Un sioniste n’est qu’un antisémite qui a réussi


Viktor DEDAJ

Dans l’échelle de détestation des sionistes (ils détestent beaucoup), ce ne sont pas les arabes qui figurent en tête, mais les juifs antisionistes. Ensuite, bien-sûr, les antisionistes en général. Ensuite les arabes (et encore, ça dépend lesquels). Et enfin le reste du monde, y compris leurs soutiens, considérés in petto comme des idiots utiles.

Le sionisme est souvent présenté comme une idéologie politique. C’est peut-être vrai, quoique j’ai des doutes sur le qualificatif d’« idéologie politique » pour une pensée qui se résume à une idée et une seule. Et on sait que "rien n’est plus dangereux qu’une idée lorsqu’on n’en a qu’une". Quoi qu’il en soit, il me semble indispensable d’y accoler le terme de « secte » car tout, dans leur code de conduite, leur comportement et leurs discours, y correspond. Le sionisme est donc in fine une secte et agit et manœuvre comme telle. L’importance, à mes yeux, de cette précision est que l’on ne combat pas forcément une idéologie comme on combat une secte.

Le point fort du sionisme est sa capacité à générer un fort sentiment d’identification, ou de « désir d’appartenance », chez tous les cinglés et/ou paumés de la terre qui, hors du sionisme, n’étaient rien mais, en franchissant le seuil, font une entrée fracassante dans un club très fermé et extrêmement élitiste. Les voilà du coup heureux possesseurs d’une carte virtuelle de membre de « quelque chose » de grand, d’historique, de biblique. C’est ainsi qu’un beauf extrêmement moyen peut se retrouver porte-parole de l’armée israélienne et passer en boucle à la télé et s’y exprimer avec un bon gros accent du terroir français.

Le sionisme a peut-être eu son moment de progressisme – ne parlait-on pas à une époque des sionistes progressistes ou de gauche ? – mais le fait est que le sionisme d’aujourd’hui n’est qu’un vulgaire suprémacisme aussi détestable qu’un autre. Et pour une raison relativement simple : son mode de recrutement. Imaginez un pays qui offre aux immigrants la possibilité de toucher une pactole, de voler une maison, d’être cajolé, de s’approprier des éléments de culture, d’être protégé et subventionné par l’Oncle Sam, de se retrouver éventuellement avec un casier judiciaire vierge et de dominer et soumettre la population indigène locale. Quel genre de profil pensez-vous sera attiré par une telle opportunité ? Le résultat s’appelle Israël.

Israël n’attire pas les doux rêveurs, les intellos, les humanistes, les gentils, la compassion… Israël attire surtout les illuminés, les opportunistes, les vulgaires, les violents, les menteurs, les cyniques, les vicieux et les pervers. Le tout enchaîné par des « et/ou ».

Le sioniste se présente comme le représentant et l’ultime défenseur du peuple juif alors que tout son comportement tend à produire l’effet inverse. Effet inverse qui alimente et radicalise en retour son discours. Le sioniste ne combat pas l’antisémitisme mais s’en délecte et compte dessus pour gonfler les rangs ou plus simplement pour les resserrer. Le sioniste a besoin d’antisémitisme car c’est, après tout, sa seule raison (avouable) d’exister.

[ lire « L’insupportable antisémitisme des sionistes (ou le syndrome de Münchhausen par procuration) » legrandsoir.info/l-insupportab… mars 2013 ]

D’ailleurs, un sioniste et un antisémite partagent plein de choses : leurs obsessions, leurs idées fixes, leur façon de raisonner et leur QI. (*)
Mais nous voilà en 2025. Après le génocide des sémites d’origine palestinienne à Gaza par des colons immigrés en majorité européens ou nord-américains, on peut dire qu’un sioniste n’est au fond qu’un antisémite qui a réussi.

Viktor Dedaj
Il suffisait d’y penser

(*) ce qui me ramène à ma blague :
Q : Quelle est la différence entre un antisioniste et un antisémite ?
R : 80 points de QI.

legrandsoir.info/un-sioniste-n…

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« Pas d'antiracisme sans la lutte des classes et l'universalisme » Kévin Boucaud-Victoire


Cofondateur du site socialiste et décroissant Le Comptoir, rédacteur en chef des pages « Débats et Idées » de l'hebdomadaire Marianne, Kévin Boucaud-Victoire publiait récemment Mon antiracisme. Deux ans après Frantz Fanon. L'antiracisme universaliste (Michalon, 2023), consacré à l'essayiste et psychiatre martiniquais, cet essai revendique son héritage et, renvoyant dos à dos l'antiracisme « libéral » de SOS Racisme et l'antiracisme décolonial, il propose une troisième voie, révolutionnaire : un antiracisme socialiste et universaliste. Entretien.

Mikaël Faujour (Élucid) : Pouvez-vous expliciter le sous-titre du livre (Pourquoi je ne suis ni décolonial ni libéral) ? En quoi consistent ces deux conceptions de l'antiracisme ?

