Me dio por revisar Tintin (aún ando en ello, empieza mal visto con la perspectiva que da el tiempo pero se ve que evoluciona) y ahora Indiana Jones. No quiero ni pensar lo que me vais a odiar si escucho por ejemplo los discos de Loquillo o alguna que otra letra de Fito.

Cuando analicen de todos modos vuestras obras en el futuro también encontrarán trazas de la época en la que fueron engendradas. No te creas moralmente mejor tú.

Gruß geht raus an den Kollegen, der damals beim der ersten großen Trumpismus -Welle vehement der Einschätzung widersprochen hat, dass sowas mit ein paar Jahren Versatz auch bei uns passieren kann und würde.

Paar Jahre später und wir haben "Hass und Lügen sind nur alternative Fakten" als Bundestagspräsidentin + Heerscharen blaubrauner Horden auf sämtlichen social media-Kanälen, die die Benennung von Lügen als Lügen zur "Unterdrückung unliebsamer Meinungen" erklären.

#Kellyanne #Kloeckner

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Battlefield 6 Open Beta Sees Record Stats

Battlefield 6 sees high engagement from players from it's betas, leading to record numbers.
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insider-gaming.com/battlefield…

#gamingNews

« Vivre-ensemble », « tolérance » : les vertus sans effort de l'individu dépolitisé - Élucid


#politique #société #libéralisme #individualisme

Le "vivre-ensemble", c'est de la merde... de la merde libérale et dépolitisante.


Du slogan de RTL (« Vivrensemble ») à son inlassable usage politique et médiatique, l'expression « vivre-ensemble » est partout, scandée avec une évidence jamais questionnée. Il existe même une « Journée internationale du vivre-ensemble en paix » de l’ONU… Il suffit de se pencher pour en récolter quinze à la douzaine. Ainsi, le libéral Institut Montaigne proposait en 2015, dans la foulée des attentats de Charlie Hebdo, de « réaffirmer la laïcité, pilier de notre "vivre-ensemble" ». Récemment, c'est la sénatrice Sylvie Robert, membre du Parti socialiste et vice-présidente du Sénat qui dénonçait une proposition de loi du groupe Les Républicains comme allant « à l'encontre de notre vivre-ensemble ». En janvier 2025, Saïd Benmouffok, professeur de philosophie et membre du parti Place publique, dans une carte blanche sur le site de L'Obs au sujet d'effets délétères que provoquerait en France la guerre à Gaza, avançait – quelle audace ! – qu' « il nous faut […] penser une véritable politique publique du vivre-ensemble qui dépasse les discours et s’incarne dans des actes concrets ».

Comment pourrait-on définir le « vivre-ensemble » ? Le site des Nations unies propose : « Vivre ensemble en paix, c’est accepter les différences, être à l’écoute, faire preuve d’estime, de respect et de reconnaissance envers autrui et vivre dans un esprit de paix et d’harmonie ». Le Larousse, lui, définit le « vivre-ensemble » comme la « cohabitation harmonieuse entre individus ou entre communautés ».

D’autres sources avancent que la notion recouvre « la diversité culturelle, l’inclusion sociale, l’économie sociale et solidaire, les alternatives, l’entrepreneuriat collectif, le réseautage, les dynamiques territoriales, la valorisation des potentiels endogènes », « le respect mutuel, l’acceptation de la pluralité des opinions, des interactions dans l’ouverture et la coopération, des relations bienveillantes, ainsi que sur le refus de s’ignorer ou de se nuire », ou encore « respect, tolérance, bienveillance ».
« Accepter les différences »

Ce nuage de mots et concepts esquisse un univers moral et politique. Si, à proprement parler, la diversité culturelle n’est pas une valeur mais un fait, elle devient une valeur lorsque les particularités culturelles sont investies positivement en proportion d’une incitation à « accepter les différences » (1). Comme l’a analysé Walter Benn Michaels dans La diversité contre l’égalité, promotion de la « diversité » et lutte contre les discriminations sont parfaitement solubles dans le capitalisme (2), dès lors que demeurent intouchées les structures d’exploitation et la propriété privée des moyens de production.

