment pas la délicieuse mondialisation qui permet à l’intellectuel de gauche de sillonner les cieux tout en défendant le climat et la planète. Un jour l’intellectuel de gauche se retrouve face à un Trump et court pleurnicher… ou se rallie aux nouveaux maîtres.

Des voix mumurent : puisqu’on ne peut pas se faire entendre, puisque la classe politique est solidement campée dans son entreprise de liquidation de la France, peut-être l’armée pourrait-elle nous sauver ? Pendant que l’intellectuel de gauche continue de roupiller de son lourd sommeil de bien-pensant, on sent des grondements dans le pays qui pourraient, plus vite qu’on ne le pense, conduire à des événements terribles. Le bonapartisme est une vieille tradition chez nous.
Au moment où l’intellectuel de gauche chausse ses bottes militaires et appelle « armons-nous et partez », au moment où Macron et Starmer, les deux valets d’Ursula veulent précipiter la fin des nations européennes au profit d’un conglomérat de capitalistes, on aurait besoin d’un parti patriotique du monde du travail. Mais qui pour le faire ?

la-sociale.online/spip.php?art…

Emmanuel Florac reshared this.

The U.S. government sent planeloads of men to a prison in El Salvador for the crime of having tattoos that ICE agents said are gang related.

They’ve now admitted that one of these was an “administrative error” but refuse to return him to America because he’s no longer held by the U.S. government.

Due process means innocent until proven guilt not imprisonment until proven a government screw up.

theatlantic.com/politics/archi…

I don’t understand. How does Gibson (William, writer) do it? He has spent pages in multiple books describing interesting antiquated elevators, unsettling interior decorating, upsetting fashion — and somehow he gets away with it in the sci fi story. It’s so indulgent, so off-topic, but it works. It’s good writing. I’m studying carefully. Thinking “I need to do this” Has a voice that makes exploring the bicoastal, pretentious (possibly alienating) things accessible exposed, tamed.

There’s a terrifying trend happening right now—and most of the so-called “experts” who have let us down in every way imaginable are pretending not to see it.

So, what’s happening?

Well, cancer is exploding.

And not just in adults.

Children—actually very young children—are now being diagnosed with these extremely aggressive, fast-moving cancers at a rate that’s impossible to ignore. But instead of asking hard questions, the same crowd of “experts” that once shouted down anyone who dared question the COVID vaccine has gone radio silent.

Suddenly, they’ve lost all curiosity. Suddenly, they don’t want to “follow the science.”

revolver.news/2025/03/doctor-f…

#vaxicide #depopulation #cancer #vaxicide

freend reshared this.

i24NEWS : « L'armée israélienne a bombardé une maison à Khan Younis avec un missile SPICE 2000 de fabrication américaine, qui pèse 900 kg, selon des documents publiés. »

Ce missile, considéré comme l’une des munitions les plus destructrices et mortelles, et classé comme arme interdite pour cibler des zones civiles, n’a pas été largué sur un site militaire, mais plutôt sur une maison habitée par des enfants, des femmes et des personnes âgées !

L’Amérique n’est pas seulement un soutien de l’occupation, mais un partenaire direct du génocide, fournissant des armes, légitimant leur utilisation et fermant les yeux sur les crimes commis avec elles.

Quiconque garde le silence sur ces massacres, reste neutre ou assimile le bourreau à la victime, est un partenaire à part entière dans le bain de sang.
Un partenaire dans le cri d'une mère, le gémissement d'un enfant et la saleté accumulée sur des corps dont le seul péché était d'être né palestinien.

Gaza est bombardée avec des munitions américaines et ses habitants meurent dans le silence mondial. Reste-t-il une trace d’humanité ?

Unknown parent

pleroma - Link to source

DMA 💥 🎀

To cold for me. After that freeze in Texas in 2021. No power for 5.5 days and inside was 50 degrees outside was -1. I boiled do much water and even placed my bbq with propane to heat my house. Go it to 55. my room was 40.