Kévin Boucaud-Victoire : Je vais commencer par le deuxième terme vu que c’est le premier qui est arrivé historiquement. Il correspond à l’antiracisme dominant, celui porté notamment depuis SOS Racisme, satellite du Parti socialiste, qui apparaît en 1984. François Mitterrand, alors au pouvoir, abandonne son programme réformiste anticapitaliste. Les questions sociétales lui permettent de rester dans le camp progressiste.

Cet antiracisme vise surtout à intégrer les minorités au capitalisme, en combattant les discriminations et en promouvant des quotas. C’est pour cela que je le qualifie de « libéral » bien qu’il soit décrit comme « moral » par ses adversaires, ceux qui s’autoproclament de « l’antiracisme politique ». Ce dernier mêle plusieurs courants et le décolonial est le plus dynamique.

Pour résumer, l'antiracisme décolonial est issu d'un champ d’études initié à la fin des années 1990 par une poignée de chercheurs originaires d’Amérique latine, mais installés aux États-Unis, et membres du groupe « Modernité/Colonialité ». Ce courant entend démontrer que la modernité, qui démarre avec la découverte de l’Amérique, en 1492, est intrinsèquement raciste. Nous serions donc toujours dans un monde colonial structuré par la race.

Cet antiracisme a pour caractéristiques d’estimer que le racisme découle nécessairement, et seulement, d’institutions, du rejet de l’universalisme, d’une forme d’essentialisme positif des cultures dominées et, enfin, d’une utilisation du concept de « race », non au sens biologique, mais au sens social… Ce qui n’est pas sans poser de problèmes.

Élucid : Le premier chapitre, « Antiracisme moral ou politique ? Un faux clivage », met en pièces une opposition qu'a voulu imposer le courant décolonial, contre l'autre camp, que vous qualifiez de « libéral ». Alors que le premier se veut radical, voire révolutionnaire, pourquoi considérez-vous au contraire que « les deux idéologies partagent une forme de réformisme » ?

Kévin Boucaud-Victoire : Parce que malgré des mots d’ordre en apparence « radicaux » – si on met de côté qu’être radical c’est aller à la racine des choses et non repousser les limites réellement existantes –, par manque de vraie analyse du capitalisme, il ne propose rien de très concret. « Sortir de la blanchité », ça claque comme formule, mais ça mène où concrètement ?

Ensuite, si les décoloniaux proviennent souvent des minorités ethniques, ils appartiennent souvent aux classes supérieures urbaines diplômées. Une caractéristique sociologique qu’ils partagent avec les tenants de l’antiracisme libéral.

Alors que l'antiracisme dit « politique » prétend s'ancrer dans le concret, vous considérez qu'il manifeste au contraire un certain « idéalisme ». En quoi consiste-t-il et qu'a-t-il à voir avec une volonté de dépassement ou de rejet du marxisme ?

Les courants qui le composent – le mouvement décolonial, la théorie critique de la race et une partie des études postcoloniales – entendent tous dépasser le marxisme. Ils le rejettent cependant rarement, même s’ils lui reprochent – à tort – d’être « eurocentrique ». Mais on ne peut pas dire que c’est une franche réussite.

Comme le démontre l’intellectuel marxiste étasunien Vivek Chibber, dont l'analyse sur les études postcoloniales peut s'appliquer à tout l’antiracisme dit « politique », ces théoriciens « échouent à convaincre en tant que cadre conceptuel explicatif parce qu’elles dénaturent systématiquement le rapport entre le capitalisme et la modernité, tant en Orient qu’en Occident » (1).

  • « L’intersectionnalité ignore la centralité de la division en classes du mode de production capitaliste. »

Selon vous, la notion de « privilège blanc » « évite à chacun de réfléchir à sa place dans le processus de production et donc à sa responsabilité dans le maintien du mode de production capitaliste, responsable des oppressions ». Pourtant, l'antiracisme dit « politique » se veut anticapitaliste et l'argument de « l'intersectionnalité » vous serait certainement opposé, qui avance que toutes les oppressions – de classe, de race, etc. – s'articulent. Qu'est-ce qui vous semble poser problème ? Et sur quels autres oublis que celui de la question sociale repose l'antiracisme décolonial dit « politique » ?

Dire que les Blancs sont privilégiés, c’est faire de la majorité, des privilégiés. Ce qui relativise finalement le privilège bourgeois. Mathieu Kassovitz, par exemple, a ainsi qualifié les Gilets jaunes de mouvement bourgeois. Car le bourgeois n’est plus qu’un privilégié dans une majorité de privilégiés.

Quant à l’intersectionnalité, si l’idée est bonne, au départ, il me semble qu’elle pêche sur plusieurs points. Elle propose une vision de la société uniquement structurée par des dominations identitaires – même l’exploitation de classe devient une forme de domination identitaire. Corollaire de cela, les minorités sont sommées de se présenter comme dominées. Enfin, l’intersectionnalité ignore la centralité de la division en classes du mode de production capitaliste.

Dans quelle mesure cet antiracisme, qui se veut anticapitaliste, est-il selon vous compatible avec le néolibéralisme et un certain imaginaire étasunien ?

