Avant, on balançait des chèques comme des peanuts.
Maintenant, on tronçonne les écoles et les hôpitaux publics à la scie mécanique…
Mais chut ! Faut pas réveiller les citoyens qui roupillent devant la télé : un p’tit chèque piqué dans la poche de ceux qui bossent au privé, c’est toujours plus « pratique » que de financer leur avenir… ou leur mort.
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