Israel has stepped up its propaganda war to whitewash its hands from #starvation accusations with the help of American fox news

- Israel is celebrating a Fox News reporter who visited U.S. aid centers and said, "I'm not a doctor, but Gazans look healthy."

Video available on #BlueSky
bsky.app/profile/faab64.bsky.s…
And on #Telegram
t.me/newsvideofa/3663

#Gaza #SaveGaza #StopIsrael #SanctionIsrael #BDS
#palestine #Israel #Politics #Genocide #StopTheWar @palestine@a.gup.pe @israel @palestine@lemmy.ml

Civil resistance in UK
Two women taking part in the action, one in her mid-70s, were arrested by police midway through their interview with the Guardian. One said of the turnout: “I think it’s great, people are absolutely sick of seeing genocide on their screens.”

She said the vandalism of RAF aircrafts by Palestine Action members was a “protest action, it’s not at all terrorism”.

theguardian.com/world/2025/aug…

MCP's Disregard for 40 Years of RPC Best Practices

Link: julsimon.medium.com/why-mcps-d…
Discussion: news.ycombinator.com/item?id=4…

Linux Mint - Can't get Dolphin to work properly with network files


Hey all! The primary issue is in the title - Dolphin doesn't play nice w/ files on my home server. I'm able to view, copy, move, or delete them just fine via SMB, but Dolphin acts as if there is no associated software for any file type. Nemo works without issue, but I prefer Dolphin's customization and feature set.

Any idea what could be wrong? I'm a big Linux newb, so I'm still figuring this all out.

in reply to SoleInvictus

install KIO packages if tou do t have them
dolphin needs these for network shares to behave like local files:

sudo apt install kio-fuse kio-extras ffmpegthumbs

then log out and log back in (or restart)

dolphin should mount network paths under

/run/user/your-uid/kio-fuse-somerandomshit

check it

if the path starts with /run/user/… you’re good. If it’s something like smb://, it’s not using fuse

gpt explainstion for education

What’s going on:

Your server has files.
Dolphin can look at them, but it’s not actually pulling them down to your computer in a normal folder.

Because the files aren’t really on your computer, other programs can’t just “open” them — they don’t know how to talk to the server like Dolphin does.

How it should work:
If you use FUSE (with kio-fuse), Dolphin secretly makes a fake local folder that pretends the server’s files are on your computer.

Now, when you double-click a file, your computer thinks it’s opening a local file — so any app can work with it.

Why Nemo works but Dolphin doesn’t
Nemo automatically mounts network folders in that “pretend local folder” way.

Dolphin can do it too, but only if kio-fuse is installed and working.

Without it, Dolphin is basically just showing you a picture of the files instead of giving them to your apps.

The fix:
Install the thing (kio-fuse) that makes the fake local folder.

Restart your session so Dolphin uses it.

Now Dolphin acts like Nemo — server files will just work everywhere.

Sobering to realize they're probably mostly gone today.

US Paratroopers & Artillery Crews in Rare Color Film (1944–45)

youtube.com/watch?v=n1tBOlLhA7…

youtube.com/@FrontLinesForgott…

This rare, restored color footage—filmed by the U.S. Army Signal Corps Special Coverage Unit between 1944 and 1945—shows American paratroopers and artillery crews preparing for combat during the final stages of World War II.

Israel’s Gaza Occupation Plan: What We Know So Far #Palestine qudsnen.co/israels-gaza-occupa…

freebeacon.com/latest-news/tru…

> Psalms 89:1, 6,7,14 📖

I will sing of the mercies of the LORD for ever:
with my mouth will I make known your faithfulness to all generations.

For who in the heaven can be compared unto the LORD?
who among the sons of the mighty can be likened unto the LORD?

God is greatly to be feared in the assembly of the saints,
and to be had in reverence of all them that are about him.

Justice and judgment are the habitation of your throne:
mercy and truth shall go before your face.

#bible

As support for Israel drops in polls, Democrats are increasingly trying to distance themselves from the Gaza genocide. A common tactic is to place the blame on "the Netanyahu government," but this ignores Israel's long history of ethnic cleansing.

mondoweiss.net/2025/08/democra…

#Palestine #Israel #Gaza
@palestine @israel

Sozan reshared this.

in reply to Mondoweiss 🇵🇸

This is a great article. What's going on now is just an extension of the ethnic cleansing that has been going on for over 75 years now. We are brainwashed about Israel and what it has been doing. It is time to look at the unvarnished truth. That Israel is committing war crimes and genocide. There is no way to sugar coat it anymore.

Palestinian rights are human rights...

Sozan reshared this.

✊MUTU MEDIAS LIBRES✊
Hiroshima Nagasaki : les leçons oubliées de l'histoire
ricochets.cc/Hiroshima-Nagasak…

""



#Regis de Castelnau #Vu-Du-Droit #Substack #Loi Duplomb

Chroniques du fascisme déjà là : la fausse victoire de l’annulation de la loi Duplomb


La France n’est plus une nation souveraine. Le dire est devenu une banalité. Sous la coupe de l’usine à gaz européenne, surveillé par les garde-chiourmes qui résident à Bruxelles et sanctionné par les magistrats qui siègent dans ses juridictions, notre pays ne dispose plus de la liberté d’administrer son territoire comme il l’entend.

Ce que l’on perçoit moins, c’est l’invraisemblable effondrement institutionnel qui frappe la République. Or la décision rendue par le Conseil constitutionnel de censure partielle de la loi Duplomb votée par le Parlement, démontre que cet effondrement n’est en fait qu’une destruction programmée. La bande de politiciens non élus rassemblée autour de Richard Ferrand (la légende de probité installée par Marine Le Pen à la présidence du CC) vient tranquillement d’enfoncer un clou supplémentaire dans le cercueil de ce qui fut dans le passé une démocratie libérale représentative.

Historiquement plus ou moins fonctionnelle, elle avait au XXe siècle, à peu près respecté les principes qui gouvernent ces systèmes : séparation des pouvoirs, élections au suffrage universel, loi de la majorité, protection de la minorité, toutes choses assurant sa légitimité à l’exercice du pouvoir par l’État. Depuis l’entrée dans le XXe, préparée par les socialistes la catastrophe est totale. Pointer tous les dysfonctionnements que l’on constate jour après jour est devenu une routine. Car comment qualifier autrement l’arrêt rendu par le Conseil constitutionnel à propos de la loi « Duplomb » et l’insondable bêtise de la classe politique qui s’est manifestée une fois de plus à cette occasion. Tous les opposants à ce texte, battus au Parlement se sont répandus en glapissements de joie grotesques du genre : « la juste lutte des larges masses a gagné ! » À la cacophonie médiatique qui a accompagné le processus parlementaire de cette loi, ne fut que raccourcis, confusion et mensonges permettant à chaque camp de prendre la pose, de soigner les postures et de donner des leçons de morale. Comme d’habitude, mention particulière pour la petite bourgeoisie sociétale qui se prétend de gauche et a passé son temps à exhiber une pseudo-humanité comme signe extérieur de richesse. La « gauche » la plus bête du monde qui acclame aujourd’hui le Conseil constitutionnel, Richard Ferrand et Alain Juppé présentés comme glorieux et ultimes remparts contre la destruction de la planète. Sans craindre les contradictions que feront apparaître leur perte définitive de la mémoire immédiate, puisqu’ils les vilipenderont la prochaine fois si une décision ne leur convient pas.

