Washington Stands Alone as It Vetoes Gaza Ceasefire Resolution #Palestine palestinechronicle.com/washing…

IL war and Gaza genocide

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'“We refused to pay for our own misery. We won’t pay one dime in back-rent, and we won’t pay with our lives ever again,” tenant-leader Anna Heetmann told The Defender in the press release announcing the deal.'

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VICTORY OVER SLUMLORDS: After 248 Days, KC Tenants Wins Largest Rent Strike in KC History – The Kansas City Defender

kansascitydefender.com/justice…

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Alain Gresh : "La priorité est de stopper le génocide à Gaza" - QG - Le média libre


#géopolitique #génocide #Gaza

QG : Benjamin Netanyahu est totalement insensible aux alertes de ses alliés, aux menaces de sanctions. Que cherche-t-il ?

Il faut souligner à quel point la situation est terrible. Il suffit de voir ces gens déplacés une dizaine de fois: les conséquences humaines sont incalculables. Et pourtant, il n’y a pas de plan israélien clair. La presse israélienne elle-même le dit : on a l’impression que Netanyahou mène cette guerre parce qu’il ne peut pas l’arrêter. S’il l’interrompt, il devra faire face à une commission d’enquête sur ce qui s’est passé le 7 octobre, sur la manière dont il a géré la crise, et il risquerait de faire éclater sa coalition. Alors il poursuit cette guerre, qui dépasse largement Gaza : elle s’étend à la Cisjordanie, au Liban, en Syrie, au Yémen. Ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est que c’est désormais la guerre la plus longue de l’histoire d’Israël — plus longue encore que celle de 1948-1949 qui a vu la naissance de l’État d’Israël. On est pris dans un engrenage, sans voir de finalité.

QG : Quelles issues possibles à cet engrenage infernal pour la population palestinienne ?

Lors du cessez-le-feu de janvier dernier, des centaines de milliers de Palestiniens sont retournés chez eux — chez eux, c’est-à-dire dans des maisons détruites. Cela montre un attachement profond à la terre, et une conscience que s’ils partent, ils ne reviendront jamais. À l’inverse, les Israéliens qui ont fui le nord du pays ont mis des mois, une fois les combats terminés, à revenir — et seulement la moitié d’entre eux sont rentrés. Il y a quelque chose de très particulier dans ce lien des Palestiniens à leur terre. Et pourtant, au sens propre, on ne peut pas y vivre : il n’y a plus de nourriture. Israël mise sur ce blocus pour forcer les gens à partir. Mais partir où ? L’Égypte reste extrêmement ferme malgré les pressions américaines, tout comme la Jordanie. Installer 500.000 Palestiniens dans le Sinaï serait un facteur majeur de déstabilisation — et, de toute façon, il n’y a pas les moyens logistiques pour le faire. En Jordanie, où la majorité de la population est déjà d’origine palestinienne, ce serait une menace directe pour la stabilité du régime et du trône. On peine à voir quelle issue est envisageable. Selon les organisations internationales, des milliers d’enfants risquent de mourir de faim dans les jours à venir. La situation est insupportable et elle varie selon les zones, selon les villes. L’offensive principale se concentre pour l’instant dans le nord de Gaza, une zone qu’Israël veut annexer. Tous les témoignages des humanitaires sont clairs : ils n’ont jamais vu une situation pareille. On parle, au sens propre, d’un camp de concentration — les gens sont enfermés, sans possibilité de sortir, avec en plus une volonté d’extermination. Cette dernière, aussi délibérée, n’existait pas dans les autres expériences historiques de camps, comme celle menée par les Britanniques en Afrique australe. À l’exception évidemment de l’Allemagne nazie.

QG : Quelles sont les responsabilités de l’Europe dans ce massacre à Gaza ? Le fléchissement dans le soutien à Israël, que l’on ressent publiquement, n’intervient-il pas trop tard ?