Cette conception « diversitaire » ouvre à ce que Daniel Bernabé a nommé « piège identitaire », où se sont enferrés de larges pans de la gauche du XXIe siècle, de la plus sociale-démocrate jusqu’à la plus libertaire, contribuant à un « marché des identités » et parfois même à « l’effacement de la question sociale ». Pour cette raison, « l’inclusion sociale », corollaire du « vivre-ensemble », relève du même ordre d’évidences jamais questionnées, alors qu’il y a lieu de (se) demander : insertion à quoi ? À travers des « politiques d’insertion » et de « retour à l’emploi » à destination des « publics éloignés de l’emploi » ou « victimes de discrimination », il s’agit d’intégrer au salariat – si besoin, à renfort de formations plus ou moins contraintes. Autrement dit : insérer dans le monde de l’entreprise, de la production et de la consommation – c’est-à-dire du capital, en mettant à sa disposition l’individu en tant que force de travail.

La définition hasardeuse des Nations unies citée plus haut, en fin de compte, manifeste le fond de l’affaire : « vivre ensemble en paix » ne relèverait pas à proprement parler de la chose publique, mais serait une affaire de courtoisie. À ceci semble d’ailleurs se ratatiner un certain usage de l’antiracisme décolonial : lutter contre les préjugés, déconstruire ses privilèges, revient à ramener la politique au niveau du développement personnel et des règles de bonne conduite en société.

Entendons-nous bien : lutter contre le sexisme, l’hostilité aux musulmans, contre le racisme, contre les discriminations, hostilités et préjugés de tout type est un enjeu fondamental d’éducation, durant toute la vie, pour une amélioration des relations interpersonnelles et l’épanouissement de toutes et tous. Mais sans une lutte frontale, et même révolutionnaire, contre les conditions matérielles de vie qui régissent nos vies de façon universelle à l’intérieur d’un cadre institutionnel, économique et technologique qui n’a jamais été décidé démocratiquement, ces luttes reviennent à gérer des conséquences d’autant plus graves à mesure que la violence économique s’accroît.

Comme le démontrent assez bien les expositions de la collection d’art contemporain de la Fondation Pinault, déconstruire sa « blanchité » ou promouvoir davantage la parole des Noirs victimes de racisme ne menace en rien un ordre économique qui repose sur la propriété privée du capital et l’extraction de la plus-value, c’est-à-dire l’exploitation.
La « tolérance », outil de dépolitisation

Implication même de l’idée de « vivre-ensemble », se trouve la « tolérance », laquelle à son tour implique le principe de non-nuisance :

« Ce principe veut que les hommes ne soient autorisés, individuellement ou collectivement, à entraver la liberté d’action de quiconque que pour assurer leur propre protection. La seule raison légitime que puisse avoir une société pour user de la force contre un de ses membres est de l’empêcher de nuire aux autres. »

Formulée par le philosophe libéral John Stuart Mill dans De la liberté (1859), cette conception éthique a influencé profondément la tradition individualiste anglo-saxonne et, en somme, s’articule au multiculturalisme. Ainsi, dans une conception spécifiquement libérale et individualiste – étasunienne ou anglo-saxonne – de la liberté, chacun peut mener sa vie comme bon lui semble à la condition ne pas léser autrui et « la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres ».

De sorte que, sous les sympathiques appels au « vivre-ensemble » et à la « tolérance », on déchiffre l’idéal libéral d’une société pacifiée où l’État n’interfère pas dans la conception d’une vie bonne. Celle-ci relève seulement des choix individuels et des « communautés » (religieuses, sexuelles, ethniques, etc.) qui, entre elles, n’ont pas besoin de se reconnaître un commun : les passions singulières et choix de vie, à l’abri des interférences de « la société » dans son ensemble (la nation, l’État…) n’ont alors, pour tout cadre, que le marché (libéralisme de droite) et le droit (libéralisme de gauche).

