Please Don't Hate Me or Even Mislead Others Into Hating or Bullying Me

- Honestly, it seems like I'm the only one in my village using the Fediverse.
- Other people use Facebook, WhatsApp, Instagram, TikTok.
- I self-host my thing, gave my family email addresses, but they don't want to lol.
- Maybe they already have Gmail.
- I'm not ready yet to handle a server with a high number of users and the high effort required for moderation.
- Maybe for now, I should focus on adapting to being the only one around me using the Fediverse.
- It's nice to see people outside too đŸ€Ł.
- Plus, I can't pay the bills, and no one pays for my Ko-Fi đŸ€Ł.
- Yeah, you can ban me, but please don't hate me or even mislead others into hating or bullying me.
- It's important to treat someone as a person and not solely define them by symptoms we don't like.
- Help me also take care of my safety online 😄🙂.

Pùtes, pain... Le cadmium, « cancérogÚne certain », est partout en France


On en trouve dans les cĂ©rĂ©ales du petit-dĂ©jeuner, le pain, les pĂątes, les pommes de terre, les lĂ©gumes Ă  feuilles
 Le cadmium est un mĂ©tal lourd classĂ© cancĂ©rogĂšne certain pour l’humain, prĂ©sent dans les engrais phosphatĂ©s utilisĂ©s en agriculture conventionnelle. Il s’accumule ensuite dans notre organisme, se fixe sur les os, le foie, les reins
 Le cadmium est ainsi associĂ© Ă  des maladies osseuses (ostĂ©oporose), des troubles de la reproduction et divers cancers, notamment celui du pancrĂ©as.

Face Ă  ce danger, des mĂ©decins libĂ©raux de l’Union rĂ©gionale des professionnels de santĂ© ont envoyĂ© une lettre au gouvernement le 2 juin, pour alerter sur ce qu’ils estiment ĂȘtre une « bombe sanitaire » : « Une explosion de la contamination des jeunes enfants existe bel et bien, en rapport avec leur alimentation, en particulier les cĂ©rĂ©ales, pains et dĂ©rivĂ©s et les pommes de terre et apparentĂ©s », Ă©crivent-ils dans cette missive.

Exception française


En effet, la population française est particuliĂšrement exposĂ©e au cadmium. Selon les donnĂ©es de SantĂ© publique France, l’imprĂ©gnation moyenne des Français adultes a quasiment doublĂ© entre 2006 et 2016, passant de 0,29 microgramme par gramme (”g/g) Ă  0,57 ”g/g. Pour les enfants, le taux moyen est de 0,28 ”g/g, ce qui est quatre fois plus Ă©levĂ© qu’en Allemagne et quinze fois plus qu’au Danemark.

Cette exception provient du fait que, pour produire ses engrais, la France importe des roches phosphatĂ©es du Maroc, particuliĂšrement riches en cadmium. En outre, la concentration maximale en cadmium autorisĂ©e dans les engrais français est toujours de 60 mg/kg, alors que l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire prĂ©conise depuis 2019 de l’abaisser Ă  20 mg/kg. La Commission europĂ©enne est Ă©galement allĂ©e dans ce sens, proposant de baisser le seuil maximal Ă  20 mg/kg d’ici 2034, mais cette dĂ©cision n’a jamais Ă©tĂ© traduite dans le droit français.

reporterre.net/Pates-pain-Le-c




#Denmark says goodby to #Microsoft


source: heise.de/en/news/From-Word-and


#windows #software #os #news


Guerra

Sensitive content

in reply to Shine McShine 🐌

Guerra

Sensitive content



When attachment is identified by the practitioner as a source of suffering...

notesandsilence.com/2025/04/07

#zen #silence #prayer #meditation


When do empires collapse?
When they no longer have the financial capacity to rule. Want a historical flashback?
When did the #UK leave #India?
When their debt-to-GDP ratio was 240%. In other words, they left when they could NOT afford to stay any longer.
The same will happen to the #US
They will withdraw their 800+ bases because they will not be able to maintain them.
This is exactly the #BRICS strategy.
A complete defeat of the US without firing a single bullet.

Keir Starmer backs US strike on Iran and calls for Tehran to return to talks


Prime minister says Iran’s nuclear programme is a ‘grave threat to international security’

Keir Starmer has backed the US strike on Iran’s nuclear facilities and called on Iran to return to negotiations, saying the country’s nuclear programme was a “grave threat to international security”.

Donald Trump announced overnight that the US had bombed three nuclear sites in Iran, joining Israel’s attack on the Tehran regime.

There was no UK involvement in the action. Starmer and the foreign secretary, David Lammy, had pushed for a diplomatic solution amid fears a wider action could further destabilise the region.

French scientists discover new blood type in Guadeloupe woman


French scientists have discovered a new blood type in a woman from the Caribbean island of Guadeloupe, France's blood supply agency announced Friday.

The woman is the only known carrier of a new blood type, dubbed "Gwada negative," the French Blood Establishment (EFS) said. The discovery was made 15 years after researchers received a blood sample from a patient who was undergoing routine tests ahead of a surgery.




This woman "is undoubtedly the only known case in the world," he said, adding: "She is the only person in the world who is compatible with herself."

A chaque fois qu'on évoque les drames et les ratonnades géantes au moyen orient il y a tjs un identitaire pour vous ramener impérativement a la problématique de l' #immigration en #France,
alors deux choses :
- 80 % des vagues migratoires récentes sont les conséquences directes des politiques impérialistes israélo-occidentales : #Syrie, #Libye, #Irak, #Afghanistan etc
- toute l'armature intellectuelle morale idéologique et socio-culturelle qui a permis, organisé et justifié la submersion migratoire en France depuis plus de 40 ans est le fait de gens qui nous convient aujourd'hui au lynchage des populations moyen orientales !

A ce sujet il est diffusĂ© actuellement sur la TNT un petit documentaire sur l'histoire de SOS racisme et ses instigateurs, j'invite les identitaires ignares et autres bardellistes a QI d'huitres a le visionner ....ça leur Ă©vitera peut ĂȘtre de nous dĂ©biter leur propagande grotesque


E. Lauffen

Supposing Fordow was not in fact destroyed, the Iranian regime must be torn between touting that fact for propaganda purposes or on the contrary, going with “Yes, completely and utterly destroyed. Absolute nothing left of our nuclear programme. Nothing to see here..." and then building a bomb in the "destroyed" facility within 3 years while everyone thinks they're back to square one and twenty years away from that?