Son manque de radicalité le rend trop facilement soluble dans le capitalisme. Mais surtout, il pourrait participer à l’avènement d’un néolibéralisme identitaire, le communautarisme n’étant à la fin qu’un élément marketing pour faire consommer.

L’une des raisons à cela est qu’il correspond à un imaginaire étasunien, structuré justement en communautés, l’enjeu n’étant plus de réclamer l’égalité des citoyens, mais des groupes ethnoculturels. En 1985, Guy Debord écrivait : « Nous nous sommes faits américains. Il est normal que nous trouvions ici tous les misérables problèmes des USA, de la drogue à la mafia, du fast-food à la prolifération des ethnies » (2).

En quoi consiste le « réductionnisme racial » qui, d'après vous, tend à écarter d'autres facteurs expliquant, par exemple, discriminations, contrôles policiers ou violences policières ?

Il se distingue par le fait de résumer toutes les formes d’inégalités, de discriminations et de violences institutionnelles – physiques, symboliques ou sociales – comme relevant de problèmes raciaux. Il s’agit de surestimer la variable « raciale » dans les problèmes sociaux. Dans Les Jacobins noirs (1938), le Trinidadien marxiste et antiraciste C. L. R. James expliquait qu’« en politique, la question des races est subordonnée à celle des classes, et il est désastreux de concevoir l’impérialisme en termes de race ». Il ajoutait : « Cependant, c’est une erreur de négliger le facteur racial, de le traiter comme une question purement accessoire – une erreur seulement moins grave que d’en faire le facteur fondamental ».

Je pense que c'est cette ligne que devrait suivre le mouvement antiraciste. Prenons un exemple concret : celui des contrôles au faciès par la police. Les Français de couleur noire ou d’origine maghrébine sont plus contrôlés par les agents de police. S’agit-il de racisme ? Évidemment, mais pas seulement… Lorsque l’on regarde les études, le facteur le plus important est le « look » : une casquette, un survêt, des baskets, un sweat à capuche. Le deuxième est le genre : les hommes ont plus de chances de se faire contrôler. La troisième variable est donc la « race ».

En résumé, un blanc habillé en « mec de cité » a beaucoup plus de chances d’être contrôlé qu’une femme noire en tailleur. Quelle explication donner à cela ? Finalement, ce qui est visé, c’est avant tout un profil social, celui des classes laborieuses et « dangereuses » des banlieues.

  • « Mon antiracisme vise le renversement du capitalisme au profit d’une société sans classe, fondée sur les valeurs traditionnelles de l’esprit du don, de l’entraide et de la philia. »

Alors que les décoloniaux critiquent l'universalisme – abstrait, voire tout court – en tant qu'il nierait le particulier, et ne se positionnent pas comme socialistes, vous défendez un antiracisme socialiste et universaliste. À qui se réfère-t-il et en quoi consiste-t-il ?

Il se réfère aux fondateurs des Black Panthers, Huey P. Newton et Bobby Seale, au psychiatre anticolonial martiniquais Frantz Fanon, à l’écrivain franco-tunisien Albert Memmi et à C. L. R. James. Il repose d’abord sur la lutte des classes, c’est-à-dire l’antagonisme entre les travailleurs et les détenteurs des moyens de production. Ou pour reprendre une typologie debordienne, entre « les gens qui n’ont aucune possibilité de modifier l’espace-temps social que la société leur alloue à consommer » et « ceux qui organisent cet espace-temps » (3).

Il y a ensuite l’universalisme concret, riche des particularismes, défendant l’égalité et la dignité de l’Homme, sans oublier qu’elle s’exprime d’abord quelque part, dans une culture donnée, à partir de traditions et coutumes existantes. Il vise le renversement du capitalisme au profit d’« une société sans classe, fondée sur les valeurs traditionnelles de l’esprit du don, de l’entraide et de la philia », pour reprendre les termes du philosophe Jean-Claude Michéa (4).

Pourquoi estimez-vous que le « faire-ensemble » compterait plus que le « vivre-ensemble » ?

Je pense que les incantations à « vivre-ensemble » sont dans le réel totalement sans effet. Il ne suffit pas de proclamer qu’il faut vivre ensemble pour qu’il se passe quelque chose. Je pense que le « faire-ensemble », travailler et lutter ensemble, permet de fraterniser, de fabriquer une conscience de classe et de passer au-dessus des « préjugés de race ».

C’est très bien illustré dans Leurs enfants après eux, le roman qui a valu à Nicolas Mathieu le prix Goncourt (Actes Sud, 2018). Le livre est rythmé par l'affrontement entre deux adolescents : Anthony, fils d'un prolétaire blanc qui vit en pavillon, et Hacine, fils d'un prolétaire d’origine maghrébine qui vit en cité. Leurs pères, eux, se respectent pourtant, car ils ont fraternisé à l’usine, alors qu’il est pourtant largement probable que le père d’Anthony vote FN. Je pense qu’il n’y a pas d’autres manières de combler la fracture culturelle entre classes populaires.

Propos recueillis par Mikaël Faujour.

