(4) Brainless Partisans 🏴‍☠️☢️☣️🪆 on X: "Anthony Aguilar, dans une interview avec The GrayZone, révèle qu'un grand camp de concentration dans le sud de Gaza est en cours d'agrandissement où les Palestiniens seront déplacés de force. Financé par les États-Unis et des donateurs européens non divulgués, le projet est en https://t.co/yHvPtGsjaJ" / X


#Gaza #génocide
https://x.com/BPartisans/status/1958584508888097263

My husband has patiently watched his little corn crop for months. This morning is harvest time it seems. He and Summer went outside, supposedly to let her potty, but instead they surprised me with a pile of corn. Twenty ears.
The corn isn't perfect but not very many things ever are.
He is happy.
Summer is happy.
I guess we will be eating corn and being happy about it.
He loves eating out of the garden. Yesterday was tomatoes and green beans.
Beets will be next.
A good start to our Thursday.
#Gardening

We Do Not Belong Here: From the Diaspora to Jalut
autonomies.org/2025/08/we-do-n…

"In the post-Nazi era, the idea that it is legitimate to decide whom we should cohabit with has held firm. “To each their own home!” It is here that populist xenophobia finds its greatest strength; crypto-racism is its springboard. However, … Continue reading →"

Les USA vont-ils attaquer le Venezuela ?


Veille Stratégique

Dans un geste qui ravive les spectres de la Guerre Froide et des interventions américaines en Amérique latine, le président Donald Trump a ordonné le déploiement d'une armada significative de la marine américaine vers les eaux au large du Venezuela. Cette opération, qualifiée par la Maison Blanche de mesure décisive contre le trafic de drogue, cible directement le président vénézuélien Nicolás Maduro, accusé depuis longtemps d'être à la tête d'un "narco-cartel". Avec au moins trois destroyers de classe Arleigh Burke, un sous-marin d'attaque, et un groupe amphibie transportant environ 4 000 Marines, cette mobilisation marque une escalade dramatique dans les relations déjà tendues entre Washington et Caracas. Alors que Maduro mobilise plus de 4,5 millions de miliciens en réponse, le monde observe avec appréhension si cette confrontation navale pourrait dégénérer en conflit ouvert.

Cette décision intervient dans un contexte où les États-Unis accusent le régime vénézuélien d'alimenter le flux de narcotiques illicites vers leur territoire, exacerbant la crise des opioïdes qui ravage le pays. Maduro, fugitif aux yeux de la justice américaine depuis une inculpation en 2020 pour narco-terrorisme et trafic de drogue, est perçu par l'administration Trump comme un "narco-terroriste" menaçant la sécurité nationale. La prime pour sa capture a été doublée à 50 millions de dollars, soulignant l'urgence perçue par Washington. Mais au-delà des enjeux narcotiques, cette opération s'inscrit dans une stratégie plus large de Trump pour réaffirmer la dominance américaine dans l'hémisphère occidental, face à des influences rivales comme celles de la Russie et de la Chine.

Les racines du conflit

Les frictions entre les États-Unis et le Venezuela ne datent pas d'hier. Elles remontent à l'ère Hugo Chávez, dont Maduro est l'héritier politique, et ont culminé sous le premier mandat de Trump. En 2019, Washington avait reconnu Juan Guaidó comme président intérimaire, imposant des sanctions sévères contre le régime de Maduro pour violations des droits humains et corruption. Ces mesures ont asphyxié l'économie vénézuélienne, déjà fragilisée par la chute des prix du pétrole et une gestion chaotique. En 2020, le département de la Justice américain a inculpé Maduro et plusieurs de ses proches pour leur rôle présumé dans le "Cartel des Soleils", un réseau allégué de trafic de cocaïne impliquant des hauts gradés militaires vénézuéliens.

Trump, lors de son retour au pouvoir en janvier 2025, a rapidement relancé cette offensive. Son administration considère Maduro non pas comme un dirigeant légitime, mais comme le chef d'un cartel narco-terroriste. "Le président Trump a été très clair et cohérent", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, lors d'un briefing le 20 août. "Il est prêt à utiliser tous les éléments du pouvoir américain pour arrêter l'afflux de drogue dans notre pays et pour traduire en justice ceux qui en sont responsables. Le régime Maduro n'est pas le gouvernement légitime du Venezuela." Cette rhétorique fait écho à la désignation des cartels comme organisations terroristes, une mesure qui autorise potentiellement l'usage de la force militaire au-delà des opérations policières traditionnelles.