L' #Iran a détruit le centre d'armes biologiques top secret de Ness Ziona, à 20 km de Tel Aviv
Quel est ce centre ?
‱ Il s’agit d’une installation militaire hautement classifiĂ©e impliquĂ©e dans les #armes-biologiques et chimiques, ainsi que dans la recherche militaire.
‱ L’institut est liĂ© Ă  la guerre biologique et mĂȘme Ă  des complots impliquant des assassinats utilisant des substances toxiques en Iran et ailleurs.


R. Ferrario

#Russie #Medvedev :

« Qu'ont obtenu les Américains en frappant trois cibles en #Iran au cours de la nuit ?

L'infrastructure critique du cycle #nucléaire iranien ne semble pas avoir été touchée ou seulement légÚrement endommagée.

L'enrichissement nucléaire - et maintenant, on peut le dire ouvertement, la production future d'armes nucléaires - se poursuivra.

Plusieurs pays sont prĂȘts Ă  fournir directement Ă  l'Iran leurs propres arsenaux nuclĂ©aires.

#Israël est attaqué, des explosions secouent le pays, les gens paniquent.

Les #États-Unis sont dĂ©sormais empĂȘtrĂ©s dans un nouveau conflit, avec la possibilitĂ© rĂ©elle d'une opĂ©ration terrestre.

Le régime politique iranien reste intact et, selon toute vraisemblance, il n'a fait que se renforcer.

La population se rallie à la direction spirituelle, y compris ceux qui étaient auparavant peu sympathiques.

Trump, qui est entré en fonction en tant que président de la paix, vient de déclencher une nouvelle guerre pour l'Amérique.

La grande majoritĂ© du monde s'oppose aux actions d'IsraĂ«l et des États-Unis.

Avec de tels « succĂšs », M. #Trump peut dire adieu au prix Nobel de la paix, mĂȘme si le processus de nomination est devenu trĂšs corrompu. Un excellent dĂ©but, Monsieur le PrĂ©sident. FĂ©licitations ! »

La bourse israélienne a perdu 475 milliards de dollars hier aprÚs que la Bourse de Tel Aviv a été touchée.
La #Bourse d' #Israël a chuté de 3 % au cours de la journée, perdant prÚs d'un demi-billion de dollars. Les capitaux sont transférés vers d'autres marchés. La Bourse de #Tel-Aviv a été gravement endommagée par les frappes dans le centre-ville hier matin.


R. ferrario

in reply to Part_of You

"hier" de 20.06.2025, 03:45 CET 😀
francais.news-pravda.com/ue/20


Space is just a side-effect 😀

phys.org/news/2025-06-theory-d


Si queréis ver un documental de terror os recomiendo "Bad influence: the dark side of kidfluencing"
Una serie de 3 episodios. TerrorĂ­fico.
No sabía que existían toda estas chavaladass. Explotados por sus padres. El hecho de que exista el término "kidfluencer" (pelos como escarpias)
Lo he visto y me ha dado ansiedad pensar en la cantidad de millones de personas que seguĂ­an esto. Ver los videos y pensar :"ÂżPero como te puede interesar esto?"

Pourquoi IsraĂ«l attaque-t-il l’Iran maintenant ?


Marc Vandepitte

AprĂšs des annĂ©es de confrontations indirectes, IsraĂ«l est dĂ©sormais passĂ© Ă  une guerre ouverte contre l’Iran. Ce qui avait commencĂ© comme une sĂ©rie d’attaques de prĂ©cision contre des cibles militaires s’avĂšre faire partie d’une stratĂ©gie beaucoup plus large visant Ă  affaiblir l’État iranien et Ă  rĂ©organiser durablement l’équilibre des forces dans la rĂ©gion.

Aux premiĂšres heures du 13 juin, IsraĂ«l a entamĂ© une guerre directe avec l’Iran, aprĂšs des dĂ©cennies de guerre de l’ombre composĂ©e d’assassinats ciblĂ©s, de cyberattaques et de confrontations indirectes, de Damas Ă  la mer Rouge.

La rĂšgle non Ă©crite Ă©tait d’escalader sans que la situation ne devienne incontrĂŽlable. Avec une attaque surprise des services de renseignement israĂ©liens et de lourds bombardements, suivis d’une riposte iranienne contre des objectifs militaires et des infrastructures stratĂ©giques en IsraĂ«l, cette limite a dĂ©sormais Ă©tĂ© franchie.

Objectif de cette guerre

La situation s’aggrave rapidement et montre les signes d’un conflit bien plus vaste que la seule prĂ©tendue dĂ©militarisation nuclĂ©aire. Netanyahou a dĂ©clarĂ© ouvertement qu’il visait un changement de rĂ©gime en Iran.

La probabilitĂ© que cela se produise est faible. D’un cĂŽtĂ©, il existe un grand mĂ©contentement en Iran. De nombreux jeunes rejettent le mode de vie traditionnel strict et le paternalisme clĂ©rical. En raison des sanctions Ă©conomiques imposĂ©es par les États-Unis, l’économie va trĂšs mal, la pauvretĂ© est omniprĂ©sente et un quart des jeunes est au chĂŽmage. Le systĂšme politique est thĂ©ocratique et peu transparent. Les Iraniens sont las de la corruption gĂ©nĂ©ralisĂ©e et de la rĂ©pression brutale.

D’un autre cĂŽtĂ©, le gouvernement peut encore compter sur le soutien d’une part importante de la population conservatrice et religieuse, surtout en milieu rural, mais aussi partiellement dans les villes. De plus, les bombardements d’un agresseur Ă©tranger tendent Ă  resserrer les rangs.

Un changement de rĂ©gime est sans doute trop ambitieux, mais un objectif plus rĂ©aliste serait la neutralisation de l’Iran en tant que puissance rĂ©gionale secondaire. L’objectif Ă  long terme des États-Unis au Moyen-Orient est de fragmenter les États en entitĂ©s plus petites et plus faibles, incapables d’agir de maniĂšre autonome, et, dans le meilleur des cas, dirigĂ©es par des forces pro-amĂ©ricaines.