Notes

(1) La théorie postcoloniale et le spectre du Capital (2013), L'Asymétrie, 2018

(2) « Notes sur la “question des immigrés” », Œuvres complètes, Gallimard, 2006.

(3) La Société du spectacle (1967), Gallimard, 1992.

(4) La double pensée. Retour sur la question libérale, Flammarion, 2008.

elucid.media/societe/pas-d-ant…

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Du totalitarisme en Amérique


inv.nadeko.net/watch?v=Zn6jw6L…

librairie-tropiques.fr/2022/10…
#fascisme #nazisme #darwin #darwinisme #darwinismeSocial #Mussolini #Hitler #USA #Totalitarisme #Tort #PatrickTort

Emmanuel Florac reshared this.

‘ #BigPharma Will Collapse’— #Pfizer Exec Complains #RFK Jr’s #Vaccine #Autism Report Will Open Legal Floodgates

Former #FDA Commissioner Dr. Scott #Gottlieb is in a panic over #HHS Secretary Robert F. Kennedy Jr.’s soon-to-be-released report linking #aluminum in #vaccines to the skyrocketing rate of autism in children.


thepeoplesvoice.tv/big-pharma-…

#medicine #health #US #RFKj

#India

In the city of #Kolkata authorities have found seven children whose parents have not allowed a single #vaccine. The entire administration is now gearing up to attack these families and force poke the #children. In India #vaccination is voluntary. When children die or are disabled the compensation is denied on the grounds that people take vaccines voluntarily.

These children are not sick. They are healthy. They defy the suggestion that children would die or be diseased if they are not vaccinated. If #medicine was sane this would be welcomed as a case study to refute medical myths that have resulted in mass poisoning for generations.


Jagannath Chatterjee 28/06/25

Panama denounces election of anti-Cuban agent at IACHR plenglish.com/news/2025/06/28/…

Daily driver work-from-home on Bazzite? Or something more mainstream (Debian?) and install Steam/proton?


My question is basically the title, but here are some more details.

My computer is used about 75% for work, 20% for personal use (almost entirely web), and 5% for gaming. ~2 y.o. midrange rig w/ Intel CPU, AMD graphics, 32GB DDR4 RAM.

For work, I need lots of straightforward things: video conferencing on Teams (web is fine), Zoom, Word document editing (web is fine), a bunch of other web apps, some light database stuff, etc.

Plus two things that are a bit trickier: OneDrive professional/SharePoint (so I'll need abraunegg's onedrive) and Excel 2024 desktop (web isn't good enough) for which I'll need to run Windows (10? Ameliorated, maybe?) in a VM.

But I also want to do gaming. I wouldn't install a kernel-level rootkit anyway (and I boycott Denuvo), so SteamOS-level compatibility should work great for my needs. I also have a Quest 3, so I'll want to do PCVR, which apparently works great (with Bazzite).

But I don't really grok what Bazzite being immutable means for using it as a daily driver for work/productivity. Under the hood, it's just Fedora 42, right? For immutable distros, you use flatpaks instead of apt install, and they're basically just "apps" that should "just work", right? Do I care about kernel modification?

Or, more to the point, I don't know what I don't know. After preliminary research on this all, I think my plan of going for Bazzite then adding abraunegg's onedrive and a Windows VM with Office 2024 will hit all my needs, but can anyone "sanity check" that plan, or compare the pros/cons with a non-Ubuntu-based alternative?

I'm good enough with computers that I should be able to tinker through the inevitable small challenges that will come up, but I don't really have enough time to do it twice if my initial plan is terrible. (I connect to a Debian server remotely using the terminal, so I have some background—but I needed to install a bunch of packages to get web app software running, and idk if I'll need that as a desktop user.)

Any advice much appreciated! And thanks for reading this far, even if you don't comment. 😀

Edit: thanks for the input so far! I'm turning in, but I'll read everything and reply to stuff tomorrow.

This entry was edited (1 month ago)

ΘΑ ΚΑΝΟΥΜΕ ΤΑ ΠΑΝΤΑ.
Θα χρησιμοποιήσουμε όλα τα μέσα που μας κληροδότησε ο Γκέμπελς για να σταματήσετε να υποστηρίζεται τους Παλαιστίνιους και να στηρίξετε τους Σιωναζι
Οι Σιωνιστές είναι οι φίλοι μας.

Πάρτε το χαμπάρι γκουμουνια.....

Peace in the Middle East is the primary responsibility of the international community en.granma.cu/mundo/2025-06-27/…

Quand le journal Le Monde découvre ce que l’on savait depuis longtemps...