Le problème, c’est qu’on en est à 18 mois de soutien quasi inconditionnel de la France et des pays européens à la politique d’extermination menée à Gaza. Il faut le dire clairement : cette politique n’aurait pas été possible sans cet aval. Si la France et l’Europe avaient pris des mesures concrètes contre Israël, cela ne se serait sans doute pas produit. Netanyahou en a conscience. La parole de la France continue d’avoir un certain poids — même si, autrefois, elle jouait un rôle d’avant-garde en Europe. Mais le fait que la France, comme d’autres pays européens, bascule vers une critique plus radicale de la politique israélienne inquiète le gouvernement de Netanyahou. La décision de l’Union Européenne de réévaluer l’accord d’association avec Israël est un signal, même si l’on sait que cet accord ne peut être annulé qu’avec l’unanimité des 27 États membres. Cela laisse entrevoir, malgré tout, la possibilité de sanctions. On entend souvent dire qu’Israël ne cède pas aux pressions, mais la vérité, c’est qu’il n’y en a pas. Il faut une vraie pression — une pression qui vient aussi de nos sociétés. La guerre du Vietnam a été arrêtée aux États-Unis quand la population s’est massivement opposée. La guerre d’Algérie a été gagnée en France quand en 1961, le FLN avait perdu militairement.
Emmanuel Macron n’a pris aucune sanction envers Israël, refuse toujours de reconnaître un Etat palestinien et renvoie aux historiens le soin de parler de « génocide ». La France a également livré du matériel militaire à Israël, à plusieurs reprises depuis la réplique au 7 octobre octobre 2023

QG : La critique de la politique israélienne est-elle en train d’être acceptée dans les médias ou par nos politiques ?

Je rappelle à nouveau que depuis 18 mois, le soutien à Israël reste très fort, mais aussi que la répression contre le mouvement de solidarité avec les Palestiniens se poursuit — notamment à travers des accusations d’apologie du terrorisme. En France, comparé au Royaume-Uni, les manifestations ont été relativement limitées, en grande partie parce que les gens ont peur, et en particulier les Français musulmans. J’ai rencontré beaucoup de Français musulmans qui me disent : « Ce que vous dites, nous, on ne peut pas le dire. » Ils ne risquent pas forcément de perdre leur nationalité, mais ils peuvent perdre leur emploi — qu’ils soient musulmans ou non — ou être mis à l’écart au sein de leur environnement social ou professionnel. Il y a une peur très présente, encore aujourd’hui. En revanche, on observe un basculement dans l’opinion. Les images d’enfants, de famine, de bombardements — tout cela a un impact. Je me réjouis de voir que certaines personnes changent de position, qu’elles découvrent, 18 mois après, qu’il y a un génocide en cours ou, au minimum, des massacres à grande échelle. Mais, en même temps, elles ne vont pas toujours jusqu’au bout de leur réflexion ou de leur engagement.

QG : Peut-on aujourd’hui militer pour une « solution à deux Etats » ou celle-ci a-t-elle perdu toute réalité?

Aujourd’hui, la priorité est d’arrêter le génocide et de stopper l’occupation en frappant toutes ces colonies. Il faut être très clair : on ne peut pas accepter la poursuite de la colonisation — que la Cour International de Justice a jugée totalement illégale. Et cela nécessite des sanctions, non seulement en réponse à la guerre à Gaza, mais aussi face à l’extension continue des colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Cela dit, la solution à un État n’est pas non plus une perspective réaliste à échéance humaine. Les combats prioritaires aujourd’hui, au-delà de l’occupation et de la colonisation, sont ceux pour l’égalité. Sur le territoire de la Palestine, 7,5 millions de Juifs et 7,5 millions de Palestiniens vivent ensemble. La revendication fondamentale, c’est l’égalité de traitement pour tous. D’ailleurs, Amnesty International a qualifié la situation d’apartheid, ce qui souligne bien l’urgence de cette exigence. Mais à ce stade, se focaliser sur une solution politique en termes étatiques semble éloigné des enjeux immédiats. Et puis, je l’ai toujours dit : c’est aux Palestiniens et aux Israéliens de décider de leur avenir.

QG : Que penser du tabou qui règne autour du mot « génocide », chargé de sens pour Israël notamment ?

