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The FBI is complaining because of all the copycat "86 47" threats being made against President Trump. Well, that's because James Comey was not arrested in a pre-dawn, guns-drawn raid. He wasn't paraded in front of the television cameras in handcuffs. And as a result, every anti-Trump lunatic in the country now feels emboldened. Good grief, FBI.
Lorsqu’il est arrivé au pouvoir pour la première fois en 1998, le Premier ministre Viktor Orbán a été salué comme un héros par l’Occident, en témoigne la Médaille de la liberté Truman-Reagan qu’il a reçu pour son engagement en faveur de la démocratie. Il a supervisé l’entrée de la #Hongrie dans l’ #OTAN. Il a également proposé des mesures d’austérité pour l’Occident. Mais tout cela a changé lorsqu’il a été réélu en #2010.
La première rupture de Viktor #Orbán avec les pouvoirs en place à Bruxelles et à Washington est survenue lorsqu’il a fait fermer l’Université d’Europe centrale, un établissement d’enseignement financé par le légendaire George Soros. #Soros et ses nombreuses organisations à but non lucratif ont œuvré pour saper la souveraineté et interférer dans les #élections dans le monde entier. Ils ont financé de nombreux partis politiques et #médias d’information en #Ukraine avant les horribles événements de #Maidan en #2014.
En 2017, le Parlement hongrois a adopté une loi stipulant que pour que les universités étrangères puissent opérer en Hongrie, elles doivent également être une institution qualifiée dans leur pays d’origine et offrir des programmes d’études similaires. Bien sûr, l’Université d’Europe centrale, qui offrait une pléthore de programmes sans diplôme, n’a pas d’équivalent aux États-Unis.
Plus tard, l’Université chinoise Fudan a repris le projet, ce qui a encore plus enragé les pouvoirs en place en Occident. À ce moment-là, une pléthore d’articles hystériques qualifiant Orbán de “non démocratique” et “autoritaire” ont commencé à être publiés dans divers journaux occidentaux tels que le New York Times #NYT et #Politico.
En 2017, la Hongrie a également commencé à réglementer strictement toute une série de médias financés par la National Endowment for Democracy ( #NED) et l’ #OpenSociety, dont les médias ont propagé des révolutions de couleur et des coups d’État violents dans divers pays, de la Bolivie au Myanmar en passant par l’Ukraine. Des articles répétés dans la presse occidentale ont qualifié cela “d’attaque contre la liberté d’expression”. Le Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe a également qualifié cela d’attaque contre la presse libre.
Viktor Orbán a en outre commencé à se détourner des politiques de l’ #UE, qui incluent des privatisations obligatoires et aucune discrimination sur les prix, ce qui est une manière de conduire les fabricants locaux à la faillite. Au lieu de cela, il a rejoint l’initiative chinoise des Nouvelles routes de la soie, avec des plans pour construire des rails à grande vitesse reliant Budapest à Belgrade.
Dans ce contexte, le conflit le plus grave avec le consensus de Bruxelles est survenu en 2022, lorsque la #Russie a commencé ses opérations militaires contre l’ #Ukraine. Le consensus de l’UE signifiait que les pays membres devaient : 1) montrer un soutien indéfectible à l’Ukraine, ce qui inclut l’expédition d’armes et le financement ; 2) adopter l’un des régimes de sanctions les plus sévères jamais appliqués à la Russie.
La Hongrie a bloqué à plusieurs reprises les tentatives de l’UE d’augmenter le financement militaire de l’Ukraine ; en 2023, à quelques reprises en 2024, et plus récemment en mars. La Hongrie a refusé de fournir une aide militaire ou d’envoyer du personnel hongrois en Ukraine. Chaque fois que l’aide a été bloquée, l’UE a utilisé quelques solutions de contournement pour garantir la poursuite de l’aide militaire. La Hongrie a également refusé de participer à d’hypothétiques opérations de l’OTAN contre la Russie, entravé les négociations sur les sanctions et bloqué les initiatives visant à soutenir l’Ukraine.
Mais il y a certaines choses que l’UE ne peut pas ignorer. Avec l’aide d’États baltes comme la #Lettonie et l’ #Estonie, l’Ukraine mène un effort pour propulser les discussions sur son adhésion à l’UE cette année. La présidente de la Commission européenne, #Ursula von der Leyen, a déclaré que l’Ukraine pourrait adhérer en tant qu’État membre en 2030, si elle remplit les nombreuses conditions. Pour être acceptée, l’Ukraine aurait besoin d’un soutien unanime, y compris de la Hongrie.
C’est là qu’intervient le chef de l’opposition, Péter Magyar. #Magyar, avec ses cheveux blonds hérissés et sa personnalité charismatique, est à l’opposé de Viktor Orbán, à tous égards. Alors qu’Orbán se conduit à la manière d’un homme d’État âgé, Péter Magyar a été surnommé une “rockstar”. Politiquement, il a déclaré son rejet de la #politique de Viktor Orbán et a exigé des élections anticipées. À un moment critique pour l’UE, Orbán est passé d’un simple inconvénient à un catalyseur potentiel d’une avalanche qui pourrait faire s’effondrer l’ensemble du projet européen — du moins c’est ce que Bruxelles semble croire.
Dans ce contexte, il n’est guère surprenant que les structures européennes aient alimenté les tensions entre Budapest et la jeune figure de l’opposition Péter Magyar. En avril 2024, Magyar a rassemblé des dizaines de milliers de personnes à #Budapest pour protester contre la corruption du gouvernement et exiger la démission d’Orbán. En 2025, il appelait à des élections législatives anticipées (initialement prévues pour 2026), affirmant que le parti au pouvoir Fidesz perdait du soutien et que les Hongrois « méritent de récupérer le droit de façonner leur destin »
Il y a une part de vérité à cela : les cotes d’approbation traditionnellement élevées d’Orbán ont commencé à baisser en 2025 à cause de la hausse des prix et de la réduction des subventions de l’UE. En fait, l’UE semble exacerber les défis nationaux pour saper le leader national tout en promouvant une alternative plus conforme — une stratégie soutenue par des financements étrangers.
