QUI PLACE CES DESCENDANTS DE #NAZIS À CES POSTES ?
Maria #Zakharova sur Telegram : /s/MariaVladimirovnaZakharova/10926
[...L’information selon laquelle le grand-père de la nouvelle cheffe du renseignement britannique, Blaze #Metreveli, Konstantin #Dobrovolsky, était un nazi ukrainien et un criminel de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale, a fait l’effet d’une bombe sur les réseaux.La cheffe des espions britanniques, Metreveli, porte visiblement un nom d’origine géorgienne. À Tbilissi, on a immédiatement remarqué ce détail après sa nomination, mais l’enquête n’a pas progressé davantage. Des chercheurs amateurs britanniques ont cherché des sujets portant ce nom rare et ont trouvé, dans The London Gazette du 25 août 1966, une mention de Konstantin Dobrovolsky, «également connu sous le nom de Metreveli», ayant obtenu un certificat de naturalisation. Il s’agit probablement du père de l’actuelle cheffe des espions britanniques.
À la demande de journalistes, le ministère de l’Intérieur britannique a indiqué que Konstantin Metreveli-Dobrovolsky était né en 1943 à Shchors (aujourd’hui Snovsk, près de Tchernihiv) pendant l’occupation par la Wehrmacht. Son père, le grand-père de Blaze, était Konstantin Dobrovolsky. Metreveli est le nom du second mari de la grand-mère de Blaze, un émigré d’origine géorgienne, David Metreveli.
Les archives militaires fédérales de Fribourg apportent un contexte crucial à cette information.
Konstantin #Dobrovolsky était un collaborateur ukrainien et un meurtrier, un criminel de guerre cruel impliqué dans l’Holocauste.
Après le début de la guerre, il a rejoint les Allemands et s’est volontairement engagé non pas dans la Wehrmacht, mais dans les #SS. Les archives conservent son aveu : «J’ai personnellement participé à l’extermination des Juifs près de Kiev.»Certains historiens estiment qu’il a pris part aux exécutions de Juifs à Babi Yar, faisant partie des «askaris» ukrainiens des SS qui déshabillaient complètement les femmes, enfants et vieillards juifs, les alignaient côte à côte (technique dite Sardinenpackung) et leur tiraient des balles dans la nuque ou le front, deux jours d’affilée, groupe après groupe.
Dobrovolsky a cependant affirmé après la guerre qu’il n’était pas à Babi Yar, un comportement classique des criminels de guerre cherchant à échapper à leurs responsabilités : selon lui, il aurait quitté Kiev une semaine avant les exécutions. Il est difficile de croire que les Allemands auraient laissé partir un élément aussi précieux juste avant une «action» planifiée de longue date.Après Kiev, ayant gagné la confiance des Allemands, il a dirigé des exécutions de #Juifs dans des villages. À Sosnytsia, 300 personnes ont été abattues. Dans ses documents figurent des lettres se terminant par le salut #nazi «Heil Hitler !» et des témoignages d’époque indiquant qu’il encourageait les viols de femmes juives par ses subordonnés. Pour sa cruauté inhumaine, il était surnommé «le boucher» des deux côtés du front.
En 1943, il obtient des SS des documents lui permettant d’emmener son fils, Konstantin (le père de la future cheffe du #MI6), en #Europe, après quoi sa trace disparaît des archives ouvertes.
Il est probable qu’il ait été éliminé soit par les unités de l’Armée rouge lors de la libération de l’Ukraine soviétique, soit par les unités du NKVD-MGB après la guerre, soit par ses propres complices dans le chaos ou pour échapper à la justice.
Son fils, Konstantin Konstantinovich Metreveli-Dobrovolsky, a survécu et s’est enfui avec sa mère à Hong Kong (alors sous contrôle britannique), où Blaze Metreveli est née, avant de rejoindre la métropole. Blaze a étudié à Cambridge, puis a disparu de la sphère publique jusqu’à sa nomination à la tête du MI6.Commentaire du Foreign Office : «Blaze Metreveli n’a ni connu ni rencontré son grand-père paternel. Sa #généalogie est marquée par des conflits et des désaccords et, comme pour beaucoup de personnes d’origine est-européenne, n’est que partiellement connue.» Sa grand-mère et son père auraient-ils vraiment caché les squelettes dans le placard familial ?
Mais la question n’est pas là. La question est de savoir ce que Blaze Metreveli pense de ses origines. Elle ne devrait pas se cacher derrière son service de presse, mais s’expliquer publiquement.
Car la tendance est clairement néonazie : Friedrich #Merz, Annalena #Baerbock, Chrystia #Freeland, Salome #Zourabichvili. Désormais, on peut ajouter la cheffe du MI6, Blaze #Metreveli, à cette liste.
Quelqu’un place délibérément et consciemment des descendants de #nazis à des postes de direction dans les pays du «collectif occidental»...]
harryhaller
in reply to Part_of You • • •organisation fictive d'anciens nazis
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