Il est très difficile de définir un génocide mais on peut tout à fait en discuter. Il y a tout de même la Cour Internationale de Justice, présidée par une juge américaine, qui a reconnu qu’il existait un risque plausible de génocide. Pourtant, dès qu’on prononce ce mot, cela déclenche un tollé. Comme s’il était inconcevable que des Juifs, ayant subi un génocide, puissent en commettre un. Par ailleurs, je remets en cause l’idée selon laquelle Israël serait l’héritier des Juifs, y compris de ceux qui ont été tués pendant la Shoah. Par exemple, le Rwanda, qui a été victime d’un génocide, mène aujourd’hui des politiques particulièrement violentes au Congo. Il n’existe aucune loi historique selon laquelle avoir été opprimé empêcherait d’être un oppresseur. L’histoire démontre plutôt l’inverse. L’historien israélien Tom Segev rappelait qu’on pouvait tirer deux leçons de l’histoire du génocide des Juifs : 1) considérer que ce que l’on a subi est tellement exceptionnel que quoi qu’on fasse, on est pardonné ; 2) considérer que ce que l’on a subi est tellement exceptionnel qu’il ne faut en aucun cas que cela se reproduise. Bien sûr, cela ne se reproduit jamais de manière identique. D’une certaine manière, on ne peut pas comparer les génocides arménien, tutsi ou juif. Mais on peut les définir. Il existe une définition précise du génocide. Pourtant, on ne verra jamais à la radio ou à la télévision un débat posant la question : “Est-ce que ce qui se passe à Gaza remplit les critères du génocide ?” Certains disent même : “L’armée israélienne n’a tué que 50.000 personnes, donc ce n’est pas un génocide.” Mais c’est une logique que l’on retrouve aussi chez une partie des négationnistes d’extrême droite qui affirmaient : “Il y a encore des millions de Juifs dans le monde, donc il n’y a pas eu de génocide.”
Selon l’ONU, plus de 15.000 enfants ont été tués à Gaza, 497.000 personnes sont confrontés à la famine. Entre le 18 mars et le 9 avril 2025, 36 frappes israéliennes ont fait des victimes, qui étaient uniquement des femmes et des enfants

QG : Les mandats d’arrêts émis par la Cour Pénale Internationale à l’égard de Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant (ancien ministre de la défense) ont été reçus avec beaucoup de prudence en Occident, si ce n’est avec virulence. Assiste-t-on à la fin du droit international ?

Oui, ce qui se joue avec la Cour Pénale Internationale (CPI) est très important, parce que ce qui se passe à Gaza dépasse de loin cette seule situation. Il s’agit en réalité de l’avenir du droit international — et c’est, à mes yeux, une question fondamentale. Ce qui est en train de mourir à Gaza, c’est justement ce droit international. On a souvent comparé la situation en Ukraine à celle de la Palestine, et la différence de traitement est flagrante. On a vu la frilosité avec laquelle la France a traité la question des mandats émis par la CPI, ainsi que les mensonges d’Emmanuel Macron, qui affirme : “On n’est pas sûr de pouvoir arrêter Benjamin Netanyahou, s’il le faut”. Ce discours a pourtant été démenti par de nombreux juristes. Plus largement, c’est tout le cadre international qui est aujourd’hui remis en cause. Les Nations unies ne sont plus respectées, et l’ordre international né de la Seconde Guerre mondiale est en train de s’effondrer. La seule chose qui pourrait le refonder, c’est précisément le droit international. Mais ce que promeuvent aujourd’hui Trump et Netanyahou est un ordre mondial gouverné par la force. Un système dans lequel on négocie peut-être avec moins d’hypocrisie qu’en Europe, mais où chaque État agit selon ses intérêts, sans cadre contraignant. Par ailleurs, il y a eu récemment une campagne — très peu relayée en France — contre la CPI et son procureur, Karim Khan, qui a reçu des menaces, y compris contre sa famille. Et cela, personne n’en parle, ce qui est tout de même extraordinaire. Plus généralement, le droit international est aujourd’hui non seulement rejeté sur le plan politique, mais aussi très mal compris. Et les médias qui en parlent le font souvent avec une ignorance préoccupante.

QG : Israël est-il finalement encore soumis au droit international ?