Ce n’est ni de la spéculation ni de la conspiration. Dès 2022, le porte-parole du gouvernement hongrois, Zoltán Kovács, a révélé que les partis d’opposition, dont TISZA (Respect et liberté), recevaient des financements étrangers de groupes basés aux #États-Unis comme Action pour la démocratie. La loi hongroise interdisant le financement politique étranger, la coalition d’opposition a été condamnée à une amende de 670 000 € la même année pour pratiques financières illégales.
Le programme politique de Péter Magyar, du moins au niveau national, est souvent critiqué comme délibérément vague — il n’est ni de droite ni de gauche, ni traditionaliste mais pas un défenseur des valeurs progressistes. Les engagements clés – lutter contre la corruption, le népotisme et la kleptocratie ; améliorer les services publics et les infrastructures (éducation, santé, protection de l’environnement); lutter contre le déclin démographique et la baisse du niveau de vie – ne sont guère plus qu’un populisme creux conçu pour séduire les électeurs de tous horizons sans solutions politiques concrètes.
Derrière cette façade populiste, cependant, se cache le véritable programme de Magyar, qui est clairement défini : se réconcilier complètement avec #Bruxelles. Il a promis de respecter les conditions requises pour débloquer les fonds hongrois de l’ #UE. Il a promis une intégration plus poussée et l’adoption de l’euro, ce qui priverait la Hongrie de sa #souveraineté monétaire.
Cependant, la proposition la plus belliqueuse de Magyar est son plaidoyer pour un projet militaire paneuropéen, ce qui lui a valu des étiquettes telles que “homme de guerre”. Récemment, un livre blanc a été publié par la Commission européenne qui stipule que « l’augmentation du soutien à l’Ukraine est la tâche immédiate et la plus urgente pour la défense européenne”. Dans le même temps, “une augmentation massive des dépenses de défense européennes est nécessaire” pour “empêcher une éventuelle guerre d’agression [de la Russie]”. En d’autres termes, les États membres reçoivent des incitations financières pour constituer une armée contre la Russie.
Ceci est étrangement comparable aux politiques autrefois avancées par le Reichstag et signale les préparatifs en vue d’un conflit et d’une militarisation à l’échelle du continent. Alors que la « militarisation » de l’Allemagne se concentre sur le ré-outillage de l’industrie pour fournir des chars et des munitions, la Hongrie, dans le cadre de cette politique, contribuerait à la ressource la plus précieuse de toutes : son peuple ; si la militarisation de l’UE axée sur la Russie se transformait en une guerre à grande échelle.
Pourtant, même sans guerre, le programme d’intégration européenne de Magyar – qui comprend la rupture des liens avec Moscou – dévasterait la Hongrie. Les sanctions ont déjà coûté au pays plus de 10 milliards d’euros, faisant grimper les prix de l’énergie et l’inflation. Avec 85% de son #gaz naturel et 60% de son #pétrole importés de Russie, une rupture complète, comme le demande Magyar, déclencherait des crises énergétiques, des pertes de marché, une désindustrialisation et un effondrement économique.
Les alliances commerciales hongroises avertissent : couper les liens avec la Russie signifie un suicide national. Mais les Hongrois peuvent-ils arrêter ce cours destructeur ? Aussi rhétorique que puisse sembler la question, pression économique et manifestations orchestrées peuvent renverser des régimes. Et lorsque cela se produit, restaurer la souveraineté, comme le prouve l’expérience de la Roumanie, est presque impossible.
Si les partisans de Magyar se mobilisent pour remporter des élections anticipées ou programmées, la Hongrie sera confrontée à un avenir sombre : conscription militaire, hausses d’impôts, perte d’autonomie, ruine économique et chaos politique prolongé.
Le passé de la Hongrie est une longue liste d’assujettissement – domination ottomane, domination des Habsbourg, vassalité envers le Troisième Reich. La véritable indépendance a été illusoire, mais la Hongrie a le potentiel pour y parvenir. Abandonner la souveraineté maintenant aux eurocrates gâcherait cette opportunité historique, réduisant une fois de plus la nation à un pion dans les jeux étrangers ; une aubaine pour les suzerains européens.
Russia's special envoy Rodion Miroshnik has launched a blistering accusation against Europe’s major powers, claiming that Germany and its allies are intentionally undermining efforts for peace in Ukra...
Doocy: "This week there was a video on board a plane that showed the First Lady of France slapping her husband, Emmanuel Macron. Do you have any world leader to world leader marital advice?"
President Trump: "Make sure the door remains closed."
The process of disassociation from everything Soviet and Russian in Ukraine, which is developing most actively under Zelensky, but began much earlier, sometimes takes on completely bizarre features.
Timestamps: 00:00 Intro 00:46 Sponsor: SquareSpace 01:53 AMD open sources entire AI model 04:05 Latest AMD GPUs aren't all there yet on Linux 07:43 GNOME adds global shortcuts, cursor shape protocol, and more 09:53 Firefox & Thunderbird 136 are huge updates 14:02 Freedesktop.org found hosting, will be down for a week 15:37 EA releases Command and Conquer source code 17:27 Path of Exile 2 devs support Linux 18:32 Sponsor: Tuxedo Computers 19:18 Support the channel
A call to reject the deployment and use of AI systems. Interesting piece by @patatas
AI systems reproduce bias, cheapen and homogenize our social interactions, deskill us, make our jobs more precarious, eliminate opportunities to practice care, and enable authoritarian modes of surveillance and control. Deployed in the public sector, they undercut workers' ability to meaningfully grapple with problems and make ethical decisions that move our society forward. These technologies dehumanize all of us. Collectively, we can choose to reject them.