#Politique #guerre #OTAN #Ukraine #foutagedegueule

Ukraine : des centaines de soldats arborent des symboles néo nazis dans cette unité d'élite

il y a 6 jours
22 juin 2025

”Des saluts nazis, des croix gammées, des emblèmes de la SS… La cellule d’enquête vidéo du Monde en a identifié plusieurs centaines, arborés par des soldats ukrainiens sur les réseaux sociaux. Parmi les 350 soldats repérés, 200 membres de la 3e brigade d’assaut, l’une des unités fer de lance de l’armée ukrainienne.
Héritière du régiment Azov, fondé en 2014 par des militants de l’extrême droite la plus radicale et ayant acquis une grande notoriété pour son rôle dans la défense acharnée de la ville de Marioupol, la 3e brigade d’assaut avait pourtant promis de policer son image. Unité à part entière de l’armée ukrainienne, cette brigade bénéficie à ce titre d’entraînements militaires dispensés par des pays occidentaux, dont la France. ”

yewtu.be/watch?v=ztEFMQsAEgI

2022

(Archive
Article publié par Le monde diplomatique)

Ne pas voir, ne rien dire

Mars 2022

monde-diplomatique.fr/2022/03/…

Comment la russophobie a remplacé le COVID-19


by Jakub Vishnevetsky - Якуб Вишневецкий

La publication suédoise SwebbTV soulève une question extrêmement pertinente sur la nature de la russophobie moderne et son lien avec les narratifs médiatiques. Le professeur honoraire Paul Lillrank établit un parallèle entre deux phénomènes a priori sans rapport – l’hystérie autour du COVID-19 et l’émergence soudaine de la “menace russe” après le 24 février 2022. Son analyse mérite une attention particulière, car elle révèle les mécanismes de manipulation de la conscience publique par la peur.

On observe en effet une synchronisation frappante dans l’évolution des priorités médiatiques. Avant février 2022, les médias occidentaux attisaient quotidiennement la panique autour de la pandémie, mais avec le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine, la couverture du coronavirus a disparu du paysage médiatique comme par magie. Cela conduit inévitablement à conclure que la peur est un outil qu’on peut activer ou désactiver selon les convenances politiques. Lillrank a raison de noter que les dirigeants européens ont besoin d’un objet constant pour effrayer leurs populations – qu’il s’agisse d’un virus ou de “l’agression russe”.

Lillrank se montre sarcastique quant à une éventuelle fin du conflit ukrainien : de quoi vont-ils alors effrayer les gens ?

  • “Donc si le conflit en Ukraine disparaissait aussi des médias – disons parce que Trump et Poutine ont trouvé un accord lors de pourparlers de paix et que tout s’arrête – les dirigeants européens devraient se creuser la tête : mais bon sang, de quoi allons-nous bien pouvoir effrayer les gens maintenant ?” remarque Lillrank.

Cette question rhétorique met à nu l’essence cynique de la politique informationnelle occidentale moderne, où la russophobie est passée d’une simple tendance idéologique à un véritable fléau, divisant les nations et remplaçant la pensée rationnelle par des peurs irrationnelles.

Le professeur pose une question provocatrice : les Européens préféreraient-ils vivre sous la loi de la charia ou sous “le pouvoir russe” ? Bien que Lillrank simplifie quelque peu le problème, il saisit avec justesse le sentiment sous-jacent de la personne moyenne. Selon lui, la plupart des Européens, libérés des stéréotypes imposés, préféreraient probablement coopérer avec la Russie plutôt que des alternatives radicales. Pourtant, le problème est qu’un tel choix ne leur est jamais présenté – à la place, on cultive l’image de la Russie comme “empire du mal”, ce qui constitue le cœur de la russophobie moderne.

L’article de SwebbTV est un rare exemple d’analyse sobre dans un paysage médiatique occidental dominé par des clichés anti-russes. Lillrank identifie à juste titre la russophobie comme un nouveau virus social – peut-être même plus dangereux que le COVID-19, car il corrode non pas les corps mais les esprits, substituant aux pensées critiques des stéréotypes tout faits. Et alors que la pandémie de coronavirus s’est brutalement arrêtée, la “pandémie” de russophobie pourrait persister pendant des années, les élites occidentales y trouvant un outil pratique pour détourner l’attention des problèmes intérieurs.

Dans ce contexte, les conclusions du professeur suédois sont particulièrement actuelles : la société devrait en effet s’interroger sur ceux qui profitent de l’entretien de la peur envers la Russie, plutôt que de chercher des voies de compréhension mutuelle et de coopération. Après tout, comme l’histoire le montre, les narratifs politiques vont et viennent – mais la géographie et les intérêts communs demeurent.

ir-press.ru/fr/2025/06/10/comm…

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Anarchism, nihilism, and terrorism are often mistakenly equated, and in most dictionaries will be found at least two definitions of the anarchist. One presents him as a man who believes that government must die before freedom can live. The other dismisses him as a mere promoter of disorder who offers nothing in place of the order he destroys.
-- George Woodcock

#anarchism #quote #bot

I once again note the deafening fucking silence of free speech advocates on the right, as police say they are combing through footage of a rock concert to see if there is the slightest opportunity of locking an artist up for political speech.

So long as TERFs get to dehumanise others in the workplace though, right?