Non, cela fait longtemps qu’Israël est au-dessus du droit international. Marx disait : “Un peuple qui en opprime un autre ne saurait être libre.” On voit bien, en Israël, que la poursuite de l’occupation mène à une érosion progressive des aspects démocratiques de l’État. Il suffit d’imaginer que la France ait gagné la guerre d’Algérie et continue, encore aujourd’hui, à occuper l’Algérie, 60 ans plus tard. Elle ne serait plus une démocratie. Il y a aussi un problème dans la manière dont les pays occidentaux concentrent toutes les critiques sur Benjamin Netanyahou, sans reconnaître qu’en réalité, près de 80 % de la population juive israélienne soutient la politique de ce gouvernement — pas forcément tout ce qu’il fait, car Netanyahou est un politicien manipulateur et menteur, mais ils adhèrent à sa politique d’extermination à Gaza. Même ceux qui demandent l’arrêt des bombardements le font avant tout pour obtenir la libération des otages, et non en raison des massacres subis par les Palestiniens. Il faut être clair : si Netanyahou tombe demain, la politique ne changera pas. Il ne faut pas laisser croire aux gens que cette politique va évoluer dans la situation actuelle puisqu’elle fait consensus. Il faut rappeler que toutes les décisions de la Cour suprême israélienne concernant les Palestiniens ont été prises en faveur du droit d’Israël à coloniser leurs territoires. Cette cour peut être garante des libertés, mais uniquement pour les citoyens juifs. Il ne faut pas se faire d’illusions, ni réduire la responsabilité à la seule personne de Netanyahou. Il n’est pas le seul responsable.

Propos recueillis par Thibaut Combe

Alain Gresh est directeur des journaux Orient XXI et Afrique XXI et a été rédacteur en chef au Monde Diplomatique pendant près de 10 ans. Il est un expert du Proche-Orient et de la situation israélo-palestinienne. Il également publié De quoi la Palestine est-elle le nom ? (Les Liens qui libèrent, 2010), Palestine 47, un partage avorté, avec Dominique Vidal (Éditions Complexe, 1994) ou L’Islam, la République et le Monde (Fayard, 2004)

qg.media/2025/06/03/alain-gres…

No idea if the spat between Trump and Musk is real or kayfabe. If it's a scam, then Trump is trying to distract us from something, and Musk is likely trying to salvage his stock prices.

Interesting that Musk would bring up the Epstein files. Last time those were in the news a GOP kid and some Trump supporters got killed.

Regardless, they are both manipulative assholes, and I've sworn off being manipulated by assholes. Off to game...

😡😡😡😡 How are we supposed to heal and fix our country when every damn day the same creatures are out there causing more and more idiotic rules and problems!!!! We have years of crimes they have committed to get through and yet they are still free to create more havoc! Our food keeps getting sicker, farmland seized for solar or housing, gas prices hiked, and budgets out of wack for illegals still.
in reply to Parade du Grotesque 💀

As a kind reminder, a majority* of Americans elected Dumbo President.

Not just once, but TWICE.

Let me repeat this, for the people in the back: a majority* of Americans elected Dumbo President not just once, but TWICE.

And I am willing to bet a lot of Americans still think Dumber is a swell guy.

Follow me for more unfunny facts.

(* yeah, yeah, yeah, we can argue until we are blue in the face, but the fact is, that dumb guy is President. And you are not. You are welcome.)

in reply to Parade du Grotesque 💀

"The Presidency tends, year by year, to go to such men. As democracy is perfected, the office represents, more and more closely, the inner soul of the people. We move toward a lofty ideal. On some great and glorious day the plain folks of the land will reach their heart's desire at last, and the White House will be adorned by a downright moron."

-- H.L.Mencken

Thank you, I will be here all week - don't forget to tip your waitress!