Dès lors, « vivre ensemble » veut donc dire vivre juxtaposés, les uns à côté des autres, chacun avec ses mœurs, ses croyances, « en bon voisinage », sans hostilité – et, en somme, sans se mêler de ce qui ne vous regarde pas. Autrement dit : que chacun s’occupe de « ce qui le regarde » et se retienne de donner son avis sur ce qui ne le concerne pas – et les vaches seront bien gardées.

« Vivre-ensemble » et « tolérance » ont cet avantage de permettre, en somme, d’afficher une vertu qui n’implique rien. Notons d'ailleurs que le terme « tolérance », qui apparaît curieusement sympathique, se révèle l'être moins si l'on décline le verbe « tolérer » : « Je te tolère », c'est-à-dire : « Je te supporte », ou si l'on convoque l'adjectif « tolérable », proche de « supportable » et à la limite de « irritable »... Ces deux notions ne s’appuient que sur un principe négatif : ne pas nuire à autrui, qui ne demande aucun effort, n’oblige à rien, ne pose aucun idéal de chose publique, commune, ni d’autodétermination collective par-delà les intérêts individuels, groupusculaires ou communautaires. Pis : la « tolérance » est, peu ou prou, synonyme d’une certaine indifférence à autrui. « Ce sont leurs affaires, pas les miennes. Qui suis-je pour m’en mêler ? ».

Sur le terrain social du « marché des identités », le principe de non-nuisance évoque un même « laisser-faire » que celui que promeut le néolibéralisme sur le plan économique : ne pas nuire aux croyances des autres, ne pas se prononcer sur des sujets qui ne nous impliquent pas personnellement.

À ce propos, observons que les mêmes qui, à gauche, tendent volontiers à clore une conversation – donc le débat – en affirmant « de toute façon, ça ne te concerne pas » (qu’il s’agisse de la « question trans », de la prostitution, de la grossesse pour autrui ou de certains agissements au nom d’un antiracisme, qui permettent d’empêcher la recherche de nuances en renvoyant toute discussion au « réac » ou au « facho ») ne s’empêchent pas, et ils ont bien raison, de manifester leur soutien au peuple palestinien. Ou l’incohérence entre le multiculturalisme de la première position (le groupe humain qui s’identifie à une cause, un genre, une orientation est seul légitime à proposer des solutions et la contradiction apportée par qui n’est pas de ses rangs, voire qui ne partage pas les conceptions prédominantes à l’intérieur de ce groupe, ne mérite pas que l’on débat de ses arguments) et l’universalisme de la seconde, qui consiste à reconnaître qu’il est des valeurs universelles – le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, la dignité de la personne humaine, la liberté de l’individu de s’émanciper d’une appartenance de groupe, la légitime résistance à l’oppresseur, l’égale dignité de l’être humain, etc. – qui autorisent à considérer le bien des autres comme relevant de l’humanité (comme totalité humaine et comme principe en chacun), non du seul groupe en question.

Par ailleurs, et peut-être surtout, « vivre ensemble » n’est pas pas faire ensemble – par exemple fabriquer ensemble en tant que travailleurs partageant une condition similaire et, dans l’idéal socialiste, organisant l’outil de production, les horaires, les volumes, les méthodes, l’amélioration et la transmission du savoir-faire, etc. Le « vivre-ensemble » n’est pas non plus lutter ensemble contre la gigantesque dépossession de notre souveraineté collective, ou pour imposer les conditions permettant de vivre non pas « ensemble », mais décemment (logement décent, emploi décent, sécurité sociale intégrale pour les soins primordiaux et les maladies professionnelles, alimentation saine, rémunérations suffisantes, fiscalité juste…). Ce n’est pas non plus, pour remédier aux inégalités autant qu’aux discriminations, décider ensemble, délibérer ensemble sur ce que nous estimons être le bien commun, c’est-à-dire s’autogouverner.

D’où son immense succès et sa généralisation consensuelle : le « vivre-ensemble » implique une dépolitisation du citoyen, réduit à un sujet « tolérant » qui ne fait qu’accepter passivement l’état des choses qu’est la société fabriquée par des décennies de néolibéralisme économique et culturel. Dans une dynamique historique qui voit les peuples chaque décennie davantage dépourvus de moyens de décider de leur destin – par les mastodontes des technologies informatiques, par les algorithmes, par la publicité, par la piraterie financière et sa faculté de corruption politique, médiatique et spirituelle, par les institutions européennes et nationales –, la baliverne du « vivre-ensemble » n’est qu’un autre mantra sommant de tolérer l'intolérable : un état de dépossession de notre souveraineté individuelle et collective.