My mom was bedridden here. Hard to keep her warm. I gave her three extra blankets and three pair of Sox. I had my car connected with a dc charger to heat a blanket and her breathing machine. We had lanterns charging in the car too.

It was bad.

Dans l’Éthique à Nicomaque, Aristote emploie l’analogie d’un bout de bois
tordu pour décrire la nature humaine. Pour éliminer les courbes, le menuisier
appliquera de la pression sur les bosses, tout en douceur – pour le redresser,
en gros. Évidemment, deux mille ans plus tard, Kant a lâché: «L’homme a été
taillé dans un bois si tordu qu’il est douteux qu’on n’en puisse jamais tirer
quelque chose de tout à fait droit.» On ne sera peut-être jamais droits, mais
on peut essayer de se redresser.

“To everyone here, you can claim the one-million-dollar bounty if you bring him to Toronto’s Chinese consulate,” Chiang said, according to the Toronto Association for Democracy in China. In December 2024, Tay was among six overseas activists who were targeted by Hong Kong police. Officials in the region announced rewards of HK$1 million, equivalent to about C$180,000, for information leading to their arrests. halifax.citynews.ca/2025/03/30…

Unité contre la guerre ou complicité


par Jacques COTTA

Les voix s’opposant à la guerre en Ukraine et aux efforts va t’en guerre de Macron et de l’union européenne sont aphones et les initiatives prises sont modestes et éparpillées.

Pourtant il y a urgence !

La catastrophe en marche

Ce sont depuis 3 ans des centaines de milliers, voire un million de russes ou ukrainiens, qui sont tombés sous les balles ou les obus.

Bâtiments publics, écoles et hôpitaux bombardés et détruits, populations civiles frappées, le déluge de feu quotidien est dévastateur.

Le malheur des uns fait en réalité les choux gras des autres. L’Ukraine est devenu le déversoir très lucratif des armes françaises, anglaises, américaines notamment. Les industries de guerre s’enrichissent sur le dos de la misère, des destructions, de la mort.

Au sein de l’union européenne, Ursula van der Leyen, Macron, Stamer et quelques autres rivalisent sur la même ligne. L’économie de guerre devient le maitre mot pour enrichir l’industrie d’armement au détriment des besoins des populations.

En France, ce sont plus de 9 milliards d’euros qui sont pris sur la sécurité sociale ou sur les services publics. L’école, la santé, les retraites, les jeunes et les plus âgés, sans parler des retraités, sont les victimes de cette politique guerrière.

Le combat idéologique et la désinformation vont bon train pour justifier cette politique guerrière, synonyme de régression sociale sur toute la ligne.
Les médias allemands, Bild, Süddeutsche Zeitung, WDR et NDR sont en pointe, rapportant que « les services de renseignement (BND) et l’armée de la République fédérale d’Allemagne estiment que la Russie considère l’Occident comme un ennemi systémique et se prépare à une confrontation avec l’OTAN ».
Les généraux de plateaux de télévision français leur donnent la répliquent, aidés par les chefs d’état major qui répondent à la volonté présidentielle.

Plus les dirigeants politiques sont minoritaires dans leur pays, plus ils poussent à la guerre. La pente empruntée est d’une dangerosité extrême, d’autant qu’à l’initiative de Macron et starter revient de façon récurrente l’idée d’envoyer des troupes sur le terrain, ce qui serait considéré par la Russie comme une déclaration de guerre des pays concernés, avec les conséquences que cela comprend.

Agir dans l’unité

L’alternative est simple. Soit défaire la Russie, donc la guerre totale, y compris nucléaire, donc la fin de la civilisation. Soit la paix. Et dans ce sens l’arrêt de toutes les gesticulations provocatrices qui se mettent en travers d’une solution négociée.

Force est de constater que du côté des « grands » partis si certains indiquent le danger d’une confrontation avec la Russie, tous votent les budgets et crédits de guerre voulus par Macron.
Du côté des syndicats, c’est le silence total lorsque ce n’est pas l’approbation pure et simple.