Cela s’inscrit dans l’effort du « collectif occidental » pour empĂȘcher l’émergence de pays rebelles ou de blocs de pouvoir alternatifs qui pourraient menacer cinq siĂšcles de domination mondiale. Cette motivation dĂ©coule de la nature mĂȘme du capitalisme global et de son instinct de survie par l’impĂ©rialisme.

Au sein du bloc anti-hĂ©gĂ©monique (incluant la Russie, la Chine et la CorĂ©e du Nord), l’Iran, sans armes nuclĂ©aires, reprĂ©sente le maillon faible. Au Moyen-Orient, l’objectif est de crĂ©er une rĂ©gion oĂč aucun pays ne serait plus grand ni plus puissant qu’IsraĂ«l, afin que celui-ci puisse garantir sa domination rĂ©gionale. Pour atteindre cet objectif, IsraĂ«l est censĂ© faire le sale boulot.

À cette fin, il est armĂ© par les États-Unis et leurs alliĂ©s occidentaux avec les armes les plus lĂ©tales et les plus avancĂ©es, et peut Ă©galement compter sur un soutien militaire et logistique de Washington.

Stratégie

Selon des analystes, IsraĂ«l applique aujourd’hui en Iran la mĂȘme stratĂ©gie qu’il avait utilisĂ©e prĂ©cĂ©demment au Liban : assassinats ciblĂ©s de dirigeants militaires, destruction de systĂšmes de communication et bombardements de prĂ©cision sur des cibles prĂ©alablement sĂ©lectionnĂ©es. Cette stratĂ©gie s’est en tout cas rĂ©vĂ©lĂ©e efficace au Liban.

Par ailleurs, l’État sioniste tente de perturber l’approvisionnement en pĂ©trole du pays. Tel-Aviv a laissĂ© entendre dimanche que lors des rĂ©centes attaques en Iran, il avait frappĂ© des dĂ©pĂŽts de carburant servant Ă  la fois Ă  l’approvisionnement civil et militaire. L’objectif n’est pour l’instant pas de gĂȘner les exportations de pĂ©trole — principalement Ă  destination de la Chine — mais de perturber l’approvisionnement intĂ©rieur de l’Iran.

AprĂšs les attaques contre des installations militaires et nuclĂ©aires, les frappes contre les infrastructures Ă©nergĂ©tiques marquent une nouvelle phase, avec le mĂȘme but : paralyser les infrastructures de dĂ©fense et affaiblir le gouvernement ainsi que la sociĂ©tĂ©.

Un scĂ©nario possible serait similaire Ă  ce qui s’est produit en Irak et en Syrie. Dans les deux pays, l’autoritĂ© centrale et l’armĂ©e ont Ă©tĂ© fortement affaiblies, et le territoire a Ă©tĂ© de facto morcelĂ© en zones Ă©chappant au contrĂŽle du gouvernement. Dans les deux cas, cela s’est produit Ă  la suite d’une agression militaire extĂ©rieure et de la division des groupes de population les uns contre les autres.

Quelque chose de similaire sera également tenté en Iran. Comme en Irak et en Syrie, les Kurdes y représentent une importante minorité.

Rîle des États-Unis

Selon le journaliste d’investigation Ben Norton, l’attaque israĂ©lienne contre l’Iran n’est pas une action unilatĂ©rale, mais le rĂ©sultat d’une opĂ©ration coordonnĂ©e entre IsraĂ«l et les États-Unis, approuvĂ©e et dirigĂ©e par l’administration Trump.

Alors que les États-Unis participaient publiquement Ă  de soi-disant nĂ©gociations de paix sur un nouvel accord nuclĂ©aire avec l’Iran, Trump aurait secrĂštement aidĂ© IsraĂ«l Ă  prĂ©parer l’attaque. Il a fourni des armes, notamment 300 missiles Hellfire, a donnĂ© accĂšs aux renseignements amĂ©ricains et a personnellement approuvĂ© l’attaque.

Trump avait donnĂ© Ă  l’Iran un “ultimatum” de 60 jours pour accepter un accord — le jour 61 est devenu le moment de l’attaque. Trump s’est vantĂ© publiquement de l’attaque, l’a qualifiĂ©e de “massacre” et a dĂ©clarĂ© que “beaucoup d’autres allaient suivre”.

Des responsables ont affirmĂ© que les États-Unis n’étaient pas impliquĂ©s, mais selon Norton, des informations divulguĂ©es et des reportages mĂ©diatiques montrent que les États-Unis ont fourni un soutien militaire et logistique crucial, et ont mĂȘme interceptĂ© des missiles iraniens lorsque l’Iran a ripostĂ©.

Ils avaient d’ailleurs dĂ©jĂ  fait cela lors des prĂ©cĂ©dentes attaques de missiles en provenance d’Iran (en avril et octobre 2024). À ce jour, il n’est pas encore clair si les États-Unis participeront directement aux attaques israĂ©liennes. Il semble qu’au sein de son gouvernement, tout le monde ne soit pas encore sur la mĂȘme longueur d’onde.

Trump a en tout cas dĂ©jĂ  dĂ©placĂ© un porte-avions nuclĂ©aire de la mer de Chine mĂ©ridionale vers la mer d’Arabie, pour renforcer, aux cĂŽtĂ©s de l’USS Carl Vinson et de plusieurs destroyers, une prĂ©sence dans la rĂ©gion semblable Ă  celle de l’OTAN. En outre, des dizaines d’avions ravitailleurs ont Ă©tĂ© envoyĂ©s en Europe, prĂȘts pour des opĂ©rations au-dessus du Moyen-Orient.

Pourquoi maintenant ?

Washington et Tel-Aviv estiment que le moment est venu d’attaquer l’Iran et de tenter de lui porter un coup fatal. La destruction des systĂšmes de dĂ©fense aĂ©rienne iraniens par IsraĂ«l il y a quelques mois, la chute du gouvernement d’Assad et l’installation d’un rĂ©gime “sous contrĂŽle” lĂ -bas, le quasi-effondrement du Hezbollah au Liban et la dĂ©vastation de Gaza — ces facteurs ont fortement fait pencher l’équilibre des forces rĂ©gionales en faveur d’IsraĂ«l et de ses alliĂ©s occidentaux.