Sur le fond l’auteur, un peu accaparé par un génocide en temps réel télévisé au Moyen-Orient et la marche à la guerre mondiale nucléaire en Europe centrale, a peu suivi cette affaire. Il ne serait donc pas sérieux de prendre parti pour ou contre ce texte. Mais juste avant de passer à l’analyse de la situation institutionnelle de notre pays confronté à une confiscation de sa souveraineté, revenir sur trois questions qu’il convient examiner à l’occasion du prononcé de cet arrêt.

Tout d’abord, le succès soi-disant spectaculaire de la pétition dont beaucoup de commentateurs considéraient qu’elle était de nature à remettre en cause la légitimité institutionnelle de la loi adoptée par le Parlement. On rappellera simplement que quoi qu’on pense de la composition actuelle de l’Assemblée nationale (encore une fois merci à Macron, merci aux Castors, merci à Mélenchon pour le NFP), qu’elle est le fruit du vote d’environ 29 millions d’électeurs. Ce qui fixe à un peu moins de 7 % de ce total les signataires de la fameuse pétition. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes. Mais ensuite il est évident que l’annulation de l’autorisation de réintroduire l’acétamipride, n'a qu’une véritable motivation, celle politique de feindre la prise en compte de la défense de l’environnement. Le motif juridique avancé grâce à l’introduction de la « Charte de l’environnement » dans le « bloc de constitutionnalité » (voir ci-dessous) est complètement bidon, puisqu’une décision inverse aurait été parfaitement possible. Enfin, il faut apprendre à lire entre les lignes des décisions de la bande de Richard Ferrand. Parce que le Conseil constitutionnel a fait comme d’habitude lorsqu’il se sent obligé de prononcer une annulation (cette fois-ci pour des raisons démagogiques) de nature à gêner le pouvoir macroniste en place qu’il sert, il donne dans le corps du texte la marche à suivre pour faire quand même passer la mesure la prochaine fois. C’est grossier, habituel, mais cela n’a pas empêché les spasmes de ravissement des petits-bourgeois urbains. Quant à tous les tenants de la « gauche » occupés à acclamer Richard Ferrand, ils ne mesurent pas que si par extraordinaire ils arrivaient au pouvoir, ils seraient bien évidemment corsetés par les mêmes pour empêcher la mise en place de la moindre parcelle de leur programme. Ce qui fournirait d’ailleurs aux socialistes un prétexte en or pour la mise en œuvre de leurs habituelles trahisons.

Alors, la confiscation de la souveraineté du peuple français par le Conseil constitutionnel, comment ça marche ?

Le Conseil constitutionnel rend des décisions d’abord politiques


Prétendre que la haute juridiction fonde toutes ses décisions sur le droit est simplement une galéjade.

Le contrôle de constitutionnalité prévu pour la première fois dans le texte de la Constitution adoptée le 4 octobre 1958 sur la proposition du général de Gaulle a été complètement dévoyé. Faisons parler un centenaire, Philippe de Gaulle le « premier Compagnon du Libérateur » disant : « Juger les lois à l’aune des préambules de la Constitution, cela n’a jamais été l’esprit de la Ve République. Mon père avait vu le danger. Il a été furieux de découvrir que les rédacteurs du projet de 1958 avaient adjoint les préambules des constitutions antérieures, avec leurs déclarations des droits de l’homme, mais il n’est pas intervenu pour les ôter. « Les démagogues qui sont les inspirateurs de ces additions vont pouvoir bêtifier sur les droits de l’homme pour rendre l’internationalisme, le cosmopolitisme et l’apatridisme opposables aux droits du citoyen », m’avait-il dit. » De Gaulle ne se trompait pas, mais le dévoiement a été le fruit d’une évolution qu’il était difficile de soupçonner au départ.

Rentrons un peu dans le détail. Dans l’esprit du fondateur de la Ve République, le contrôle de la constitutionnalité des lois avant leur promulgation était un contrôle de « CONFORMITÉ » avec le texte suprême adopté par le peuple. Les lois votées par le Parlement doivent entretenir un rapport de non-contrariété, avec la partie normative de la Constitution, avec le contenu qui organise le fonctionnement de la République. Depuis 50 ans le Conseil constitutionnel se livre à un contrôle de « COMPATIBILITÉ » ce qui lui donne des marges d’interprétation tout à fait considérables qu’il est le seul à maîtriser. Comment s’est opéré le renversement ?

Tout commence avec une décision du 16 juillet 1971 créant une nouvelle obligation et par conséquent une limitation pour le législateur tenu depuis lors et arbitrairement de respecter la notion de « principe fondamental reconnu par les lois de la République » contenue dans le préambule tel qu’interprété par le Conseil. La simple lecture de ce préambule démontre que c’est un singulier fourre-tout proclamatoire sans réelle valeur normative. C’est ainsi qu’a fait irruption dans notre droit constitutionnel un « principe fondamental » nouveau, supérieur au texte même de la Constitution. La boîte de pandore était ouverte. C’est ainsi que le Conseil s’est arrogé la possibilité de considérer que la conformité de la loi avec la Constitution devait s’apprécier non à partir des 90 articles de celle-ci mais d’un ensemble nommé « BLOC DE CONSTITUTIONNALITÉ » dont la composition relevant de la seule décision du Conseil composé rappelons-le de personnalités choisies par affinités politiques.

Initialement, seul le Président de la République et les présidents des deux chambres du Parlement pouvaient déférer une loi votée au Conseil constitutionnel avant sa promulgation. Valéry Giscard d’Estaing fit adopter en 1974 une réforme ouvrant la possibilité d’un recours signé par 60 parlementaires. Dans le domaine du contrôle de la conformité des lois, alors que le Conseil rendait une moyenne d’environ deux décisions par an avant cette date, il en est aujourd’hui à une moyenne annuelle de plus de 80 ! Sa jurisprudence est donc considérable et constitue aujourd’hui une source majeure du droit.

Comment a-t-il opéré ? Tout d’abord en dressant DE SA PROPRE AUTORITÉ la liste des textes qui composent le bloc de constitutionnalité : à savoir l’intégralité de la Constitution du 4 octobre 1958 auquel il a ajouté son préambule propre. Ensuite l’intégralité de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Ensuite toujours le Préambule de la Constitution de 1946, et enfin la Charte de l’environnement de 2004. En développant ensuite encore une abondante jurisprudence donnant à un certain nombre d’autres textes et principes, une valeur constitutionnelle égale à celle de la Constitution ! Il y a « les principes particulièrement nécessaires à notre temps » (PPNNT), Il s’agit entre autres du droit de grève, du droit d’asile ou du droit à la protection de la santé des enfants. Puis les « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » (PFRLR) choisis par le Conseil comme la liberté d’association, liberté de l’enseignement, indépendance de la juridiction administrative (tiens tiens…). Ajoutons-y pour faire bon poids « les principes à valeur constitutionnelle » (PVC) dont font partie la continuité de l’État et des services publics ou la sauvegarde de la dignité de la personne humaine. N’en jetez plus, la Cour (suprême) est pleine ! La simple lecture de ce catalogue démontre à quel point la souveraineté du Parlement français est désormais complètement corsetée.

QPC, quand Sarkozy invente la machine à voyager dans le temps juridique


Histoire d’aggraver cette dérive, Nicolas Sarkozy a eu l’idée saugrenue de bouleverser le système français du contrôle de constitutionnalité a priori de la loi, intervenant entre son adoption par le Parlement et sa promulgation par le Président de la République. Ce fut à l’occasion d’une réforme constitutionnelle, la création « d’un contrôle à posteriori » à la française par le biais de la calamiteuse Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC). Elle permet à un justiciable de solliciter à l’occasion d’une procédure judiciaire qui le concerne, l’avis du Conseil sur la valeur constitutionnelle d’une loi pourtant promulguée et appliquée, parfois depuis des décennies ! Invention par Sarkozy, dans un système juridique qui n’a rien à voir avec le système de « common law » d’une machine à voyager dans le temps juridique. Non seulement on confisque le pouvoir législatif actuel, mais on étend cette confiscation aux générations parlementaires précédentes. Chapeau l’artiste !

