'Extremely Dangerous Point': Russian MFA Spox to Sputnik on Middle East Crisis en.sputniknews.africa/20250618…

Ron Paul: Americans OVERWHELMINGLY Oppose War With Iran – New Poll! antiwar.com/blog/2025/06/18/ro…

James Carden -- America Last?: The Neocons Make Their Move… antiwar.com/blog/2025/06/18/am…

! Mastodon new ToS from July 1 has a binding Arbitration waiver* !!r


post: polymaths.social/@rl_dane/stat…

github discussion: github.com/mastodon/mastodon/i…

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in reply to not_IO

Very resonable (imo) response from Gargron (lead developer of Mastodon):

I’ve forwarded your question to our legal help and will provide an answer as soon as they give it to me. What you must understand is that our lawyers don’t have experience with federated platforms, and we don’t have experience with law, so we meet somewhere in the middle. Meta presumably has an in-house legal team that can really embed themselves in the problem area; our lawyers are external and pro-bono and rely on us to correctly explain the requirements and community feedback. The draft has been around for something like a year and none of the community members pointed out this issue until now. I’ll add one thing:
"My assumption, {.. shortened for brevity ..} is that when you post content it gets mirrored elsewhere, and this continues until a deletion notice is federated. So I'd assume if an instance somewhere mirrors my content they can't get in trouble for it, and I'd also assume that if there is a deletion or maybe a block and a reasonable interpretation of the protocol would say that the content should be removed, I could send them a takedown and at that point they'd have to honor it."

The goal of the terms is to make assumptions like this explicit, because assumptions are risky both sides. Just because luckily there were no frivolous lawsuits around this so far doesn’t mean there isn’t a risk of one.


Cory has had a much more calm response on a fediverse post, offering to reach out to the EFF's lawyers for assistance in drafting a better ToS for Mastodon, and other experienced lawyers have offered help also. Amongst the usual negativity from some users.

I'll be keeping my eye on the outcome but so far it looks positive.

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Le sionistanais Yoav Grois a écrit :

Ici, les gens n’arrêtent pas de justifier le bombardement des hôpitaux de Gaza, cherchant une excuse dans les décombres.
Mais dès qu’un hôpital est bombardé ici, les cris s’élèvent et les drapeaux du droit international sont hissés.

Nous sommes comme un joueur qui continue à faire des erreurs grossières sur le terrain, et dès que quelqu'un le touche, il s'effondre au sol en criant : « Faute ! Faute ! »

Big Tech Wants to Become Its Own Bank


#democracy #plutocracy #oligarchy

To the dismay of Elon Musk and Mark Zuckerberg, the law currently prevents Big Tech companies from opening banks. But if Congress passes the GENIUS Act, tech firms may start issuing private currencies and forcing us to use them.


jacobin.com/2025/05/zuckerberg…

Quand les Géants de la Tech veulent devenir leur propre banque


Au grand dam d’Elon Musk et de Mark Zuckerberg, la législation actuelle interdit encore aux géants de la tech d’ouvrir leurs propres banques. Mais si le Congrès venait à adopter le GENIUS Act, ces entreprises pourraient bientôt émettre leur propre monnaie privée, et nous contraindre à l’utiliser.

Source : Jacobin, Luke Goldstein

À la suite d’une vague de lobbying à Washington et de la capitulation des Démocrates, le Sénat s’apprête à adopter le GENIUS Act, une loi tentaculaire sur les cryptomonnaies qui pourrait favoriser la propagation de monnaies numériques instables et propices à la fraude dans l’ensemble du système bancaire. Toutefois, les législateurs et les experts en protection des consommateurs avertissent que le projet de loi présente un problème encore plus grave : il autoriserait Elon Musk et d’autres magnats de la tech à émettre leurs propres monnaies privées.

Cela signifie que nous pourrions bientôt vivre dans un monde où toutes les transactions en ligne devraient être effectuées dans une monnaie privée style monopoply inventée par les milliardaires, qu’eux seuls contrôleraient, et sur laquelle les géants de la tech pourraient prélever des frais de transaction exorbitants.

Ce scénario n’a rien d’un simple fantasme. Il s’inscrit dans une stratégie de long terme menée par les plateformes technologiques pour prendre le contrôle des réseaux de paiement. Ces dernières semaines, Meta a d’ailleurs commencé à, de nouveau, préparer le terrain pour lancer sa propre cryptomonnaie.

De plus, grâce à un « compromis » bipartisan qui a convaincu les derniers Démocrates réticents de soutenir le texte, la plus récente version du projet de loi pourrait empêcher le principal régulateur gouvernemental des secteurs financier et technologique de superviser ces potentielles monnaies numériques.

