La meute, un livre qui nous apprend autant sur le journalisme que sur LFI - AOC media


#politique #propagande #individualisme #néolibéralisme

Parmi les livres consacrés à la France Insoumise (LFI), La meute de Charlotte Belaïch et Olivier Pérou se distingue par son succès éditorial et sa visibilité médiatique. Présenté comme une « enquête » sur le fonctionnement interne du mouvement créé par Jean-Luc Mélenchon, l’ouvrage prétend « révéler » les violences symboliques, les dérives autoritaires et l’ambiance de courtisanerie qui régneraient dans les cercles dirigeants de LFI. Ce livre s’inscrit dans une longue tradition de récits journalistiques centrés sur les « coulisses » des partis et de la lutte pour le pouvoir.
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Mais La meute est aussi un révélateur des limites structurelles du journalisme politique. En procédant à une analyse comparée avec une enquête sociologique que j’ai conduite entre 2018 et 2020 (Le populisme de gauche, La Découverte, 2021), je voudrais interroger ce que voit, ce qu’occulte et ce que fabrique ce type de production journalistique. À travers cette critique, il ne s’agit pas d’opposer les vertus de la science à la superficialité supposée du journalisme. Il s’agit de comprendre les conditions sociales de production de chaque régime de savoir, et les effets d’objectivation – ou de distorsion – qui en découlent.

La critique que je propose ici se déploiera en cinq temps. Je reviendrai d’abord sur la personnalisation de l’analyse, La meute réduisant trop souvent la dynamique d’un mouvement collectif à la psychologie d’un seul homme. Je montrerai ensuite comment le livre produit une vision caricaturale du militantisme. J’examinerai en troisième lieu le traitement différentiel dont LFI est l’objet, à travers l’illusion d’exceptionnalité que construisent les auteurs. Je consacrerai un quatrième moment à l’analyse des routines journalistiques et de leurs effets de vision, avant de conclure sur les différents régimes d’intelligibilité politique qui animent le journalisme et la sociologie.
La fascination-répulsion pour le leader

Le livre de Charlotte Belaïch et Olivier Pérou porte pour sous-titre « Enquête sur la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon ». L’introduction de mon livre s’intitule « La France insoumise au-delà de son leader ». Deux perspectives se font face : réduire une dynamique collective aux tourments psychologiques de son leader (« pour comprendre LFI, il faut disséquer l’homme » et « faire l’exégèse de ses frustrations ») vs examiner ce que les conditions sociales font aux pratiques politiques d’un individu et sur ce que ces pratiques disent de notre société.

La dimension la plus saillante de La meute est la centralité absolue accordée à Jean-Luc Mélenchon. Dès les premières pages, l’ancien candidat à la présidentielle est décrit comme une figure à la fois charismatique et destructrice, adulée et redoutée, omniprésente et insaisissable. Les auteurs mobilisent un lexique quasi-psychanalytique : ils parlent de ses colères, de ses dépressions supposées, de ses complexes, de sa mégalomanie latente. On lit par exemple que Mélenchon est capable « d’humilier » ses plus proches dans un silence « glacial », qu’il se vit en « prophète », ou encore qu’il préfère « la soumission » à la contradiction ».

Ce type de portrait produit une anthropologie morale de la politique : les propriétés sociales des agents sont remplacées par des traits de caractère, les logiques structurelles sont réduites à des tempéraments et les conflits politiques sont reconfigurés comme des histoires de fidélité ou de trahison. Il en résulte un effet de subjectivisation : la politique est ramenée à un théâtre d’ombres peuplé de personnages emblématiques. La logique des institutions, des règles, des ressources militantes disparaît.

Dans cette perspective, le mouvement devient l’ombre portée de son fondateur. Toute dynamique organisationnelle est rapportée au psychisme d’un seul homme. Le récit produit ainsi une illusion de causalité descendante : c’est parce que Mélenchon est colérique que les cadres partent ; c’est parce qu’il est mégalomane que les listes sont verrouillées ; c’est parce qu’il est paranoïaque que les conflits internes s’exacerbent. Une telle lecture ignore les médiations, les épreuves, les négociations, les inerties, bref tout ce qui fait la réalité complexe d’une organisation politique.