Mais de plus, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Le Conseil constitutionnel a de plus décidé d’utiliser la notion jurisprudentielle de droit public « d’incompétence négative ». En simplifiant, on peut dire qu’il peut constater que le législateur, n’a pas utilisé comme il l’aurait dû sa compétence. C’est-à-dire que le contrôle ne porte pas sur la conformité du texte adopté avec la Constitution mais sur la façon dont le législateur s’est servi de son pouvoir. Et soyons clair, sur ce que la loi aurait dû contenir ! Il peut ainsi ajouter des choses qui n’avaient pas été décidées par le législateur. Le pouvoir législatif du peuple s’exerçant par l’intermédiaire de ses représentants dûment élus dispose normalement du pouvoir de changer les lois anciennes, de les abroger, de les compléter ou de les supprimer. Cette souveraineté-là, le Conseil se l’est désormais arrogée.

Il ne fallait pas être grand clerc pour imaginer le flot qui allait s’engouffrer dans cette brèche. Plus de 800 décisions sur saisine par QPC ont été rendues en 10 ans soit une moyenne de 80 par an ! L’exemple le plus spectaculaire de ce qui constitue une dérive institutionnelle particulièrement grave est celui de la fameuse affaire du mot de « fraternité » dans la devise républicaine. Il fut considéré comme faisant partie du bloc de constitutionnalité ce qui permettait d’annuler les lois considérées par la petite équipe comme contraire à la fraternité !

Car l’enjeu est bien celui-là, ce que vous nous venons de décrire, c’est tout simplement la confiscation par le Conseil constitutionnel d’une compétence souveraine qui ne devrait appartenir qu’aux représentants que le peuple s’est choisis. Et cette description démontre s’il en était besoin le caractère délibéré et construit de cette confiscation.

Révolution de couleur à la française


L’échec politique des présidences successives de Nicolas Sarkozy et de François Hollande incapables de se faire réélire a signé la fin du système de la fausse alternance à la française, celle de ces « deux épiciers se fournissant au même grossiste » selon la jolie formule de Philippe Séguin. Pour tenter de régler le problème, Emmanuel Macron, un parfait inconnu, a été porté à l’Élysée grâce à une opération politique voulue et organisée par la haute fonction publique d’État, choisissant de porter l’un des siens à la présidence de la république. Elle fut également soutenue et financée par l’oligarchie. Sa réussite a bénéficié de l’appui décisif de la magistrature – souvenons-nous de l’opération de disqualification judiciaire de François Fillon, favori de l’élection présidentielle 2017. Un enchaînement de circonstances qu’il n’est pas excessif d’assimiler à une forme de coup d’État, qui a bénéficié de l’absence de réaction des forces politiques et démocratiques, inertes devant cette manipulation. Qui avait pourtant retiré au scrutin son caractère de sincérité et de légitimité. Le problème, c’est qu’il a installé à l’Élysée un inconnu au parcours intellectuel, social et politique d’un vide abyssal. Mais qui, déterminé à remplir le mandat, à lui confié par les grands intérêts, a immédiatement mis en œuvre un programme néolibéral de destruction de l’État-providence, de désindustrialisation du territoire, de soumission à l’ordre atlantique et d’abaissement de la France à l’international.

Parmi ces missions, figurait celle d’une démolition méthodique des institutions républicaines. À coups de multiplication de lois liberticides, de répression massive des mouvements sociaux, de généralisation de la corruption au sommet de l’État, de manipulations politiques et en vidant le gouvernement prévu par la constitution de sa substance, Emmanuel Macron poursuit l’installation d’un système libéral autoritaire qui n’a plus grand-chose à voir avec une république parlementaire. Le Conseil constitutionnel avait à sa demande de signer le permis d’inhumer du Parlement français. C’est le démantèlement de la loi sur l’immigration avec la censure de 32 articles.

Au bout d’une manœuvre politique assez sordide la haute juridiction (![url=https://onlycasino.legal/users/MostlyHarmless])[/url] rendait le 25 janvier un arrêt qui censure 32 articles du texte de la loi sur l’immigration. Cette décision était simplement une monstruosité juridique et institutionnelle. D’abord et comme par hasard ces 32 articles sont ceux qui ont été rajoutés au texte présenté par le gouvernement lors du débat parlementaire. Le hasard s’appelle évidemment accord passé entre Macron et Laurent Fabius président de l’époque.

Le caractère caricatural de la motivation aurait dû normalement sauter aux yeux d’un lecteur honnête. On y retrouve évidemment la présence habituelle des considérations sur la nécessité de d’être gentil avec tout le monde qui permettent d’annuler ces articles que Laurent Fabius et Alain Juppé trouvent trop méchants. Quant à l’argument permettant d’annuler les articles issus d’amendements considérés comme « cavaliers », il est simplement risible. La théorie de l’amendement cavalier, c’est qu’on ne peut pas rattacher et faire voter un article dans une loi qui serait sans rapport avec cet article. Le qualifier de « cavalier » et une appréciation parfaitement subjective de la part du juge, qui peut conduire à l’arbitraire. Pour le dire clairement, sur la base des principes de la jurisprudence, il aurait été possible de prendre les décisions inverses. C’est bien cela que l’on appelle l’arbitraire et il a été utilisé pour débarrasser la « Loi immigration » du travail parlementaire

Situation extraordinaire qui permettait dès ce moment et incontestablement de considérer que désormais dans les faits, la France n’a plus de Parlement. Avec l’utilisation systématique du 49-3, Élisabeth Borne, sur ordre de Macron interdisait les débats à l’Assemblée nationale. Désormais le Président n’a plus besoin de se fatiguer. Grâce à la forfaiture des membres non élus de la bande de Ferrand qui réduisent le travail parlementaire à néant, il va pouvoir déposer ses projets de loi directement entre les mains du Conseil constitutionnel. Devenu définitivement le véritable législateur de notre pays. La prochaine fois, pour faire passer les commandes du MEDEF (loi travail, loi retraite et importation de main-d’œuvre à bas coût), et donner la priorité au financement de ses pulsions bellicistes, Macron déposera directement ses projets dans la boîte aux lettres de Richard Ferrand.

Alors, citant Victor Hugo, les imbéciles, les analphabètes et les poseurs vont exulter et nous dire que grâce à Macron et Ferrand ils vont sauver la planète. En oubliant une chose toute simple : ce système que le gang de Macron a mis en place empêchera toute alternance politique quelle qu’elle soit. Et que l’on ne vienne pas nous dire qu’à chaque loi « retoquée », à chaque décret annulé (au conseil d’État ce sont les mêmes ![url=https://onlycasino.legal/users/MostlyHarmless])[/url], il suffira de saisir directement le peuple par la voie référendaire, cela n’est pas sérieux.

La France n’est plus une démocratie représentative et la voie de l’alternance démocratique est fermée.La France n’est plus une nation souveraine. Le dire est devenu une banalité. Sous la coupe de l’usine à gaz européenne, surveillé par les garde-chiourmes qui résident à Bruxelles et sanctionné par les magistrats qui siègent dans ses juridictions, notre pays ne dispose plus de la liberté d’administrer son territoire comme il l’entend.