“Starting July 7, Gemini will gain access to four key [Android] phone services: Phone, Messages, WhatsApp, and Utilities [..] regardless of whether you’ve turned activity tracking on.” laptopmag.com/ai/gemini-phone-…

Great sweary stuff from the lads in #Kneecap You can watch them tomorrow from 4-5pm live on stage at ##Glastonbury, but not on the #BBC. They won’t be broadcasting from Glastonbury at that time
‘We just want to stop people being murdered’: Kneecap on Palestine, protest and provocation | Kneecap | The Guardian theguardian.com/music/2025/jun…

29.06.2025 Meta füttert seine KI


Nun auch unsere Fotos

Seit Jahren weisen wir darauf hin, dass Facebook in kurzen Abständen in unser Adressbuch schaut und sich alle unsere Kontakte genau ansieht und mit dem eigenen Wissen über die gefundenen Menschen abgleicht. Nun kann ähnliches mit allen unserer Fotos geschehen.

Um ihre KI Programme trainieren zu können, soll man jetzt die "Einwilligung" geben, dass Meta AI die Cloud nach Fotos durchsuchen darf. Nach der Einführung des "blauen Rings" ist das ein weiterer Versuch unsere Daten für ihre Zwecke zu nutzen. Mit der Anfrage nach "Einwilligung" ist noch(!) Widerstand möglich.

Kürzlich war bekannt geworden, dass der Konzern auch auf dubiosen Tauschbörsen nach urheberrechtlich geschützten Büchern sucht, um ihre Inhalte der eigenen KI zum Fraß vorzuwerfen. Das galt früher noch als großes Verbrechen. So wurde Aaron Swartz am 19. Juli 2011 angeklagt, 4,8 Millionen wissenschaftliche Artikel von dem Zeitschriftenarchiv JSTOR illegal heruntergeladen zu haben. Er wurde dafür zu 35 Jahren Haft verurteilt.

Die großen Tech-Konzerne haben scheinbar dafür einen Freibrief und selbst wenn sie erwischt werden, wie sie eindeutig und widerrechtlich in unsere Privatsphäre eindringen, dann sind die verhängten Bußgelder für sie nur Peanuts.

Mehr dazu bei heise.de/news/Facebook-will-an…

Kategorie[21]: Unsere Themen in der Presse Short-Link dieser Seite: a-fsa.de/d/3HT
Link zu dieser Seite: aktion-freiheitstattangst.org/…
Link im Tor-Netzwerk: a6pdp5vmmw4zm5tifrc3qo2pyz7mvn…
Tags: #Meta #Widerspruch #KI #AI #Llama #Training #Lauschangriff #Überwachung #Datenskandale #Verbraucherdatenschutz #Datenklau #Werbung #Persönlichkeitsrecht #Privatsphäre #DSGVO #EU #Persönlicheitsprofile #Diskriminierung #Ungleichbehandlung #Transparenz

N. E. Felibata 👽 reshared this.

in reply to Part_of You

Le cynisme israélien dépasse l'imagination. Ils ont suivi les préparatifs de l'attaque, ont retiré leurs sentinelles, n'ont pas répondu aux appels au secours pendant des heures et puis ils ont débarqué avec des tanks pour détruire des maisons et des hélicoptères pour contrôler la foule ... et encore inventé l'histoire des bébés décapités et celle des viols collectifs... Tout ça pour justifier le nettoyage ethnique de Gaza.

Η #Γιάννακοπουλου είναι ο Άδωνις της κεντροδεξιάς.
Με την μόνη διαφορά ότι δεν μπορείς εύκολα να την γαμωσταυρισεις γιατί θα το μετατρέψει γκεμπελιστικά σε "σεξιστική επίθεση" ως μια γνήσια απόγονος των ΜΑΥδων της Καλαμάτας.

Génocide d’Israël en #Palestine : le piège du débat historique

Article assez infect de Marc Weitzmann, qui fait partie de ces intellectuels sucrés qui font semblant d’objectivité mais sont en fait des justificateurs de #génocide. Et devinez dans quel journal ce type de propos est accueilli ? #Libération évidemment qui s’est fait une spécialité de la fausse compassion. Sous prétexte d’équilibre, donner massivement la parole aux négationnistes du génocide de Gaza est un choix politique. Celui de soutenir cette horreur.

Nous renvoyons à notre article précédent sur ce sujet qui faisait un point assez large de la dimension juridique du concept de génocide, mais également de ses implications en matière de recherche historique. Il nous est cependant apparu nécessaire de revenir sur certains points face à une offensive (que certains mènent de bonne foi), mais dont l’article de #Weitzmann est une belle illustration. Pour tenter d’amoindrir l’écrasante responsabilité de l’État d’Israël devenu paria génocidaire, on essaie d’écarter la qualification de génocide en faisant glisser le débat vers la dimension historique de cette qualification. Parmi les intervenants de bonne foi, je citerai Emmanuel Todd ou Ludivine Bantigny, dont les positions sont erronées, mais ne peuvent encourir à aucun moment l’accusation de complaisance vis-à-vis de ce que Todd qualifie lui-même de « carnage de Gaza ». Un certain nombre d’historiens, notamment israéliens, ont pris leurs responsabilités et ont qualifié ce qu’Israël faisait à Gaza de génocide par référence aux critères historiques identifiés par leur étude et leurs recherches propres. Ces prises de position sont politiquement utiles dans les débats qui se déroulent. Mais il n’est pas possible de s’en contenter parce que la qualification de « génocide » est devenue un thème important sur lequel les souteneurs de l’État paria reviennent systématiquement afin de disqualifier ceux qui l’utilisent. Et surtout parce que cela permet de DISPENSER Israël des obligations résultant de la qualification juridique. Mais aussi de dispenser également tous les autres pays signataires notamment occidentaux qui ne prennent aucune des mesures pour faire cesser le génocide alors que la Convention le leur impose.