Le GENIUS Act [Acronyme de « Guiding and Establishing National Innovation for US Stablecoins », Orienter et promouvoir l’innovation nationale en matière de stablecoins américains. Le mot genius (génie) est un jeu de mots implicite visant à présenter ce projet de loi comme une idée brillante. NdT] a été conçu pour instaurer une régulation minimale des stablecoins, une forme de jeton cryptographique de plus en plus utilisée, généralement indexée sur le dollar américain à valeur équivalente (un stablecoin peut être échangé contre un dollar).

Si la loi venait à être adoptée, toute entreprise, qu’elle soit bancaire ou non, pourrait obtenir une licence pour émettre des stablecoins, avec un contrôle réglementaire minimal. Une telle mesure risquerait de déstabiliser l’ensemble du système financier et de rendre indétectables des activités illégales comme la fraude ou le terrorisme, tout en ouvrant de nouveaux marchés lucratifs aux entreprises émettrices de ces cryptomonnaies. La société Tether, basée au Salvador, est actuellement la plus grande plateforme d’échange de ces devises et a fait l’objet de nombreuses poursuites judiciaires aux États-Unis pour fraude.

Après que certains Démocrates favorables aux cryptomonnaies ont temporairement renoncé à soutenir le projet de loi au début de ce mois, les Républicains sont revenus à la table des négociations. Ils ont proposé ce qui semblait être quelques modestes concessions, destinées à apaiser les inquiétudes des Démocrates quant à une utilisation frauduleuse des cryptos par Trump à des fins personnelles. Mais une analyse juridique menée par l’équipe démocrate de la commission bancaire du Sénat a dynamité cette nouvelle version du texte, notamment parce qu’elle permettrait aux géants de la tech de créer leurs propres monnaies, en plus de nombreux autres problèmes pointés du doigt.

Le projet de loi accorde également une large dérogation à X (anciennement Twitter), la plateforme sociale d’Elon Musk, pour l’exempter même des restrictions les plus légères. Selon l’analyse de la commission bancaire, cette clause revient à « offrir au plus proche allié Big Tech du Président un avantage concurrentiel pour créer sa propre monnaie privée ».

Elon Musk ne serait peut-être pas le seul à profiter de ces avantages. L’administration Trump pourrait également accorder des exemptions aux entreprises technologiques de son choix, en les soustrayant aux exigences les plus strictes du projet de loi, selon l’équipe de la commission bancaire du Sénat.

À ces exemptions s’ajoute une nouvelle disposition juridique discrètement intégrée au texte, qui retire tacitement au Consumer Financial Protection Bureau (CFPB), l’un des principaux régulateurs des secteurs financier et technologique, son autorité pour superviser l’émission des stablecoins. Le CFPB enquête sur les réseaux de paiement de Meta et d’autres entreprises technologiques, et a pris des mesures pour les soumettre aux mêmes règles que les banques.

Malgré ces inquiétudes, seize sénateurs démocrates viennent d’approuver le passage du texte révisé en séance plénière, ce qui rend son adoption par le Sénat quasiment certaine. Seuls deux Républicains ont voté contre la mesure : Rand Paul, sénateur du Kentucky, et Jerry Moran, sénateur du Kansas. Ils s’opposent à toute intervention fédérale visant à soutenir les cryptomonnaies et les géants de la tech.

Selon les membres démocrates de la commission bancaire du Sénat, leurs collègues viennent d’avaliser une logique de clientélisme politique, précisément ce qu’ils affirmaient vouloir combattre dans la version initiale du GENIUS Act.

Les géants de la tech qui pourraient bénéficier de ce projet de loi ont versé des millions de dollars à des candidats-clés aux sièges les plus disputés lors des dernières élections. On y compte deux alliés déclarés des cryptomonnaies, Ruben Gallego (Démocrate, Arizona) et Elissa Slotkin (Démocrate, Michigan), qui ont chacun reçu 10 millions de dollars de la part de comités d’action politique financés par des intérêts liés aux cryptos. Le Protect Progress PAC, branche Démocrate du lobby crypto en matière de financement électoral, a dépensé 33 millions de dollars tant pour les primaires que pour les élections générales de 2024.

Briser le pare-feu

Officiellement, le GENIUS Act vise à faciliter la tâche des entreprises de cryptomonnaies, dont les groupes de lobbying ont fortement milité en faveur du texte. Mais selon Brian Shearer, ancien conseiller principal au CFPB et expert en droit à l’université Vanderbilt, ses implications pourraient aller bien au-delà, en affectant un large éventail de secteurs non bancaires.