Ce que l’on perçoit moins, c’est l’invraisemblable effondrement institutionnel qui frappe la République. Or la décision rendue par le Conseil constitutionnel de censure partielle de la loi Duplomb votée par le Parlement, démontre que cet effondrement n’est en fait qu’une destruction programmée. La bande de politiciens non élus rassemblée autour de Richard Ferrand (la légende de probité installée par Marine Le Pen à la présidence du CC) vient tranquillement d’enfoncer un clou supplémentaire dans le cercueil de ce qui fut dans le passé une démocratie libérale représentative.

Historiquement plus ou moins fonctionnelle, elle avait au XXe siècle, à peu près respecté les principes qui gouvernent ces systèmes : séparation des pouvoirs, élections au suffrage universel, loi de la majorité, protection de la minorité, toutes choses assurant sa légitimité à l’exercice du pouvoir par l’État. Depuis l’entrée dans le XXe, préparée par les socialistes la catastrophe est totale. Pointer tous les dysfonctionnements que l’on constate jour après jour est devenu une routine. Car comment qualifier autrement l’arrêt rendu par le Conseil constitutionnel à propos de la loi « Duplomb » et l’insondable bêtise de la classe politique qui s’est manifestée une fois de plus à cette occasion. Tous les opposants à ce texte, battus au Parlement se sont répandus en glapissements de joie grotesques du genre : « la juste lutte des larges masses a gagné ! » À la cacophonie médiatique qui a accompagné le processus parlementaire de cette loi, ne fut que raccourcis, confusion et mensonges permettant à chaque camp de prendre la pose, de soigner les postures et de donner des leçons de morale. Comme d’habitude, mention particulière pour la petite bourgeoisie sociétale qui se prétend de gauche et a passé son temps à exhiber une pseudo-humanité comme signe extérieur de richesse. La « gauche » la plus bête du monde qui acclame aujourd’hui le Conseil constitutionnel, Richard Ferrand et Alain Juppé présentés comme glorieux et ultimes remparts contre la destruction de la planète. Sans craindre les contradictions que feront apparaître leur perte définitive de la mémoire immédiate, puisqu’ils les vilipenderont la prochaine fois si une décision ne leur convient pas.

Sur le fond l’auteur, un peu accaparé par un génocide en temps réel télévisé au Moyen-Orient et la marche à la guerre mondiale nucléaire en Europe centrale, a peu suivi cette affaire. Il ne serait donc pas sérieux de prendre parti pour ou contre ce texte. Mais juste avant de passer à l’analyse de la situation institutionnelle de notre pays confronté à une confiscation de sa souveraineté, revenir sur trois questions qu’il convient examiner à l’occasion du prononcé de cet arrêt.

Tout d’abord, le succès soi-disant spectaculaire de la pétition dont beaucoup de commentateurs considéraient qu’elle était de nature à remettre en cause la légitimité institutionnelle de la loi adoptée par le Parlement. On rappellera simplement que quoi qu’on pense de la composition actuelle de l’Assemblée nationale (encore une fois merci à Macron, merci aux Castors, merci à Mélenchon pour le NFP), qu’elle est le fruit du vote d’environ 29 millions d’électeurs. Ce qui fixe à un peu moins de 7 % de ce total les signataires de la fameuse pétition. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes. Mais ensuite il est évident que l’annulation de l’autorisation de réintroduire l’acétamipride, n'a qu’une véritable motivation, celle politique de feindre la prise en compte de la défense de l’environnement. Le motif juridique avancé grâce à l’introduction de la « Charte de l’environnement » dans le « bloc de constitutionnalité » (voir ci-dessous) est complètement bidon, puisqu’une décision inverse aurait été parfaitement possible. Enfin, il faut apprendre à lire entre les lignes des décisions de la bande de Richard Ferrand. Parce que le Conseil constitutionnel a fait comme d’habitude lorsqu’il se sent obligé de prononcer une annulation (cette fois-ci pour des raisons démagogiques) de nature à gêner le pouvoir macroniste en place qu’il sert, il donne dans le corps du texte la marche à suivre pour faire quand même passer la mesure la prochaine fois. C’est grossier, habituel, mais cela n’a pas empêché les spasmes de ravissement des petits-bourgeois urbains. Quant à tous les tenants de la « gauche » occupés à acclamer Richard Ferrand, ils ne mesurent pas que si par extraordinaire ils arrivaient au pouvoir, ils seraient bien évidemment corsetés par les mêmes pour empêcher la mise en place de la moindre parcelle de leur programme. Ce qui fournirait d’ailleurs aux socialistes un prétexte en or pour la mise en œuvre de leurs habituelles trahisons.

Alors, la confiscation de la souveraineté du peuple français par le Conseil constitutionnel, comment ça marche ?

Le Conseil constitutionnel rend des décisions d’abord politiques


Prétendre que la haute juridiction fonde toutes ses décisions sur le droit est simplement une galéjade.

Le contrôle de constitutionnalité prévu pour la première fois dans le texte de la Constitution adoptée le 4 octobre 1958 sur la proposition du général de Gaulle a été complètement dévoyé. Faisons parler un centenaire, Philippe de Gaulle le « premier Compagnon du Libérateur » disant : "Juger les lois à l’aune des préambules de la Constitution, cela n’a jamais été l’esprit de la Ve République. Mon père avait vu le danger. Il a été furieux de découvrir que les rédacteurs du projet de 1958 avaient adjoint les préambules des constitutions antérieures, avec leurs déclarations des droits de l’homme, mais il n’est pas intervenu pour les ôter. Les démagogues qui sont les inspirateurs de ces additions vont pouvoir bêtifier sur les droits de l’homme pour rendre l’internationalisme, le cosmopolitisme et l’apatridisme opposables aux droits du citoyen » , m’avait-il dit. De Gaulle ne se trompait pas, mais le dévoiement a été le fruit d’une évolution qu’il était difficile de soupçonner au départ.

Rentrons un peu dans le détail. Dans l’esprit du fondateur de la Ve République, le contrôle de la constitutionnalité des lois avant leur promulgation était un contrôle de « CONFORMITÉ » avec le texte suprême adopté par le peuple. Les lois votées par le Parlement doivent entretenir un rapport de non-contrariété, avec la partie normative de la Constitution, avec le contenu qui organise le fonctionnement de la République. Depuis 50 ans le Conseil constitutionnel se livre à un contrôle de « COMPATIBILITÉ » ce qui lui donne des marges d’interprétation tout à fait considérables qu’il est le seul à maîtriser. Comment s’est opéré le renversement ?

Tout commence avec une décision du 16 juillet 1971 créant une nouvelle obligation et par conséquent une limitation pour le législateur tenu depuis lors et arbitrairement de respecter la notion de « principe fondamental reconnu par les lois de la République » contenue dans le préambule tel qu’interprété par le Conseil. La simple lecture de ce préambule démontre que c’est un singulier fourre-tout proclamatoire sans réelle valeur normative. C’est ainsi qu’a fait irruption dans notre droit constitutionnel un « principe fondamental » nouveau, supérieur au texte même de la Constitution. La boîte de pandore était ouverte. C’est ainsi que le Conseil s’est arrogé la possibilité de considérer que la conformité de la loi avec la Constitution devait s’apprécier non à partir des 90 articles de celle-ci mais d’un ensemble nommé « BLOC DE CONSTITUTIONNALITÉ » dont la composition relevant de la seule décision du Conseil composé rappelons-le de personnalités choisies par affinités politiques.

Initialement, seul le Président de la République et les présidents des deux chambres du Parlement pouvaient déférer une loi votée au Conseil constitutionnel avant sa promulgation. Valéry Giscard d’Estaing fit adopter en 1974 une réforme ouvrant la possibilité d’un recours signé par 60 parlementaires. Dans le domaine du contrôle de la conformité des lois, alors que le Conseil rendait une moyenne d’environ deux décisions par an avant cette date, il en est aujourd’hui à une moyenne annuelle de plus de 80 ! Sa jurisprudence est donc considérable et constitue aujourd’hui une source majeure du droit.