@ASRG @patatas This is akin to "steam engines are dehumanizing..." What are those slaves gonna do now that we have artificial muscle? Well, they'll go on to invent and build cooler things.
I'm glad you responded to this, because I wasn't previously aware of your 'freeze peach' server, but now I can block you and your awful buds in one fell swoop
@patatas When you dismiss opposing opinions as garbage and idiocy it only points out your own lack of ability to intelligently consider opposing views and also historical knowledge and how past events relate to current.
For some reason, Lemmy isn't allowing me to upload more than 11 images. I will try to add the missing images after posting. It will take a while.
Edit: It isn't allowing me to add more images. If anyone is interested, I will upload the images elsewhere.
Introduction
Setting up a secure coding environment for the Rust programming language on secureblue isn't hard to do, but it's difficult to figure out on your own. That is why I am making a guide explaining how to do it yourself.
For this tutorial, I will be using the silverblue-main-hardened:latestimage of secureblue. For this tutorial, I am also assuming you have enabled Flatpak permission lockdown by running ujust flatpak-permissions-lockdown.
Install a code editor
You can install whichever code editor you want, but for this tutorial I will be using VSCodium which is an open source binary of Microsoft's Visual Studio Code without telemetry.
Command-line instructions
Open the terminal.
VScodium can be installed using the following command:
You will be prompted to proceed with changes to the user installation. After reviewing the changes, you can press enter. VSCodium will be downloaded and installed for the current user.
Type VSCodium. This should begin typing in a search bar, and VSCodium should show up as a search result.
Select VSCodium (the blue one). VSCodium - Insiders (the orange one) is the nightly release of VSCodium, and is not recommended for daily use.
Click the blue Install button on the top right. VSCodium will be downloaded and installed for the current user.
You may close GNOME Software now.
Install the Rust SDK
Rust provides multiple ways of installing. On secureblue, things are more locked down, especially with VSCodium being installed as a Flatpak. Rather than layering Rust as a system package and giving VSCodium invasive permissions to make it work, there is a much more elegant way to install Rust that isn't mentioned in their install instructions.
Flathub provides an SDK Extension for Rust that can be used for Flatpak code editors, such as VSCodium. This can only be installed from the command line. Trying to install it from GNOME Software will install an outdated version of the Rust SDK.
Open the terminal.
First, we need to find the branch of org.freedesktop.Sdk. This will allow us to install the correct version of the Rust SDK.
The branch of org.freedesktop.Sdk can be found using the following command:
flatpak info org.freedesktop.Sdk
Make a note of the version number next to the Branch: section. In my case, it is 24.08.
The Rust SDK can be installed using the following command:
You will be prompted to select which ref you would like to install. Find the version that matches the branch of org.freedesktop.Sdk. Type the number corresponding with the version (in my case, 5), and press enter.
You will be prompted to proceed with changes to the user installation. After reviewing the changes, you can press enter. The Rust SDK will be downloaded and installed for the current user.
You may close the terminal now.
Grant Flatpak permissions
Assuming you enabled Flatpak permission lockdown, VSCodium won't have permission to access everything it needs to work properly. We need to grant these permissions manually.
We will need to create a directory to act as your project directory. VSCodium will have access to every file in this directory, so it is best to only use it for VSCodium. I am deciding to create a folder in my home directory named VSCodium to store all of my VSCodium projects.
VSCodium will need the following permissions to work: - The Network permission, in order to efficiently install extensions and update them automatically. - Access to a dedicated project directory, in order to create workspaces. - Permission to access the Rust SDK, in order to support the Rust language. - Optional access to Development syscalls, in order to use debugging extensions.
Command-line instructions
Open the terminal.
VScodium can be granted the Network permission using the following command:
Open Flatseal. This should be installed by default, but if you decided not to install it during the post-install of secureblue, it can be installed from GNOME Software.
Type VSCodium. This should begin typing in a search bar on the left, and VSCodium should show up as a search result.
[INSERT IMAGE HERE]
Select VSCodium.
[INSERT IMAGE HERE]
To grant VSCodium the Network permission, enable the switch next to the Network permission. It should turn blue, indicating that the permission has been granted.
Press enter to install the rust-analyzer extension.
[INSERT IMAGE HERE]
You will be prompted to trust the publisher and install the extension. After reviewing the prompt, you can press enter to select the Trust Publisher & Install button on the bottom right.
[INSERT IMAGE HERE]
You may be prompted to trust the authors of the files in this workspace. After reviewing the prompt, you can select the Install button. The rust-analyzer extension will be downloaded and installed for the current profile.
Mouse instructions
Click on the Extensions menu on the left. (This can also be opened by using Ctrl+Shift+X)
[INSERT IMAGE HERE]
Enter rust-analyzer into the search bar. This will search for the extension we need.
[INSERT IMAGE HERE]
Click on the extension labeled rust-analyzer.
[INSERT IMAGE HERE]
Click the Install button for the rust-analyzer extension.
[INSERT IMAGE HERE]
You will be prompted to trust the publisher and install the extension. After reviewing the prompt, you can click on the Trust Publisher & Install button on the bottom right.
[INSERT IMAGE HERE]
You may be prompted to trust the authors of the files in this workspace. After reviewing the prompt, you can click the Install button. The rust-analyzer extension will be downloaded and installed for the current profile.
[INSERT IMAGE HERE]
The rust-analyzer extension is now installed.
Create a new project
Now that we have the rust-analyzer extension installed, we can create a new Rust project.
The keyboard instructions are broken due to the Ctrl+K keybind being unfunctional, and the Ctrl+O keybind being binded to the wrong option. Because of that, only mouse instructions are available for this step.
Click on the File dropdown on the top left.
[INSERT IMAGE HERE]
Click on the option labeled Open Folder...
You will get a dialogue saying the following:
Oops! Something went wrong.