Historiquement, les interventions américaines en Amérique latine – de l'invasion de Grenade en 1983 à l'opération Just Cause au Panama en 1989 – ont souvent été justifiées par la lutte contre la drogue ou le communisme. Ici, Trump semble puiser dans ce playbook, mais avec une intensité renouvelée. Des sources au Pentagone indiquent que l'ordre exécutif signé par Trump le 8 août autorise explicitement les forces armées à opérer contre les cartels en mer et sur sol étranger, marquant un virage vers une approche militariste. Cela contraste avec les efforts diplomatiques antérieurs, comme ceux sous Biden, qui avaient assoupli certaines sanctions en échange de promesses électorales – promesses non tenues après les élections contestées de juillet 2024 au Venezuela.

Détails de l'opération militaire

La flottille déployée est impressionnante par sa polyvalence et sa puissance de feu. Au cœur de l'opération se trouvent trois destroyers à missiles guidés de classe Arleigh Burke : l'USS Gravely, l'USS Jason Dunham et l'USS Sampson. Ces navires, équipés de systèmes Aegis capables d'intercepter des missiles et de mener des opérations de surveillance, sont idéaux pour des missions d'interdiction en haute mer. Ils sont accompagnés d'un sous-marin d'attaque, probablement de classe Virginia, spécialisé dans la guerre anti-sous-marine et la collecte de renseignements. En outre, un Amphibious Ready Group (ARG) composé de trois navires amphibies transporte environ 4 000 Marines, prêts à des opérations terrestres si nécessaire.

Des avions de patrouille maritime P-8 Poseidon, souvent décrits à tort comme des "avions espions" mais experts en surveillance océanique, complètent le dispositif. Selon des sources citées par Reuters, ces actifs opéreront dans les eaux et l'espace aérien internationaux pour plusieurs mois, avec pour objectif principal de perturber les routes de trafic de drogue. Un responsable américain, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a précisé que ces forces pourraient être utilisées non seulement pour des interceptions, mais aussi pour des missions de renseignement étendues.

Cette mobilisation n'est pas isolée. Elle fait suite à une augmentation des patrouilles navales américaines dans les Caraïbes, initiée en avril 2020 sous Trump pour contrer les cartels, et renforcée récemment. Des exercices navals russes dans la région en juin 2024 avaient déjà alerté Washington sur les alliances de Maduro avec Moscou. Aujourd'hui, avec la prime sur Maduro portée à 50 millions de dollars, l'opération semble viser à l'isoler, peut-être en l'empêchant de voyager ou en forçant ses alliés à négocier.

La réponse vénézuélienne

Face à cette menace, Nicolás Maduro n'a pas tardé à réagir. Le 19 août, il a annoncé le déploiement de plus de 4,5 millions de membres de la milice nationale, des volontaires civils entraînés pour défendre le pays contre des "attaques externes et internes". "L'empire est devenu fou et a renouvelé ses menaces contre la paix et la tranquillité du Venezuela", a déclaré Maduro lors d'un événement à Caracas, sans préciser d'action concrète mais en invoquant l'héritage anti-impérialiste de Chávez.

Cette milice, créée en 2005 et renforcée sous Maduro, représente une force paramilitaire loyale au régime, équipée d'armes russes et chinoises. Des tweets et rapports indiquent que Caracas perçoit cette déploiement comme une préparation à une invasion, comparée par certains à l'intervention en Syrie. Maduro bénéficie du soutien de la Russie – qui a récemment mené des exercices navals dans les Caraïbes – et de la Chine, qui voit le Venezuela comme un point stratégique pour ses investissements pétroliers. Un tweet de Fabrizio Mercado Soria, daté du 20 août, suggère que la récente rencontre Trump-Poutine pourrait influencer l'issue : "Si aucun accord de paix n'est conclu, Maduro a ses jours comptés."

À l'intérieur du Venezuela, cette crise renforce la polarisation. Les opposants à Maduro, comme María Corina Machado, voient dans l'action américaine une opportunité de renverser le régime, tandis que les chavistes dénoncent une agression impérialiste. Des manifestations sporadiques ont éclaté à Caracas, mais la répression reste ferme.