Dans Le populisme de gauche, j’avais tenté de procéder autrement. Plutôt que d’expliquer les tensions internes par les traits d’un leader, j’avais objectivé les effets de structure liés à un modèle organisationnel mouvementiste, à une arène politique présidentialisée et à un champ médiatique guidé par l’audimat : une verticalité assumée, une absence de démocratie interne, une relation ambivalente aux médias, une mise en scène de la conflictualité. Ces éléments ne sont pas les produits de l’humeur d’un homme : ils sont le résultat d’un ensemble de choix stratégiques opérés sous une série de contraintes institutionnelles et de circonstances historiques.
Une vision caricaturale du militantisme

L’un des effets les plus délétères de La meute réside dans sa représentation du militantisme comme une forme de servitude volontaire et implacable. À de nombreuses reprises, les auteurs décrivent les membres de LFI comme des exécutants dociles, insensibles à la violence qu’ils subissent et/ou qu’ils exercent, prompts à obéir au chef, incapables de distance critique. On prétend que les insoumis répètent les éléments de langage sans broncher, qu’ils acceptent tout, par fidélité ou par crainte, et qu’ils se battent pour défendre leur gourou, même quand ils savent qu’il a tort.

Cette vision relève d’un schéma que la sociologie du militantisme ne peut confirmer : celui d’un militant « aliéné », soumis aux caprices du chef, incapable de recul. Les données ethnographiques dont je dispose contredisent cette hypothèse. Les militants que j’ai interrogés – à Paris, Marseille, Amiens, Lyon ou Toulouse – sont loin d’être dupes des limites de leur organisation. Ils identifient souvent les manques de démocratie, la centralisation du pouvoir, les pratiques autoritaires. Mais ils en font une lecture stratégique : ces défauts sont perçus comme des effets de contexte, des contreparties d’une efficacité électorale, ou les symptômes d’un passage encore inachevé vers une forme organisationnelle plus démocratique.

Les militant·es ne sont pas les objets passifs d’une entreprise de captation du consentement. Ils sont des acteurs sociaux dotés d’un sens pratique, capables d’adopter une posture distanciée, de formuler des critiques internes, voire de transgresser les injonctions venues d’en haut. Il n’est pas rare de voir des militants insoumis réécrire les tracts, réinterpréter les consignes nationales, détourner les slogans ou négocier avec les logiques locales. Autrement dit, ils bricolent leur engagement.

Charlotte Belaïch et Olivier Pérou présentent les militant·es insoumis comme des « pions » que le leader déplacerait et manipulerait à sa guise. Je ne souhaite pas tordre le bâton dans l’autre sens. LFI, c’est vrai, est une organisation qui dépossède les militants au profit du leader et des sympathisants. J’y ai consacré un chapitre entier de mon livre. Mais cette dépossession n’est pas la soumission grégaire d’une « meute » à son « mâle alpha ». La question intéressante – politiquement, intellectuellement – à poser est de comprendre comment et pourquoi des militants acceptent de jouer un jeu qu’ils peuvent par ailleurs critiquer. La meute empêche de poser cette question.
L’illusion d’exceptionnalité

Un troisième travers de La meute est sa tendance à présenter comme spécifiques à La France Insoumise des phénomènes qui relèvent, en réalité, de dynamiques structurelles propres à l’ensemble des partis contemporains. Les violences sexistes et sexuelles, les stratégies d’invisibilisation des dissidents, les tensions entre appareils et bases, l’abaissement du coût d’entrée dans les partis politiques, le développement de l’activisme numérique, les conflits autour des investitures ou la personnalisation du pouvoir ne sont pas des anomalies propres à LFI. Ces phénomènes traversent le champ partisan dans son ensemble, qu’il s’agisse du Parti socialiste, d’Europe Écologie – Les Verts, de Renaissance ou du Rassemblement national.

Or les auteurs de La meute postulent dès leur avant-propos que « LFI n’est pas un parti comme les autres ». Une telle affirmation, dénuée de fondement comparatif, participe d’un traitement différentiel qui tend à construire une image d’exceptionnalité négative. La France insoumise serait pire que ses rivaux. Ce faisant, La meute occulte la généralité des transformations du champ politique : la présidentialisation des partis, la perte de pouvoir des militants, la gestion managériale des campagnes, la prégnance d’une culture patriarcale et d’une division genrée du travail militant, etc.

Il y a là un effet de grossissement propre au regard journalistique : faute de pouvoir historiciser les phénomènes, les journalistes sur-interprètent leur nouveauté. Faute de pouvoir les comparer, ils les absolutisent. Cette illusion d’exceptionnalité permet de nourrir une dramaturgie éditoriale : LFI serait le théâtre d’un effondrement moral et d’une dérive sectaire. Or, si l’on replace les faits dans une perspective sociohistorique, on voit apparaître des régularités. La centralisation des décisions, par exemple, est renforcée dans tous les partis lors des campagnes présidentielles ; les mises à l’écart sont monnaie courante dans les partis à fort leader ; les conflits idéologiques se rejouent fréquemment sous la forme de conflits personnels. Ainsi, La meute pèche par absence de mise en contexte. Elle transforme en symptômes d’une dérive ce qui relève d’une logique plus générale du champ politique.