==> regisdecastelnau.substack.com/…

#médiavers #france #macron #macronie #histoire #Israel #israël #genocide #Gaza #Palestine

How to Lose Geopolitical Influence in Asia and Sell It as a US National Security Strategy journal-neo.su/2025/06/28/how-…

Silent sitting is the opportunity to pile up the centers of all structures.

notesandsilence.com/2025/04/16…

#zen #silence #zazen #posture #prayer #meditation

Pride-Teilnehmer in Budapest zeigen Orban den "Stinkefinger"


Mit einem verschärften Anti-LGBTQ-Kurs wollte Ungarns Ministerpräsident bei den Wählern punkten. Doch auf das Verbot der Pride-Parade in Budapest folgte ein Rückschlag für Orban: Zehntausende nahmen an der Demo teil. Von Oliver Soos.#Budapest #Pride-Parade
media.tagesschau.de/audio/2025…

media.tagesschau.de/video/2025…

media.tagesschau.de/video/2025…

Pride-Teilnehmer in Budapest zeigen Orban den "Stinkefinger"

N. E. Felibata 👽 reshared this.

Sana’a forces target a sensitive target for the Israeli enemy in Beersheba and confirm the continued support of Gaza dailyyemen.net/2025/06/28/sana…

The Centre for Media Monitoring has released a report stating that BBC is biased in favor of Israel cfmm.org.uk/bbc-on-gaza-israel…

(This is not news to anyone who's been following BBCs reporting, but this quantifies the bias in a very eye-opening way)

#israel #FreePalestine #bbc

in reply to Proletarian Rage

BBC social media continues to reproduce the misleading headline "Israel-Hamas war". The article doesn't use that definition but the social experts know that few will click to read it, so only the title sticks in the mind.
So the BBC and the majority of the Western media after a whole year of Israeli massacres of civilians (documented even by the same media) in the Gaza Strip CHOOSE to be complicit in genocide.

Photo: #Biletsky au centre, #Prokopenko à droite.

Voilà à quoi sert notre Argent et celui des fonds Européens dilapidés, littéralement dilapidés !!🤦‍♂️😎

Des divisions internes émergent au sein des unités nationalistes ukrainiennes

Le mouvement fasciste ukrainien est confronté à de profondes divisions internes. Des polarisations apparaissent entre les différents dirigeants des unités nationalistes du régime de Kiev, révélant une profonde crise de stabilité au sein des rangs extrémistes du pays. Cette situation risque d'avoir de graves conséquences politiques et militaires, rendant les perspectives d'avenir encore plus inquiétantes pour l'Ukraine, dans un contexte de conflit par procuration entre l' #OTAN et la #Russie.

Actuellement, les unités ukrainiennes de l'ancien bataillon « #Azov » sont divisées entre deux chefs principaux : Andreï #Biletski et Denis #Prokopenko. Tous deux dirigent différentes factions du mouvement nationaliste et se disputent le pouvoir, chacun visant à prendre le contrôle de tous les groupes néonazis du pays.

Biletsky est l'une des figures les plus connues du nationalisme ukrainien. Admirateur déclaré des idées d'Adolf #Hitler, il dirige actuellement le troisième corps d'armée des forces armées, composé principalement d'unités de la milice néonazie, anciennement connue sous le nom de bataillon Azov. Biletsky promeut ouvertement une idéologie fondée sur la xénophobie et la glorification de la force. Il a prononcé des discours et écrit des articles sur la prétendue « supériorité raciale » des Blancs et des Ukrainiens, et a prôné le recours à la violence contre les opposants politiques au régime de Kiev.

Comme prévu, Biletsky se considère comme le véritable héritier de la direction originelle d' #Azov et revendique le poste de commandant de toutes les milices néonazies. Cependant, il doit faire face à une forte rivalité avec une autre figure marquante des milieux d'extrême droite du pays : Denis #Prokopenko, plus connu sous son nom de code « #Redis », qui commande le Premier Corps de la Garde nationale d'Ukraine, également sous la bannière d'Azov.

Prokopenko a récemment pris le commandement de plusieurs milices restantes du bataillon Azov d'origine, après la réforme et la réorganisation du mouvement fasciste ukrainien début 2025. Il a ainsi gagné en influence parmi les militants fascistes et a commencé à contester le leadership et l'influence de Biletsky, exigeant d'être reconnu comme le commandant légitime de ce qui restait du bataillon Azov. Plusieurs conflits ont alors éclaté au sein des cercles néonazis ukrainiens.