Et ainsi, l’individu « vertueux », vivant en bon voisinage, est ainsi dispensé de faire l’effort actif de construire en citoyen un bien commun issu de la délibération.

Notes

(1) Les « enfants de la télé » des années 1980-1990 connaissent bien Arnold et Willy (1978-1986), série phare des années néolibérales. Son générique résume bien l’esprit multiculturaliste, « tolérant » d’un néolibéralisme de gauche, antiraciste (et sans doute a-t-elle contribué à l’intégration des Noirs au monde du spectacle capitaliste et de la culture de masse (comme d’autres séries contemporaines, du Cosby Show à T’as l’bonjour d’Albert), porteur d’un imaginaire des « différences » : « Les apparences et les préférences / Ont trop d’importance / Acceptons les différences / C’est vrai / Faut de tout, tu sais / Faut de tout, c’est vrai / Faut de tout pour faire un monde… ». Cette dynamique dans l’histoire des représentations, à bien des égards vertueuses, n’en accompagne pas moins, aux États-Unis comme en France (en particulier avec la naissance de Touche pas à mon pote, puis de SOS Racisme, puis plus tard de Ni Pute Ni Soumise, organisations satellitaires du Parti socialiste) ou ailleurs (la fameuse « troisième voie » des Tony Blair, Bill Clinton ou Gerhard Schröder), l’adhésion inconditionnelle de ce que les médias dominants nomment « gauche de pouvoir » à l’économie de marché. Le renoncement à la lutte des classes et/ou à un encadrement de l’économie par l’État, et corollairement de l’État-providence, c’est-à-dire le renoncement à la lutte contre les inégalités ont été accompagnés d’une valorisation de la différence.

(2) Paru en 2006 aux États-Unis, puis en 2009 en français aux éditions Raisons d’agir. Chose méconnue de la plupart des gens de gauche, qui pensent le libéralisme synonyme de capitalisme et de conservatisme, le libéralisme a une longue tradition d’hostilité à l’esclavage, à l’apartheid, au racisme et aux discriminations, tantôt pour des motifs authentiquement moraux qui ont traité à l’égale dignité de tous les êtres humains, tantôt pour des motifs économiques clairs : ségrégation, racisme et discriminations privent le marché d’une main-d’œuvre, de talents et de consommateurs qui lui sont nécessaires. Citons encore, à propos de cette opposition entre discrimination et lutte contre les inégalités, un éditorial de juin 2008 de Fabien Girard de Barros, directeur de publication de LexBase.fr, au sujet d’un texte législatif sur la question de la lutte contre les discriminations : « L’amalgame qu’il crée entre discrimination et inégalité de traitement laisserait, ainsi, penser que les inégalités sont toujours dues à des discriminations. Cette manière de raisonner conduirait chacun à se replier sur ses différences, alors que le combat contre les discriminations gagnerait à s’appuyer sur la conception républicaine de l’égalité, qui cantonne les différences dans l’espace privé et rassemble les hommes autour d’un principe commun. Et, derrière cette question juridique, se profile une interrogation de fond : dans le combat contre les discriminations, veut-on inciter au repli sur soi, à l’excitation des identités particulières, ou veut-on faire valoir des valeurs et des principes communs ? Lutte contre les discriminations versus principe de traitement égalitaire, si l’objectif est le même, la différence de terminologie et, au-delà, la différence d’approche du problème, marque une confrontation de la conception anglo-saxonne du problème, conception qui semble s’imposer au niveau européen et dans la société civile, à la tradition française de l’égalité des personnes, en tant qu’elles sont humaines, avant toute revendication d’une différenciation expliquant, pour mieux la condamner, une discrimination ».

elucid.media/democratie/vivre-…

Ich glaube ich kotze gleich... Da versucht so eine Schreckse zu erklären, dass man den Vorteil des E-Autos durch Thermodynamik erklären könne. Dazu sage ich mal: vllt. die ersten 100 km. Aber ich will mit dem Ding auch 500 km einfach fahren können. Dann ändert sich das. Schneller ladbare Akkus würden helfen, ist aber wirtschaftlich noch nicht so. Mal abgesehen von Lade-Möglichkeiten...