Il existe bien sûr des différences entre LFI et les autres partis. Étudier ces différences, comprendre leur genèse et examiner leurs effets était au cœur du livre que j’ai produit il y a quatre ans. Dans La meute, ces différences sont absolutisées et essentialisées, ce qui empêche ainsi les auteurs d’effectuer la moindre comparaison avec d’autres partis. Aux yeux des auteurs, LFI n’est pas seulement différent de ses rivaux, il est « incomparable ». Le fonctionnement du PS, de Renaissance, de LR ou du RN n’est donc jamais évoqué dans le livre. Pas de sociologie sans comparaison, disait Durkheim. Le journalisme politique, lui, ne s’encombre pas d’un tel scrupule.
Sur quelques contraintes et routines journalistiques

Il serait injuste d’attribuer aux seuls auteurs de La meute les biais observés dans leur ouvrage. Ceux-ci tiennent largement aux routines professionnelles du journalisme politique, et à la configuration du champ médiatique dans lequel il s’insère. Enquêter sur un mouvement politique, dans le cadre d’un journal de presse écrite, impose un certain nombre de contraintes : travailler dans l’urgence, répondre à l’attente d’un lectorat informé mais impatient, produire du récit plutôt que de l’analyse, mettre en avant les personnes plus que les structures.

Entre 2018 et 2020, pendant que je menais mon enquête sur LFI, j’ai également mené une sous-enquête sur les journalistes responsables de la « gauche » au sein du Monde, de Libération, du Figaro, du Parisien, de Mediapart, du Nouvel obs et de quelques autres. Je les ai rencontrés et longuement interrogés sur leurs parcours de vie, leur métier, leurs conditions de travail, leurs sociabilités, leurs opinions politiques. Tous mes interlocuteurs ont évoqué les contraintes susmentionnées. Ils décrivent un univers professionnel marqué par la concurrence entre rédactions, la pression des rédacteurs en chef, la rareté du temps d’enquête, l’ambiguïté des relations avec les sources, la nécessité de rendre les dissensions visibles pour que le politique « fasse événement ».

Cette configuration engendre un double effet de vision. D’une part, elle produit un biais de survisibilité des dirigeants, au détriment des militants ordinaires. D’autre part, elle valorise les récits de rupture, les conversions spectaculaires, les défections dramatisées, au détriment des continuités souterraines, des pratiques ordinaires, des ajustements quotidiens. Loin d’être spécifiques à La meute, ces biais sont inhérents au journalisme politique. Ils expliquent pourquoi la sociologie, quand elle se donne le temps de l’enquête, produit une image du politique souvent à rebours de celle des médias : plus lente, plus nuancée, moins spectaculaire, mais aussi plus fidèle à la complexité du réel.
Deux régimes d’intelligibilité de la politique

Au terme de cette critique, il ne s’agit pas de récuser en bloc l’intérêt de La meute. L’ouvrage livre des informations utiles, donne à entendre des voix critiques, documente des faits que les instances dirigeantes de LFI auraient tort de minimiser. Mais il faut lire La meute pour ce qu’il est : un produit du champ journalistique, obéissant à ses logiques propres, qui limitent la portée de l’enquête.

Ce que montre en creux la confrontation de ce livre avec une enquête sociologique, c’est la nécessité de penser LFI non comme une énigme psychologique, ni comme une dérive sectaire, mais comme une forme partisane spécifique, située historiquement, et travaillée par des tensions internes. Il faut replacer LFI dans l’histoire longue des gauches radicales, de leurs rapports au pouvoir, à l’État, aux médias, aux intellectuels. Il faut restituer la complexité des configurations militantes, les désaccords internes, les trajectoires sociales différenciées des cadres et des militant·es. Il faut, enfin, s’interroger sur ce que LFI fait aux dispositifs classiques de la représentation politique, et sur ce qu’elle révèle, par contraste, du dépérissement des partis traditionnels.

À cette fin, la sociologie ne prétend pas dire le vrai contre le faux. Elle cherche à construire des objets, à articuler des registres d’analyse, à restituer les contradictions plutôt qu’à les trancher. Elle n’a ni l’immédiateté du reportage, ni la flamboyance du portrait. Mais elle a, parfois, le pouvoir de faire apparaître ce que le regard médiatique ne perçoit pas, ou ne peut pas percevoir. C’est dans cet écart – entre ce que le journalisme politique raconte, et ce que la sociologie peut faire apparaître – que se joue, aujourd’hui, une part essentielle de notre compréhension du politique.

