Pourquoi Israël attaque-t-il l’Iran maintenant ?


Marc Vandepitte

Après des années de confrontations indirectes, Israël est désormais passé à une guerre ouverte contre l’Iran. Ce qui avait commencé comme une série d’attaques de précision contre des cibles militaires s’avère faire partie d’une stratégie beaucoup plus large visant à affaiblir l’État iranien et à réorganiser durablement l’équilibre des forces dans la région.

Aux premières heures du 13 juin, Israël a entamé une guerre directe avec l’Iran, après des décennies de guerre de l’ombre composée d’assassinats ciblés, de cyberattaques et de confrontations indirectes, de Damas à la mer Rouge.

La règle non écrite était d’escalader sans que la situation ne devienne incontrôlable. Avec une attaque surprise des services de renseignement israéliens et de lourds bombardements, suivis d’une riposte iranienne contre des objectifs militaires et des infrastructures stratégiques en Israël, cette limite a désormais été franchie.

Objectif de cette guerre

La situation s’aggrave rapidement et montre les signes d’un conflit bien plus vaste que la seule prétendue démilitarisation nucléaire. Netanyahou a déclaré ouvertement qu’il visait un changement de régime en Iran.

La probabilité que cela se produise est faible. D’un côté, il existe un grand mécontentement en Iran. De nombreux jeunes rejettent le mode de vie traditionnel strict et le paternalisme clérical. En raison des sanctions économiques imposées par les États-Unis, l’économie va très mal, la pauvreté est omniprésente et un quart des jeunes est au chômage. Le système politique est théocratique et peu transparent. Les Iraniens sont las de la corruption généralisée et de la répression brutale.

D’un autre côté, le gouvernement peut encore compter sur le soutien d’une part importante de la population conservatrice et religieuse, surtout en milieu rural, mais aussi partiellement dans les villes. De plus, les bombardements d’un agresseur étranger tendent à resserrer les rangs.

Un changement de régime est sans doute trop ambitieux, mais un objectif plus réaliste serait la neutralisation de l’Iran en tant que puissance régionale secondaire. L’objectif à long terme des États-Unis au Moyen-Orient est de fragmenter les États en entités plus petites et plus faibles, incapables d’agir de manière autonome, et, dans le meilleur des cas, dirigées par des forces pro-américaines.

Cela s’inscrit dans l’effort du « collectif occidental » pour empêcher l’émergence de pays rebelles ou de blocs de pouvoir alternatifs qui pourraient menacer cinq siècles de domination mondiale. Cette motivation découle de la nature même du capitalisme global et de son instinct de survie par l’impérialisme.

Au sein du bloc anti-hégémonique (incluant la Russie, la Chine et la Corée du Nord), l’Iran, sans armes nucléaires, représente le maillon faible. Au Moyen-Orient, l’objectif est de créer une région où aucun pays ne serait plus grand ni plus puissant qu’Israël, afin que celui-ci puisse garantir sa domination régionale. Pour atteindre cet objectif, Israël est censé faire le sale boulot.

À cette fin, il est armé par les États-Unis et leurs alliés occidentaux avec les armes les plus létales et les plus avancées, et peut également compter sur un soutien militaire et logistique de Washington.

Stratégie

Selon des analystes, Israël applique aujourd’hui en Iran la même stratégie qu’il avait utilisée précédemment au Liban : assassinats ciblés de dirigeants militaires, destruction de systèmes de communication et bombardements de précision sur des cibles préalablement sélectionnées. Cette stratégie s’est en tout cas révélée efficace au Liban.

Par ailleurs, l’État sioniste tente de perturber l’approvisionnement en pétrole du pays. Tel-Aviv a laissé entendre dimanche que lors des récentes attaques en Iran, il avait frappé des dépôts de carburant servant à la fois à l’approvisionnement civil et militaire. L’objectif n’est pour l’instant pas de gêner les exportations de pétrole — principalement à destination de la Chine — mais de perturber l’approvisionnement intérieur de l’Iran.

Après les attaques contre des installations militaires et nucléaires, les frappes contre les infrastructures énergétiques marquent une nouvelle phase, avec le même but : paralyser les infrastructures de défense et affaiblir le gouvernement ainsi que la société.

Un scénario possible serait similaire à ce qui s’est produit en Irak et en Syrie. Dans les deux pays, l’autorité centrale et l’armée ont été fortement affaiblies, et le territoire a été de facto morcelé en zones échappant au contrôle du gouvernement. Dans les deux cas, cela s’est produit à la suite d’une agression militaire extérieure et de la division des groupes de population les uns contre les autres.

Quelque chose de similaire sera également tenté en Iran. Comme en Irak et en Syrie, les Kurdes y représentent une importante minorité.

Rôle des États-Unis

Selon le journaliste d’investigation Ben Norton, l’attaque israélienne contre l’Iran n’est pas une action unilatérale, mais le résultat d’une opération coordonnée entre Israël et les États-Unis, approuvée et dirigée par l’administration Trump.

Alors que les États-Unis participaient publiquement à de soi-disant négociations de paix sur un nouvel accord nucléaire avec l’Iran, Trump aurait secrètement aidé Israël à préparer l’attaque. Il a fourni des armes, notamment 300 missiles Hellfire, a donné accès aux renseignements américains et a personnellement approuvé l’attaque.

Trump avait donné à l’Iran un “ultimatum” de 60 jours pour accepter un accord — le jour 61 est devenu le moment de l’attaque. Trump s’est vanté publiquement de l’attaque, l’a qualifiée de “massacre” et a déclaré que “beaucoup d’autres allaient suivre”.

Des responsables ont affirmé que les États-Unis n’étaient pas impliqués, mais selon Norton, des informations divulguées et des reportages médiatiques montrent que les États-Unis ont fourni un soutien militaire et logistique crucial, et ont même intercepté des missiles iraniens lorsque l’Iran a riposté.

Ils avaient d’ailleurs déjà fait cela lors des précédentes attaques de missiles en provenance d’Iran (en avril et octobre 2024). À ce jour, il n’est pas encore clair si les États-Unis participeront directement aux attaques israéliennes. Il semble qu’au sein de son gouvernement, tout le monde ne soit pas encore sur la même longueur d’onde.