Les réactions internationales

La communauté internationale réagit avec prudence. La Colombie, voisine et alliée des États-Unis, exprime des préoccupations sur une potentielle vague migratoire si les tensions dégénèrent. Le président colombien Gustavo Petro a averti le 20 août que cela pourrait ressembler à "la Syrie", appelant à la diplomatie. L'Équateur, quant à lui, propose d'accueillir une base militaire américaine, signe d'un alignement croissant avec Washington.

Sur les réseaux sociaux, particulièrement sur X (anciennement Twitter), les opinions divergent. Des utilisateurs comme @nicksortor saluent l'opération comme une mesure nécessaire contre les cartels, notant que "les forces armées américaines prennent enfin au sérieux les menaces contre notre patrie". D'autres, comme @Antiwarcom, critiquent un risque de changement de régime forcé, rappelant les échecs passés. Des voix latino-américaines, telles que @krausen1983, doutent de la chute de Maduro en raison du soutien russe et chinois, voyant cela comme une "preuve de tension" plutôt qu'une invasion imminente.

Des figures comme le congressman Carlos A. Gimenez applaudissent : "Le nœud se resserre autour du dictateur Nicolás Maduro et de son régime narco. Ses jours sont comptés." En revanche, des analystes comme ceux de WOLA (Washington Office on Latin America) avertissent que la force militaire "ne fonctionne pas" contre les cartels et pourrait aggraver le chaos.

Les risques d'escalade

Cette opération pose des questions profondes sur l'avenir des relations hémisphériques. D'un côté, elle pourrait perturber efficacement les routes de drogue, réduisant l'afflux de fentanyl aux États-Unis – une priorité absolue pour Trump, qui lie cela à sa politique d'immigration. De l'autre, elle risque une confrontation directe, surtout si Maduro ordonne des actions défensives en eaux territoriales. Avec la présence russe et chinoise, un incident pourrait internationaliser le conflit, évoquant les crises cubaines du passé.

Économiquement, le Venezuela, détenteur des plus grandes réserves de pétrole au monde, pourrait voir ses exportations perturbées, affectant les marchés mondiaux. Humainement, une escalade aggraverait la crise migratoire, avec déjà des millions de Vénézuéliens fuyant la pauvreté et la répression.

Des parallèles avec d'autres interventions de Trump, comme contre l'État islamique, suggèrent une préférence pour la force brute. Mais comme le note Erik Prince, fondateur de Blackwater, dans des contextes similaires, cela pourrait ouvrir la porte à des mercenaires privés, compliquant encore le paysage.

Veille Stratégique

Sources :

twz.com/sea/u-s-navy-destroyer…

wsj.com/politics/national-secu…

nytimes.com/2025/08/08/us/trum…

https://x.com/robertsepehr/status/1957970419161440429

reuters.com/world/us-military-…

cnn.com/2025/08/19/americas/ve…

https://x.com/RepCarlos/status/1957607977830990164

patreon.com/posts/les-usa-vont…

Emmanuel Florac reshared this.

Gamespot just posted:

Nobody 2 4K Blu-Ray Steelbook Edition Is Exclusive To Walmart

Nobody 2 Limited Edition Steelbook (4K Blu-ray) $38 | Exclusive to Walmart Preorder at Walmart Nobody Limited Edition Steelbook (4K Blu-ray) $30 (was $35) See at Amazon See at Walmart See at Gruv Nobody 2's Limited Edition Steelbook is available to preorder now for $38 at Walmart. Unlike the newly released Nobody Limited Edition ...

gamespot.com/articles/nobody-2…

#gamingNews

Who Was “John Sherman” of the American Medical Bureau? albavolunteer.org/2025/08/a-sp…

#ICE FYI. More evidence YOU ALLOWED THE #DEMOCRATS TO DO EXACTLY WHAT #TRUMP IS DOING, SO SHUT THE FUCK UP #PROGLIBS BITCHES

"The Obama administration deported 409,849 people in 2012, alone."

'At the current pace, Trump is on track to deport more than 400,000 people in his first year in office,'

#Deportations Reach New High Under Trump, for Trump.
nytimes.com/interactive/2025/0…

docs.house.gov/meetings/GO/GO0…

Heads Up! Tonight!

You in the DC Area - keep your eyes out for the Orange Man Bad.