Comment a-t-il opéré ? Tout d’abord en dressant DE SA PROPRE AUTORITÉ la liste des textes qui composent le bloc de constitutionnalité : à savoir l’intégralité de la Constitution du 4 octobre 1958 auquel il a ajouté son préambule propre. Ensuite l’intégralité de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Ensuite toujours le Préambule de la Constitution de 1946, et enfin la Charte de l’environnement de 2004. En développant ensuite encore une abondante jurisprudence donnant à un certain nombre d’autres textes et principes, une valeur constitutionnelle égale à celle de la Constitution ! Il y a « les principes particulièrement nécessaires à notre temps » (PPNNT), Il s’agit entre autres du droit de grève, du droit d’asile ou du droit à la protection de la santé des enfants. Puis les « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » (PFRLR) choisis par le Conseil comme la liberté d’association, liberté de l’enseignement, indépendance de la juridiction administrative (tiens tiens…). Ajoutons-y pour faire bon poids « les principes à valeur constitutionnelle » (PVC) dont font partie la continuité de l’État et des services publics ou la sauvegarde de la dignité de la personne humaine. N’en jetez plus, la Cour (suprême) est pleine ! La simple lecture de ce catalogue démontre à quel point la souveraineté du Parlement français est désormais complètement corsetée.

QPC, quand Sarkozy invente la machine à voyager dans le temps juridique


Histoire d’aggraver cette dérive, Nicolas Sarkozy a eu l’idée saugrenue de bouleverser le système français du contrôle de constitutionnalité a priori de la loi, intervenant entre son adoption par le Parlement et sa promulgation par le Président de la République. Ce fut à l’occasion d’une réforme constitutionnelle, la création « d’un contrôle à posteriori » à la française par le biais de la calamiteuse Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC). Elle permet à un justiciable de solliciter à l’occasion d’une procédure judiciaire qui le concerne, l’avis du Conseil sur la valeur constitutionnelle d’une loi pourtant promulguée et appliquée, parfois depuis des décennies ! Invention par Sarkozy, dans un système juridique qui n’a rien à voir avec le système de « common law » d’une machine à voyager dans le temps juridique. Non seulement on confisque le pouvoir législatif actuel, mais on étend cette confiscation aux générations parlementaires précédentes. Chapeau l’artiste !

Mais de plus, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Le Conseil constitutionnel a de plus décidé d’utiliser la notion jurisprudentielle de droit public « d’incompétence négative ». En simplifiant, on peut dire qu’il peut constater que le législateur, n’a pas utilisé comme il l’aurait dû sa compétence. C’est-à-dire que le contrôle ne porte pas sur la conformité du texte adopté avec la Constitution mais sur la façon dont le législateur s’est servi de son pouvoir. Et soyons clair, sur ce que la loi aurait dû contenir ! Il peut ainsi ajouter des choses qui n’avaient pas été décidées par le législateur. Le pouvoir législatif du peuple s’exerçant par l’intermédiaire de ses représentants dûment élus dispose normalement du pouvoir de changer les lois anciennes, de les abroger, de les compléter ou de les supprimer. Cette souveraineté-là, le Conseil se l’est désormais arrogée.

Il ne fallait pas être grand clerc pour imaginer le flot qui allait s’engouffrer dans cette brèche. Plus de 800 décisions sur saisine par QPC ont été rendues en 10 ans soit une moyenne de 80 par an ! L’exemple le plus spectaculaire de ce qui constitue une dérive institutionnelle particulièrement grave est celui de la fameuse affaire du mot de « fraternité » dans la devise républicaine. Il fut considéré comme faisant partie du bloc de constitutionnalité ce qui permettait d’annuler les lois considérées par la petite équipe comme contraire à la fraternité !

Car l’enjeu est bien celui-là, ce que vous nous venons de décrire, c’est tout simplement la confiscation par le Conseil constitutionnel d’une compétence souveraine qui ne devrait appartenir qu’aux représentants que le peuple s’est choisis. Et cette description démontre s’il en était besoin le caractère délibéré et construit de cette confiscation.

Révolution de couleur à la française


L’échec politique des présidences successives de Nicolas Sarkozy et de François Hollande incapables de se faire réélire a signé la fin du système de la fausse alternance à la française, celle de ces « deux épiciers se fournissant au même grossiste » selon la jolie formule de Philippe Séguin. Pour tenter de régler le problème, Emmanuel Macron, un parfait inconnu, a été porté à l’Élysée grâce à une opération politique voulue et organisée par la haute fonction publique d’État, choisissant de porter l’un des siens à la présidence de la république. Elle fut également soutenue et financée par l’oligarchie. Sa réussite a bénéficié de l’appui décisif de la magistrature – souvenons-nous de l’opération de disqualification judiciaire de François Fillon, favori de l’élection présidentielle 2017. Un enchaînement de circonstances qu’il n’est pas excessif d’assimiler à une forme de coup d’État, qui a bénéficié de l’absence de réaction des forces politiques et démocratiques, inertes devant cette manipulation. Qui avait pourtant retiré au scrutin son caractère de sincérité et de légitimité. Le problème, c’est qu’il a installé à l’Élysée un inconnu au parcours intellectuel, social et politique d’un vide abyssal. Mais qui, déterminé à remplir le mandat, à lui confié par les grands intérêts, a immédiatement mis en œuvre un programme néolibéral de destruction de l’État-providence, de désindustrialisation du territoire, de soumission à l’ordre atlantique et d’abaissement de la France à l’international.

Parmi ces missions, figurait celle d’une démolition méthodique des institutions républicaines. À coups de multiplication de lois liberticides, de répression massive des mouvements sociaux, de généralisation de la corruption au sommet de l’État, de manipulations politiques et en vidant le gouvernement prévu par la constitution de sa substance, Emmanuel Macron poursuit l’installation d’un système libéral autoritaire qui n’a plus grand-chose à voir avec une république parlementaire. Le Conseil constitutionnel avait à sa demande de signer le permis d’inhumer du Parlement français. C’est le démantèlement de la loi sur l’immigration avec la censure de 32 articles.

Au bout d’une manœuvre politique assez sordide la haute juridiction (![url=https://onlycasino.legal/users/MostlyHarmless])[/url] rendait le 25 janvier un arrêt qui censure 32 articles du texte de la loi sur l’immigration. Cette décision était simplement une monstruosité juridique et institutionnelle. D’abord et comme par hasard ces 32 articles sont ceux qui ont été rajoutés au texte présenté par le gouvernement lors du débat parlementaire. Le hasard s’appelle évidemment accord passé entre Macron et Laurent Fabius président de l’époque.