La maniĂšre dont ce conflit va Ă©voluer est pour l’instant totalement incertaine. IsraĂ«l a causĂ© de sĂ©rieux dĂ©gĂąts militaires lors de ses premiĂšres frappes en Iran, touchant des structures de commandement et retardant possiblement certaines parties du programme nuclĂ©aire.

Mais l’euphorie initiale en IsraĂ«l a rapidement laissĂ© place Ă  la luciditĂ© lorsque l’Iran a frappĂ© en profondeur le territoire israĂ©lien avec des missiles. La destruction dans les villes israĂ©liennes a fait voler en Ă©clats l’illusion d’invulnĂ©rabilitĂ©.

Étant donnĂ© le grand nombre de missiles balistiques dont dispose TĂ©hĂ©ran (environ 2 000), l’Iran pourrait ĂȘtre en mesure de maintenir de tels bombardements pendant encore trois Ă  quatre semaines.

Reste Ă  savoir si l’Iran s’en tiendra lĂ  ou s’il ira plus loin, par exemple en bloquant le dĂ©troit d’Ormuz, un passage maritime crucial pour le pĂ©trole. Cela ferait fortement grimper les prix du pĂ©trole et aurait des consĂ©quences considĂ©rables pour l’économie mondiale.
Si Trump dĂ©cide, de son cĂŽtĂ©, de participer directement Ă  l’attaque contre l’Iran, nous entrerons de toute façon dans une nouvelle phase d’escalade aux consĂ©quences incalculables.

Les prochains jours nous le diront.

investigaction.net/pourquoi-is


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#Doonesbury by #GarryTrudeau on GoComics


gocomics.com/doonesbury/2025/0


#Humour #Cartoon

Les fuck-checkeurs


par Phil BROQ

Voltaire, depuis son siĂšcle poussiĂ©reux, ricane. »Ceux qui peuvent vous faire croire Ă  des absurditĂ©s peuvent vous faire commettre des atrocitĂ©s.» Il savait. Il avait devinĂ© ce que devient une sociĂ©tĂ© qui remplace la pensĂ©e par la procĂ©dure. Ce que devient un peuple qui dĂ©lĂšgue sa raison Ă  des organismes subventionnĂ©s. Et de nos jours, dans l’arriĂšre-boutique aseptisĂ©e du monde mĂ©diatique moderne, allant de la tĂ©lĂ©vision de propagande aux journaux subventionnĂ©s, la vĂ©ritĂ© se vend dĂ©sormais sous cellophane estampillĂ© «Fact-ChekĂ©e». Elle a des sponsors, des chartes graphiques et surtout un service juridique en lien direct avec les magistrats de la 17Ăšme chambre correctionnelle. Ce n’est plus un idĂ©al, c’est une marque dĂ©posĂ©e. Sur les plateaux tĂ©lĂ©, dans les colonnes des journaux papiers ou numĂ©riques, elle se dĂ©cline en slogans, en vignettes, en pastilles de confort cognitif. Et Ă  ceux qui se demandent encore qui tient la bride de cette nouvelle «vĂ©ritĂ© standardisĂ©e», il suffit d’un seul mot pour comprendre : financement !

Le fact-checking, prĂ©sentĂ© comme l’ultime rempart contre la dĂ©sinformation, s’est muĂ© en vĂ©ritable clergĂ© de la rectitude, une liturgie moderne oĂč l’on ne cherche plus la vĂ©ritĂ©, mais l’aval du pouvoir. Loin de l’image du journaliste rigoureux, impartial et soucieux de confronter les faits, le «vĂ©rificateur» contemporain est une caricature de moine-soldat numĂ©rique, rĂ©citant les dogmes de l’ordre dominant avec la ferveur d’un novice converti au culte de la conformitĂ©. DerriĂšre son Ă©cran bardĂ© de certitudes et ses tableurs faussement neutres se cache rarement une vocation journalistique, mais presque toujours un financement opaque. Gates, Soros, Omidyar, Rockefeller, Google, Facebook, etc., qui sont en rĂ©alitĂ© les vĂ©ritables rĂ©dacteurs en chef des «dĂ©codeurs» et autres «vĂ©rifieurs» autoproclamĂ©s. Ils ne forment pas des journalistes mais des propagandistes, des standardistes de la narration autorisĂ©e, des zĂ©lateurs de la version officielle.

La plupart d’entre eux n’ont jamais enquĂȘtĂ© sur le terrain, jamais confrontĂ© une source rĂ©elle, jamais mis les mains dans les archives ou risquĂ© quoi que ce soit dans l’exercice de leur prĂ©tendue mission. Leur seul mĂ©rite est de savoir copier-coller un communiquĂ© de presse gouvernemental, aligner des Ă©lĂ©ments de langage et tamponner le tout d’un verdict doctement assĂ©nĂ© de »Faux», »Trompeur» ou »Complotiste», voire dans les cas difficiles Ă  dĂ©crĂ©dibilise directement »AntisĂ©mite». Ils ne rĂ©futent pas mais ils dĂ©lĂ©gitiment. D’ailleurs, ils ne dĂ©battent pas, ils disqualifient. Leur compĂ©tence se rĂ©sume souvent Ă  une capacitĂ© limitĂ©e Ă  manipuler un moteur de recherche, Ă  recracher les conclusions de l’AFP – subventionnĂ©e par Gates -, de Reuters ou du CDC, selon le sujet, tout en priant pour que l’algorithme de YouTube ou de Google le propulse au sommet du flux d’information, et que leurs mĂ©cĂšnes reconduisent leurs subventions annuelles.

Ces «vĂ©rificateurs» sont aux journalistes ce que les influenceurs sont aux philosophes. Ce sont des simulacres bavards, dopĂ©s Ă  la visibilitĂ© artificielle, sans profondeur, sans honneur, et surtout, sans contradictions. Ils ne rendent pas compte du rĂ©el mais l’écrasent sous le poids d’une vĂ©ritĂ© unique, aseptisĂ©e, labellisĂ©e. Ils ne cherchent pas Ă  comprendre, mais Ă  faire taire. Et lorsque l’étouffement algorithmique ou mĂ©diatique ne suffit plus, lorsqu’un discours dissident persiste Ă  franchir les murs de la censure douce, une autre instance entre en scĂšne avec la 17Ăšme chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris.