La comparaison entre La meute et Le populisme de gauche dépasse le cas particulier de La France Insoumise. Il s’agit de deux manières d’enquêter sur le politique, de deux régimes de vérité, portés par des univers professionnels différents. La divergence la plus visible tient à la temporalité. Là où le journalisme travaille sous contrainte d’urgence, avec une logique de révélation, la sociologie s’inscrit dans la longue durée et dans une logique de compréhension. Le premier privilégie les épisodes spectaculaires, les crises les conflits interpersonnels ; la seconde s’attache aux processus, aux bifurcations, aux trajectoires, aux routines. Le journalisme construit l’événement, la sociologie le réinscrit dans l’histoire.

Une seconde divergence concerne le statut des sources. Dans La meute, les témoignages – souvent anonymes – sont présentés comme des faits bruts, porteurs d’une vérité auto-évidente. En sociologie, les entretiens sont des matériaux à interpréter, replacés dans un contexte, croisés avec d’autres données, analysés à partir d’un cadre théorique. La vérité n’est jamais immédiate ; elle est à construire dans un va-et-vient permanent entre matériaux empiriques, réflexions théoriques et comparaison chrono-historiques.

Troisièmement, les deux approches se distinguent par leur degré de réflexivité. Les journalistes s’effacent généralement derrière le récit, laissant penser qu’ils accèdent à une forme de transparence sur le réel. Le sociologue, lui, explicite sa position, ses choix méthodologiques, ses limites. Il assume que tout regard est situé, et que l’objectivité réside moins dans une neutralité proclamée que dans une réflexivité assumée.

Vient ensuite la question du régime de preuve. Le journalisme repose sur l’effet de révélation : une citation, une scène, un témoignage valent comme preuve. La sociologie travaille sur des configurations, des régularités, des effets de structure. Elle ne cherche pas à révéler, mais à expliquer. Là où le journalisme met en avant le spectaculaire, la sociologie construit du général à partir de cas empiriques singuliers.

Enfin, les deux démarches n’ont pas la même finalité. La meute cherche à alerter, à dénoncer, à disqualifier. Mon enquête sociologique poursuivait un autre horizon : rendre intelligibles les logiques à l’œuvre dans un mouvement politique, en restituant ses tensions, ses contradictions et ses ambivalences. Elle ne disculpe ni n’accable, mais cherche à comprendre. La meute et Le populisme de gauche convergent sur de nombreux constats. Mais la posture des auteurs est différente. La meute dit à ses lecteurs qu’il faut faire barrage à La France Insoumise. Le populisme de gauche leur dit qu’ils sont suffisamment intelligents pour se faire leur propre avis.

aoc.media/analyse/2025/06/02/l…

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Liberals are actually sailing to Gaza!

@SgtPepper

Have fun! Be sure to wear your best rainbow burkas!

1a-1791.com/video/fww1/90/s8/2…

Comments below this post:

"Do they seriously think that this is all fun and games or that these murdering terrorist that hate AMERICAN’S are going to actually welcome them with arms wide open? Not one damn senator, rep. or anyone else better cry, plead or ask for HELP when real life shit gets serious and hits the fan. Soon you LOST souls will

I'll share this with you seeing as my BFF of 30 some odd years apparently doesn't give a shit any more what I have to say.

Milton Friedman supporting UBI, kind of hilarious in $current_year context where the lines are really sharp and polarized (clipped from a much longer video at youtube.com/watch?v=7z6YTyvCxR… ).
miltonfriedmanubi.mp4

/e/OS 3.0 live launch


In today’s hyper-connected world, our smartphones often know more about us than we do. Every tap, swipe, location, search, or mic activation can be silently tracked and stored — then sold by app publishers and tech giants. As our digital lives grow, so do the threats to our privacy.

At Murena, we believe there’s a better way. That’s why we created /e/OS: a deGoogled mobile operating system that is also incredibly easy to use — for everyone. /e/OS has no user-targeted ads, no trackers, and an intuitive and user-friendly UI and UX. Built by a global team and designed from the ground up with user-friendliness, privacy and open source at its core, /e/OS gives you back control of your digital life.

With the Murena Workspace, we go even further: offering a complete ecosystem including cloud, email, calendar and more — all built with privacy and digital freedom in mind, as well as sustainability (it runs 100% on renewable energy!).