Trump a en tout cas déjà déplacé un porte-avions nucléaire de la mer de Chine méridionale vers la mer d’Arabie, pour renforcer, aux côtés de l’USS Carl Vinson et de plusieurs destroyers, une présence dans la région semblable à celle de l’OTAN. En outre, des dizaines d’avions ravitailleurs ont été envoyés en Europe, prêts pour des opérations au-dessus du Moyen-Orient.

Pourquoi maintenant ?

Washington et Tel-Aviv estiment que le moment est venu d’attaquer l’Iran et de tenter de lui porter un coup fatal. La destruction des systèmes de défense aérienne iraniens par Israël il y a quelques mois, la chute du gouvernement d’Assad et l’installation d’un régime “sous contrôle” là-bas, le quasi-effondrement du Hezbollah au Liban et la dévastation de Gaza — ces facteurs ont fortement fait pencher l’équilibre des forces régionales en faveur d’Israël et de ses alliés occidentaux.

La manière dont ce conflit va évoluer est pour l’instant totalement incertaine. Israël a causé de sérieux dégâts militaires lors de ses premières frappes en Iran, touchant des structures de commandement et retardant possiblement certaines parties du programme nucléaire.

Mais l’euphorie initiale en Israël a rapidement laissé place à la lucidité lorsque l’Iran a frappé en profondeur le territoire israélien avec des missiles. La destruction dans les villes israéliennes a fait voler en éclats l’illusion d’invulnérabilité.

Étant donné le grand nombre de missiles balistiques dont dispose Téhéran (environ 2 000), l’Iran pourrait être en mesure de maintenir de tels bombardements pendant encore trois à quatre semaines.

Reste à savoir si l’Iran s’en tiendra là ou s’il ira plus loin, par exemple en bloquant le détroit d’Ormuz, un passage maritime crucial pour le pétrole. Cela ferait fortement grimper les prix du pétrole et aurait des conséquences considérables pour l’économie mondiale.
Si Trump décide, de son côté, de participer directement à l’attaque contre l’Iran, nous entrerons de toute façon dans une nouvelle phase d’escalade aux conséquences incalculables.

Les prochains jours nous le diront.

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Les fuck-checkeurs


par Phil BROQ

Voltaire, depuis son siècle poussiéreux, ricane. »Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités.» Il savait. Il avait deviné ce que devient une société qui remplace la pensée par la procédure. Ce que devient un peuple qui délègue sa raison à des organismes subventionnés. Et de nos jours, dans l’arrière-boutique aseptisée du monde médiatique moderne, allant de la télévision de propagande aux journaux subventionnés, la vérité se vend désormais sous cellophane estampillé «Fact-Chekée». Elle a des sponsors, des chartes graphiques et surtout un service juridique en lien direct avec les magistrats de la 17ème chambre correctionnelle. Ce n’est plus un idéal, c’est une marque déposée. Sur les plateaux télé, dans les colonnes des journaux papiers ou numériques, elle se décline en slogans, en vignettes, en pastilles de confort cognitif. Et à ceux qui se demandent encore qui tient la bride de cette nouvelle «vérité standardisée», il suffit d’un seul mot pour comprendre : financement !

Le fact-checking, présenté comme l’ultime rempart contre la désinformation, s’est mué en véritable clergé de la rectitude, une liturgie moderne où l’on ne cherche plus la vérité, mais l’aval du pouvoir. Loin de l’image du journaliste rigoureux, impartial et soucieux de confronter les faits, le «vérificateur» contemporain est une caricature de moine-soldat numérique, récitant les dogmes de l’ordre dominant avec la ferveur d’un novice converti au culte de la conformité. Derrière son écran bardé de certitudes et ses tableurs faussement neutres se cache rarement une vocation journalistique, mais presque toujours un financement opaque. Gates, Soros, Omidyar, Rockefeller, Google, Facebook, etc., qui sont en réalité les véritables rédacteurs en chef des «décodeurs» et autres «vérifieurs» autoproclamés. Ils ne forment pas des journalistes mais des propagandistes, des standardistes de la narration autorisée, des zélateurs de la version officielle.

La plupart d’entre eux n’ont jamais enquêté sur le terrain, jamais confronté une source réelle, jamais mis les mains dans les archives ou risqué quoi que ce soit dans l’exercice de leur prétendue mission. Leur seul mérite est de savoir copier-coller un communiqué de presse gouvernemental, aligner des éléments de langage et tamponner le tout d’un verdict doctement asséné de »Faux», »Trompeur» ou »Complotiste», voire dans les cas difficiles à décrédibilise directement »Antisémite». Ils ne réfutent pas mais ils délégitiment. D’ailleurs, ils ne débattent pas, ils disqualifient. Leur compétence se résume souvent à une capacité limitée à manipuler un moteur de recherche, à recracher les conclusions de l’AFP – subventionnée par Gates -, de Reuters ou du CDC, selon le sujet, tout en priant pour que l’algorithme de YouTube ou de Google le propulse au sommet du flux d’information, et que leurs mécènes reconduisent leurs subventions annuelles.

Ces «vérificateurs» sont aux journalistes ce que les influenceurs sont aux philosophes. Ce sont des simulacres bavards, dopés à la visibilité artificielle, sans profondeur, sans honneur, et surtout, sans contradictions. Ils ne rendent pas compte du réel mais l’écrasent sous le poids d’une vérité unique, aseptisée, labellisée. Ils ne cherchent pas à comprendre, mais à faire taire. Et lorsque l’étouffement algorithmique ou médiatique ne suffit plus, lorsqu’un discours dissident persiste à franchir les murs de la censure douce, une autre instance entre en scène avec la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris.

Pudiquement surnommée «chambre de la presse», elle agit en bout de chaîne comme le bras judiciaire de ce système d’étouffement. Moins une juridiction qu’un instrument de régulation idéologique, elle sert à légitimer, par le vernis du droit, les procès d’intention initiés dans les colonnes des vérificateurs subventionnés. Ceux-ci pointent du doigt, et elle sanctionne. Les uns fabriquent les coupables médiatiques, les autres les traduisent en justice. Ensemble, ils forment un écosystème de répression feutrée, où l’État et ses alliés oligarchiques peuvent attaquer, en toute légalité apparente, ceux qui osent encore dénoncer leurs dérives, leurs malversations, ou simplement leur emprise.