Il existe cependant des initiatives peu nombreuses et éparpillées allant dans le sens de la paix. Le Parti des Travailleurs a organisé un meeting, l’UPR a manifesté de son côté, comme les Patriotes…

Chacun a ses positions propres. Pour notre part nous considérons avec Jean Jaurès que le « capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage ».
D’autres peuvent avoir un point de vue différent.
Mais rien ne devrait interdire qu’ensemble, tous sans distinction ni exclusive puissions agir sur une ligne simple : A bas la guerre ! Pas un sou, pas une vie pour la guerre !

Tout le monde sent bien, jusque dans les travées du pouvoir, que la politique de Macron est extrêmement dangereuse, ouvrant la porte à la moindre bavure, au moindre dérapage qui pourrait atteindre un point de non retour. Voilà pourquoi agir dans l’unité contre cette folie guerrière est de la première nécessité.
Nous lançons ici un appel aux groupes, associations, organisations pour qu’ensemble une force conséquente et unie se dresse pour faire entendre sa voix.

Jacques Cotta

la-sociale.online/spip.php?art…

Emmanuel Florac reshared this.

Wisconsin Voters: ELECT BRAD SCHIMEL or Watch Democrats Redraw the Map and Steal Two GOP House Seats — Your Voice Is on the Line!

thegatewaypundit.com/2025/04/w…

Convicting Le Pen: A political earthquake with dangerous fault lines - DiEM25 Communications diem25.org/convicting-le-pen-a…

Our co-founder, Yanis Varoufakis, expressed it clearly: “Lawfare is wrong whomever it targets. And it is stupid to boot. France’s neofascists will only benefit from this.”

At DiEM25, we have never called for the judiciary to do the work of political movements. The far right must be confronted – not in courtrooms, but through mass mobilisation, through radical hope, through bold and democratic alternatives.


Tags: #dandelíon #politics

via dandelion* client (Source)

The U.S., during the time of Gen. Mark Milley, was pretty much calling the shots on all aspects of the war -- targets, intelligence, trainings, logistics and all kinds of sneaky pete inside Russia itself, ostensibly to keep the information out of Putin's hands, the idea being to let him think Ukraine was putting up a ferocious fight on its own, without more than U.S. arms sales buttressing it.

But that isn't what was happening. The Times summed it with:

But for nearly three years before Mr. Trump’s return to power, the United States and Ukraine were joined in an extraordinary partnership of intelligence, strategy, planning and technology whose evolution and inner workings have been known only to a small circle of American and allied officials.

With remarkable transparency, the Pentagon has offered a public accounting of the $66.5 billion in weaponry it has supplied to Ukraine. But a New York Times investigation reveals that America’s involvement in the war was far deeper than previously understood. The secret partnership both guided big-picture battle strategy and funneled precise targeting information down to Ukrainian soldiers in the field.

americanthinker.com/blog/2025/…

#Ukraine #Russia #WWIII #Khazar-Mafia #White-Genocide

huh?

that's some hard hitting stuff... LOL

Canada Slaps Tariffs on Flamethrowers, Manatee Meat, Fake Beards, and Live Monkeys in Response to Trump

breitbart.com/economy/2025/03/…

#OrganeManBad #Canada #tariffs #derp

trilux.org/2025/03/uma-sugesta…

Les biscuits aux fleurs du jardin

pas encore essayé mais ça me tente bien...

#recette #recipe #biscuit #cookie #jardin #garden #printemps #spring

espritcabane.com/magazine/actu…

The Impact of Cellulose Content on Biochar Porosity


Biochar, a stable carbon-rich material produced through the pyrolysis of organic biomass, has garnered significant attention for its applications in soil enhancement, carbon sequestration, and renewable energy production. The characteristics of biochar, including its porosity, play a crucial role in determining its functionality. Porosity, in particular, influences the biochar’s ability to retain water and nutrients, making it an essential factor in agricultural applications. One of the primary determinants of biochar porosity is the cellulose content of the feedstock. This article delves into how cellulose influences biochar's porous structure and its subsequent properties.