We’re proud to unveil the latest milestone in this journey: /e/OS 3.0. This release brings new features, a smoother, more powerful experience than ever before, more control, and even better privacy and security.

This entry was edited (4 days ago)

Yesterday the "Reflection" project started officially as part of the new @PrototypeFund round! 🌟🌈

The team consists of @p2panda and people from the GNOME gang around @tbernard and @jsparber.

We gonna release "Reflection" (formerly Aardvark) - a GTK-based, collaborative, local-first text editor! Aaaand:

All of this is part of a larger effort to explore p2p code, UX patterns, reusable UI components, debugging tools, organize events and document our learnings.

#p2p #p2panda #localfirst #gtk

Brussels’s media machine: EU media funding and the shaping of public discourse


#politics #EU #propaganda #media #corruption

In an exclusive new report for MCC Brussels — Brussels’s media machine: EU media funding and the shaping of public discourse — I reveal a vast, previously under-scrutinised system through which the European Union annually disburses nearly €80 million to media projects across Europe and beyond.


thomasfazi.com/p/brusselss-med…

in reply to matthew - retroedge.tech

@matthew @stratacast
#OpenIndiana is desktop focussed.

#OmniOS is single-server-or-VM-guest focussed.

#SmartOS is hypervisor-focussed.

All are #illumos distributions. I know SmartOS has paid-support options (though usually we support #Triton Data Center deployments).

Also #illumos distros include dedicated appliance/device user like @oxidecomputer 's Helios or RackTop's BrickStore.

That help?

CNT-FAI Militanı, Doğum Kontrol Mücadelecisi Anarşist Komünist Doktor Isaac Puente Amestoy (1896-1936) bugün dünyaya geldi!

Anarko-Natüralizm ve Anarko-Komünizmi insanlığın tek kurtuluşu olarak gören, CNT-FAI kadrosu Isaac Puente Amestoy, 1 Eylül 1936'da Faşist güçler tarafından Pancorbo'da idam edildi!
instagram.com/p/DKcD1F2trj6/

New START déchiré, le retour des Dr Strangelove.


#géopolitique #guerre

Dans le cadre de ce traité, tous les bombardiers stratégiques porteurs d'armes nucléaires, enregistrés sous des numéros d'immatriculation et connus des deux parties, sont stationnés à l’air libre, afin de permettre une vérification mutuelle par satellite. Grâce à ce traité, les États-Unis garantissaient à la Russie que ces bombardiers non protégés ne seront pas attaqués par ses armes ou celles de ses partenaires. Et réciproquement bien sûr.

Voilà pourquoi la Russie ne protégeait pas ses bombardiers stratégiques dans des hangars. La Chine par exemple, qui n’est pas liée par les traités de réduction des armes nucléaires, maintient ses bombardiers dans des hangars en béton.


regisdecastelnau.substack.com/…

in reply to Emmanuel Florac

En même temps, les nouveaux missiles hypersoniques ont, pour certains, une portée intercontinentale, et ne nécessite pas de porteurs....
La France, puisque qu'elle est derrière cette attaque qui demande des communications a très grande distance, pourrait bien se le voir rappeler...
Et comme ces missiles ne sont pas forcément nucléaire, elle ne devrait pas pouvoir répliquer avec sa force nucléaire qui est la seule à pouvoir atteindre la Russie.

(1) From Russia with love - Emmanuel Todd


#geopolitics #society

After Budapest, Moscow : here is the text of the lecture I gave at the Russian Academy of Sciences on April 23rd, 2025, titled “Anthropology and strategic realism in international relations”.


substack.com/@emmanueltodd/p-1…

Fedora lead doesn't get Flathub, Torvalds solves Rust debate, Cosmic a6: Linux & Open Source


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Fedora project lead seems to misrepresent Flathub

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Cosmic Alpha 6 is out
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GNOME 48 beta is released with triple buffering
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Mozilla changes leadership, direction again
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Valve publishes Team Fortress 2 source code
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GNOME vs KDE Plasma in 2024: which one is better for Linux beginners?


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KDE goes for "simple by default, powerful when needed", as in: the default layout of your desktop is very simple, and apps tend to only show the most used features, but when you dig a bit deeper, you have a ton of features.

GNOME, on the other hand, goes for "super accessible and simple", meaning they make conscious choices to not include a lot of options and to not clutter the interface.

From these design principles, you can easily infer what the views of each desktop are, in terms of customization: KDE can be turned into anything, GNOME is, on the surface, a lot more rigid.