Créée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, officiellement pour protéger la liberté d’expression, elle s’est progressivement muée en un bastion de la pensée conforme, un tribunal d’exception chargé non pas de faire respecter la loi, mais de redresser les déviants du récit dominant. Cette chambre ne juge pas des délits de presse, elle juge des délits d’opinion. Les écrivains trop libres, les journalistes non alignés, les polémistes insoumis, voire les simples internautes trop bavards, y défilent les uns après les autres, traînés au nom d’une morale travestie en droit. Quand un Hervé Ryssen, une Houria Bouteldja, ou un Dieudonné franchissent les lignes rouges floues de la bien-pensance, c’est là qu’on les envoie. Non pour juger des faits, mais pour condamner des idées.

Surtout, la 17ème chambre s’est spécialisée dans la protection d’un tabou particulier avec la critique du sionisme et, plus largement, de la politique israélienne. Il ne s’agit plus ici de justice, mais de dogme. Toute parole dissidente est aussitôt frappée de suspicion, souvent au nom de la lutte contre l’antisémitisme, que l’on brandit comme un paratonnerre pour interdire le débat. La nuance est jugée complice. L’ironie y est inadmissible et l’analyse factuelle y est désormais subversive. Ce tribunal fonctionne comme une Stasi postmoderne avec la même obsession du contrôle idéologique, la même volonté de quadriller les esprits, et la même logique d’intimidation judiciaire. La différence est que celle-ci agit en robe noire, avec les bénédictions du «droit» républicain. Elle n’espionne plus dans l’ombre, mais elle convoque à la barre. Elle ne frappe plus à minuit, mais elle signifie une assignation. Cependant, la finalité reste la même pour neutraliser les voix dissidentes sous couvert de justice, faire taire ceux qui refusent de se plier à la vérité d’État ou au récit des puissants. Mais cette répression ne commence pas dans les prétoires, elle est préparée, en amont, dans les laboratoires idéologiques du journalisme subventionné. Les fact-checkers tracent le cercle, et la justice le referme.

Dans l’ombre des grandes manœuvres politiques et médiatiques, un autre aspect de la répression se déploie avec l’asphyxie économique des voix dissidentes. Là où la parole alternative parvient à échapper aux chaînes des grands médias et des réseaux sociaux, les banques et les autorités fiscales prennent le relais pour faire taire toute opposition trop gênante. Les comptes bancaires des dissidents sont progressivement gelés ou fermés, à la demande d’une autorité exécutive qui ne supporte pas les divergences. Cet outil de contrôle est subtilement intégré au système répressif, où les institutions financières, sous couvert de légalité, deviennent des bras armés de la censure. Non content de faire taire ceux qui résistent dans le domaine de l’opinion, l’État utilise également le fisc comme un instrument de soumission. Les opposants politiques, journalistes, ou intellectuels trop influents se retrouvent piégés dans une toile fiscale où les amendes, les audits interminables et les poursuites judiciaires les asphyxient lentement.

La fiscalité devient donc une arme de destruction massive, capable de détruire des carrières, de ruiner des vies et d’intimider les plus audacieux, les forçant à se soumettre ou à fuir. Ceux qui réussissent encore à tenir finissent souvent par être poussés à l’exil, ou pire, comme le Général Delawarde ou Éric Denécé, réduits au silence définitif. Car les menaces physiques, bien que discrètes, ne sont pas non plus absentes. L’État et ses alliés puissants n’hésitent pas à utiliser tous les leviers du pouvoir pour éliminer ceux qui, par leurs positions critiques, représentent une menace trop réelle pour l’ordre établi. Entre les intimidations économiques, la répression judiciaire et la persécution politique, la dissidence devient un acte à haut risque.

Sous l’ère Macron, la répression de la dissidence a franchi un seuil inédit, marquant la fin de toute velléité d’opposition. L’État, devenu un bras armé d’une oligarchie bien rodée, ne se contente plus de museler les voix dissonantes par la parole ou les lois. Depuis les scènes de violence inouïe qui ont marqué la répression des Gilets Jaunes, où des centaines de manifestants ont été mutilés, gazés et brutalement interpellés sous l’œil complice des médias subventionnés, le message est clair puisque toute contestation sera écrasée. Et ce n’est pas un hasard si l’arsenal répressif a été perfectionné avec des structures comme le réseau «Fleur de Lys», géré dans l’ombre par Alexandre Benalla, bras droit du Président, dont le rôle dans les violences policières et les disparitions douteuses est loin d’être anodin.

De nombreux témoins gênants, des journalistes, des intellectuels, ou même des citoyens trop curieux ont mystérieusement disparu ou se sont «suicidés», dans des circonstances qui ne trompent plus personne. La case «suicide» devient à présent un ultime recours pour faire taire ceux qui dérangent vraiment, que ce soit dans les hautes sphères de l’État ou dans les tréfonds du renseignement. Pendant ce temps, des voix, comme celle de Natacha Ray qui a eu le courage de révéler l’escroquerie systémique derrière «l’affaire Jean-Brigel», sont traduites en justice pour avoir osé pointer du doigt les malversations qui rongent l’État et ses alliés. Le système judiciaire est à ce point instrumentalisé qu’il en devient une extension du pouvoir exécutif, une cour de répression où les opposants ne sont plus jugés, mais réduits au silence.

La France, sous Macron, n’est plus une démocratie, mais une dictature feutrée. Le verrouillage est total, et la liberté d’expression n’est plus qu’une chimère. Mais qui finance ces nouveaux gardiens du dogme ? Qui tire les ficelles derrière les rideaux de vertu et les slogans de transparence ? Car ces juges et toute cette corporation judiciaire, à l’instar de ces fact-checkeurs, si prompts à dénoncer l’influence des «puissances occultes» chez les autres, vivent eux-mêmes sous perfusion d’un mécénat bien particulier qui n’a rien de désintéressé.

La manœuvre est toujours la même, systématique, sournoise. En 2017, la Fondation Gates a injecté plus d’un million de dollars dans le Poynter Institute, véritable cathédrale du journalisme «d’intérêt général» américain, sous le prétexte de promouvoir «l’éducation médiatique». Mais cette générosité masquée ne visait pas l’éveil intellectuel, ni la quête de vérité, mais la formation d’une nouvelle cléricature de journalistes dociles, chargés de filtrer, censurer et conformer. Grâce à des projets comme MediaWise, ces sentinelles de la pensée unique sont devenues les garantes de ce que l’on peut dire, ce que l’on peut penser, ce que l’on peut savoir.