Cellulose as a Key Component of Biomass


Cellulose is a polysaccharide found in the cell walls of plants and is a major component of many biomass feedstocks. It serves as the structural framework in plant cells, providing rigidity and support. The decomposition of cellulose during biomass pyrolysis process leads to the formation of various by-products, including biochar. The content of cellulose in the feedstock directly affects the structure of the resulting biochar. Biomass with higher cellulose content generally produces biochar with more significant changes in its porosity during pyrolysis.

During the pyrolysis process, cellulose undergoes complex thermal decomposition, breaking down into volatile gases, liquid bio-oil, and solid carbon. The extent to which cellulose decomposes can influence the final pore structure of the biochar. As cellulose is a primary source of volatile components during pyrolysis, the way it reacts with heat plays a critical role in determining the size, distribution, and connectivity of pores in the resulting biochar.

Influence of Cellulose Content on Biochar Porosity


The cellulose content of a biomass feedstock has a direct impact on the porosity of the produced biochar. High cellulose content typically results in biochar with increased surface area and porosity, both of which are crucial for applications in agriculture and carbon sequestration. The following factors illustrate how cellulose content influences porosity:

1. Increased Surface Area and Pore Volume


Cellulose-rich biomass feedstocks tend to produce biochar with a larger surface area and increased pore volume. As cellulose decomposes in the biochar machine, it creates a network of interconnected pores in the biochar structure. These pores allow the biochar to hold water, nutrients, and other organic materials, improving its efficacy as a soil amendment.

The enhanced porosity of cellulose-derived biochar makes it highly effective at retaining moisture and facilitating nutrient exchange between the soil and plant roots. This is particularly important in arid regions where water retention is critical for agricultural productivity.

2. Formation of Micropores


Cellulose content also influences the formation of micropores in biochar. Micropores, which are typically less than 2 nanometers in diameter, are created during the pyrolysis of biomass rich in cellulose. These small pores are beneficial for absorbing volatile organic compounds and gases, making biochar an ideal candidate for pollution control applications, such as the filtration of water and air.

3. Thermal Decomposition Behavior


The thermal behavior of cellulose during pyrolysis is a key factor in determining the final porosity of biochar. Cellulose decomposes at relatively lower temperatures compared to lignin and hemicellulose, two other major components of biomass. As cellulose breaks down, it releases volatile gases that can contribute to the expansion of the biochar structure, creating additional porosity. The release of gases such as carbon dioxide and methane during pyrolysis also influences the internal pore structure, leading to a more porous biochar.

Optimizing Biochar Production Using Cellulose-Rich Feedstock


Understanding the relationship between cellulose content and biochar porosity is essential for optimizing biochar production. The use of high-cellulose feedstocks, such as agricultural residues (e.g., straw, corn stalks), can yield biochar with enhanced porosity and surface area. However, the pyrolysis process must be carefully controlled to ensure that the biochar retains its structural integrity and desired porosity.

In practice, the temperature and heating rate during pyrolysis play a significant role in determining the final porosity of biochar. Lower pyrolysis temperatures (typically between 300°C and 500°C) generally lead to the formation of biochar with higher porosity, particularly in cellulose-rich materials. Conversely, higher temperatures may result in biochar with a denser structure and lower porosity due to the further decomposition of cellulose and the loss of volatile compounds.

Utilizing a biochar machine that offers precise control over temperature and heating rate can help optimize the porosity of the resulting biochar. These machines allow for the fine-tuning of process parameters to achieve the desired characteristics of the biochar, including optimal porosity, surface area, and carbon content.