Just in terms of looks, KDE lets you apply themes for everything, out of the box. Change the icons, the look of the buttons, the colors of every part of every window, the accent color of your desktop, the shape of your titlebars, the entire layout of the desktop can be tweaked. You can turn KDE into a macOS clone, into a GNOME clone, into a full blown Windows replica, or create your entirely new way of working with your computer.

GNOME doesn't give you options by default to change the layout or the look. You need a third party app to handle this. GNOME doesn't have accent colors yet, they'll get them in their next release, GNOME 47, which at the time I'm recording this, is 2 and half months away. BUT with the GNOME Tweaks app, and the Extension Manager app, you get a LOT of possibilities.

In the end, if you like to tweak, change things, customize the visuals and just completely morph your desktop, chances are KDE is what you want. it might take a while to land on something you like, but in the end, it just has more options, and these mechanisms are officially supported**

But what about support for more modern features, and future proofing?

Let's be honest, KDE has an edge over GNOME. HDR is officially supported on KDE, GNOME only has an experimental command line to toggle HDR, and right now, it's not fully baked. Both desktops are also waiting on a fully defined color management protocol for Wayland, so none of them have full support, but KDE is more advanced for now.

Same goes for variable refresh rate, KDE has it by default, built in and stable, GNOME only has experimental support for it right now.

On the fractional scaling front, Plasma supports it better than GNOME as well: Plasma has it natively, in the settings, where GNOME still considers their implementation experimental.

In the end, the current state of things is that KDE has the lead on these features, and is going to be a better choice right now if you want to take full advantage of recent hardware.

Now, on the topic of applications, GNOME has the upper hand. GNOME, by making a very clear and defined platform for developers, ensured that a lot of people developed apps using their guidelines. The end result is that virtually everytime you see a new app pop up, it's designed to integrate with GNOME.

Now, as per stability and bugs, this will really depend on the distribution you use, how well they package these desktops for you, and even your hardware. KDE often has the image of being buggier than GNOME. KDE, since it has a lot more features, also has a lot more potential compatibility problems between these features, that can introduce bugs.

Chances are GNOME will be more stable for more people, because it has a lot less options, and thus a lot less chances of having an untested edge case that breaks everything.

This entry was edited (3 weeks ago)

NVIDIA & MediaTek are said to be working on a gaming laptop processor that combines an ARM-based CPU with NVIDIA graphics. Rumor has it that we could see a laptop with this 80-120W chip by late 2025 or early 2026, possibly from Dell. #NVIDIA #MediaTek #GamingLaptop #chips theverge.com/news/678000/nvidi…

Transform Your Singapore Home: Critical Feng Shui Assessment Guide


I. Recognizing Energy Patterns That Impact Your Well-Being


Have you been struggling with persistent sleep difficulties, or are you facing ongoing financial stress that seems resistant to your best efforts? These continuing challenges might stem from feng shui imbalances within your home environment that need immediate professional evaluation and remediation.

Your residential environment functions as an energy foundation that either enhances or diminishes your health, financial prosperity, and interpersonal relationships. When adverse energy patterns develop without intervention, they typically manifest as persistent life difficulties that can appear both inexplicable and overwhelming.

Expert feng shui services in Singapore possess specialized knowledge to detect these energy disturbances and implement effective corrections designed for local living conditions and architectural styles. Professional consultation can prevent minor energy imbalances from evolving into major life obstacles.

II. Essential Energy Warning Signs in Singapore Residences

1. Obstructed Energy Pathways from Excessive Accumulation


Urban Singapore living frequently leads to item accumulation that creates substantial energy barriers throughout residential properties. When your entrance area, primary sleeping space, or cooking area becomes congested with belongings, they impede natural positive chi circulation throughout your dwelling. This energy obstruction typically results in lost opportunities, relationship discord, and persistent feelings of life immobilization.

Transform Your Singapore Home: Critical Feng Shui Assessment Guide

Professional feng shui services Singapore specialists understand how to harmonize contemporary storage needs with optimal energy flow requirements. They create practical approaches that preserve household efficiency while encouraging positive energy distribution.

2. Damaged Elements Creating Persistent Negative Energy


Household repair issues may seem insignificant, but they establish continuous negative energy cycles that subtly affect your wellness and life advancement. That cracked bathroom tile or squeaky cabinet hinge you've postponed fixing represents deeper symbolic interference with your energy environment.

Classical feng shui principles identify broken or compromised items as representations of halted progress and unexpressed potential. When such issues accumulate throughout your living environment, they produce compounding negative influences that can appear as reduced motivation, social difficulties, and overall life disappointment.