La formulation du projet de loi remet en cause un principe juridique vieux de deux siècles, qui impose une séparation entre les banques qui vendent des produits financiers, et les entreprises commerciales qui vendent des biens. Cette séparation avait été instaurée pour empêcher les firmes industrielles de concentrer un pouvoir excessif dans la finance, ce qui leur aurait permis de restreindre l’accès aux services bancaires pour leurs concurrents ou leurs clients.

Dans le passé, le fait de brouiller les lignes entre la finance et le commerce a causé des problèmes majeurs.

Par exemple, dans le secteur financier, l’abrogation en 1999 du Glass-Steagall Act sous la présidence de Bill Clinton a supprimé une barrière de longue date entre les activités plus risquées de la banque d’investissement et l’aspect plus stable de la banque commerciale, centrée sur la gestion des dépôts des clients. De nombreux experts estiment que la disparition de cette séparation a contribué à ouvrir la voie au krach financier de 2008.

Même si ce scénario peut sembler extrême, Brian Shearer souligne que « même des perturbations mineures des principes fondamentaux de la régulation financière peuvent avoir des conséquences profondes sur l’ensemble du système financier ». Des régulateurs ont d’ailleurs mis en garde contre un possible effondrement financier si les cryptomonnaies venaient à s’immiscer dans les marchés bancaires traditionnels.

Le GENIUS Act intervient également à un moment où les régulateurs financiers, sous l’impulsion du CFPB, intensifient leur pression sur les géants de la tech, accusés d’abuser de leur pouvoir de marché pour imposer leurs propres services de paiement, assortis de frais de transaction élevés.

Apple, Google et Meta disposent chacune de leur propre réseau de paiement, et Elon Musk a déjà exprimé son intention d’intégrer des services de paiement à son réseau social X.

Apple Pay a mis en place le système de paiement en ligne le plus avancé, avec près de 800 millions d’utilisateurs dans le monde. Dans le cadre d’un procès antitrust intenté par le ministère de la Justice américain, Apple est accusée de contraindre utilisateurs et développeurs à utiliser son propre réseau de paiement.

Brian Shearer, ancien juriste au CFPB, explique que dans le cadre du GENIUS Act, Apple pourrait lancer sa propre « carte de paiement » en stablecoin, qui détiendrait les dépôts de ses clients et offrirait au géant technologique un accès encore plus poussé aux données financières et transactionnelles de ses utilisateurs.

Les plans de Meta pour l’émission de sa propre monnaie sont probablement les plus sophistiqués qui soient. En 2019, son PDG Mark Zuckerberg avait annoncé le lancement d’un jeton crypto baptisé Libra, avant de faire marche arrière face aux vives réactions des régulateurs, tant aux États-Unis qu’à l’international. Plusieurs autorités de régulation fédérales, dont le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, avaient mis en garde contre les risques que ferait peser sur les marchés financiers une supervision laxiste de produits financiers comme Libra. Par exemple, les paiements effectués sur des plateformes technologiques ne sont couverts par aucune assurance des dépôts.

L’annonce de Meta concernant Libra a attiré l’attention du CFPB, qui a ouvert une enquête sur les réseaux de paiement des géants de la tech. À l’issue de cette procédure, l’agence a adopté en 2024 un ensemble de règles soumettant les services de paiement opérés par des entreprises technologiques aux mêmes normes réglementaires que les institutions financières classiques et appliquant aux stablecoins la législation relative à la fraude, à la protection de la vie privée et aux autres lois de protection des consommateurs.

Peu après l’annonce de ces règles, Mark Zuckerberg, lors de son passage dans le podcast The Joe Rogan Experiences a critiqué les décisions du CFPB, tandis qu’Elon Musk a appelé à la fermeture pure et simple de l’agence.

La toute dernière version du GENIUS Act pourrait bien retirer au CFPB son autorité pour faire appliquer ces règles. Sans son intervention, c’est toute une mosaïque d’autres régulateurs financiers, bien moins rigoureux qui serait chargée de surveiller ces pratiques pourtant potentiellement néfastes.

Alors que le projet de loi suit son cours au Sénat, des informations indiquent que Mark Zuckerberg envisagerait à nouveau de lancer un stablecoin pour son entreprise. L’une des raisons invoquées pour justifier cette initiative serait de faciliter la rémunération des créateurs de contenu à l’étranger sans avoir à se plier à des procédures bancaires internationales fastidieuses.