Pudiquement surnommĂ©e «chambre de la presse», elle agit en bout de chaĂźne comme le bras judiciaire de ce systĂšme d’étouffement. Moins une juridiction qu’un instrument de rĂ©gulation idĂ©ologique, elle sert Ă  lĂ©gitimer, par le vernis du droit, les procĂšs d’intention initiĂ©s dans les colonnes des vĂ©rificateurs subventionnĂ©s. Ceux-ci pointent du doigt, et elle sanctionne. Les uns fabriquent les coupables mĂ©diatiques, les autres les traduisent en justice. Ensemble, ils forment un Ă©cosystĂšme de rĂ©pression feutrĂ©e, oĂč l’État et ses alliĂ©s oligarchiques peuvent attaquer, en toute lĂ©galitĂ© apparente, ceux qui osent encore dĂ©noncer leurs dĂ©rives, leurs malversations, ou simplement leur emprise.

Créée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, officiellement pour protĂ©ger la libertĂ© d’expression, elle s’est progressivement muĂ©e en un bastion de la pensĂ©e conforme, un tribunal d’exception chargĂ© non pas de faire respecter la loi, mais de redresser les dĂ©viants du rĂ©cit dominant. Cette chambre ne juge pas des dĂ©lits de presse, elle juge des dĂ©lits d’opinion. Les Ă©crivains trop libres, les journalistes non alignĂ©s, les polĂ©mistes insoumis, voire les simples internautes trop bavards, y dĂ©filent les uns aprĂšs les autres, traĂźnĂ©s au nom d’une morale travestie en droit. Quand un HervĂ© Ryssen, une Houria Bouteldja, ou un DieudonnĂ© franchissent les lignes rouges floues de la bien-pensance, c’est lĂ  qu’on les envoie. Non pour juger des faits, mais pour condamner des idĂ©es.

Surtout, la 17Ăšme chambre s’est spĂ©cialisĂ©e dans la protection d’un tabou particulier avec la critique du sionisme et, plus largement, de la politique israĂ©lienne. Il ne s’agit plus ici de justice, mais de dogme. Toute parole dissidente est aussitĂŽt frappĂ©e de suspicion, souvent au nom de la lutte contre l’antisĂ©mitisme, que l’on brandit comme un paratonnerre pour interdire le dĂ©bat. La nuance est jugĂ©e complice. L’ironie y est inadmissible et l’analyse factuelle y est dĂ©sormais subversive. Ce tribunal fonctionne comme une Stasi postmoderne avec la mĂȘme obsession du contrĂŽle idĂ©ologique, la mĂȘme volontĂ© de quadriller les esprits, et la mĂȘme logique d’intimidation judiciaire. La diffĂ©rence est que celle-ci agit en robe noire, avec les bĂ©nĂ©dictions du «droit» rĂ©publicain. Elle n’espionne plus dans l’ombre, mais elle convoque Ă  la barre. Elle ne frappe plus Ă  minuit, mais elle signifie une assignation. Cependant, la finalitĂ© reste la mĂȘme pour neutraliser les voix dissidentes sous couvert de justice, faire taire ceux qui refusent de se plier Ă  la vĂ©ritĂ© d’État ou au rĂ©cit des puissants. Mais cette rĂ©pression ne commence pas dans les prĂ©toires, elle est prĂ©parĂ©e, en amont, dans les laboratoires idĂ©ologiques du journalisme subventionnĂ©. Les fact-checkers tracent le cercle, et la justice le referme.

Dans l’ombre des grandes manƓuvres politiques et mĂ©diatiques, un autre aspect de la rĂ©pression se dĂ©ploie avec l’asphyxie Ă©conomique des voix dissidentes. LĂ  oĂč la parole alternative parvient Ă  Ă©chapper aux chaĂźnes des grands mĂ©dias et des rĂ©seaux sociaux, les banques et les autoritĂ©s fiscales prennent le relais pour faire taire toute opposition trop gĂȘnante. Les comptes bancaires des dissidents sont progressivement gelĂ©s ou fermĂ©s, Ă  la demande d’une autoritĂ© exĂ©cutive qui ne supporte pas les divergences. Cet outil de contrĂŽle est subtilement intĂ©grĂ© au systĂšme rĂ©pressif, oĂč les institutions financiĂšres, sous couvert de lĂ©galitĂ©, deviennent des bras armĂ©s de la censure. Non content de faire taire ceux qui rĂ©sistent dans le domaine de l’opinion, l’État utilise Ă©galement le fisc comme un instrument de soumission. Les opposants politiques, journalistes, ou intellectuels trop influents se retrouvent piĂ©gĂ©s dans une toile fiscale oĂč les amendes, les audits interminables et les poursuites judiciaires les asphyxient lentement.

La fiscalitĂ© devient donc une arme de destruction massive, capable de dĂ©truire des carriĂšres, de ruiner des vies et d’intimider les plus audacieux, les forçant Ă  se soumettre ou Ă  fuir. Ceux qui rĂ©ussissent encore Ă  tenir finissent souvent par ĂȘtre poussĂ©s Ă  l’exil, ou pire, comme le GĂ©nĂ©ral Delawarde ou Éric DenĂ©cĂ©, rĂ©duits au silence dĂ©finitif. Car les menaces physiques, bien que discrĂštes, ne sont pas non plus absentes. L’État et ses alliĂ©s puissants n’hĂ©sitent pas Ă  utiliser tous les leviers du pouvoir pour Ă©liminer ceux qui, par leurs positions critiques, reprĂ©sentent une menace trop rĂ©elle pour l’ordre Ă©tabli. Entre les intimidations Ă©conomiques, la rĂ©pression judiciaire et la persĂ©cution politique, la dissidence devient un acte Ă  haut risque.