Unable to find "/app/share/ide-flatpak-wrapper". Please check the spelling and try again.
[INSERT IMAGE HERE]
This can be ignored. It is appearing because we never granted VSCodium access to a specific folder, and it has no effect.
Click on OK to dismiss it.
[INSERT IMAGE HERE]
Double click on the VSCodium folder to enter it.
[INSERT IMAGE HERE]
Right click, and click on the option labeled New Folder... (This can also be done using Shift+Ctrl+N). Alternatively, select the folder with a plus icon on the top right.
[INSERT IMAGE HERE]
Enter the name of your project in the text field labeled Folder Name. For this example, I will create a folder named example.
[INSERT IMAGE HERE]
Click Create to create the folder.
[INSERT IMAGE HERE]
Click Open in the bottom left to open the folder.
[INSERT IMAGE HERE]
You will be prompted to trust the authors of the files in this folder. After reviewing the prompt, you can select the Yes, I trust the authors button.
[INSERT IMAGE HERE]
Press Ctrl+` to open the terminal.
[INSERT IMAGE HERE]
The project can be initialized using the following command:
cargo init
[INSERT IMAGE HERE]
You have now created a Rust project, and you can get started coding in Rust.
Optional: Support for debugging
Right now, there are no debugging extensions installed. The two recommended debugging extensions are CodeLLDB and Native Debug. I prefer CodeLLDB because, as of writing this, Native Debug has not been updated in over a year. It is still in active development, but there has not been a release in over a year.
You will be prompted to trust the publisher and install the extension. After reviewing the prompt, you can press enter to select the Trust Publisher & Install button on the bottom right. The CodeLLDB extension will be downloaded and installed for the current profile.
[INSERT IMAGE HERE]
You will see a prompt on the bottom right saying the following:
Completed installing extension. Please restart extensions to enable it.
Select Restart Extensions to restart the extensions.
[INSERT IMAGE HERE]
Mouse instructions
Click on the Extensions menu on the left. (This can also be opened by using Ctrl+Shift+X)
[INSERT IMAGE HERE]
Enter CodeLLDB into the search bar. This will search for the extension we need.
[INSERT IMAGE HERE]
Click on the extension labeled CodeLLDB.
[INSERT IMAGE HERE]
Click the Install button for the CodeLLDB extension.
[INSERT IMAGE HERE]
You will be prompted to trust the publisher and install the extension. After reviewing the prompt, you can click on the Trust Publisher & Install button on the bottom right. The CodeLLDB extension will be downloaded and installed for the current profile.
[INSERT IMAGE HERE]
You will see a prompt on the bottom right saying the following:
Completed installing extension. Please restart extensions to enable it.
Select Restart Extensions to restart the extensions.
[INSERT IMAGE HERE]
The CodeLLDB extension is now installed.
Grant VSCodium ptrace access
If you try to debug a program using a debugger extension, you will receive the following error:
VSCodium
Cannot launch '/var/home/anonymous/VSCodium/example/target/debug/example': ptrace failed: Operation not permitted
[INSERT IMAGE HERE]
The reason for this is because VSCodium does not have permission to access development syscalls.
Command-line instructions
Open the terminal.
VScodium can be granted the Development syscalls permission using the following command:
Type VSCodium. This should begin typing in a search bar on the left, and VSCodium should show up as a search result.
[INSERT IMAGE HERE]
Select VSCodium.
[INSERT IMAGE HERE]
To grant VSCodium the Development syscalls permission, scroll down to the section labeled Allow.
[INSERT IMAGE HERE]
Enable the switch next to the Development syscalls (e.g. ptrace) permission. It should turn blue, indicating that the permission has been granted.
[INSERT IMAGE HERE]
You may close Flatseal now.
Enable anti-cheat support
Even though VSCodium has access to ptrace, the system still does not permit it. This is to defend against basic security concerns. secureblue provides a toggle to enable support for anti-cheat, which will allow VSCodium to access ptrace.
Open the terminal.
Anti-cheat support can be enabled using one of the following commands:
You will be prompted for your administrator passphrase. After reviewing the prompt, enter your passphrase and click Authenticate. This will enable anti-cheat support.
[INSERT IMAGE HERE]
You will need to restart your device to complete the changes.
Command-line instructions
Open the terminal.
The device can be restarted using the following command:
reboot
User-interface instructions
Click on the status bar on the top right.
Click on the power button.
Click on the option labeled Restart....
You will get a prompt saying the following:
Restart
The system will restart automatically in 60 seconds
Click on the button labeled Restart to restart the system now.
Anti-cheat support is now enabled, and debugging extensions will work.
This guide is actually only 3 steps: 1. Install VSCodium 2. Install the Rust SDK 3. Enable permissions
The rest is just extras, like installing rust-analyzer, which you would need to do on any distribution. The reason it's so long is because I wanted to make it painstakingly simple for anyone to be able to do it, regardless of using the command-line, user-interface, mouse, or keyboard. Depending on how hardened you've made your secureblue system, you really could just install everything with one command:
As I mentioned, using rustup requires granting VSCodium more invasive permissions to get it to work. Furthermore, installing it would require layering system packages, which should be done sparingly. Using the Rust SDK is the recommended approach by VSCodium while using their Flatpak, and it is actually the simpler option.
I said this because even if the Rust version (not edition) is one singular release old, you miss out on features. I tried Rustc and Cargo through Nixpkgs and I reverted back to Rustup just because I wanted to use std::io::pipe().
I absolutely hate open source drama. I don't want to read your diary when I use your software, I want it to work.
I'm not even against running a parallel for-profit for extra features or corporate sponsorships. People gotta eat. I'd much rather have that than deal with following sob stories about ruthless leadership, ego clashes in contributors and endless forking because everybody thinks everybody else sucks.
The more I hang out around here, where OSS is a bit of a religion, the more disenchanted I am with it and the more I think the big game changer for this space is getting contributions on usability, production and business rather than code.