Günter reshared this.

Amid a large-scale military attack, Israeli Hyundai excavator uproot trees of the lands of Al-Mughayyir village #Palestine tiktokgenocide.com/uploads/ami…

Siliconera just posted:

Naruto to Boruto: Shinobi Striker DLC 45 Is Kakuzu

Bandai Namco continues to support the 2018 game Naruto to Boruto: Shinobi Striker with new DLC, and the 45th add-on will bring Kakuzu to the game. He’ll arrive quite soon, as the Akatsuki member’s release date is August 22, 2025. He’s also considered part of the seventh anniversary of the ongoing multiplayer game. The video also confirmed the 46th piece of DLC in this ...

siliconera.com/naruto-to-borut…

#gamingNews

Octavia Butler & Ursula Leguin are right: fiction has an essential role to play in creating a better world.

As I've been reading more lately, I have been really struck with how reading fiction as a child shaped my imagination & led me to where I am now.

It is no mistake that, after reading countless stories of people standing up against impossible odds for the sake of justice, when I recognize injustice in my world, I make a big stink about it.

This entry was edited (2 weeks ago)
in reply to Artemis

I would tell slightly different stories than the ones I grew up on... My stories would have fewer lost princes & princesses being restored to the throne to bring peace throughout the land and whatnot. In other words, they would be less hierarchical.

But nonetheless I am grateful for these tales that helped me imagine myself fighting for what is good & true. In some way, they created me.

★ L'HOMME ET LA FOULE
socialisme-libertaire.fr/2025/…

"« Je me perds en mon moi aux mille facettes, je me découvre chaque jour différent, chaque instant contradictoire ; la réaction du moment trahissant l’action passée, je me cherche, crois me trouver et chaque fois me découvre tout autre. Je ne puis juger..."

Unknown parent

pleroma - Link to source

horntoise

seeing how gay the olympics has become, you have to question whether it always was, just not out of the closet as it is now.
those opening ceremonies have been blatant pagan/satan worship since lillyhammer
almost expected a fucking animal and human sacrifice watching that one.

NWA - Fuck Tha Police (Music Video)


This is a Fan Made Unofficial Video for the N.W.A. Song: "Fuck Tha Police"
Album: Straight Outta Compton (August 8, 1988)

N.W.A (an abbreviation for Niggaz Wit Attitudes) was an American hip hop group formed in Compton, California.
They were among the earliest and most significant popularizers and controversial figures of the gangsta rap subgenre, and the group is widely considered one of the greatest and most influential groups in the history of hip hop music.
Active from 1987 to 1991, the rap group endured controversy owing to its music's explicit lyrics, which many viewed as being misogynistic, as well as to its glorification of drugs and crime.
The group was subsequently banned from many mainstream American radio stations.
In spite of this, the group has sold over 10 million units in the United States alone.
Drawing on its members' own experiences of racism and excessive policing, the group made inherently political music.
The group's members were known for their deep hatred of the police system, which has sparked much controversy over the years.

The original lineup, formed in early 1987, consisted of Arabian Prince, Dr. Dre, Eazy-E, and Ice Cube, with DJ Yella and MC Ren joining later that year.
They released their first compilation album as a group in 1987 called N.W.A. and the Posse, which peaked at No. 39 on Billboard magazine's Top R&B/Hip-Hop Albums chart.
Arabian Prince left shortly after the release of N.W.A's debut studio album, Straight Outta Compton, in 1988, with Ice Cube following suit in December 1989. Eazy-E, Ice Cube, MC Ren and Dr. Dre later became platinum-selling solo artists in their own right in the 1990s.
The group's debut album marked the beginning of the new gangsta rap era as the production and social commentary in their lyrics were revolutionary within the genre.
N.W.A's second studio album, Niggaz4Life, was the first hardcore rap album to reach number one on the Billboard 200 sales charts.