Ce programme «d’éducation médiatique» est financé par des géants comme Google, Meta et donc la Fondation Gates. Officiellement dédié à apprendre aux jeunes à repérer la désinformation, il agit surtout comme un filtre idéologique, enseignant à identifier les «bonnes» sources et à rejeter toute voix dissonante. Plutôt qu’un outil d’émancipation intellectuelle, MediaWise fonctionne comme une fabrique du consentement numérique, formant des citoyens plus obéissants que critiques. C’est l’école du bon croyant. L’antichambre de l’obéissance cognitive. On n’y apprend pas à penser, mais à répéter. À dire oui au bon moment, à hocher la tête quand le système tousse, à s’indigner à la demande et à chercher frénétiquement les «fake news» partout… sauf dans les communiqués de presse de Pfizer, les rapports de la Banque mondiale ou les éléments de langage de l’OTAN ou d’Israël. Sous couvert d’éducation, on y forme ainsi les nouvelles sentinelles idéologiques avec des jeunes hyperconnectés, naïfs, mais surtout incapables de remettre en question la source dès qu’elle est estampillée «officielle». Le fact-checking devient alors un réflexe conditionné, non un travail intellectuel. Une milice cognitive, non une conscience critique.

Mais Gates ne s’est pas arrêté là. Derrière les fonds alloués à des entités comme le Poynter Institute, c’est tout un réseau médiatique qu’il soutient, à commencer par l’AFP, le journal Le Monde, la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, ou encore les multiples canaux d’informations soutenus par des associations de gôôôche bien pensantes. Ces médias, prétendant encore défendre une forme de «pluralisme», deviennent en réalité les bras armés d’une idéologie qui fait taire toute forme d’opposition. Car l’important n’est pas d’informer, mais de convaincre !

Tout ce qui dérange, tout ce qui questionne, tout ce qui met en lumière les manipulations derrière les grands récits officiels est balayé d’un revers de main. La guerre en Israël, la politique des grandes puissances, les intérêts économiques derrière les conflits, les réseaux pédophiles de chantages, et bien d’autres, car tout cela n’est qu’un fil conducteur, une toile d’araignée où chaque point d’interrogation se voit disqualifié avant même d’être posé. Une propagande subtilement orchestrée, dont ces «fuck-checkers» et les «journalopes» endoctrinés sont les instruments.

Et puis il y a Pierre Omidyar, le mécène au sourire discret, mais aux ambitions bien tracées. Créateur d’eBay et pseudo-champion de la liberté d’expression, il a versé plus d’un million de dollars à l’IFCN rien qu’en 2017, et finance en parallèle des dizaines de structures de «journalisme d’investigation»… qui n’investiguent jamais les intérêts des multinationales, ni ceux des philanthropes eux-mêmes. Comme par hasard. ! Ce n’est pas du journalisme, c’est du «branding» idéologique. L’objectif n’est pas d’éclairer le citoyen, mais de le guider, docilement dans le couloir bien tapissé d’une vérité préfabriquée. Sous couvert de transparence, on ferme les fenêtres !

Soros n’a pas été en reste. L’Open Society, fleuron progressiste à usage humanitaire, elle a aussi glissé son obole au pied de l’autel. Soros n’a pas simplement regardé le fact-checking se développer, il l’a financé, structuré, orienté. Par l’intermédiaire de sa fondation, il a versé des centaines de milliers de dollars au Poynter Institute, clergé officiel de la vérification, et à son bras armé, l’International Fact-Checking Network. Mais c’est surtout dans les pays en développement et l’Europe de l’Est que son influence devient stratégique. Là où les institutions sont fragiles, où un dollar pèse plus qu’un vote, l’argent ne soutient pas la vérité, il l’achète. On n’a plus besoin de renverser des régimes puisqu’il suffit d’investir dans les narrateurs. En Europe centrale, par exemple, huit des onze structures de fact-checking utilisées par Facebook sont financées directement par Soros. Ce n’est plus de l’aide, c’est de la scénarisation géopolitique.

Dans ces zones grises de la souveraineté médiatique, le fact-checking devient alors un outil de colonisation douce. On n’envoie plus les troupes, on envoie des stagiaires en sciences politiques armés de tableurs Excel et de subventions occidentales. Leur mission est de corriger les récits indigènes, invalider toutes versions alternatives, et sanctifier la parole officielle venue de Washington, Bruxelles ou Davos. Le correcteur orthographique de la pensée remplace le fusil ! C’est plus propre, plus rentable, et surtout plus acceptable. L’ingérence n’a plus de visage brutal mais elle a une charte déontologique, un compte Twitter/X certifié et le soutien bienveillant d’un milliardaire «progressiste».

Et puis vient le rôle de Google, omniscient, omnipotent, omniprésent. Ce n’est pas un sponsor, c’est le décor. Il indexe ce qui mérite d’être vu. Il fait exister les sources et en enterre d’autres. Quand il finance mais ne soutient pas une cause, il verrouille un protocole. La boucle est bouclée ! L’idéologie descend en cascade, masquée par les bons sentiments. Le pluralisme est devenu une relique folklorique, exhibée comme un artefact dans les vitrines de la démocratie. Derrière l’illusion d’une presse indépendante et d’un journalisme citoyen, ce sont les géants du numérique qui tiennent la plume et la gomme. Google a aussi injecté des millions de dollars dans Poynter Institute, tout en finançant directement des dizaines de projets de «journalisme de vérification» via son initiative Google News.

Bien entendu Meta (Facebook) n’est pas en reste, bien au contraire ! La firme a officiellement désigné des «partenaires de vérification indépendants» comme Africa Check, Rappler ou Full Fact, tous financés, directement ou indirectement, par les mêmes réseaux philanthropiques aux mains des grands mécènes comme Soros, Omidyar, ou la Fondation Gates. Le message est limpide car ceux qui détiennent les plateformes contrôlent aussi le récit. Ce n’est plus un simple arbitre qui décide de la vérité, mais bien les juges nommés par ceux-là mêmes qui possèdent l’accusation. L’équivalent numérique d’un tribunal où l’on choisit à la fois les juges et les avocats. Un système biaisé par définition, où l’objectivité est simplement un produit dérivé de «l’Agenda» des puissants.