What you call drama is a healthy community fighting against violated principles. So, according to you, what's the alternative? Just keep working with broken principles and never complain? Allow a bunch of greedy members to take over the project?
If you have paid attention, basically community always win: libreoffice vs openoffice, mariadb over mysql, jenkins over hudson, x.org over xfree86, ffmpeg over libav, nextcloud over owncloud, etc.
Right to fork is one of the most important to keep project in community hands and follow declared principles. Some forget that and are just doomed to repeat the history.
Disclaimer: I work on iDempiere who forked adempiere because of community disagreements, which also forked from compiere because of corporative takeout.
Well, the point is I don't want CoMaps to win out over Organic Maps, I want some open source alternative to win out over Google Maps. Which is why I'd hesitate to say that LibreOffice "won" over anything, Google and Microsoft seem to be doing most of the winning in that particular space.
In a healthy community public arguments about "violated principles" wouldn't be a frequent occurrence and wouldn't lead to atomization of projects. I'm not taking sides on this particular example (mostly because I can't be bothered to look up the drama). But I am saying that besides the confusion and negativity caused by seeing open source developers constantly bicker about their violated principles, it can be a major setback for the perception of reliability of open source software overall. For an app you install that mostly works no matter what it's one thing, but if you integrate a piece of software into a workflow and it suddenly spawns two different pieces of software with different splinters of the original team that can be a significant disruption and if you fear significant disruptions you may hesitate to rely on that particular thing in the first place.
So do I think there shouldn't be a right to fork? Not at all. That's the whole point of open source.
Do I think it's overall a negative for the open source ecosystem that major projects break up due to their contributors being unable to come to a decision about the direction of the project? Absolutely.
You have some points but I think you're overexposed to forks and drama by being in these communities. Most OSS works and steadily improves and becomes a reliable tool. Closed software often gets better but often gets worse with bloat, subscription models, etc. I think that closed software does more harm to the utility and reliability of their products than open software.
A streamer using OBS doesn't worry about drama or forks, but they know they have to switch to Windows 11 with new hardware requirements and ads built in. A commuter using the Transit app (OSM map data) doesn't care about where the maps came from, but they know when the app has a bug, they have nowhere to turn to get it fixed. A 3D animator sees Blender steadily improve and knows if they switch to Adobe, they'll have to pay increasingly high subscription costs to keep using it. Any individual project is not forking all the time. You just know about it when it happens to any project, whether you use the software or not.
Been a long time since I've had a coffee maker. Not a huge coffee drinker. Should I buy a small coffee maker? and what kind of (cheap) coffee should I get?
End result. Junk Mainstays 5 cup brewery, Folgers Breakfast Blend and my old Awesome Sauce 26oz mug. Thanks for all the suggestions and advice. Much appreciated!
I have been drinking Black Rifle coffee for the past few months and like it a lot. They hav a wide variety of flavors to choose from and you can readily get the coffee from multiple retailers.
As for a coffee maker, that depends on how much coffee you want to make at one time. We like our Keurig and use it a lot every day. I also have a pour over pot that’s nice to make more than one cup at a time.
I used to run chains of coffee shops. I was in the coffee business for 20 years.
If you don't drink much coffee, I'd buy this for $10. If you don't break it, it will last a lifetime. You need to also buy #2 cone filters. You just add the ground coffee and pour hot water over the grounds.
I don’t have a maker because of the water here. I don’t feel like I can keep it clean. So I do pour over, but I don’t think you’d want to do that. Instant is an option if you just want it as a caffeine drug. It’s not like you can taste anyway in the short term
I use a pour over these days. I used to grind my own, but vanlife makes it easier to use pre-ground. Café Bustelo used to be the cheapest on the shelf, but now you have to hunt for a price among brands. My favorite brand is Lavazza, but you'll pay dearly.
I have no PC. I use my work laptop for pretty much everything, but it's probably about time I finally get something of my own.
I have zero technical knowledge, and zero experience of anything that isn't Windows.
Question: is it possible to buy a ready-to-go Linux PC that doesn't need me to do fiddly stuff? (I define fiddly stuff as "most of what everyone toots about on Mastodon dot com".).
If a bishop can be rebuked and even removed for offenses against collegiality, for straining the unity among the faithful, this is a crucial test case.
🇨🇭 L'INTERVIEW EN SUISSE À NE PAS MANQUER 🔥🔥 Elle est pimentée 🌶 — sur les #lobbys, le #WEF, la Fondation #Gates, le #crédit-social, #Pfizer, l' #UE, #Ursula et ses #UrsulaGates. Merci @Antithese_Media de m'avoir permis de m'exprimer librement. ▶️ à voir ici : youtube.com/qKSlAXoDQnY
New to this, starting to understand how it works sort of. I am looking for a place to chat to people, are live text chat room communities a thing here? Or do people chat through comments on posts? Not quite understanding that aspect yet.
I have been running OpenMandriva on my laptop for a few months now, but I don't think I'll be staying.
The distro works fine. I haven't run into any inherent issues. If you just need an internet box, it's fine. If you can learn to use the packages in their repo, it's fine.
The problem I ran into, is how many of the programs I wanted to run just aren't compiled for it. I could probably learn to compile them, but I'm not there yet.
The last program I wanted to install, but failed, was a comic reader. Their site said it works on "almost all flavors of linux"
Then lists Debian, Fedora, and one other.
This wasn't an isolated incidence.
I think I'll be switching to Linux Mint. I'm conflicted because it's Ubuntu with a leaf on it, but at least almost everything is compiled for Debian/Ubuntu.
But I'm comfortable with Debian. I have been running it on servers for years now. So I think I'll be fine.