Sous l’ùre Macron, la rĂ©pression de la dissidence a franchi un seuil inĂ©dit, marquant la fin de toute vellĂ©itĂ© d’opposition. L’État, devenu un bras armĂ© d’une oligarchie bien rodĂ©e, ne se contente plus de museler les voix dissonantes par la parole ou les lois. Depuis les scĂšnes de violence inouĂŻe qui ont marquĂ© la rĂ©pression des Gilets Jaunes, oĂč des centaines de manifestants ont Ă©tĂ© mutilĂ©s, gazĂ©s et brutalement interpellĂ©s sous l’Ɠil complice des mĂ©dias subventionnĂ©s, le message est clair puisque toute contestation sera Ă©crasĂ©e. Et ce n’est pas un hasard si l’arsenal rĂ©pressif a Ă©tĂ© perfectionnĂ© avec des structures comme le rĂ©seau «Fleur de Lys», gĂ©rĂ© dans l’ombre par Alexandre Benalla, bras droit du PrĂ©sident, dont le rĂŽle dans les violences policiĂšres et les disparitions douteuses est loin d’ĂȘtre anodin.

De nombreux tĂ©moins gĂȘnants, des journalistes, des intellectuels, ou mĂȘme des citoyens trop curieux ont mystĂ©rieusement disparu ou se sont «suicidĂ©s», dans des circonstances qui ne trompent plus personne. La case «suicide» devient Ă  prĂ©sent un ultime recours pour faire taire ceux qui dĂ©rangent vraiment, que ce soit dans les hautes sphĂšres de l’État ou dans les trĂ©fonds du renseignement. Pendant ce temps, des voix, comme celle de Natacha Ray qui a eu le courage de rĂ©vĂ©ler l’escroquerie systĂ©mique derriĂšre «l’affaire Jean-Brigel», sont traduites en justice pour avoir osĂ© pointer du doigt les malversations qui rongent l’État et ses alliĂ©s. Le systĂšme judiciaire est Ă  ce point instrumentalisĂ© qu’il en devient une extension du pouvoir exĂ©cutif, une cour de rĂ©pression oĂč les opposants ne sont plus jugĂ©s, mais rĂ©duits au silence.

La France, sous Macron, n’est plus une dĂ©mocratie, mais une dictature feutrĂ©e. Le verrouillage est total, et la libertĂ© d’expression n’est plus qu’une chimĂšre. Mais qui finance ces nouveaux gardiens du dogme ? Qui tire les ficelles derriĂšre les rideaux de vertu et les slogans de transparence ? Car ces juges et toute cette corporation judiciaire, Ă  l’instar de ces fact-checkeurs, si prompts Ă  dĂ©noncer l’influence des «puissances occultes» chez les autres, vivent eux-mĂȘmes sous perfusion d’un mĂ©cĂ©nat bien particulier qui n’a rien de dĂ©sintĂ©ressĂ©.

La manƓuvre est toujours la mĂȘme, systĂ©matique, sournoise. En 2017, la Fondation Gates a injectĂ© plus d’un million de dollars dans le Poynter Institute, vĂ©ritable cathĂ©drale du journalisme «d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral» amĂ©ricain, sous le prĂ©texte de promouvoir «l’éducation mĂ©diatique». Mais cette gĂ©nĂ©rositĂ© masquĂ©e ne visait pas l’éveil intellectuel, ni la quĂȘte de vĂ©ritĂ©, mais la formation d’une nouvelle clĂ©ricature de journalistes dociles, chargĂ©s de filtrer, censurer et conformer. GrĂące Ă  des projets comme MediaWise, ces sentinelles de la pensĂ©e unique sont devenues les garantes de ce que l’on peut dire, ce que l’on peut penser, ce que l’on peut savoir.

Ce programme «d’éducation mĂ©diatique» est financĂ© par des gĂ©ants comme Google, Meta et donc la Fondation Gates. Officiellement dĂ©diĂ© Ă  apprendre aux jeunes Ă  repĂ©rer la dĂ©sinformation, il agit surtout comme un filtre idĂ©ologique, enseignant Ă  identifier les «bonnes» sources et Ă  rejeter toute voix dissonante. PlutĂŽt qu’un outil d’émancipation intellectuelle, MediaWise fonctionne comme une fabrique du consentement numĂ©rique, formant des citoyens plus obĂ©issants que critiques. C’est l’école du bon croyant. L’antichambre de l’obĂ©issance cognitive. On n’y apprend pas Ă  penser, mais Ă  rĂ©pĂ©ter. À dire oui au bon moment, Ă  hocher la tĂȘte quand le systĂšme tousse, Ă  s’indigner Ă  la demande et Ă  chercher frĂ©nĂ©tiquement les «fake news» partout
 sauf dans les communiquĂ©s de presse de Pfizer, les rapports de la Banque mondiale ou les Ă©lĂ©ments de langage de l’OTAN ou d’IsraĂ«l. Sous couvert d’éducation, on y forme ainsi les nouvelles sentinelles idĂ©ologiques avec des jeunes hyperconnectĂ©s, naĂŻfs, mais surtout incapables de remettre en question la source dĂšs qu’elle est estampillĂ©e «officielle». Le fact-checking devient alors un rĂ©flexe conditionnĂ©, non un travail intellectuel. Une milice cognitive, non une conscience critique.

Mais Gates ne s’est pas arrĂȘtĂ© lĂ . DerriĂšre les fonds allouĂ©s Ă  des entitĂ©s comme le Poynter Institute, c’est tout un rĂ©seau mĂ©diatique qu’il soutient, Ă  commencer par l’AFP, le journal Le Monde, la Fondation Pierre BergĂ©-Yves Saint Laurent, ou encore les multiples canaux d’informations soutenus par des associations de gĂŽĂŽĂŽche bien pensantes. Ces mĂ©dias, prĂ©tendant encore dĂ©fendre une forme de «pluralisme», deviennent en rĂ©alitĂ© les bras armĂ©s d’une idĂ©ologie qui fait taire toute forme d’opposition. Car l’important n’est pas d’informer, mais de convaincre !