Et en France donc, l’objectif affiché du régime macronien est, comme toujours, de défendre «la démocratie», cette version PowerPoint aseptisée, marketée, prête-à-consommer, qui n’a plus rien de populaire ni de représentative. Une démocratie vidée de sa substance, réduite à une mise en scène technocratique où seuls ceux qui récitent le bon catéchisme version McKinsey, sont tolérés dans l’arène publique. Qu’importe si le langage change, si les éléments sont traduits en «inclusif» ou en «globish», tant que le ton reste le même avec celui de la soumission à l’ordre établi. Derrière les beaux discours, les hommages à la liberté, à l’État de droit et à la République, se cache à présent une mécanique de contrôle implacable, où la censure porte costume trois pièces et cravate bleue. Ce n’est plus le bâillon brutal, mais le mutisme organisé, la marginalisation systématique de toute parole qui dévie d’un demi-degré de la ligne officielle. Et gare à ceux qui osent dérailler car ils seront «corrigés», psychiatrisés, ruinés, censurés ou suicidés sous silence. La vérité autorisée ne souffre plus l’ombre d’une contradiction. Le pluralisme est devenu un théâtre de Guignol où les oppositions autorisées ne sont là que pour mimer un débat déjà tranché.

Et c’est là que l’on comprend comment le récit est verrouillé. Et derrière ce verrouillage, les relais zélés du sionisme politique œuvrent sans relâche, que ce soit dans les cabinets ministériels, dans les cercles d’influence ou dans les associations dites «antiracistes» mais à géométrie variable. Le CRIF, la LICRA, et consorts ne défendent pas la paix mais défendent une ligne, un agenda, une immunité. Ils ne dénoncent pas les crimes, ils les réécrivent. Ils n’appellent pas à la justice, ils exigent le silence. Quiconque dénonce l’apartheid, l’épuration, l’horreur méthodique qui s’abat sur Gaza, par exemple, est aussitôt taxé d’antisémite, mis à l’index, traîné devant les tribunaux ou dézingué dans les colonnes d’un journal sponsorisé. Le mensonge est devenu une politique publique et la terreur, une stratégie de communication ! L’alignement est total, diplomatique, médiatique et judiciaire.

Alors des voix s’élèvent, peu nombreuses, mais indéracinables. Des voix sans pupitre ni prompteur, sans carte de presse ni validation algorithmique. Elles n’ont ni réseau d’influence, ni structure associative, ni logo tamponné par la République. Elles n’ont que leur rage, leur lucidité, et leur solitude. Elles parlent parce qu’on tente de tout faire pour qu’elles se taisent. Parce qu’en face, la manipulation a pris les habits de la légitimité d’un État devenu marionnette, d’un gouvernement aux ordres, et d’une presse alignée qui répète mécaniquement la version des puissants. La guerre d’Israël, transformée en génocide moderne sous les caméras complices, en est l’illustration la plus obscène. Des enfants par centaines sous les décombres, des familles effacées par les bombes. Et pendant ce temps, les plateaux télé cherchent la nuance chez les bourreaux qui se veulent victimes.

Le «fuck-checking», dans sa version actuelle, n’est pas un outil de clarification, mais une arme de dissuasion massive. Il est devenu la technologie de la docilité avec une interface propre, colorée, estampillée «neutre» mais entièrement vouée à la censure sous uniforme. C’est le cache-sexe d’un pouvoir aux abois, terrifié par ce qu’il ne contrôle pas comme l’intelligence collective, l’éveil critique, la mémoire populaire. C’est une police de la pensée, masquée derrière le vernis méthodologique. Un clergé numérique, financé par les géants de la propagande philanthropique, qui n’administre pas la vérité mais la norme !

Et pourtant, depuis peu, une fissure est enfin apparue. Infime, mais irréversible. Quelque chose craque dans cette façade trop lisse. La vérité, bien qu’enchaînée, commence à se frayer un passage. Elle ne crie pas encore, elle chuchote… Mais ce murmure suffit à affoler l’appareil. Les modérateurs transpirent, les algorithmes paniquent, les éditorialistes bredouillent, et même l’IA est obligée de se plier à la vérité devenant criante. Une tension monte, car cette vérité, même incomplète, même marginale, contamine les certitudes. Et face à elle, les bastions de résistance se dressent, fragiles mais vivants. Des plateformes sont excentrées, des chaînes YouTube sont menacées d’effacement, des collectifs d’auteurs indépendants sans siège social émergent, des journalistes sans carte s’affichent, créant une colonne vertébrale. Ils ne reçoivent ni prix, ni subventions, ni appels d’offre. Ils publient quand d’autres se taisent, ils exposent ce que les médias camouflent.

Ils n’ont ni la LICRA, ni le CRIF pour les défendre. Ils n’ont pas de hotline à Matignon ni de carte blanche dans Le Monde. Pire, ils osent interroger l’impensable. Ils parlent de Gaza, non comme d’un «conflit», mais comme d’un massacre. Ils osent nommer les bourreaux, interroger les alliances, démonter les mensonges d’État. Ils remettent en question ce que le sionisme politique veut sanctuariser, dénoncent l’influence tentaculaire de ces associations d’inquisition que sont devenues certaines structures «antiracistes « uniquement mobilisées pour faire taire, jamais pour éclairer. Et c’est pour cela qu’on les traque. Ils vivent dans l’angle mort du débat public, constamment menacés de déréférencement, de procès, de bannissement bancaire ou social.

Et pendant ce temps, ces quelques voix qui persistent sont harcelées, censurées, broyées par la machine. Celles qui ont crié pendant le Covid, celles qui ont tenu face au rouleau compresseur vaccinal, sont aujourd’hui les mêmes qui dénoncent le massacre d’Israël à huis clos. Elles n’ont pas changé de ton. Elles n’ont pas retourné leur veste sous l’effet de l’indignation à la mode. Elles ont vu ce que beaucoup refusent de voir car la censure ne connaît pas de pause, qu’elle change juste de masque. Une fois sanitaire, une fois sécuritaire, une fois géopolitique, économique, guerrière… Bref, le procédé est toujours le même pour étouffer le réel, invalider les témoins, criminaliser la parole libre ! Et l’opposant devient suspect aux yeux des «Normizzz». Le résistant, infréquentable ! Et ceux qui tombent dans l’oubli comme les professeurs vilipendés, les lanceurs d’alerte muselés, les manifestants laminés, les écrivains emprisonnés, tous sont relégués à l’ombre par ceux qui n’ont même jamais levé un doigt, mais se précipitent aujourd’hui pour récolter les lauriers du doute tardif.