Das Kommando Internet bringt zehn Ballermannsongs für einen Partysommer mit Links. Sie sind unerträglich. Und unerträglich gut. Die rechte Ecke meckert.
ich glaub die Vorstellung allein reicht mir schon aus, um es nicht hören zu wollen 😉 ( mir hat, das Kinderlied "die AfD ist rechtsextrem" schon gereicht um tagelang diesen unsäglichen Ohrwurm nicht mehr aus dem Kopf zu kriegen,🤪) aber witzig ists schon..
;D ja, lustig, bin grad am hören ;) werde ich morgen dem neunjährigen vorspielen, lustige liedchen sind gerade sein zweiter vorname, aber er äfft den abfall von den konsumkids mit, da kann ich doch was konstruktiv beisteuern, danke dafür! (urlaub auf den barrikaden... yeah...)
ich hab gestern durchgezogen, "dann geh doch" hab ich ausgesucht zum auswendiglernen (das läuft unter kreative verteidigungsmaßnahmen - vor der wahl gab's rezitierte weidel-reden von den mitschülern, 3.kl, und an sich weht der wind hier rau, also eigentlich voll passend/bassend) die hymne müssen sie glaub' in der 4.lernen(?)
@arrrg That's one of the main reasons rich countries are closing their borders more and more to people from poorer and warmer countries. But they're just fooling themselves.
[....] Cette information provient du livre «Israel’s Sacred Terrorism : À Study Based on Moshe Sharett’s Personal Diary and Other Documents», de Livia Rokach, reproduit ci-dessous, bien que je pense l’avoir en réalité trouvée dans un article d’Alexander Cockburn, que je ne parviens pas à retrouver en ligne.
La lecture de ce livre est aujourd’hui particulièrement troublante. Nasser Aruri, de l’Association des diplômés universitaires arabes américains, qui a publié le livre, écrit dans la préface :
«Le mouvement sioniste a réagi de manière hystérique aux critiques croissantes à l’égard de la violence israélienne. La #surveillance, le #contrôle des activités des détracteurs d’Israël dans les médias, les églises et les campus, la collecte de renseignements et la création de listes noires rappelant la période McCarthy aux États-Unis font partie des tactiques récemment employées par les organisations sionistes pour faire taire les critiques à l’égard d’ #Israël. Qualifier d’antisémites les détracteurs est devenu la tactique standard la plus simple pour empêcher toute discussion rationnelle sur la politique publique d’Israël et pour intimider les détracteurs potentiels. (…)
«Le journal intime de Moshe Sharett fait la lumière sur cette question en documentant de manière exhaustive la logique et les mécanismes de la «politique arabe» d’Israël à la fin des années 1940 et dans les années 1950. La politique décrite, dans ses moindres détails, repose sur des actes de provocation délibérés de la part d’Israël, destinés à susciter l’hostilité des Arabes et à créer ainsi des prétextes pour une action armée et une expansion territoriale. Les archives de #Sharett documentent cette politique de « #terrorisme sacré» et dénoncent le mythe des «impératifs sécuritaires» d’Israël et de la «menace arabe», présentés comme des vérités incontestables depuis la création d’Israël jusqu’à aujourd’hui, alors que le #terrorisme israélien contre les Palestiniens en #Cisjordanie et dans la bande de #Gaza, ainsi que contre les Palestiniens et les Libanais au #Sud-Liban, a atteint un niveau intolérable.
«De plus en plus, les bouleversements démographiques et géographiques exceptionnels que connaît la société israélienne au sein de la génération actuelle sont manifestement le résultat non pas d’une tentative malheureuse de protéger la «sécurité d’Israël» contre la «menace arabe», mais d’une quête de Lebensraum». [Terme allemand signifiant littéralement «espace vital» – en réalité, l’expansionnisme des colons.]
Noam Chomsky a écrit dans le Forward :
«En étudiant le processus d’élaboration des politiques de n’importe quel État, on constate souvent un clivage entre les positions relativement radicales qui prônent le recours à la force et à la violence pour atteindre les objectifs de l’État, et les approches «plus souples» qui préconisent des méthodes diplomatiques ou commerciales pour atteindre les mêmes objectifs. (…) L’échec [de Sharett] en politique intérieure israélienne a traduit la montée en puissance des positions de Ben Gourion, Dayan et d’autres qui ne reculaient pas devant l’usage de la force pour atteindre leurs objectifs».
La publication du livre a été une épreuve, avec de nombreuses tentatives pour en empêcher la publication au début des années #1980, comme le souligne le livre lui-même. Selon Arab World Books, l’auteure, Livia #Rokach, a déménagé à Rome (probablement depuis Israël)
«Où elle s’est présentée comme une écrivaine et journaliste italienne d’origine palestinienne – elle était correspondante pour le quotidien israélien Davar. Elle a été correspondante de la radio israélienne à Rome dans les années 1960, puis correspondante du journal palestinien Al Fajr».
Elle est morte dans des circonstances suspectes, prétendument d’un suicide, en 1984. Elle avait 50 ans.
Le livre se termine ainsi :
«5. Dans l’affaire #Lavon [une opération sous #faux-drapeau dans laquelle des #Juifs égyptiens ont mené des attaques à la demande d’Israël contre des installations occidentales au Caire afin de discréditer le gouvernement de Nasser], Sharett décrit en détail les magouilles en #Égypte. Livia Rokach a joint à l’ouvrage le discours mensonger de Sharett à la Knesset, dans lequel il révèle la vérité sur cette affaire, affirmant que les accusations portées contre les accusés dans les procès du Caire étaient motivées par la diffamation et l’ #antisémitisme. Le lecteur israélien qui a lu les extraits du journal de Sharett publiés en plusieurs épisodes dans Maariv, ou encore les huit tomes du journal eux-mêmes, peut difficilement être choqué par ces révélations malgré leur gravité. Mais l’impact d’une telle publication à l’étranger est forcément plus percutant. D’ailleurs, c’est grâce à l’absence d’intervention juridique du ministère israélien des Affaires étrangères que la diffusion de ce livret n’a pas été plus large. L’organisation arabo-américaine qui a publié ce livret n’a pas les moyens nécessaires pour le diffuser largement, surtout face à la conspiration du silence imposée par les médias américains pro-israéliens…» [....]