Le caractère caricatural de la motivation aurait dû normalement sauter aux yeux d’un lecteur honnête. On y retrouve évidemment la présence habituelle des considérations sur la nécessité de d’être gentil avec tout le monde qui permettent d’annuler ces articles que Laurent Fabius et Alain Juppé trouvent trop méchants. Quant à l’argument permettant d’annuler les articles issus d’amendements considérés comme « cavaliers », il est simplement risible. La théorie de l’amendement cavalier, c’est qu’on ne peut pas rattacher et faire voter un article dans une loi qui serait sans rapport avec cet article. Le qualifier de « cavalier » et une appréciation parfaitement subjective de la part du juge, qui peut conduire à l’arbitraire. Pour le dire clairement, sur la base des principes de la jurisprudence, il aurait été possible de prendre les décisions inverses. C’est bien cela que l’on appelle l’arbitraire et il a été utilisé pour débarrasser la « Loi immigration » du travail parlementaire

Situation extraordinaire qui permettait dès ce moment et incontestablement de considérer que désormais dans les faits, la France n’a plus de Parlement. Avec l’utilisation systématique du 49-3, Élisabeth Borne, sur ordre de Macron interdisait les débats à l’Assemblée nationale. Désormais le Président n’a plus besoin de se fatiguer. Grâce à la forfaiture des membres non élus de la bande de Ferrand qui réduisent le travail parlementaire à néant, il va pouvoir déposer ses projets de loi directement entre les mains du Conseil constitutionnel. Devenu définitivement le véritable législateur de notre pays. La prochaine fois, pour faire passer les commandes du MEDEF (loi travail, loi retraite et importation de main-d’œuvre à bas coût), et donner la priorité au financement de ses pulsions bellicistes, Macron déposera directement ses projets dans la boîte aux lettres de Richard Ferrand.

Alors, citant Victor Hugo, les imbéciles, les analphabètes et les poseurs vont exulter et nous dire que grâce à Macron et Ferrand ils vont sauver la planète. En oubliant une chose toute simple : ce système que le gang de Macron a mis en place empêchera toute alternance politique quelle qu’elle soit. Et que l’on ne vienne pas nous dire qu’à chaque loi « retoquée », à chaque décret annulé (au conseil d’État ce sont les mêmes ![url=https://onlycasino.legal/users/MostlyHarmless])[/url], il suffira de saisir directement le peuple par la voie référendaire, cela n’est pas sérieux.

La France n’est plus une démocratie représentative et la voie de l’alternance démocratique est fermée.


Interview with Glenn Diesen: Russia Calls U.S. Peace Plan Acceptable, Trump-Putin Meeting Is Confirmed gilbertdoctorow.substack.com/p…

7 conseils pour mobiliser ses collègues en vue du 10 septembre


Rédaction

Pendant le mouvement contre la réforme des retraites les manifestations se sont succédées, massives et déterminées, mais rien n’y a fait : le gouvernement n’a rien lâché rien car il n’avait rien à perdre de ces mouvements massifs mais calmes. Le 10 septembre 2025 pourrait être une nouvelle occasion offensive pour contrer les projets du gouvernement et aller plus loin. De nombreux collectifs comme Faire Bloc, Faire Peuple mais aussi de nombreuses fédérations de la CGT (CGT Air Liquide, CGT Commerce et Services, CGT des territoriaux de Bézons, la FNIC-CGT…) appellent à se saisir de cette date, qu’elle soit le début d’une grève durable.
C’est en effet le meilleur moyen de prendre le patronat au portefeuille. La grève, classique du mouvement ouvrier depuis les origines du capitalisme, et qui plus est moyen légal et constitutionnel pour se faire entendre, est la meilleure option qui s’offre à nous. Mais comment la déclencher et la maintenir dans un contexte où le taux de syndicalisation est particulièrement faible et où la culture de la mobilisation au travail a été réduite par des décennies de « dialogue social » ? À partir de notre propre expérience (d’élu du personnel et d’expert et formateur pour les CSE) et celles recueillies auprès de personnes ayant conduit des grèves victorieuses, voici plusieurs conseils pour se motiver et y parvenir.

NOS 7 CONSEILS

#1 – En amont de la grève, créer une communauté d’appartenance

Il y a fort à parier que si vous ne vous adressez à l’ensemble de vos collègues que pour lancer, la veille d’une journée nationale, une grève, peu vous suivront. L’expérience montre que c’est le travail de terrain de longue haleine qui paye. Il faut, bien avant une grève, que le collectif de travail soit uni et que sa colère (et ses espoirs) le fédère. C’est une méthode qui, aux États-Unis, se nomme le « community organizing » : cela peut sembler étrange de s’inspirer du syndicalisme anglo-saxon, mais ce serait ignorer qu’en ce moment les syndicats américains obtiennent d’importantes victoires sur leur patronat et leur classe dirigeante. Pour le journaliste de Jacobin (magazine socialiste états-unien), Cole Stangler, « les syndicats français ne déploient pas le genre de tactiques d’organisations internes qui sont répandues chez les plus efficaces organisations syndicales aux États-Unis : des entretiens en tête-à-tête pour recruter des nouveaux membres sur le lieu de travail, une évaluation minutieuse du soutien des collègues aux différentes initiatives lancées, renforcer le soutien aux grèves en commençant par des actions de plus faible ampleur etc. (…) En France, les syndicats appellent à la grève, espèrent qu’il est entendu et croisent les doigts ».

Quand on est syndicaliste ou élu du personnel, on peut être rapidement submergé par la masse de travail. En effet, depuis la réforme du droit du travail de 2017, le nombre d’élus a diminué de 30%. Les multiples instances où siéger, les réunions à répétition, tendent à éloigner les syndicalistes de leurs collègues. Or, le travail de terrain, qui passe par de multiples interactions individuelles (le droit du travail autorise des élus de CSE ou des délégués syndicaux à se déplacer partout où ils le souhaitent dans une entreprise), des actions ordinaires comme donner un coup de main, conseiller sur une situation, discuter à la machine à café… sont essentielles pour faire de la grève une possible réussite.

C’est ce que recommande Loïc, syndicaliste dans une administration publique : « Je crois au travail de fond, en amont, au quotidien (dans le bureau, au café, etc.), au travail de semeur de petites graines, souriant et à l’écoute, sans asséner des grandes vérités qui ne parlent pas toujours à des gens pas toujours politisés qui ont le nez dans le guidon ». Lors de la dernière grève, son service a été le plus mobilisé…

#2 – Laisser ses drapeaux au placard, être un collègue ordinaire

Le monde militant et syndical regorge de folklore, symboles et modes de présentation de soi qui ont une vocation identitaire : il s’agit de s’affirmer face à ses concurrents, de faire référence à une histoire, de rendre hommages aux anciens, etc. Mais pour convaincre autour de soi et gagner, ça ne sert à rien !

Plus vous parlerez depuis une position syndicale ou politique identifiée, moins votre parole sera crédible. Cela tient à la défiance largement répandue envers les syndicats et les partis politiques, qui sont des institutions qui suscitent très peu d’adhésion en France (pour de nombreuses raisons historiques qu’on ne commentera pas ici). Le risque est que l’on vous soupçonne d’agir avant tout pour des raisons liées aux intérêts de votre organisation.

Ranger son drapeau, c’est aussi éviter de parler depuis une position surplombante, comme un militant qui saurait mieux que les autres ce qui est bon pour eux. Rappelons qu’avec le gouvernement que nous avons, c’est ce que nous subissons en permanence. Autant ne pas en rajouter. Cela implique de s’adapter en permanence à son interlocuteur et de ne pas s’en tenir au cliché de la parole syndicale pratiquée dans l’entre-soi des réunions.

Dans le roman En un combat douteux (1936), le militant communiste exemplaire décrit par John Steinbeck prône cette approche adaptative et la justifie ainsi : « Je ne suis pas acteur. Il y a une sorte d’intuition dans la parole. J’ai cette intuition et, tout naturellement, sans effort, sans pouvoir même m’en défendre, je parle à la façon des gens qui m’entourent. Les hommes se méfient de ceux qui ne parlent pas leur langage. Vous pouvez insulter un ouvrier en employant un mot qu’il ne comprend pas. »

#3 – À deux, on est nombreux !