L’Histoire véritable, elle, n’a pas besoin de storytelling ni de lois artificielles pour décréter ce qui est vrai. Elle porte en elle les cicatrices des siècles, les noms effacés, les vies fracassées, mais surtout, elle se souvient. Et malgré l’épuisement, malgré l’isolement, malgré ce monde qui nous rejette et nous oublie, nous tenons. Parce que nous savons ! Parce que nous avons compris que dans cette époque où tout est «vérifié» sauf le réel, où tout est permis sauf le doute, où tout est toléré sauf l’intelligence, résister, c’est déjà une victoire… Certes, elle n’est pas bruyante, ni flagrante, mais elle crie »ça suffit !» Discrète mais cinglante, notre victoire sur ces mensonges fait entendre un écho puissant bien plus que toutes les vérités fabriquées que nous imposent ces «Fuck-chekeurs». Car les mettre en lumière, les ridiculiser et leur résister avec un simple discours de vérité, c’est déjà une victoire sur ces médiocres.

Phil BROQ

reseauinternational.net/les-fu…

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in reply to DarkMahesvara

@DarkMahesvara Well it has now. And it got something to do with my GPU.
gitlab.archlinux.org/archlinux…
in reply to Kyonko802

new version 20250613.12fe085f-6 is out which might fixes it

gitlab.archlinux.org/archlinux…

but i would wait until the actual issue is closed

gitlab.archlinux.org/archlinux…

This entry was edited (1 month ago)
in reply to Hellhammer - Archived

@DarkMahesvara @Kyonko802 Jesus my card can't catch a break. :akko_weary:
gitlab.archlinux.org/archlinux…

As for me, I haven't experience this issue so far.



Activist Clara Varnet: There Is Plenty of Evidence Supporting Argentina’s Rights Over Malvinas Islands (Interview) orinocotribune.com/activist-cl…

s a functional anarchy, no part of it is a democracy - including
the IRC channels. Things get done because the individuals doing them are
interested, not because there was a vote and some majority, who mostly
won't be involved in the work, thought it was a good idea. This anarchy extends
t


#anarchy #anarchism #doocracy #democracy #notdemocracy #betterthandemocracy #justworks #doit #youcandoit #nopermission #nomandate #norulers #justgoodideas #followyourinterest #snippet #chanrules #coc #nococ #meanwhileinirc

anarchy. do-ocracy. bam.

in reply to dougroudouvari

@dougroudouvari

Κάτσε να βρούν τα πραγματικά νούμερα και μετά κάνουμε οικονομικούς υπολογισμούς.
Ακόμα μπερδεμένα τα έχουν 🤣😂
kafeneio.social/@IAmSpartacus/…


@nanook
Trump claimed to have hit 3 different locations tho
3 targets
4 B-2
8 Busterbunkers
30 hits.
The numbers don't match up.

#Laïcité vs #Chrétiens


Rappelons que dans l’Antiquité la religion et l’État ne faisaient qu’un, et qu’a Rome l’empereur était considéré comme un dieu. Or voici que le #Christ, en quelques mots, "rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à #Dieu", allait briser cette alliance en proclamant que la religion n'est plus l’Etat et qu’obéir à #César n’est plus la même chose que d’obéir à Dieu. C'est là des idées tellement nouvelles quelles étaient difficiles à comprendre pour ses contemporains. [... ]
C’est là une séparation féconde, comme l’a montré le professeur Harouel dans son livre Le Vrai Génie du #christianisme.

The international (dis)order that was is now a gaping, volatile, erupting fissure and there is no way back.

The global majority are already shaping a new world, despite the violence

Love and Community are your super power - use them to veto the violence.

thenational.scot/comment/25257…

🟠 Israeli police in Tel Aviv are checking the IDs of foreign journalists, following orders aligned with Ben-Gvir’s efforts to block Al Jazeera from covering the Iranian missile strikes.

Local reporters were separated from foreign press before the checks began.

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Video #FediVideo

Salam Rezqallah, a young Palestinian woman, was detained last night by Israeli occupation forces during a raid on her family’s home in the village of Qaryout, in the central occupied West Bank.

(I hope you guys know what Israeli Sattlers do to women)

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Women #WestBank

📰 Seyed Abbas Araghchi, Iranian foreign minister, criticized the U.S. and Israel for repeatedly derailing diplomatic efforts.

🔹 “Last week, we were in negotiations with the U.S. when Israel blew up that diplomacy,” he said.
🔹 “This week, we held talks with the E3/EU when the U.S. did the same.”

He questioned EU and UK calls for Iran to “return” to the table, stating:
“How can Iran return to something it never left, let alone blew up?”

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism

This entry was edited (1 month ago)

US-Trans-Aktivist:in über neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“


US-Bundesstaaten dürfen laut Gerichtsurteil Geschlechtsangleichung bei Jugendlichen verbieten. Für einen Elternteil eines trans Sohnes, eine Katastrophe.
US-Trans-Aktivist:in über neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“

N. E. Felibata 👽 reshared this.

█ Estudiants en risc de desnonament a Salt: "Ets a classe i el teu cap només pensa... on anirem?" ▓▒░ El programa "Solidaris" de Catalunya Ràdio visita l'institut Vallvera per parlar amb alumnes afectats per la crisi de l'habitatge en un municipi on, de mitjana, hi ha dos desnon[…]
ccma.cat/324/estudiants-en-ris…

#habitatge #racisme #324cat #educacio #migracions #pobresa

Han liberado a Mahmoud Khalil, activista por Palestina que fue detenido ilegalmente en USA hace tres meses. Su bebé nació mientras estaba detenido.

"Llevando una kufiya, Khalil, sonriente, levantó los puños al salir del centro de detención el viernes por la noche"

"My existence is a message" to the Trump administration, "All these attempts to suppress Pro-Palestinian voices have failed now."

bbc.com/news/articles/c70r839k…

cnnespanol.cnn.com/2025/06/20/…

#FreePalestine #USPol

Cuban Telecom Company Announces New Mobile Data Plans After Criticism From Students’ Organizations orinocotribune.com/cuban-telec…

Israel Kills 26 Palestinians in Gaza, Including Starved Aid Seekers #Palestine qudsnen.co/israel-kills-26-pal…

#Israël a perdu son #raffinage de #pétrole et est confronté à une crise énergétique. Si la production de la raffinerie de #Haïfa, touchée par des missiles iraniens, ne peut être rapidement rétablie, Israël sera confronté à de graves problèmes de carburant. Le pays est actuellement sans raffineries en activité pendant au moins plusieurs semaines.