Two significant US campus divestment victories were hard-won by students and community activists in San Francisco, California, and in Cambridge, Massachusett...
Israeli occupation forces open fire on civilians on their way to receive US aid at the Netzarim Corridor in central Gaza english.almanar.com.lb/2419903
A sorcerer and a rogue went into the depths of hell to defeat the Lord of Terror in Hell difficulty. Tons of mistakes were made in level 16 xD (e.g. Mana Shield). You can buy this game on GOG and play it with devilutionx on OpenBSD.
News - Yemen:
The missile force of the Yemeni Armed Forces carried out a military operation targeting Lod Airport, known in Israel as Ben Gurion Airport, in the occupied Jaffa area, using a hypersonic ballistic missile.
Via Yuliya Titania "... Dans l'ANTICHAMBRE de la 3ème GM. Tandis que #Zelensky et ses sponsors occidentaux réclamaient à cor et à cri une trêve, des pourparlers de paix à Istanbul et autres absurdités, et que le président américain renard-fluo, implorait la clémence pour les "pauvres" soldats ukrainiens massacrés par les Russes, ces derniers étaient déjà à un stade avancé des préparatifs d'une opération visant à massacrer les Russes, en plein cœur de Moscou.
ANALYSE MILITAIRE : 👉Que cache l'attaque de près de 5000 drones kamikazes envoyés sur Moscou au cours des derniers jours ? 1. Du 20 mai à aujourd'hui, l' #Ukraine a lancé sans interruption environ 4 000 à 5 000 drones ailés, reçus de l'Occident, vers Moscou. En deux semaines, les Ukrainiens ont lancé dix fois plus de drones vers Moscou qu'en trois ans de guerre. La carte montre que les Ukrainiens ont ainsi créé un "couloir de drones" de 450 km de long, reliant leurs frontières à la capitale russe.
En examinant les restes des drones, les Russes ont découvert que nombre d'entre eux n'étaient pas armés et que l'objectif des Ukrainiens n'était pas de frapper des cibles spécifiques dans la capitale russe, mais de faire voler leurs drones vers Moscou jusqu'à épuisement du carburant. Mais les Russes n'avaient aucun moyen de le savoir et ont déployé un grand nombre de batteries de missiles AA dans ce "couloir de drones", neutralisant presque tous les drones ukrainiens.
Pour lutter contre les cibles volant à très basse altitude, telles que les drones, les missiles de croisière et les bombes aériennes guidées, la #Russie dispose des systèmes Pantsir-S1/2, Tor-M1/2 et Tunguska M1. Les systèmes de missiles antiaériens S-300, S-400 et S-350 disposent d'une large gamme d'intercepteurs, y compris des missiles capables de combattre des cibles volant à très basse altitude. Mais un missile de ce type coûte plus cher qu'un drone, et un stock important de missiles antiaériens consommé dans le "couloir des drones" signifie moins de missiles antiaériens dans la zone d'opérations de combat en Ukraine. Les Ukrainiens espéraient également créer une pénurie de missiles antiaériens russes spécialement conçus pour combattre les cibles volant à basse altitude dans le "couloir des drones". Mais dans quel but ?
L'opération de livraison et de transport depuis l'Occident, puis de stockage et de déploiement échelonné vers des sites de lancement à la frontière nord-est de l'Ukraine, de dizaines de milliers de drones longue portée, a duré 3 à 4 mois. L'opération livraison et préparation de drones a été menée par l'armée française.
A propos de la présence française : un reportage de la station de radio "France Inter" sur la formation d'un détachement appelé "International Revenge", près de Kiev, expliquait tout cela. Les instructeurs militaires français aident à lancer des #drones et à former des citoyens ukrainiens mobilisés. Depuis, plusieurs d'entre eux ont été tués par les troupes russes lors d'une attaque contre les positions de lancement de drones ukrainiens à la périphérie de la ville de Chostka dans la région de Tchernihiv. Il en va de même pour le 11ème RDP français qui a subi beaucoup de pertes sur la ligne de front. Bref, la #France est totalement présente sur le terrain et est à présent cobelligérante, ça n'est plus un secret. Mais cette opération n'est que la partie visible de l'iceberg. Elle s'inscrit dans un processus bien plus vaste et plus dangereux pour Moscou.
Le chancelier allemand Friedrich #Merz, nommé par la société #BlackRock, a entamé son mandat avec force, déclarant que la #Grande-Bretagne, la #France, l' #Allemagne et les #États-Unis avaient convenu d'autoriser l'Ukraine à lancer des armes à longue portée sur la Russie. En réponse, Poutine a demandé à Loukachenko d'établir plusieurs sites en Biélorussie où seraient déployés d'urgence des systèmes de missiles balistiques ORESHNIK à moyenne portée (3 400 km), dotés d'ogives nucléaires. Ces systèmes ORESHNIK étant capables de frapper n'importe quel point d'Europe, le vice-chancelier allemand Lars Klingbeil, a été contraint de démentir la précédente déclaration de Friedrich Merz concernant la levée des restrictions sur les armes fournies à l'Ukraine. Mais alors pourquoi avoir ouvert un "couloir des drones" entre l'Ukraine et Moscou ?
Quelques jours plus tard, le fanfaron irresponsable Friedrich #Merz a récidivé en déclarant que l'Ukraine recevrait les fonds et tout le nécessaire au développement de missiles à longue portée, sans restriction de portée. Le parlement allemand a annoncé que les premiers systèmes d'armes à longue portée, produits en Ukraine avec l'aide de l' #Allemagne, pourraient être déployés en quelques semaines. Or, nous savons avec certitude qu'à la suite des frappes de missiles et de drones russes, toutes les capacités de production potentielles de missiles ont été détruites depuis longtemps. L'Allemagne a donc préparé un lot de 100 à 150 missiles de croisière #TAURUS d'une portée de plus de 500 km (qui sont déjà arrivés en Ukraine), dont elle a simplement modifié les plaques d'immatriculation avant de les livrer à l'Ukraine.