Implications for Biochar Applications


The porosity of biochar is a critical factor that determines its suitability for various applications. For instance, biochar with higher porosity, derived from cellulose-rich feedstocks, is particularly beneficial in soil fertility management. Its ability to retain water and nutrients makes it an effective tool for improving soil quality, especially in regions with poor soil conditions. Furthermore, the increased surface area allows biochar to support microbial activity, contributing to enhanced soil health and plant growth.

In addition to its agricultural applications, biochar’s high porosity makes it an ideal material for use in wastewater treatment, air filtration, and carbon capture technologies. The porous nature of biochar allows it to adsorb contaminants, making it an efficient material for removing heavy metals, pesticides, and other pollutants from water and air.

in reply to Beston Group

Biochar is a form of charcoal that is produced by the pyrolysis of organic materials, such as agricultural residues, wood, or biomass, slither io under low-oxygen conditions. It is widely studied and used in various fields, including agriculture, environmental management, and energy production.

May the venerable exercises of holy devotion
shape the hearts of your faithful, O Lord,
to welcome worthily the Paschal Mystery
and proclaim the praises of your salvation.
Through our Lord Jesus Christ, your Son,
who lives and reigns with you in the unity of the Holy Spirit,
God, for ever and ever.
— Amen.

DISMISSAL

May the Lord bless us,
protect us from all evil and bring us to everlasting life.
— Amen.

#news #procès #Sarkosy #Lepen #Justice #fraudes #probité #détournements #justice #privilèges #égalité #populisme #Etat #loi

JUSTICE - PARTI PRIS
Le Pen, Sarkozy : il n’y a pas de « République des juges », mais des juges de la République

1 avril 2025 | Par Fabrice Arfi
Le jugement Le Pen et les réquisitions du procès Sarkozy-Kadhafi ont en commun d’avoir libéré en quelques jours la parole déchaînée d’un populisme contre l’État de droit. En creux pointe un profond désir du retour des privilèges et de la fin de l’égalité devant la loi.

En France, le problème du narcotrafic, des cambriolages, du terrorisme, des violences physiques, ce sont les trafiquants de drogue, les cambrioleurs, les terroristes, les agresseurs… Mais pour les affaires d’atteintes à la probité, le problème, c’est la justice. Plus précisément celles et ceux qui la rendent au nom du peuple français, les magistrat·es. À en croire de très nombreux commentaires politiques et médiatiques depuis la condamnation pour détournements de fonds publics de Marine Le Pen, les juges seraient ainsi devenu·es des agent·es de déstabilisation démocratique.

Il s’agit d’une folie, qui cache un dessein politique profondément malsain et dangereux : un désir de retour des privilèges, qui avaient été abolis dans la nuit du 4 août 1789. Le meilleur baromètre de cette pathologie nationale est paradoxalement à trouver en dehors de nos frontières. Le prononcé du jugement du tribunal de Paris même pas encore terminé, le Kremlin de Vladimir Poutine, grand défenseur des libertés comme chacun·e le sait, faisait en effet savoir qu’il s’inquiétait d’une « violation des normes démocratiques en France » (défense de rire), quand l’autocrate hongrois, Viktor Orbán, postait sur le réseau social X un tendre « Je suis Marine » (défense de rire bis).

Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen au tribunal de Paris lors de leurs procès respectifs en 2025. © Photos Hugo Mathy / AFP et Alexis Jumeau / Abaca
Il va falloir s’y habituer tant la tendance est lourde. La France vit désormais, à l’intérieur de ses frontières, au rythme d’une internationale populiste, dont l’État de droit est une cible prioritaire, qui a déjà fait des ravages à l’extérieur : Trump aux États-Unis, Berlusconi en Italie, Bolsonaro au Brésil, Nétanyahou en Israël.

La France n’est évidemment pas immunisée. Ce qui est en train de se passer avec le jugement Le Pen, comme avec les réquisitions du Parquet national financier (PNF) la semaine dernière dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi, est un test de résilience démocratique pour le pays. Rien de moins.