Doubled U.S. steel, aluminum tariffs spark criticism, trade war concerns across globe en.people.cn/n3/2025/0605/c900…

In Nur Shams and Tulkarem, Israeli incursions leave ‘nothing to salvage’ #Palestine 972mag.com/nur-shams-tulkarem-…

Breakthrough in Donbass: Russian Aviation, Artillery, Drones, and Assault Troops Overwhelm Ukrainian Forces telesurenglish.net/breakthroug…

The Parallel Struggle of Liberal Zionism orinocotribune.com/the-paralle…

For the past two weeks I have been working on support for #Pixelfed (github.com/poetaster/harbour-t…) and multiple accounts (github.com/poetaster/harbour-t…) in #Tooter Beta by @poetaster, which is a SailfishOS Mastodon client.

Now I don't need to open the web browser to check latest pictures from people I follow 😀

This entry was edited (2 months ago)

ICE shows up at a construction site and nearly everybody takes off running.
This is amusing to me, but also annoying. There needs to be enforcement against the people that are hiring these illegals.
From my experience, they are mostly used to improve profit margins not provide lower prices, displacing local citizens from potential employment in the process.

x.com/iAnonPatriot/status/1930…

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A crazy lady who runs a bronchietasis forum keeps urging me to go off my Crohn's medication because it's an immunosuppressant and she's against immunosuppressants. I don't like them either, but I like randomly shitting my pants less. Everyone thinks they know about Crohn's disease unless they HAVE Crohn's disease (not some other intestinal distress), then they switch to dear god anything that keeps you from shitting your pants, do that. Everyone else tells me to only eat meat, or to eat fresh dirt (seriously!), or to "wean off" my biologic drug (if she knew how biologics worked she'd know there's no weaning off, you develop antibodies immediately and once you go off or even use them less, they lose 100% efficacy and you can't go back on).

#SA #3rd-world #retards #morons

In Limpopo, South Africa, a government-backed agricultural initiative saw 30 cows gifted to beneficiaries to support farming. However, instead of establishing a livestock farming enterprise, the recipients hosted a community braai and consumed the cattle.

The cows were very emaciated to start with...

A team from Auburn University took top honors in NASA’s 2025 Revolutionary Aerospace Systems – Academic Linkage (RASC-AL) Competition Forum, where undergraduate and graduate teams competed to develop new concepts for operating on the Moon, Mars and beyond. Auburn’s project, “Dynamic Ecosystems for Mars Environmental Control and Life Support Systems (ECLSS) Testing, Evaluation, and Reliability […]

Thoughts?

Keeping in mind that nothing is as it seems, that is...

theconservativetreehouse.com/b…

Pour mémoire . Cela s'est passé à Paris . En plein nettoyage ethnique de #Gaza Comme nous l'a raconté le journal l'Humanité .

Imaginez un #quiz dont la question est: « Depuis le début de la guerre, si 55000 personnes sont mortes à Gaza, dont 55% de civils, ça fait combien de Gazaouis qui sont morts? 10,5 %, 24,6 %, 1,3% ou 5,5% ? Quel est le bon chiffre ? » Sur l'écran où figure le graphique, le chrono défile, le suspense est à son comble. Qui va trouver la bonne réponse pour être l'heureux gagnant? L'ambiance est festive. L'animatrice #BarbaraLefèbvre, chroniqueuse à RMC, précise, avec une pointe d'ironie: « On compte les civils morts, on ne parle pas des terroristes du #Hamas. » Ce jeu glaçant n'est pas imaginaire. On a cru à une fake news.
Hélas non. Il s'est déroulé, sous les applaudissements du public, le 27 mai, au salon Hoche à #Paris, lors du premier gala des Diaspora Defense Forces ( #DDF), une organisation qui se présente comme «une armée citoyenne de défense de la communauté juive en diaspora et en Israël à l'échelle mondiale, déterminée à gagner la guerre de la communication et le combat pour la vérité sur #Israël ».