Tout ce qui dĂ©range, tout ce qui questionne, tout ce qui met en lumiĂšre les manipulations derriĂšre les grands rĂ©cits officiels est balayĂ© d’un revers de main. La guerre en IsraĂ«l, la politique des grandes puissances, les intĂ©rĂȘts Ă©conomiques derriĂšre les conflits, les rĂ©seaux pĂ©dophiles de chantages, et bien d’autres, car tout cela n’est qu’un fil conducteur, une toile d’araignĂ©e oĂč chaque point d’interrogation se voit disqualifiĂ© avant mĂȘme d’ĂȘtre posĂ©. Une propagande subtilement orchestrĂ©e, dont ces «fuck-checkers» et les «journalopes» endoctrinĂ©s sont les instruments.

Et puis il y a Pierre Omidyar, le mĂ©cĂšne au sourire discret, mais aux ambitions bien tracĂ©es. CrĂ©ateur d’eBay et pseudo-champion de la libertĂ© d’expression, il a versĂ© plus d’un million de dollars Ă  l’IFCN rien qu’en 2017, et finance en parallĂšle des dizaines de structures de «journalisme d’investigation»  qui n’investiguent jamais les intĂ©rĂȘts des multinationales, ni ceux des philanthropes eux-mĂȘmes. Comme par hasard. ! Ce n’est pas du journalisme, c’est du «branding» idĂ©ologique. L’objectif n’est pas d’éclairer le citoyen, mais de le guider, docilement dans le couloir bien tapissĂ© d’une vĂ©ritĂ© prĂ©fabriquĂ©e. Sous couvert de transparence, on ferme les fenĂȘtres !

Soros n’a pas Ă©tĂ© en reste. L’Open Society, fleuron progressiste Ă  usage humanitaire, elle a aussi glissĂ© son obole au pied de l’autel. Soros n’a pas simplement regardĂ© le fact-checking se dĂ©velopper, il l’a financĂ©, structurĂ©, orientĂ©. Par l’intermĂ©diaire de sa fondation, il a versĂ© des centaines de milliers de dollars au Poynter Institute, clergĂ© officiel de la vĂ©rification, et Ă  son bras armĂ©, l’International Fact-Checking Network. Mais c’est surtout dans les pays en dĂ©veloppement et l’Europe de l’Est que son influence devient stratĂ©gique. LĂ  oĂč les institutions sont fragiles, oĂč un dollar pĂšse plus qu’un vote, l’argent ne soutient pas la vĂ©ritĂ©, il l’achĂšte. On n’a plus besoin de renverser des rĂ©gimes puisqu’il suffit d’investir dans les narrateurs. En Europe centrale, par exemple, huit des onze structures de fact-checking utilisĂ©es par Facebook sont financĂ©es directement par Soros. Ce n’est plus de l’aide, c’est de la scĂ©narisation gĂ©opolitique.

Dans ces zones grises de la souverainetĂ© mĂ©diatique, le fact-checking devient alors un outil de colonisation douce. On n’envoie plus les troupes, on envoie des stagiaires en sciences politiques armĂ©s de tableurs Excel et de subventions occidentales. Leur mission est de corriger les rĂ©cits indigĂšnes, invalider toutes versions alternatives, et sanctifier la parole officielle venue de Washington, Bruxelles ou Davos. Le correcteur orthographique de la pensĂ©e remplace le fusil ! C’est plus propre, plus rentable, et surtout plus acceptable. L’ingĂ©rence n’a plus de visage brutal mais elle a une charte dĂ©ontologique, un compte Twitter/X certifiĂ© et le soutien bienveillant d’un milliardaire «progressiste».

Et puis vient le rĂŽle de Google, omniscient, omnipotent, omniprĂ©sent. Ce n’est pas un sponsor, c’est le dĂ©cor. Il indexe ce qui mĂ©rite d’ĂȘtre vu. Il fait exister les sources et en enterre d’autres. Quand il finance mais ne soutient pas une cause, il verrouille un protocole. La boucle est bouclĂ©e ! L’idĂ©ologie descend en cascade, masquĂ©e par les bons sentiments. Le pluralisme est devenu une relique folklorique, exhibĂ©e comme un artefact dans les vitrines de la dĂ©mocratie. DerriĂšre l’illusion d’une presse indĂ©pendante et d’un journalisme citoyen, ce sont les gĂ©ants du numĂ©rique qui tiennent la plume et la gomme. Google a aussi injectĂ© des millions de dollars dans Poynter Institute, tout en finançant directement des dizaines de projets de «journalisme de vĂ©rification» via son initiative Google News.

Bien entendu Meta (Facebook) n’est pas en reste, bien au contraire ! La firme a officiellement dĂ©signĂ© des «partenaires de vĂ©rification indĂ©pendants» comme Africa Check, Rappler ou Full Fact, tous financĂ©s, directement ou indirectement, par les mĂȘmes rĂ©seaux philanthropiques aux mains des grands mĂ©cĂšnes comme Soros, Omidyar, ou la Fondation Gates. Le message est limpide car ceux qui dĂ©tiennent les plateformes contrĂŽlent aussi le rĂ©cit. Ce n’est plus un simple arbitre qui dĂ©cide de la vĂ©ritĂ©, mais bien les juges nommĂ©s par ceux-lĂ  mĂȘmes qui possĂšdent l’accusation. L’équivalent numĂ©rique d’un tribunal oĂč l’on choisit Ă  la fois les juges et les avocats. Un systĂšme biaisĂ© par dĂ©finition, oĂč l’objectivitĂ© est simplement un produit dĂ©rivĂ© de «l’Agenda» des puissants.