Si les législateurs adoptent la loi GENIUS et autorisent les projets de Meta à aller de l’avant, l’entreprise pourrait, en pratique, devenir sa propre institution financière, au service d’une clientèle existante de près de quatre milliards d’utilisateurs dans le monde de ses plateformes de médias sociaux.

« Les géants de la tech veulent ouvrir leurs propres banques, ce que la réglementation actuelle leur interdit » écrit Shearer sur le site de politique financière Open Banker. « Nous savons qu’il s’agit d’une menace réelle parce que Meta a déjà essayé et échoué une fois ».

*

Luke Goldstein est journaliste pour The Lever. Spécialisé dans l’investigation, il vit à Washington. Il était récemment chargé de rédaction à l’American Prospect et travaillait auparavant à l’Open Markets Institute.

Source : Jacobin, Luke Goldstein

les-crises.fr/quand-les-geants…

Emmanuel Florac reshared this.

Russian #Government -Linked #SocialEngineering Targets App-Specific #Passwords


Source: citizenlab.ca/2025/06/russian-…

#google #phishing #russia #apt29 #cosyBear #mfa #cybersecurity #security #hack #hacker #gmail #news #internet

Imam Khamenei: Our people will not spare their blood and will not stop defending their country's airspace. english.alahednews.news/fastne…

First MetOp-SG and Sentinel-5 arrive at launch site


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MetOp-SG-A1 out of its shipping container and standing proud

Europe will soon be taking another leap forward in its weather forecasting capacity as the first MetOp Second Generation, MetOp-SG-A1, satellite arrives safely at Europe’s Spaceport in French Guiana, marking a pivotal moment on the road to launch.

This new polar-orbiting weather satellite also carries the Copernicus Sentinel-5 instrument to deliver daily global data on air pollutants and other atmospheric trace gases.

#earth #science #space #esa #europeanspaceagency
posted by pod_feeder_v2

“The models were right”: astronomers find ‘missing’ matter


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Astronomers discover vast filament of ‘missing’ matter

Astronomers have discovered a huge filament of hot gas bridging four galaxy clusters. At 10 times as massive as our galaxy, the thread could contain some of the Universe’s ‘missing’ matter, addressing a decades-long mystery.

#news #space #science #esa #europeanspaceagency
posted by pod_feeder_v2

Alexandre Mirlicourtois, La Bulgarie en zone euro : la rigueur et l'exode - Décryptage éco - xerficanal.com


#économie #politique #UE

L'UE détruit les pays qu'elle absorbe. C'est une colonisation rampante.

...Son PIB par habitant, à peine supérieur à 24 000 euros, représente seulement 41% de la moyenne européenne, ce qui en fait le pays le plus pauvre d’Europe. Une sacrée épine dans le pied. Le manque d’attractivité et de perspectives pousse une partie de la population, notamment les jeunes qualifiés, à quitter le pays. Cette émigration est facilitée par une diaspora importante (43% des Bulgares résident à l’étranger) et par l’adhésion à l’UE depuis 2007.

Résultat : la population diminue, d’autant plus que, faute de naissances suffisantes, le solde naturel est négatif depuis le début des années 90. En 35 ans, la population a chuté de près de 30%, et celle en âge de travailler se réduit encore plus rapidement, ce qui pose des problèmes de financement pour le système social.


xerficanal.com/economie/emissi…

Carbon fiber is a composite material


A trusted carbon fiber supplier plays a vital role in the success of industries that rely on high-performance materials. Carbon fiber is known for its exceptional strength-to-weight ratio, durability, and modern appearance. It is widely used across sectors such as aerospace, automotive, marine, sports, construction, and consumer electronics. Choosing the right supplier ensures not only product quality but also consistency, customization, and technical support.

Carbon fiber is a composite material formed from thin strands of carbon atoms, bonded together in a crystal structure. These strands are woven into fabric or molded into sheets, then combined with resin to create an incredibly strong yet lightweight product. Because of its advanced properties, carbon fiber is a premium material that demands careful sourcing and manufacturing.

The best carbon fiber suppliers provide a broad selection of products, including sheets, tubes, rods, and custom-molded parts. These materials are available in various weaves, finishes, and thicknesses to suit different applications. A reliable supplier understands that each industry has unique requirements and offers tailored solutions for strength, flexibility, and surface aesthetics.

A good supplier also places a strong focus on quality control. Every batch of carbon fiber must meet strict standards for strength, weight, and performance. This ensures that engineers, designers, and fabricators receive consistent and dependable materials for critical applications. Whether it’s for structural components in aircraft or cosmetic panels in sports gear, quality and repeatability matter.