Mais le moment est orwellien. D’Éric Ciotti à Jean-Luc Mélenchon, en passant par le chef du gouvernement, François Bayrou, un cartel de l’impunité s’ébroue en « on » ou en « off » pour dire qu’un tribunal qui applique… la loi causerait un trouble à l’ordre démocratique. On en est là et il faut vraiment se frotter les yeux pour le croire. Qui vote la loi ? Pas les magistrat·es, mais la classe politique. D’où les élu·es tiennent-ils leur légitimité ? Du vote populaire. Celui-là même qui est agité par les procureurs politiques de la justice financière pour affirmer que lui seul doit sanctionner les dérives des élu·es.

Le réel et son double

Réalise-t-on l’extravagance – et la fausseté – d’une telle position et ce qu’elle implique ? En France, tout le monde est susceptible, s’il est reconnu coupable d’un délit, d’être interdit d’exercer son métier dès le jugement de première instance (ce qu’on appelle en droit une « exécution provisoire ») : un entrepreneur pour fraude à la TVA, un patron pour travail dissimulé, un kinésithérapeute pour agressions sexuelles, un anesthésiste pour vol de médicaments, un surveillant pénitentiaire pour violences, un huissier pour détournement de fonds, etc.

Mais les élu·es devraient, elles et eux, être par nature exclu·es du champ d’application de la loi, comme l’ont plaidé les avocats de Marine Le Pen durant le procès ? « La proposition de la défense de laisser le peuple souverain décider d’une hypothétique sanction dans les urnes revient à revendiquer un privilège ou une immunité qui découlerait du statut d’élu ou de candidat, en violation du principe d’égalité devant la loi », a expliqué en réponse la présidente du tribunal, Bénédicte de Perthuis, en rendant le jugement qui a condamné Marine Le Pen à quatre ans de prison (dont deux ferme) et cinq ans d’inéligibilité à effet immédiat.

La magistrate a fait œuvre de pédagogie en détaillant pendant près de trois heures les motivations de son jugement. Elle a d’abord mis en avant « la gravité des faits, leur caractère systématique, leur durée sur douze ans, et la qualité d’élus ». De fait, on parle d’un système organisé de détournements par le parti de Marine Le Pen de plus de 4 millions d’euros d’argent public, siphonnés des caisses du Parlement européen pour rémunérer des emplois fictifs du Rassemblement national. Mais il est vrai que la focalisation du débat sur l’exécution provisoire de la peine en ferait presque oublier le cœur de l’affaire.

La faute à qui : à la justice qui applique une disposition légale ou aux prévenus qui ont commis un délit ?

Surtout, la présidente du tribunal a invoqué un risque de récidive évident au regard de l’attitude des prévenus durant l’enquête mais aussi à l’audience, au premier rang desquels Marine Le Pen, qui se sont retrouvés à nier des évidences élémentaires et à dénigrer l’autorité judiciaire, après en avoir fait de même avec la police. Ce qui ne manque pas de sel, soit dit en passant, venant d’un courant politique qui n’a que l’ordre à la bouche… Pire : Marine Le Pen n’était-elle pas celle qui, en 2013, dans la foulée de l’affaire Cahuzac, réclamait l’inéligibilité à vie à l’égard d’élus condamnés pour des atteintes à la probité, notamment le détournement de fonds publics ?

Le risque de trouble à l’ordre public étant patent, venant de personnes qui ne semblent pas avoir saisi la gravité des actes commis, le tribunal a donc estimé qu’une exécution provisoire était indispensable, sans méconnaître les conséquences sur la vie publique de celle-ci. Mais la faute à qui : à la justice qui applique une disposition légale ou aux prévenus qui ont commis un délit ?

À lire aussi
Ce que la haine des juges dit de la France qui vient
Contre le cartel de l’impunité
Scène cocasse : la personne qui a involontairement donné le plus raison à la présidente Bénédicte de Perthuis est… Marine Le Pen, qui a cru pouvoir quitter le tribunal avant même la fin du prononcé du jugement, ayant compris qu’elle ne couperait pas à une condamnation assortie d’une inéligibilité immédiate. Classe.