3. Environmental Conditions That Harbor Stagnant Energy


Limited natural illumination and inadequate ventilation establish conditions where dormant energy collects and deteriorates. Living areas that consistently feel dim, stuffy, or uncomfortable frequently contain energy disturbances that affect your physical wellness, emotional balance, and mental performance.

These environmental aspects become particularly crucial in Singapore's tropical environment, where moisture levels and design constraints in certain residential complexes can amplify feng shui difficulties. Professional practitioners possess the expertise to work successfully within these regional conditions.

III. Value of Individualized Professional Evaluation


Every Singapore home presents unique feng shui variables determined by its particular location, design characteristics, and the personal energy qualities of its inhabitants. A detailed house feng shui consultation addresses these individualized elements that standard feng shui materials cannot properly address.

Qualified consultants utilize specialized assessment tools and traditional approaches to examine your home's energy systems comprehensively. They incorporate your personal astrological data, present life ambitions, and particular obstacles when developing customized approaches suited to your distinctive situation.

Professional evaluation identifies both visible problem zones and subtle energy disruptions that occupants might not actively perceive. This expert insight helps clarify ongoing difficulties in particular life sectors or uncomfortable sensations connected with specific home areas.

Experienced feng shui practitioners also deliver continuous support as your personal situations change, guaranteeing your home's energy configuration continues promoting your developing goals and needs.

IV. Workplace Energy Optimization Through Professional Services


Professional difficulties and workplace tensions often reflect energy disturbances extending beyond residential settings. Specialized office feng shui Singapore solutions can enhance your work environment to improve concentration, strengthen colleague interactions, and generate expanded opportunities for career progression.

Many prominent Singapore enterprises routinely utilize feng shui consultation services to sustain positive, efficient workplace atmospheres. Your professional development deserves comparable expert attention, since workplace energy disturbances can significantly influence your career advancement path and employment satisfaction levels.

V. Identifying When Professional Feng Shui Intervention Becomes Essential


Particular warning signals indicate your home's energy disruptions demand immediate professional attention from qualified feng shui services. These encompass continuous financial hardships despite dedicated efforts, repeated family disputes without clear origins, and chronic health concerns that medical specialists cannot completely resolve.

Further indicators include consistently feeling depleted or worried within your home setting, encountering repeated career disappointments or lost opportunities, and experiencing continuous sleep problems or focus challenges. These manifestations often suggest fundamental feng shui disturbances requiring professional diagnosis and correction.

VI. Implementing Your Comprehensive Feng Shui Transformation Plan


Don't permit feng shui warning indicators to persistently disrupt your existence and restrict your success potential. Addressing these energy disturbances quickly through professional consultation allows you to experience beneficial changes in your health, relationships, and general prosperity more effectively.

Begin by recording particular difficulties you're facing and their approximate starting periods. This data enables feng shui consultants to provide more concentrated, successful solutions during your professional evaluation. Investing in expert feng shui consultation represents a strategic choice to enhance your living environment to support your achievement and personal satisfaction.

Your residence should operate as an energy haven that supports rather than restricts your life objectives. Professional feng shui transformation can convert your living space from an energy burden into a powerful foundation system for realizing your dreams and goals.

(Chile) Claim of Action Carried Out in Juan Gómez Milla, Ñuñoa. Black May 2025.


Santiago, Black May 2025.
Claim of action carried out in Juan Gómez Milla, Ñuñoa.

16 years after the death in action of the anarchist comrade Mauricio Morales, who died after the accidental detonation of the explosive device he was carrying to the gendarmerie school, the antagonistic struggle against prison continues, and the comrade is still alive in the combatant memory, present in the deepening of the conflict.

During the afternoon, gathered in affinity, we starred in a prolonged day of combat, lighting barricades in one of the arteries of the city, added to the confrontation with the police, counting more than a hundred Molotov cocktails and artifices, which responded efficiently to the attacks of the police cars and chased the cowardly COP who tried to approach on foot.

During the action, special care was taken to deploy propaganda that broke down the ideas that, naturally, go hand in hand with our actions. So there was no padlock or protective barrier that we could not break or cut to place our canvases. In the same way, we managed to neutralize all the “protocols” of the internal “security” of the campus to make the most of the territory, including roofs, balconies and gates, all in our favor in pursuit of combat and the safety of the action.

In the middle of the confrontation, before the spectators of the action and students who were in the place, the step was taken to the reading of a speech, meanwhile, an edition entitled “Let’s make ideas a real threat” was given to the same spectators, a publication made in physical format during the month by the self-styled “cooperative of antagonists”, which is an invitation to reflect on the prison framework, and that, as mentioned at the time, far from wanting to line up masses to wait eternally behind a desk for the famous popular power, proposes to nurture and build the anarchic struggle from permanent tension and conflict against power.