Another important trait of a reputable supplier is the ability to offer customization. This includes support for unique dimensions, resin types, weave patterns, and finishes. Custom carbon fiber components are often necessary in prototyping, motorsports, high-end product design, and other specialized areas. A supplier who can adapt to complex project needs adds immense value beyond simply delivering raw material.

Fast delivery, technical support, and responsive customer service are also hallmarks of a good carbon fiber supplier. Clients often work with tight deadlines and performance goals, making speed and reliability essential. Professional suppliers work closely with clients during every stage — from design consultation and material selection to delivery and after-sales service.

Protracted Instability In Iran Could Adversely Affect India’s Strategic Interests korybko.substack.com/p/protrac…

Rechtsanwalt Andreas Hennemann aus Konstanz zeigt Innenminister Alexander Dobrindt an.

»Wer wissentlich rechtswidriges Verhalten anordnet, muss dafür rechtlich zur Verantwortung gezogen werden«

fr.de/politik/spd-politiker-ze…

N. E. Felibata 👽 reshared this.

Mali regains control over its natural resources en.reseauinternational.net/le-…

The Matrix (1999) Filming Locations – Shot-for-Shot – Sydney, Australia

[video]Link: youtube.com/watch?v=UVf7rMqnwI…
Discussion: news.ycombinator.com/item?id=4…

Sophia Aram répond à la rédaction du « Parisien » qui l’accuse de « racisme » anti-suédois


#politique #racisme #sionisme #Gaza #génocide

Le titre est bien biaisé, mais la réalité c'est que les journalistes en ont marre du deux poids deux mesures:

Face au « plan d’économies » mis en œuvre par la direction, la SDJ demande « la suppression » des chroniques dominicales de Sophia Aram, dans lesquelles elle voit des « règlements de comptes » et des « partis pris idéologiques doublés d’obsessions personnelles ».


fr.news.yahoo.com/sophia-aram-…

#Israel -linked group hacks Iranian #cryptocurrency exchange in $90m #heist


Source: theguardian.com/technology/202…

This also disproves the #crypto bros' lie that crypto is safe from unauthorized state #access.

#news #technology #money #hack #hacker #cybercrime #security #cybersecurity #war #Iran #finance #bitcoin #btc #fail

Respected Comrade Kim Jong Un Meets Secretary of Russian Security Council Sergei Shoigu #DPRK kfauk.com/respected-comrade-ki…

save this here before they delete it.
times of israel quoting an employee of the hospital saying "it is a miracle that nobody was injured in the Iranian ballistic missile strike on the hospital this morning, describing how debris fell onto the beds of the patients." iranian state claims they targeted and hit an intelligence location next door and the damage to the hospital next door was from the shockwave.
take from all that what you will.

#iran #iranisraelwar

We didn't want to help Israel when it came to genocide in #palestine and we don't want to help them go to war with #iran. I'm getting flashbacks to my childhood, post-9/11, when George W. Bush decided war in #iraq was the only path forward.

We've been there and done that.

#anarchy #anarchist #socialism #socialist #politics #politik #FuckMaga #fucknazis #freepalestine #vivapalestina #fucktrump #nokings #nomorewars #nomorewaranywhere

NuKE thAt PoLL

Israel is again threatening to nuke the western world if we don't help them to destroy Iran.

If it comes down to it though. Would it really be so bad? I mean if we keep going along with this, "what will the end be? Enslavement of our people, annexation of our land" to quote Adolf Hitler.

I would honestly rather take my chances with a nuclear world war, if it would mean the total destruction of Israel. I say it would be a worth it.

Or we will be destined to forever slavery.

  • Save Israel to avoid nuclear WW3 (0%, 0 votes)
  • Call their bluff and roll with it (100%, 9 votes)
  • I am gay for Israel (0%, 0 votes)
9 voters. Poll end: 1 month ago

Unknown parent

mastodon - Link to source

EvolLove

@DrFell

What is the option U miss?

The premise for this poll is as follows, Israel once again threatens to nuke the West if we don't help them defeat Iran for them.

I for once felt like, this might be a good opportunity to check if they are bluffing.

Either they have the capacity or they don't. I say we find out the hard way.

Missiles & Misinformation: Iran’s Response & Western Hypocrisy #Palestine freepalestinetv.substack.com/p…



Capturer le texte d’une capture d’écran avec NormCap ! – Li P'ti Fouineu !


webcollart.net/capturer-le-tex…