Régulièrement, des lectrices ou lecteurs nous écrivent pour nous dire que sur leur lieu de travail, ils sont seuls à s’intéresser à la situation politique ou à être en colère. Bien sûr que c’est une situation intimidante, mais pas désespérée, loin de là. Un mouvement collectif est toujours initié par quelques personnes. Et bien souvent, une fois que les choses sont lancées, on est surpris : tel collègue qui semblait totalement indifférent à la situation est capable de s’impliquer et d’exprimer ses idées. Tel autre, a priori fiable, s’avérera en réalité fuyant et peu actif. Au travail, nous tenons tous des rôles. Les mouvements collectifs viennent faire voler en éclat ces rôles d’apparence et révèlent des capacités et des idées insoupçonnées.

Pour Pierre, syndicaliste dans l’Éducation nationale, il faut « être sûr de soi et prendre conscience que deux personnes peuvent suffire à impulser une dynamique revendicative si elles font les choses intelligemment ».

Reste à bien choisir son binôme…

Il faut en tout cas se rappeler que les individus sont des relais essentiels d’idées contestataires. Certes, BFMTV nous concurrence, mais ne sous-estimez pas l’impact que l’expression de votre opinion peut avoir sur vos amis, vos parents, vos collègues.

#4 – L’espoir fait vivre (la lutte)

Après des décennies de défaites, au niveau du pays comme dans les entreprises et services publics, il est dur de garder le moral. Le pessimisme a, selon moi, envahi une bonne partie du personnel syndical, qui devient à son tour un vecteur de cette absence d’espoir. « De toute façon les gens s’en foutent », « à l’heure de l’individualisme et des écrans, aucune chance de réussir la grève », « c’est le chacun pour soi qui gagne »… Disons-le clairement : ce genre de phrase n’aide personne et surtout s’avère être continuellement fausse. L’inattendu est toujours au programme, et les certitudes pessimistes ne valent pas grand-chose.

Dans le doute, autant cultiver l’optimisme. C’est l’une des missions historiques du mouvement ouvrier et de ses membres que d’avoir su impulser l’espoir de lendemains meilleurs chez ses semblables. Or, ce rôle a été caricaturé à outrance : on se moque désormais des « lendemains qui chantent » et les syndicats eux-mêmes semblent fuir cette position. Il suffit d’écouter une interview de Sophie Binet, l’air blasé, pour comprendre que cette dame ne se donne pas comme mission de faire rêver à un futur meilleur.

Pourtant, activer l’espoir et l’optimisme reste absolument nécessaire pour susciter l’adhésion. Personne n’a envie de participer – et perdre une journée ou plus de salaire – à une grève si ceux qui l’impulsent ne semblent pas y croire. Cela ne veut pas dire qu’il faut surjouer l’optimisme ou mentir à son entourage. Mais se dire que l’espoir est performatif : plus on croit collectivement à ses chances de réussir, plus on les améliore.

Pour Gaëtan, syndicaliste dans l’aéronautique, il est donc nécessaire de donner de la force aux collègues, mais sans leur mentir : il s’agit bien, pour lui, de ne pas les embarquer dans des mouvements de grève hasardeux.

#5 – Connaître son collectif de travail

Gaëtan croit par ailleurs beaucoup dans la connaissance du terrain. Dans son usine, il cultive une connaissance forte des différents services et prend le pouls de l’humeur générale avant de prendre une décision. Pour cela, plusieurs moyens existent : discuter avec tout le monde, évidemment, mais aussi, quand c’est possible, faire des enquêtes d’opinion. Il est désormais possible d’accéder à des outils de questionnaire en ligne, comme Framaforms, pour sonder ses collègues de façon anonyme avant de prendre une décision.

Concrètement, lors du lancement d’une grève qui s’est avérée victorieuse, Gaëtan et ses camarades sont allés d’ateliers en ateliers, en commençant par les plus combatifs, de façon à convaincre les moins enthousiastes de suivre la force du nombre. Faire l’inverse aurait été potentiellement désastreux.

Pour Adrien, ouvrier raffineur et syndicaliste, il faut connaître les besoins de ses collègues. “Pour élargir la grève au plus grand nombre,il faut parler de ce qui touche au plus près les salariés,la retraite et les salaires.Il faut que dans une période d’inflation,on lit les deux c’est ce qui donne le plus envie aux travailleurs de se mettre en grève, leur préoccupations immédiates surtout au vue des profits des grandes boîtes des dividendes.”

#6 – Rassurer ses collègues : la grève c’est simple !

À mesure que les intox et exagérations médiatiques se succèdent pour accuser les grèves des pires maux, en les confondant par exemple avec le « blocage » ou, pire, une « prise d’otages », il est parfois important de rappeler que la grève est un mode d’action légal qui ne nécessite pas d’être particulièrement radical. C’est ce qu’a expérimenté Paul lors de sa première grève, effectuée d’abord en solitaire, puis lors de la seconde, avec plusieurs collègues convaincues. « Au départ réticentes sur la méthode, elles avaient peur que ce soit compliqué, qu’on leur reproche, que la direction les cuisine sur leurs motivations, etc. Encore une fois, le droit de grève est bien souvent mal connu des salariés eux-mêmes. Je pense que je les ai rassurées sur la facilité de faire grève sans risquer de sanctions. Mais il y a clairement un enjeu autour de la connaissance du droit à faire. Les sympathies sont relativement faciles à obtenir, la mise en action beaucoup moins ».

La peur ne doit pas être sous-estimée. Les organisations du travail se sont féodalisées, à mesure que le droit est de moins en moins protecteur : il y a toujours un petit chef dont on dépend et que l’on a peur de contrarier. Les grèves sont aussi des instants où l’on apprend à dire non, ce qui n’est pas forcément facile pour tout le monde. Il faut donc être à la fois empathique avec cette peur et aider à la combattre. En la matière, le droit est un allié, en particulier dans le secteur privé.

#7 – Cultiver la joie dans le conflit

« Il s’agit, après avoir toujours plié, tout subi, tout encaissé en silence pendant des mois et des années, d’oser enfin se redresser. Se tenir debout. Cette grève est en elle-même une joie. Une joie pure. Une joie sans mélange ». C’est en ces termes que la philosophe Simone Weil, ouvrière dans une usine Renault en 1936, décrivait dans ses écrits (depuis réunis notamment dans Grèves et joie pure (Libertalia, 2016) l’atmosphère des grèves avec occupation d’usine qui ont permis, entre autres, l’instauration des congés payés.

Des décennies plus tard, c’est cette joie que décrit Rachel Keke, leadeuse des femmes de chambre grévistes de l’hôtel Ibis-Batignolles, victorieuses après 22 mois de grève. Avec ses collègues, elles ont fait de la joie un mode d’action : « La musique, la danse, ça montre à la personne en face que tu es en joie, que tu as de la force, que tu es prêt à faire cette grève-là ! On a beaucoup usé de confettis : c’est visible, c’est casse-pieds à nettoyer, et c’est festif. » Le mouvement des Gilets jaunes avec ses moments festifs autour des ronds-points, souvent moqués au début de la mobilisation (une vidéo de « chenille » avait fait l’objet de plaisanterie sur les réseaux sociaux), s’était aussi inscrit dans cet esprit joyeux.