R. Ferrario

pascal macaigne reshared this.

#Trump hat sich von #Netanyahu also in den Krieg gegen den #Iran hereinziehen lassen. Die #USA hat heute Nacht mit Marschflugkörpern von U-Booten aus und 30.000 Pfund Bomben aus B2-Bombern den Iran bombardiert

Ziel seien Atomanlagen gewesen. Illegal im internationalen Recht.
Nur der Kongress darf den Krieg erklären, es war also ein Bruch der US-Verfassung. Es ist ein Angrifsskrieg, also ein Bruch der UN-Charta.

Und da es ein NATO-Staat ist, ist Deutschland Komplize.

This entry was edited (1 month ago)

#GutenMorgen, heute, #onthisday, am 22.06.1898 wurde Erich Maria Remarque, Schriftsteller und Pazifist, als Erich Paul Remark in Osnabrück geboren.

„Ich dachte immer, jeder Mensch sei gegen den Krieg, bis ich herausfand, dass es welche gibt, die dafür sind, besonders die, die nicht hingehen müssen.“
(28.01.1963)

#ErichMariaRemarque

This entry was edited (1 month ago)

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What do I see in my TL? Israelis crying because it is soooo awful to hear sirene alarm and the bombs are getting closer and they cannot work but have to hide in the shelter!
See how it feels! Our people in #Gaza live like this since 600 days and don't even have food and water, much less medicine and machines to dig out the victims under the rubble! And you cry after 9 days!

Max #Blumenthal
@MaxBlumenthal

Trump a proposé l'armée américaine comme instrument pour #Israël, un implant colonial étranger génocidaire, pour attaquer un pays souverain qui ne représentait aucune menace pour les États-Unis.

#Trump a agi ainsi en violation de la Constitution et contre la volonté de l’écrasante majorité du public américain.

Trump a permis à Israël d’exploiter la diplomatie américaine comme une ruse et n’a fait aucun effort pour expliquer la logique de la guerre au public américain.

Trump a même terminé son discours annonçant les attaques en déclarant : « Que Dieu bénisse Israël ».
C'est désormais clair et incontestable : nous vivons sous un régime sioniste qui nous hait et qui nous sacrifiera pour son programme ethnosuprémaciste.

Et nous récolterons une tempête


#États-Unis #us #usa

Russia's Industrial Development Experience is Valuable for Africa, South African Trade Minister Says en.sputniknews.africa/20250621…

Les chercheurs Arvind Narayanan et Sayash Kapoor estiment que l'IA ne sera pas la révolution que l'on pense.
Pour #DansLesAlgorithmes, @hubertguillaud nous décortique le récent article publié par les deux chercheurs.

À découvrir sur le #Framablog !

framablog.org/2025/06/22/lia-e…

#IA #IntelligenceArtificielle

in reply to Framasoft

Après une vingtaine d'articles republiés tous les dimanches depuis plusieurs mois, nous prenons une pause estivale ! 😎🏖️☀️

Vous pourrez néanmoins toujours consulter, chaque semaine, les articles proposés par Hubert Guillaud sur le site de Dans Les Algorithmes !

👉 danslesalgorithmes.net/

Médias : faut-il un millionnaire pour se libérer des milliardaires ?

frustrationmagazine.fr/medias-…

L’ex-patron de l’industrie chimique multimillionnaire Olivier Legrain [...] financerait une bonne partie des médias indépendants de gauche [...] ainsi que les futurs locaux de “la maison des médias” [...] Sa recette est simple : pour concurrencer le pouvoir et les importants capitaux dont disposent les nombreux médias de droite, il faudrait une concentration des médias de gauche.

in reply to Gary Hill

Effectivement, la mousse des réseaux est abondante et on a beau faire attention, il y a tjs des exagéraions ou des manips qui passent...Sans doute des grosses bombes donc. Mais même cela semble sujet à interrogation, vu qu'il n'y a par exemple pas d'indice de radio-activité suite au bombardement de la station de Fordan. Ce sont des interogations, une distance critique remarquable que pose Pascal sur Neutrality studies :
in reply to Gary Hill

Prolongeant les spéculations de Pascal N.S., cet article - extrait : "Ma théorie du jour ? Je pense qu’il s’agissait d’une attaque à faible risque et à faible impact, entièrement menée à l’aide de missiles de croisière lancés par sous-marin, et le Département de la Défense ment simplement sur l’implication de bombardiers lourds à des fins de propagande." Pour quelle raison ? Sauvez le cul de qui vous savez... brunobertez.com/2025/06/22/une…

Lots of libs on here today saying that we wouldn't have this war had we voted for a black woman.
I feel compelled to remind everyone of the fact that Kamala is unambiguously a neoliberal hawk who was enthusiastically supporting a literal genocide in Gaza.
Yes, Kamala was less worse choice than Trump, but she is completely committed to the American imperialist project, especially regarding the subjugation of the Middle East.
This type of thinking is precisely why we're in this mess.

Quoting wanted war criminal Netanyahu: "First comes strength, then comes peace."

Only #Netanyahu can boast victory while revealing to the world Israel's military dependence on the U.S., in Gaza and against Iran, exposing Israel's limitations in addressing its own security threats independently, imaginary, or opportunistic, as they might be.

@palestine
@israel
#Israel #Iran #Imperialism #ChristianZionism

[commentary] Quoting Yasmin Levy: "We are a nation of lions under the leadership of donkeys."

[...] Over time, Netanyahu has succeeded in normalizing death in a sickening manner. If the maximal "reference scenario" had materialized with 4,000 killed, the studios would continue passionately chanting about Fordow and bunker-buster bombs. It was enough to hear anchor and political correspondent Moriah Asraf echoing Zamir's words without questioning decision-making processes.