He'll be cruising the streets of DC, seeing for himself how safe they are now.

thegatewaypundit.com/2025/08/b…

Defacing Public Property is a crime, lady, NOT "free speech". Go hang your transflag at your house. Then hang yourself.
thepostmillennial.com/yosemite…
Yosemite non-binary park ranger fired for hanging 66-foot trans flag across El Capitan rock formation
Shannon "SJ" Joslin, 35, who identifies as nonbinary and uses they/them pronouns, decided to hang the flag in a personal act of protest against recent executive orders from President Donald Trump, including orders that prohibits child sex change procedures and reversing federal law to exclude gender identity as a sex.
Joslin, a biologist, received a termination letter last week that stated the ranger failed to "demonstrate acceptable conduct," citing the May 20 incident. Joslin was among a group of protesters, including two other park rangers, who hung the pink, blue, and white trans pride flag on the famous climbing wall, which was displayed for roughly two hours before it was taken down voluntarily.

"If you're a federal worker and you have any kind of identity that doesn't agree with this current administration, then you must be silent, or you will be eliminated," Joslin told reporters. [FUCK YOU AND STFU ALREADY. We DGAF about your sex life, dyke.]

Sweden’s Migration Dilemma: From Humanitarian Superpower to Integration Challenges restmedia.io/sweden-migration/

Bien bien bien.
Alors, le 14 septembre, Laruns (64) organise comme chaque année "On s'y col" : la montée à vélo du col d'Aubisque, avec route fermée à la circulation motorisée ce jour-là.
Je prévois d'y aller mais il faut être là bas entre 07:30 et 08:30.

Ça veut dire décoller de Pau à... 04:00 ou 5:00 du matin. Ça pique.

Mais c'est là que ma femme balance l'argument massue…

"Ben t'as qu'à partir la veille et bivouaquer ?
-😶🤯🤔🤩 VENDU !"

Y'en a que ça branche, par hasard ?

#velo #hiking

Kotaku just posted:

One Of FFXIV‘s Most Important Mods Is Shutting Down And People Are Losing It

Popular Final Fantasy XIV mod Mare Synchronos let players sync up their various mods and was used by many in the community
The post One Of FFXIV‘s Most Important Mods Is Shutting Down And People Are Losing It appeared first on Kotaku.

kotaku.com/one-of-ffxivs-most-…

#gamingNews

"Künftig soll das Parken dort für bis zu 60 Minuten 3 Euro, für jede weitere Stunde 1,50 Euro und ein Tagesticket 8 Euro kosten. Bei Verstoß fällt eine Nutzungsgebühr von 45 Euro an. Auch der Weg zu Fuß oder mit dem öffentlichen Nahverkehr ist für die Seniorin keine Option. Das traue sie sich nicht zu. An der Straße parken ginge oft auch nicht, denn da „kassiere das Ordnungsamt“."

Gemein! Wegelagerer, diese Leute vom Ordnungsamt!!

nw.de/lokal/bielefeld/mitte/24…

#parken #parkdruck #Bielefeld

Insider Gaming just posted:

EXCLUSIVE: Dying Light: The Beast Has ‘The Most Diverse World’ Techland Has Ever Created

Dying Light: The Beast will be released next month, and right now, it’s my most highly anticipated game of the year. I had the pleasure of catching up with the game’s director, Nathan Lemaire, at Gamescom, and we took a deep dive into all things Dying Light: The Beast. When we spoke, I was hot […] The post EXCLUSIVE: Dying Light: The ...

insider-gaming.com/dying-light…

#gamingNews

#bulle #IA
Ça commence à faire un certain nombre de signes d'éclatement de la bulle IA :

latimes.com/business/story/202…

telegraph.co.uk/business/2025/…

thedailyadda.com/95-of-compani…

Je m'attends à voir plein d'autres articles du genre.

in reply to Tom Tom

@tomtom @hermod @breizh @teebo Oui, j'imagine bien que les repercussion d'une bulle de cette taille qui éclate va faire malheureusement plein de dégâts, et évidemment ça va affecter les plus précaire. Je compatis.
Mais dans un premier temps, laissez moi savourer mes 'tits pop corn pour la chute du symbole 'AI', de sa survente à en vomir, du rapt de toutes les données (y compris 25 ans de mon taf online), de tout ces emails moisi que je reçois de scénar fait à l'AI, de dessin gen...