Rolling Stone ranked N.W.A at number 83 on its list of the "100 Greatest Artists of All Time".
In 2016, the group was inducted into the Rock and Roll Hall of Fame, following three previous nominations.

"Fuck tha Police" is a protest song by American hip hop group N.W.A that appears on the 1988 album Straight Outta Compton as well as on the N.W.A's Greatest Hits compilation.
The lyrics protest police brutality and racial profiling and the song was ranked number 425 on Rolling Stone's 2004 list of the 500 Greatest Songs of All Time.
In 2021, Rolling Stone re-ranked the song at number 190 in an updated list.

Since its release in 1988, the "Fuck the Police" slogan continues to influence popular culture in the form of T-shirts, artwork, political expression,
and has transitioned into other genres as seen in the cover versions by Bone Thugs-n-Harmony, Dope, Rage Against the Machine, and Kottonmouth Kings (featuring Insane Clown Posse).

"Fuck tha Police" parodies court proceedings, inverting them by presenting Dr. Dre as a judge hearing a prosecution of the police department.
Three members of the group, Ice Cube, MC Ren, and Eazy-E, take the stand to "testify" before the judge as prosecutors.
Through the lyrics, the rappers criticize the local police force. Two interludes present re-enactments of stereotypical racial profiling and police brutality.

At the end, the jury finds the police department guilty of being a "redneck, white-bread, chicken-shit motherfucker."
A police officer, who is revealed to be the defendant, contests that the arguments presented were all lies and starts to demand justice as Dr. Dre orders him out of the courtroom,
prompting the police officer to yell obscenities as he is led out.

The song prompted the FBI to write to N.W.A's record company about the lyrics, expressing disapproval and arguing that the song misrepresented police.
In his autobiography Ruthless, the band's manager Jerry Heller wrote that the letter was actually a rogue action by a "single pissed-off bureaucrat with a bully pulpit" named Milt Ahlerich, who was falsely purporting to represent the FBI as a whole and that the action "earned him a transfer to the Bureau's backwater Hartford office".
Heller also wrote that he removed all sensitive documents from the office of Ruthless Records in case of an FBI raid.

In the letter, Ahlerich went on to reference "78 law enforcement officers" who were "feloniously slain in the line of duty during 1988" and that recordings such as those produced by N.W.A "were both discouraging and degrading to these brave, dedicated officers".
Ahlerich did not mention any N.W.A song by name in the letter, but later confirmed he was referring to "Fuck tha Police".

This entry was edited (2 weeks ago)

Israeli soldiers destroying Palestinian vehicles during their ongoing raid on Al-Mughayyir village #Palestine tiktokgenocide.com/uploads/isr…

#MonsterdonAlert

Sunday, August 24, 2025, 8PM CT (1AM Monday UTC)

IT'S #MONSTERDON

we will be watching

Swamp Thing (1982)

"On the verge of a breakthrough in his quest to wipe out world hunger, altruistic botanist Dr. Alec Holland (Ray Wise) is placed under the protection of special government agent Alice Cable (Adrienne Barbeau). Mad outlaw scientist Anton Arcane (Louis Jourdan) wants to steal Holland's research for his own nefarious ends, but an unforeseen accident during the heist turns Holland into the Swamp Thing, an enormous plant-like creature that fights back against Arcane's henchmen to save Cable."

its streaming free on Tubi, plex, roku and amazon

please watch and live post it with us!

youtube.com/watch?v=76debmQRiF…

4 8 15 16 23 42 reshared this.