And it is that we are committed to filling our struggle with strength and meaningful content, completely rejecting conformism, reformism and escapism to throw ourselves into self-organized struggle, into direct action, into the streets, into sabotage of the sources of capital, but, above all, into the coherence between word and action.
“Here, in the offensive, we find the development, expansion and generalization of the conflict, combining the critique of both specific structures and the state, its repression and its violence.”

From this trench, we also seek to give a complicit greeting to the comrades Francisco Solar, Aldo and Lucas Hernandez, to the comrades of the July 6 case, to the PPM of the Quilleco case and to each anarchist, subversive and Mapuche prisoner.

The call is always to continue multiplying self-organization in each space and in each territory, affirming autonomy and making freedom a palpable reality, built with our own hands and our unwavering will to resist. To continue multiplying solidarity, combat and action against power, its prisons and those who sustain them.

Until everything explodes, death to the state and long live anarchy!

Affinities in conflict

Source: informativoanarquista.noblogs.…

abolitionmedia.noblogs.org/?p=…

#anarchist #blackMay #chile #MauricioMorales #molotov #punkyMaury #southAmerica

My favorite new feature of #AlpineLinux 3.22: Support for OpenRC user services. The feature is still considered experimental, but some packages already provide user service files (e.g. dbus, pipewire, kanshi). Further, you can easily define your own in ~/.config/rc/.

If you use a PAM-enabled login method, you just need to install openrc-user-pam, and you're good to go.

For more information refer to: github.com/OpenRC/openrc/blob/…

US citizen apologises to migrant abducted by ICE. "I'm sorry Trump's an asshole and I'm sorry they voted for this fucking asshole." He proceeds to ask ICE "when people start fighting back then what are you going to do? are you going shoot every American?" you can hear a "yeah" in the background.

The absolute audacity of the wealthy elite (which includes members of Congress) to advocate for cutting social services that WE, not they, pay for.

They don't pay taxes like the rest of us do. WE pay the taxes that fund Medicare, Medicaid, social security, and food stamps.

Like walking up to someone who just bought a sandwich they are going to eat and slapping it out of their hands onto the floor.

The fucking nerve. The fucking audacity.

It's not a difficult concept:
Trans women are women.Trans men are men.Hatred is not a family value.[size=small][size=small]#UKpol #pride #TransRights #TransRightsAreHumanRights #TransWomenAreWomen #TransMenAreMen #LeaveTransKidsAlone #lgbtq+ #lgbtqia+ #trans #transmasc #transfem[/size][/size]
goodlawproject.org/jake-graf-s…

https://tech.lgbt/@Natasha_Jay/114620567722537003

tech.lgbt/@Natasha_Jay/1146205…

Öffentlich-rechtliche Sender, die maßgeblich mitverantwortlich sind für den Erfolg der Rechtsradikalen, warnen vor selbigen und fordern die Politik auf, sie, also die Sender, vor selbigen, also den Rechtsradikalen, besser zu schützen. #Facepalm
deutschlandfunk.de/journaliste…
in reply to woodland creature

just thinkg of it like stack overflow on steroids. if it helps you, use it. if not, don't. but don't sit there and judge people for doing stuff that makes them more efficient at their work

for most cases, the purpose of writing code isn't for the code itself to be beautiful or elegant, it's a means to an end (the end product) and the end user isn't going to sit there and marvel at how beautiful your code is. what they care about is stuff like how fast it runs, how secure it is, how much they enjoy the game, how stable the program is, etc.

in reply to fl @fleur

@nadloriot ... je conseil vivement ! C'est tout le mécanisme du racisme qui y est décrit et ma foi c'est super intéressant. Romain Gary a écrit d'innombrables très beaux romans. A dire vrai si tu veux le découvrir je conseil : "La vie devant soi" qu'il a publié sous le nom de Emil Ajar et aussi Les Cerfs Volants cette fois sous le nom de Romain Gary.
Celui-ci Chien Blanc raconte lorsque Romain Gary est aux USA avec sa compagne et il aime les animaux. Par hasard il se trouve à abriter un chien qu'il découvre petit à petit avoir été dressé pour attaquer, blesser, aboyer contre tous les hommes noirs... et il décrit le mécanisme qui nous anime - tous... - dans ce phénomène à travers ce chien. C'est un livre très particulier, très sociologique, psychologique mais extrêmement riche, passionnant, actuel