Parrainé par Olivier #Rafowicz, le médiatique porte-parole de l'armée israélienne, ovationné lorsqu'il est apparu en direct sur un écran, le gala était orchestré par le célèbre publiciste Frank #Tapiro, leveur de fonds pour la cause. À ses côtés, la chroniqueuse de BFMTV RMC, Barbara Lefèbvre, qui, le 31 mai à l'antenne, appelait à « vider la bande de #Gaza et à la transformer en zone vierge », car, selon elle, « les civils à Gaza sont autant responsables que les membres du Hamas et du Djihad islamique». Des personnalités francaises du monde des médias et des affaires, des artistes et des politiques étaient invités aux festivités.
Parmi eux #BHL Bernard-Henri Lévy, #EnricoMacias, l'animateur #Arthur, l'acteur #PhilippeLellouche, l'essayiste #CélinePina, l'homme politique Amine El Khatmi, cofondateur du Printemps républicain. La députée des Français de l'étranger Caroline #Yadan ou Astrid Panosyan-Bouvet, avant sa nomination comme ministre du Travail, avaient participé, elles, à des conférences organisées
Comment comprendre et admettre que de tels événements se déroulent sur le territoire français , au moment où de plus en plus de voix s'élèvent enfin contre ce qui est reconnu comme un génocide et alors même que le président français, Emmanuel Macron, s'efforce d'avancer sur la reconnaissance d'un État palestinien et pour que cesse le massacre en cours à Gaza?
Au cours de ce gala, les journalistes Laurence #Ferrari, de #CNews, et Franz-Olivier #Giesbert ont été décorés du prix dit des Justes, récompensés pour « leur fervent soutien à Israël et à la diaspora». La journaliste emblématique de l'empire #Bolloré affirmait le 22 mai, dans un de ses éditoriaux sur CNews: « Les opposants d'Israël sont aujourd'hui la pire caution des terroristes. »

L'événement a suscité de vives réactions d'émotion et d'indignation. Le député LFI Aymeric Caron a annoncé le 30 mai sa décision de saisir la procureure de la République de Paris. Il considère que le gala relève de « l'apologie de crimes d'atteinte à la vie, apologie de crimes de guerre, apologie de crimes contre l'humanité, voire complicité desdits crimes».


xcancel.com/PatChampagnac/stat…

Five European Countries Traded Weapons with Israel Despite Gaza Genocide #Palestine qudsnen.co/five-european-count…

Earth scientist Compton J. Tucker has been elected to the National Academy of Sciences for his work creating innovative tools to track the planet’s changing vegetation from space. It’s research that has spanned nearly 50 years at NASA’s Goddard Space Flight Center in Greenbelt, Maryland, where he is a visiting scientist after retiring in March. […]

Missing project?


Why is there no fediverse project forma online sales (like eBay)?

I get that involving payment adds a layer of complexity, bit it shouldn't be that hard? And with the rising rates of older platforms it feels like a missed opportunity

in reply to ByroTriz

Are you maybe looking for flohmarkt?

The name flohmarkt is a german word and translates to flea market or garage sale in english. This is a symbol for each flohmarkt being meant to be a small place for a somehow connected group of people. All the flohmarkts willing to federate make up one big place for small advertisements about exchange of goods and services.
This entry was edited (2 months ago)

“So They’ll Never Have Children”: American Nurse Says Israeli Soldiers Deliberately Shot Boys in the Penis mintpressnews.com/gaza-hospita…

Introduction On September 15, 2018, the NASA Ice, Cloud, and land Elevation Satellite-2 (ICESat-2) mission launched from Vandenberg Air Force Base and began its journey to provide spatially dense and fine precision global measurements of our Earth’s surface elevation. Now in Phase E of NASA’s project life cycle (where the mission is carried out, data […]

New Clothes Provided to the Delegates of the Children’s Union From Voice of Korea. #DPRK kfauk.com/new-clothes-provided…

gettr.com/post/p3lsv1y9aa5

THIS WHISTLEBLOWERS LIST OF POLITICIANS THAT GOT KICKBACKS FROM UKRAINE

LINDSAY GRAHAM - 82 MILLION FROM UKRAINE !
Now You Know Why That Treasonous Traitor Is In UKRAINE !
AND AS ON BUDGET COMMITTEE GRAHAM APPROVED HIMSELF $411,000 HE SPENT HE SAYS ON A HOTEL !
$411,000 !!!!!!!!!!

New Research Exposes How “Vaccines” Trigger SIDS — Medical Establishment Covering Up Infant Deaths With Misdiagnosis

thelibertydaily.com/new-resear…