Au fond, qu’une partie d’un monde politique qui a plus le souci de ses privilèges que de l’intérêt général réagisse ainsi, c’était (malheureusement) prévisible. Ce qui l’est moins – encore que –, c’est la faillite médiatique qui entoure depuis si longtemps en France la chronique des affaires. Celles-ci ne sont pratiquement jamais vues comme le fruit d’une délinquance qui ravage les fondements d’une société organisée, mais comme un jeu de balltrap entre des Torquemada judiciaires et des politiques victimes d’une prétendue « République des juges ».

Dans le genre, les réquisitions du PNF dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi, au terme desquelles le ministère public a réclamé sept ans de prison ferme contre l’ancien président, ont donné lieu à une chorégraphie affligeante sur les plateaux de télévision.

Le summum a été atteint par la chaîne LCI qui, au lendemain du réquisitoire, a organisé une discussion sur le thème « Les juges font-ils de la politique ? », avec, pour en débattre, le fils du principal prévenu, Louis Sarkozy, qui se trouve être en plus le filleul du propriétaire de la chaîne, Martin Bouygues.

La réalité n’a aucune importance. Il n’y a que la perception qui compte.

Confidence d’un proche de Nicolas Sarkozy à l’écrivaine Yasmina Reza, en 2007
Dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi, comme hier avec l’affaire Le Pen, l’argument d’un dossier « vide » et « sans preuve » a été répété ad nauseam par des éditorialistes politiques qui n’ont pas mis un orteil au procès, mais n’ont pas de problème à venir donner des leçons de maintien pour dire ce qu’il faut penser du travail des procureur·es.

Personne ne peut dire ce que décidera (probablement après l’été) le tribunal dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi, mais quiconque a assisté au procès sait que le dossier est tout sauf vide. Il suffit pour s’en convaincre de lire les comptes rendus du réquisitoire du PNF, réalisés par des journalistes qui ont assisté à toutes les audiences.

Commençons par un journal que l’on peut difficilement taxer d’anti-sarkozysme primaire, Le Figaro. Il a estimé que « l’argumentation du parquet a été, dans l’ensemble, dévastatrice », ajoutant : « Dopés par la médiocre crédibilité d’une grande partie des déclarations des prévenus, les trois procureurs ont bâti une accusation redoutable. »

Le Monde a pour sa part qualifié la « démonstration » du parquet de « lourde, charpentée, minutieuse ». Le Nouvel Obs a évoqué « trois journées de réquisitions implacables » quand son concurrent Marianne titrait sur « un réquisitoire accablant ».

Page 44 de son livre L’Aube le soir ou la nuit (Flammarion), chronique de l’élection présidentielle de 2007, l’écrivaine Yasmina Reza avait relaté cette confidence de Laurent Solly, alors directeur adjoint de la campagne du futur président de la République : « Quelques jours plus tard, le même Laurent me dira, la réalité n’a aucune importance. Il n’y a que la perception qui compte. »

Nous y sommes.

mishal reshared this.

So, this edition of #FediForum is cancelled due to one of the (now recently former) co-organizers turning out to be a TERF. :blobcat0_0:

*Sigh*

Don't make me tap the sign:

mstdn.social/@rysiek/109306419…

TERFs can go suck a lemon. 🍋

#FediMeta

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in reply to Michał "rysiek" Woźniak · 🇺🇦

More context, courtesy of WeDistribute:
wedistribute.org/2025/03/fedif…

tl;dr
- the TERF is no longer involved in FediForum
- this edition is cancelled, perhaps to be rescheduled

in reply to Michał "rysiek" Woźniak · 🇺🇦

actually this post reminds me of why I think the Murderbot Diaries are optimistic. It's not that no bad stuff happens, and bad people don't abound (they do) but that there are enough good people doing good stuff to bring them to check.

If things coming to light helps get them addressed then we're at least not heading in the wrong direction. Let's help that move faster in right direction.