L’image du syndicalisme a été écornée par des décennies de dénigrement médiatique. Militants et syndicalistes sont souvent dépeints comme des personnalités perpétuellement en colère, intolérantes, tristes. Ce cliché se vérifie parfois, car on n’insiste pas assez, à notre sens, sur l’importance de la gentillesse et de la bonne humeur dans l’engagement au sens large. « Venez comme vous êtes » reste hélas le slogan de McDonald’s, pas celui du monde militant. Pourtant, pour construire une mobilisation, il faut bien savoir accueillir tout le monde, et dans de bonnes conditions.

youtu.be/u4IEVlwZ8ls

Une ou plusieurs journées de grève restent un sacrifice financier important. Si en plus on a le sentiment d’avoir perdu son temps avec des gens moroses, ou seul chez soi, difficile de se motiver à en mener d’autres. C’est pourquoi ce moment important doit être passé en collectif, en s’adaptant à son public. Mathilde, que j’ai interrogé sur ses secrets de mobilisation, raconte ainsi comment elle a pu convaincre ses collègues peu militants de se rendre avec elle en manifestant et les emmenant dans le cortège écolo qui leur correspondait mieux. Ce sont ces petites attentions qui permettent d’agréger du monde autour de soi et de la cause qu’on défend. Et à terme, de gagner.

Quelques rappels

Le droit de grève dans le privé

  • « Dans le secteur privé, un mouvement de grève peut être déclenché à tout moment.
    Les salariés qui veulent utiliser leur droit de grève n’ont pas à respecter de préavis.
    Une grève est légale même si elle n’a pas été précédée d’un avertissement ou d’une tentative de conciliation avec l’employeur.
    Les salariés ne sont pas obligés de respecter un délai de prévenance avant d’entamer la grève.
    L’employeur doit cependant connaître les revendications professionnelles des salariés au moment du déclenchement de la grève.
    Les salariés ne sont pas obligés d’attendre le refus de leur employeur de satisfaire à leurs revendications pour entamer la grève.
    Le salarié gréviste n’est pas obligé d’informer son employeur de son intention d’exercer son droit de grève. »

Source : Servicepublic.fr
Dans la fonction publique d’État

  • « La grève doit être précédée d’un préavis.
    Le préavis est une information écrite transmise par une ou plusieurs organisations syndicales à l’administration employeur pour l’avertir qu’une grève est envisagée.
    Le préavis doit être émis par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives au niveau national, dans la catégorie professionnelle ou l’administration ou le service concerné.
    Le préavis précise les motifs du recours à la grève, son champ géographique, l’heure du début et la durée limitée ou non de la grève envisagée.
  • Le préavis doit parvenir 5 jours francs avant le déclenchement de la grève à l’autorité hiérarchique ou à la direction de l’administration concernée.
    Pendant la durée du préavis, les organisations syndicales et l’administration employeur doivent négocier.
    Si cette obligation de préavis n’est pas respectée, l’administration peut prendre des sanctions disciplinaires à l’encontre des agents grévistes. »

Source : Servicepublic.fr

frustrationmagazine.fr/greve-1…

Emmanuel Florac reshared this.

✊MUTU MEDIAS LIBRES✊
Arsenalisation de l'ensemble de la société, vers une militarisation totale entre guerre et « paix »
ricochets.cc/Arsenalisation-de…

""

@Le_M_Poireau ⏚ @Le_M_Poireau@mastodon.social
#Le M Poireau
Le nombre de #contre-vérités prononcées par Mme #Delga dans l'interview " #Carole-Delga : 'Il n’y a pas d’ #alternative à l’ #A69'" parue le 4 juillet 2025 sur #Mediapart, impose quelques remises-au point !
blogs.mediapart.fr/collectif-l…

Emmanuel Florac reshared this.

#Revenu #France #Août2025

LE BUDGET 2025 ET SES EFFETS DIRECTS


EN CE MOIS D'AOÛT 2025

1) MA PENSION MENSUELLE, arrive avec 5 JOURS DE RETARD, et, DE 330€, est soudain AMPUTEE DE 15€ --->>> PRESQUE 5%. On verra pour le reste.

2) Les REMBOURSEMENTS MEDICAUX sont incertains, voir INEXISTANTS, la Sécu prévient à défaut de mieux --->>> DE ? A 100%

3) Et enfin, si on veut acheter du Bitcoin depuis l'UE, c'est 1200.00 € MAX; alors que depuis la SUISSE c'est 14'000.00 CHF --->>> 10 (DIX) FOIS MOINS

4) AUTOMOBILISTE j'en suis à ma 4ème AMENDE depuis le début de l'année, c'est #MAJORATION DIRECTE, RIEN EN-DESSOUS DE 40€ l'HEURE du dépôt de l'amende est consternante, 19H00, 18h55 !!! -> au moment PILE où ça devient gratuit.

5) Les prix de voyages en #TRAIN #SNCF sont incompréhensibles, mais surtout les CONDITIONS sont hallucinantes, avec des retards NON REMBOURSES pour un tas de raisons, possibles jusqu'à des 3, voire 7 HEURES. Sinon on ne sait plus à qui on a affaire, c'est la grand n'importe quoi.

Pour le Reste, pléthore de commentaires partout. Compter 15% d'AUGMENTATION / de PERTE tous produits confondus....

Les Media commentent, toute le monde s'en fout, après tout c'est l'été !

econostrum.info/electricite-pr…
leparticulier.lefigaro.fr/pouv…

Emmanuel Florac reshared this.

All trails lead back to Epstein...

Putin was sanctioned by the ICC for stealing children from Ukrainian families. He will meet with Trump - who has complained that Epstein stole children from him at Mar a Lago. If Trump truly put America first, he would arrest him when he sets foot on American soil.

nytimes.com/2025/08/08/us/poli…

✊MUTU MEDIAS LIBRES✊
Ecoute Collective de l'émission Langues de Fronde antimilitariste
lenumerozero.info/Ecoute-Colle…

"« Le mardi 9 septembre à 19h, rejoins-nous autour du kiosque Place Jean Jaurès pour écouter ensemble l'émission de radio de Langues de Fronde de Juillet 2025 »Antimilitariste !""

I've been playing with different #Android #WebBrowser. My primary is #Firefox with #Vivaldi as a #Chromium backup. Vivaldi is fine, but I prefer other options over it.

I tend to prefer #OpenSource options, so I tried #Brave again because it has some decent privacy options built-in, but it actually feels a little slower and reinforces my preference for #Gecko over Chromium. I also have reservations about the owner.

#Waterfox seems like a possibility and I might try #Fennec.

I don't want to sacrifice a ton of usability for the sake of privacy for every day tasks.

✊MUTU MEDIAS LIBRES✊
Le flambeau de georges abdallah et la génération Gaza
mars-infos.org/le-flambeau-de-…

"SUPERNOVA n.9 2025
La libération de Georges Ibrahim Abdallah obtenue après un emprisonnement de 41 ans est un évènement salué par toutes les forces subjectives de la révolution mondiale et par les organisations de résistance en Palestine"

Convocada una manifestación este domingo en Madrid por la muerte por inanición de 32 perros de caza — Gacetín Madrid

gacetinmadrid.com/2025/08/09/c…

#maltratoanimal

Simon Willison's Lethal Trifecta Talk at the Bay Area AI Security Meetup

Link: simonwillison.net/2025/Aug/9/b…
Discussion: news.ycombinator.com/item?id=4…

Vietnam Vet Radio

vietnamvetradio.org/

Vietnam Vet Radio is an internet only radio station dedicated to the men and women who served in the Vietnam War, their families, and friends. We are incorporated as a 501(c)3 non-profit veterans ministry organization. With a few exceptions all the songs played are from the Vietnam War era. We also play the authentic jingles and public service announcements that were played on AFVN (American Forces Vietnam Network) Radio.

to be cont

in reply to HunDriverWidow

While Vietnam Vet Radio is neither political or religious, in the normal sense of the word, it is most certainly a pro-America & pro-military radio station that acknowledges that we are a blessed people. No anti-war rhetoric or anti-war songs; there are other sites on the internet for that. Our mission is to heal, not open old wounds.

Please contact us with suggestions on how Vietnam Vet Radio can better serve you.

to be cont