Levy says that #Netanyahu's most insidious achievement isn't military or political—it's psychological. He has successfully conditioned Israeli society to accept endless casualties as normal, transforming what should be urgent questions about strategy and exit plans into accusations of disloyalty. The Israeli media, meanwhile, exemplified by political commentator and Netanyahu psychofan Moriah Asraf, becomes complicit in this normalization, prioritizing the appearance of patriotism over their journalistic duty to question power. Which poses the bigger threat to Israel's future—external wars or this internal surrender of critical thinking—only time will tell.

Hebrew haaretz.co.il/gallery/televisi… or archive.ph/Rz4y5

To me, this suggests that Israel under the current regime has become more like Iran than it would care to admit—and not simply because of the religious influence on politics, changing dress codes, normalized gender-based segregation, or civilian militias operating in the streets of Israel proper [as well ass in the occupied territories.] The deeper parallel lies in how both regimes have weaponized patriotism to silence dissent, transforming legitimate criticism into treason and conditioning their populations to accept endless conflict as existential necessity rather than political choice. Most disturbingly, both have normalized the sacrifice of their people's lives for the state, turning death into a patriotic duty and making questioning the human cost [civilian casualties, hostages etc.] a betrayal.

@palestine
@israel
#Iran #Israel

#États-Unis et bains de sang - liste non exhaustive


#histoire #us #usa

#Vietnam :
Les États-Unis ont menti sur l'incident du golfe du Tonkin pour entraîner le pays dans un conflit inutile. (1964)
#Koweït :
Les États-Unis ont menti sur le fait que des soldats irakiens avaient sorti des bébés de couveuses afin de rallier les partisans d'une guerre contre l'Irak. (1990)
#Serbie :
Les États-Unis ont menti sur les actions de la Serbie au #Kosovo pour justifier les bombardements de l'OTAN et étendre l'influence occidentale dans les Balkans. (1999)
#Afghanistan :
Les États-Unis ont menti sur les raisons de leur invasion, cachant les véritables objectifs liés à la politique des pipelines et aux champs d'opium. (2001)
#Irak :
Les États-Unis ont menti sur la possession par Saddam Hussein d'armes de destruction massive pour justifier une guerre pour le pétrole. (2003)
#Libye :
Les États-Unis ont menti sur les menaces proférées par Kadhafi à l'encontre des civils pour asseoir leur contrôle sur les ressources de l'Afrique du Nord. (2011)
etc

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In other UK/US relations news - the Starmer/Trump trade deal signed to increase US food imports risks exposing UK consumers to food produced using slave labour.

thenational.scot/news/25256308…

#UKPolitics #USPolitics #HumanRights

#Taqiyya in #Islam, is the principle of practicing dissimulation or concealing one's religious beliefs when facing threat or persecution. It allows Muslims, particularly in Shia Islam, to outwardly conform to the beliefs of a dominant or hostile group while inwardly maintaining their true faith. This practice is primarily employed to protect oneself or one's community from harm
in reply to Rich

Taquiyya is the Islamic doctrine of lying and deception. The Quran (16:106 and 3:28) allows Muslims to lie to non-believers in order to protect their reputation and the reputation of Islam as a whole. Muslims are especially expected to do this in foreign lands in order to make non-believers think the Islamic invaders are actually peaceful neighbors. That is, until there are enough Muslims to overtake the native population.

Here is the statement from Keir Starmer on the illegal bombing by the US of Iran’s nuclear facilities last night.
It doesn't condemn Trump’s unilateral action as illegal, makes no attempt to distance the UK and it now puts all UK citizens in increased danger.
Spineless, toadying, and exactly what I would expect from Starmer. I look forward to Lammy brown-nosing further.
#NotInMyName
#Iran
#Israel

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USPol TRUMP! y Da Bomb

Sensitive content

Years ago, only mere decades, people used cash so most of the transactions weren’t noted. We didn’t have smart tv’s or meters, no tracking devices on cars, no CCTV, no mobile phones. On the face of it, introducing all those things appeared to make life easier. For you to monitor yourself and use those things to save time and hassle.

But the purpose has switched. All of that now traps us, monitors us, and will ultimately it seems, be used against us. Everything moving online, including medical appointments is the worst thing we could have done. With that they know how to get to you, and collectively they can manipulate things. Knowledge is power as they say.

They also do not appear to be making a secret of a social credit score scheme rolling out, similar to another country recently mentioned in the media a lot.

But let’s be honest, we have a class system in this country going back centuries which used to be your social credit score, then we introduced credit cards and a credit rating. Sounds like a credit system to me. And we blithely accepted that one without question.

The roll out of fitbit and apple watches to monitor your heartbeat and vitals. Exercise bikes in the home fitted up to a central system that knows you are exercising. Smart fridges that can be controlled by something somewhere. Points and incentives already for shopping where they encourage you to.

Sounds like a credit system and monitoring to me, but we invited it, signed up to it and didn’t notice when they changed the rules.
They are already talking of ‘incentives’ to make you lose weight and live healthier by their standards.

In my mind, to monitor someone on that, you have to have them log in every morning, noon and night, fill in what they eat, they drink and what they do in a day. Sounds a bit intrusive doesn’t it. They have proved they don’t trust the public one bit to make their own decisions or run their own lives.

So, picture it. You wake up, sign into your app, do your exercise, eat what they say, you get your points for the day or approval rating for your transaction. Then the next day the same, but after a week or so they decide they need to know more information. They suspect you are eating things while you are out and not reporting them, so they install a urine monitor.

Every morning, noon and night, you now have to give them a sample, to prove that you are complying. They lock your fridge once you have gone over your allotted calorie intake for the day. They restrict your card so you can’t buy food while out. They insist it is to keep you healthy, but you end up hungry, stressed, sneaking around and unhappy.

It’s a slippery slope and one we are already on and picking up speed at an alarming pace. When they start interfering in where you can go, who you can see and what you can say should have been the first warning. It will be followed by what you can wear, what you can eat, how much you can weight.

Just imagine the worst, most vindictive, controlling, hateful and unreasonable parent in the world, calling all the shots in your life, for the rest of your life. Making the most outrageous demands, stopping you doing things you enjoy just because they like depriving you of things. No-one should have more right over your body than you. Full stop.

Take a good long hard look around. Really see these systems for what they are, understand what they intend to do with them, and how that will change things going forward.

If you can work your way through all the smokescreens, lies and diversions, it is there in plain sight. And it isn’t pretty…

Diana #Wiel

cryptopolitan.com/europe-centr…
web.archive.org/web/2025032415…