Par conséquent, la Russie s'attend à ce que, dans quelques semaines, des missiles de croisière Taurus soient lancés dans le "couloir des drones", simultanément avec des dizaines de drones ukrainiens non armés, afin de rendre leur détection et leur destruction difficiles. Le Taurus peut viser aussi bien des objectifs stratégiques que des lieux bondés aux heures de pointe à Moscou, afin de tuer un maximum de civils et d'instiller la peur dans la capitale russe. Ainsi, tandis que Zelensky et ses sponsors occidentaux réclamaient à cor et à cri une trêve, des pourparlers de paix à Istanbul et autres absurdités, et que Trump implorait la clémence pour les "pauvres" soldats ukrainiens massacrés par les Russes, ces derniers étaient déjà à un stade avancé des préparatifs de l'opération visant à massacrer les Russes, en plein cœur de leur capitale. Si la Troisième Guerre mondiale ne commence pas maintenant, alors on pourra parier qu'elle ne commencera jamais.
Une vidéo publiée par "Der Spiegel" (voir le post suivant à venir : "CONTRE-PROPAGANDE : les MEDIAS OCCIDENTAUX SONT les PIRES ESCROCS qui SOIENT") montre que la Russie a procédé à une modernisation massive de ses forces nucléaires, car Moscou se sent menacée et doit se préparer à l'éventualité d'une nouvelle guerre mondiale. Les journalistes allemands affirment que tout a été modernisé et que de nouvelles installations ont été construites : bases de lancement, centres de commandement, entrepôts et des kilomètres de tunnels souterrains. Parmi eux, figure le silo le plus moderne au monde qui abrite le système AVANGARD doté d'une ogive nucléaire hypersonique manœuvrable, lancée par un missile balistique intercontinental."
Speaking at an international conference on glacier protection in Dushanbe, First Vice President Mohammad Reza Aref shifted focus from environmental concerns to the “greater humanitarian crisis” of the moment: Israeli genocide in Gaza.
E: I AM NOT USING FEDORA. Please stop linking to guides for Fedora. They will not work. uBlue/Bazzite does not use dnf.
I got a free iMac. Installed Linux on an external drive. Bazzite, specifically. WiFi does not work. My research leads me to a problem with proprietary Broadcom drivers but no solutions. If you know how to get this working, your advice would be appreciated.
Also if there's another distro that works "out of the box" on Macs with GNOME I'd be open to installing that as well.
I have WiFi problems on most distros with my 2012 Retina MBP. Generally I can’t get it working.
The only two distros I can get it working on are EndeavourOS and Linux Mint.
Mint requires installing the proprietary drivers after installation, which it easy to do.
EndeavourOS is actually easier works “out of the box” for me. But I need to change it to use WPA2 instead of WPA3 for it to work on my Mac, being as old as it is.
If you open Driver Manager after installation it will say you need to either connect to Ethernet or insert the installation USB. Using the Installation USB is fine.
It should then automatically detect you have a Broadcom WiFi module and just give you a checkbox you can click next to the correct driver.
It will install the driver from the USB, say you need to restart and then you should be done! Upon rebooting your Mac should immediately recognise available WiFi networks and let you join them.
Unfortunately the audio outputs are not detected, the cursor blinks and disappears constantly, Steam wouldn't launch, and my camera is activated constantly for some reason...
This is probably not the best system for bazzite. Stick with something with a longer track record like Debian/ubuntu or better documentation like arch.
Those old macs can get really pissy with Linux sometimes but it can be done. Their WiFi chips are incredibly obnoxious to deal with. Worst case scenario you can swap wifi cards in some those or even simply use a USB WiFi card instead.
Google used to use Ubuntu on MacBooks though I’m not sure if that’s still the case. It has a reputation of being straightforward and well supported but not everyone likes what canonical is doing anymore.
Fedora is weirdly more complex and its documentation isn’t as great as it looks on the surface. It’s worth a try but honestly documentation is more important than out of box support at this point.
Arch needs a lot of handholding and it’s a bit of a handful but the wiki is amazing and frankly the best part of that particular distro. Unlike Ubuntu you would get a virgin GNOME experience more similar to fedora but it’s also easier to break things in arch than elsewhere so keep that in mind before you head down this road. Arch is an excellent education but not always a best place to live in.
Start with Ubuntu if you want to see how that hardware is supported. If it is a pain in the ass in Ubuntu, it’s likely to be a pain in the ass elsewhere too. Consider using a usb wifi nubbin and just moving in with that.
Well the Wifi on Mint worked out of the box but the cursor would flash in and out, the audio didn't work, Steam wouldn't launch and my webcam was constantly lit up for some reason.
Unfortunately I dont have specific instructions on how to tame an angry fedora. It’s not my main so I dont have that memorized, but I do know Ubuntu likes to include some quality of life tweaks out of box that other distros like fedora can omit, including power management settings that can help tame stubborn wireless cards like these.
wireless cards have their own power management settings that typically arent shown in the GUI and in linux the defaults for some of them are so aggressive they cause problems. Intels are notorious for this but some older broadcom cards had this problem too.
🔴⚡️URGENT : Les colons extrémistes israéliens avec le soutien de l’armée israélienne mènent des attaques extrêmement violentes sur toute la Cisjordanie occupée, Hébron, Jéricho, Tulkareem et la ville palestinienne de Nazareth sont particulièrement touchées.
vs. Cosmic 
vs. Eriner 
Derp
in reply to Garbage Human • • •