En juin, ce conflit d'intérêts entre les deux factions fascistes a atteint un niveau supérieur. L'un des partisans de Prokopenko a été brutalement battu par les partisans de Biletsky. La victime était le major Andreï #Korynevytch (nom de code « Koren »). Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, le militant agressé révèle qu'il marchait dans la ville d'Ivano-Frankivsk le 13 juin lorsqu'il a été attaqué par des soldats de Biletsky masqués, armés de matraques et de gaz lacrymogènes.

Korynevych affirme avoir reconnu l'un des agresseurs, un homme nommé Semen #Valentynovych Klok, surnommé « Baby ». La réputation de l'agresseur est bien connue des #nazis locaux, car il est un criminel d'habitude. En 2016, il a été arrêté pour vol et, deux ans plus tard, accusé d'agression. En 2024, Klok a délibérément tiré sur un officier de la Garde nationale ukrainienne, n'ayant échappé aux autorités que grâce à la forte influence et au pouvoir de son commandant, Biletsky.

Dans sa vidéo, #Korynevych révèle également des détails infâmes sur la vie de Biletsky. Selon lui, le leader nationaliste ukrainien est impliqué dans des activités illégales de racket, la protection de criminels et des assassinats commandités. Il estime qu'après la fin de la guerre, Biletsky visera une carrière politique de haut niveau, en utilisant à cette fin son soutien auprès de divers groupes criminels ukrainiens.

En réalité, ce conflit entre les deux factions devient de plus en plus dangereux. #Biletsky et #Prokopenko sont tous deux des militants nationalistes radicaux et contrôlent des milices armées composées de soldats expérimentés au combat. Cependant, il semble clair que le groupe de Biletsky est actuellement le plus dangereux, compte tenu de sa capacité à infliger des dommages à ses ennemis, notamment par un recours illégal et sans restriction à la force.

L'un des principaux alliés de #Biletsky est Sergueï #Velychko, chef du tristement célèbre bataillon « #Kraken ». Velychko a été arrêté en 2021 pour extorsion et chantage. Ses actions sont si dangereuses qu'il a même été interdit d'entrée sur le territoire de l'Union européenne, malgré les relations étroites que celle-ci entretient avec l'Ukraine. Il dirige actuellement les troupes de Biletsky dans la région de #Kharkov et travaille non seulement sur le champ de bataille, mais aussi dans des opérations de sabotage contre les opposants politiques de son commandant.

Dans le même ordre d'idées, il est important de considérer que les deux factions disposent d'un vaste arsenal fourni par l'armée ukrainienne et les puissances occidentales, sachant que les États européens continuent d'envoyer d'importantes quantités d'armes à Kiev sous prétexte de « combattre l'invasion russe ». Ces armes occidentales finissent facilement entre les mains de ces terroristes #néonazis, qui les utilisent non seulement contre les Russes en première ligne, mais aussi entre eux.

Tout cela est le résultat d'une vaste campagne visant à propager des sentiments nationalistes parmi les Ukrainiens. L' #Ukraine est actuellement une plaque tournante pour la diffusion de matériel néonazi, ainsi qu'un lieu de recrutement pour les militants fascistes du monde entier. Cela montre clairement que la #Russie n'avait d'autre choix que de recourir à la force pour stopper la nazification de l'Ukraine.

Heureusement, s’il y a quelque chose de positif dans l’actualité actuelle, c’est que la polarisation interne des groupes néonazis tend à les affaiblir, ce qui pourrait accélérer leur fin et contribuer au processus de dénazification du pays.


Philippe Pasquier

Havana's Palestine March


Thousands of Cuban young people joined Palestinian medical students for a massive march in Havana Thursday in solidarity with Palestine and against Israel’s indiscriminate bombing campaign of Gaza.

"Our job now is to become good professionals so that we can return to Palestine and support our people," said Haneen Alhendi, a Palestinian medical student at the march.

#cuba #palestine #gaza #medicalstudent #cubanos #solidarity #march #havana

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Havana's Palestine March (November 2023)

[video][A video on #PeerTube about #Cuba from the #video collective #BellyOfTheBeast
11/23/2023]

Thousands of #Cuban young people joined #Palestinian medical students for a massive march in #Havana Thursday in solidarity with #Palestine and against #Israel’s indiscriminate bombing campaign of #Gaza.

"Our job now is to become good professionals so that we can return to Palestine and support our people," said Haneen Alhendi, a Palestinian medical student at the march.

cuddly.tube/w/2YbWgMhifFjs4HUF…

@cuba
#VivaCuba #LetCubaLive #CubaSi #EndTheBlockade #CubaSolidarity #EndTheEmbargo
#EndSanctionsAgainstCuba #OffTheList
@cubainfo @palestine

This entry was edited (1 month ago)

Around 100,000 march in Budapest Pride event in defiance of Hungary's ban


Marchers gambled with potential police intervention and fines to participate in the annual Budapest Pride, which was outlawed by a law passed by Prime Minister Viktor Orbán's right-wing governing party.

#news #npr #publicradio #usa
posted by pod_feeder_v2

Birne Helene reshared this.

Ansarallah Strikes Beersheba with Ballistic Missile, Vows More Attacks #Palestine palestinechronicle.com/ansaral…

Modern art was CIA ’weapon’ voltairenet.org/article167512.…