Sur le front de l’Ukraine, c’est pas plus reluisant qu’un frigidaire vide un lendemain de party. Trump voulait régler ça en quelques jours, genre “Salut, c’est moi, on signe où ?”. Résultat ? Il a fait des câlins à Poutine, il a menacé l’Ukraine comme un ado qui menace de bouder, il a rêvé d’un cessez-le-feu… et six mois plus tard, on retient juste une chose : Poutine s’en balance et fait ce qu’il veut.
On dirait même qu’il entend pas Trump parler. Peut-être qu’il capte juste les aigus, comme un chien ? Hier, Trump a jappé au téléphone avec Poutine… et le Russe a répondu en lâchant une attaque massive de drones, comme pour dire : “Ouais ouais, continue de jaser, moi j’ai des trucs sérieux à faire.”
Quand Trump s’impatiente, Poutine lui lance une balle de laine, comme à un chat obèse pour qu’il se fatigue. Un coup Trump grogne et joue au dur, un coup il veut inviter Poutine au G7 pour recréer le G8, comme s’ils allaient faire un BBQ entre potes. Pendant ce temps-là, Vlad s’amuse comme un gamin qui a trouvé le bouton “Reset” d’une console.
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Jamie
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leshoshin
in reply to leshoshin • • •In fact, the problem nobody wants to admit is that while our political pussycats play with our lives, it's us, the people, who are the losers.
And it doesn't matter which side you're on - Russian, Ukrainian, Chinese, Western - we're all in the same shit.
Jamie
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