Me, trying to write my best man speech: "Marriage is uhm...about property relations." No, that's not what I should say to my sibling and their finacée. "Marriage is...the state overseeing the personal life of the individual?" I think at this point they will marry off without me being there 🤣 "Eat cake and listen to the playlist I kept adding songs to because I'm nosy." Yeah, that's gonna be my speech
This entry was edited (2 weeks ago)

mondoweiss.net/2025/08/israel-…

Xi attends grand gathering to celebrate Xizang Autonomous Region's 60th founding anniversary en.qstheory.cn/2025-08/21/c_11…

DSOGaming just posted:

Elden Ring Title Update 1.16.1 Released – Full Patch Notes

FromSoftware has just released Title Update 1.16.1 for Elden Ring and shared its full patch notes. So, let’s see what this new patch brings to the table. From what I can see, this is a really small patch. To be more precise, it fixes two bugs/issues. The first was a bug that could cause the …

dsogaming.com/patches/elden-ri…

#gamingNews

in reply to Christi Junior

all trannylations are unacceptable.

I would not recommend DRv3 but you basically must play it if you are pot committed to the franchise. It does some mean tricks that elici​t a strong reaction from the audience, which leads to the negative reviews, but none are unfair enough to disqualify the game, and to explain them is to totally spoil the surprise.

This entry was edited (2 weeks ago)
in reply to Christi Junior

@ChristiJunior @hispanicweeb @rlier23 I would go one deeper and say my biggest complaint about AI is that it feels so trivial and meaningless at the end. The bad guy is a loser who is just an asshole and nothing about that whole finale had anything to do with anything. Kodaka ends every story trying to say something about the world to you the player. Takumi ends every story by having the big setback/regret/unresolved trauma of half the cast they spend the whole game talking about be the final battle. With Uchikoshi you get a Michael Bay movie at best and even then Bay still tries to make the villain and hero have some meaningful connection in their fight. (No what AI did doesn't count actually.) Every time I give Uchikoshi my attention it feels like he just plays some three card monte bullshit with it and this goes back to 999 and has not changed. I feel like I remember the villains of light gun games more than the AI guy.

And of course not once at any point in the game do somniums actually do what Date's literal paid job suggest they ought to do.

in reply to Michael

Surprised to read this:
“A spokesperson for regulator Ofcom responded to the criticism, telling Byline Times: “All regulated broadcasters must comply with our broadcasting rules. We enforce these rules fairly and proportionately, acting independently and impartially at all times.”
Self-assessment? Since when is that best practice? Could a case be made that it’s not up to Ofcom to tick their own report? Or is that going too far?

En los últimos días, varias personas me han preguntado mi opinión sobre La península de las casas vacías. Así que aquí os dejo mi reseña de por qué lo abandoné. No debo ser el único porque con cierta frecuencia me llegan notificaciones de likes a esa reseña. www.goodreads.com/review/show/...

Ernesto's review of La penínsu...

“Τελικά, οργανώθηκε αεροδιακομιδή με αεροσκάφος του ΕΚΑΒ, το οποίο τον μετέφερε στο Γενικό Κρατικό Νίκαιας. Εκεί υπεβλήθη σε πολύωρη χειρουργική επέμβαση έως τις 02:00 τα ξημερώματα. Σύμφωνα με ιατρικές πηγές, η κατάστασή του σταθεροποιήθηκε ωστόσο είναι σε πολύ σοβαρή κατάσταση και νοσηλεύεται στη ΜΕΘ”.

Οι δισεκατομμυριούχοι πάνω από όλους & όλα γιατί όταν είσαι ένας απλός θνητός στην Μπανανία κάνεις απλά, υπομονή σε όλα.

Polygon just posted:

Hollow Knight Silksong's bosses look weird, and I'm so here for it

Hollow Knight Silksong's boss designs are full of personality, making them a sharp contrast to most Soulslike bosse

polygon.com/hollow-knight-silk…

#gamingNews

Κατάρρευση πλατφόρμας αιτήσεων ΑΣΠΑΙΤΕ – Οι υποψήφιοι σε απόγνωση ενόψει της λήξης προθεσμίας | Alfavita share.google/f1wtp4sKMEgdK9jNP

95% of Companies See 'Zero Return' on $30B Generative AI Spend

Link: thedailyadda.com/95-of-compani…
Discussion: news.ycombinator.com/item?id=4…

The Ancient Roman Dodecahedron: The Mysterious Object That Has Baffled Archaeologists for Centuries

openculture.com/2025/08/the-an…