Et en France donc, l’objectif affichĂ© du rĂ©gime macronien est, comme toujours, de dĂ©fendre «la dĂ©mocratie», cette version PowerPoint aseptisĂ©e, marketĂ©e, prĂȘte-Ă -consommer, qui n’a plus rien de populaire ni de reprĂ©sentative. Une dĂ©mocratie vidĂ©e de sa substance, rĂ©duite Ă  une mise en scĂšne technocratique oĂč seuls ceux qui rĂ©citent le bon catĂ©chisme version McKinsey, sont tolĂ©rĂ©s dans l’arĂšne publique. Qu’importe si le langage change, si les Ă©lĂ©ments sont traduits en «inclusif» ou en «globish», tant que le ton reste le mĂȘme avec celui de la soumission Ă  l’ordre Ă©tabli. DerriĂšre les beaux discours, les hommages Ă  la libertĂ©, Ă  l’État de droit et Ă  la RĂ©publique, se cache Ă  prĂ©sent une mĂ©canique de contrĂŽle implacable, oĂč la censure porte costume trois piĂšces et cravate bleue. Ce n’est plus le bĂąillon brutal, mais le mutisme organisĂ©, la marginalisation systĂ©matique de toute parole qui dĂ©vie d’un demi-degrĂ© de la ligne officielle. Et gare Ă  ceux qui osent dĂ©railler car ils seront «corrigĂ©s», psychiatrisĂ©s, ruinĂ©s, censurĂ©s ou suicidĂ©s sous silence. La vĂ©ritĂ© autorisĂ©e ne souffre plus l’ombre d’une contradiction. Le pluralisme est devenu un théùtre de Guignol oĂč les oppositions autorisĂ©es ne sont lĂ  que pour mimer un dĂ©bat dĂ©jĂ  tranchĂ©.

Et c’est lĂ  que l’on comprend comment le rĂ©cit est verrouillĂ©. Et derriĂšre ce verrouillage, les relais zĂ©lĂ©s du sionisme politique Ɠuvrent sans relĂąche, que ce soit dans les cabinets ministĂ©riels, dans les cercles d’influence ou dans les associations dites «antiracistes» mais Ă  gĂ©omĂ©trie variable. Le CRIF, la LICRA, et consorts ne dĂ©fendent pas la paix mais dĂ©fendent une ligne, un agenda, une immunitĂ©. Ils ne dĂ©noncent pas les crimes, ils les réécrivent. Ils n’appellent pas Ă  la justice, ils exigent le silence. Quiconque dĂ©nonce l’apartheid, l’épuration, l’horreur mĂ©thodique qui s’abat sur Gaza, par exemple, est aussitĂŽt taxĂ© d’antisĂ©mite, mis Ă  l’index, traĂźnĂ© devant les tribunaux ou dĂ©zinguĂ© dans les colonnes d’un journal sponsorisĂ©. Le mensonge est devenu une politique publique et la terreur, une stratĂ©gie de communication ! L’alignement est total, diplomatique, mĂ©diatique et judiciaire.

Alors des voix s’élĂšvent, peu nombreuses, mais indĂ©racinables. Des voix sans pupitre ni prompteur, sans carte de presse ni validation algorithmique. Elles n’ont ni rĂ©seau d’influence, ni structure associative, ni logo tamponnĂ© par la RĂ©publique. Elles n’ont que leur rage, leur luciditĂ©, et leur solitude. Elles parlent parce qu’on tente de tout faire pour qu’elles se taisent. Parce qu’en face, la manipulation a pris les habits de la lĂ©gitimitĂ© d’un État devenu marionnette, d’un gouvernement aux ordres, et d’une presse alignĂ©e qui rĂ©pĂšte mĂ©caniquement la version des puissants. La guerre d’IsraĂ«l, transformĂ©e en gĂ©nocide moderne sous les camĂ©ras complices, en est l’illustration la plus obscĂšne. Des enfants par centaines sous les dĂ©combres, des familles effacĂ©es par les bombes. Et pendant ce temps, les plateaux tĂ©lĂ© cherchent la nuance chez les bourreaux qui se veulent victimes.

Le «fuck-checking», dans sa version actuelle, n’est pas un outil de clarification, mais une arme de dissuasion massive. Il est devenu la technologie de la docilitĂ© avec une interface propre, colorĂ©e, estampillĂ©e «neutre» mais entiĂšrement vouĂ©e Ă  la censure sous uniforme. C’est le cache-sexe d’un pouvoir aux abois, terrifiĂ© par ce qu’il ne contrĂŽle pas comme l’intelligence collective, l’éveil critique, la mĂ©moire populaire. C’est une police de la pensĂ©e, masquĂ©e derriĂšre le vernis mĂ©thodologique. Un clergĂ© numĂ©rique, financĂ© par les gĂ©ants de la propagande philanthropique, qui n’administre pas la vĂ©ritĂ© mais la norme !

Et pourtant, depuis peu, une fissure est enfin apparue. Infime, mais irrĂ©versible. Quelque chose craque dans cette façade trop lisse. La vĂ©ritĂ©, bien qu’enchaĂźnĂ©e, commence Ă  se frayer un passage. Elle ne crie pas encore, elle chuchote
 Mais ce murmure suffit Ă  affoler l’appareil. Les modĂ©rateurs transpirent, les algorithmes paniquent, les Ă©ditorialistes bredouillent, et mĂȘme l’IA est obligĂ©e de se plier Ă  la vĂ©ritĂ© devenant criante. Une tension monte, car cette vĂ©ritĂ©, mĂȘme incomplĂšte, mĂȘme marginale, contamine les certitudes. Et face Ă  elle, les bastions de rĂ©sistance se dressent, fragiles mais vivants. Des plateformes sont excentrĂ©es, des chaĂźnes YouTube sont menacĂ©es d’effacement, des collectifs d’auteurs indĂ©pendants sans siĂšge social Ă©mergent, des journalistes sans carte s’affichent, crĂ©ant une colonne vertĂ©brale. Ils ne reçoivent ni prix, ni subventions, ni appels d’offre. Ils publient quand d’autres se taisent, ils exposent ce que les mĂ©dias camouflent.

Ils n’ont ni la LICRA, ni le CRIF pour les dĂ©fendre. Ils n’ont pas de hotline Ă  Matignon ni de carte blanche dans Le Monde. Pire, ils osent interroger l’impensable. Ils parlent de Gaza, non comme d’un «conflit», mais comme d’un massacre. Ils osent nommer les bourreaux, interroger les alliances, dĂ©monter les mensonges d’État. Ils remettent en question ce que le sionisme politique veut sanctuariser, dĂ©noncent l’influence tentaculaire de ces associations d’inquisition que sont devenues certaines structures «antiracistes « uniquement mobilisĂ©es pour faire taire, jamais pour Ă©clairer. Et c’est pour cela qu’on les traque. Ils vivent dans l’angle mort du dĂ©bat public, constamment menacĂ©s de dĂ©rĂ©fĂ©rencement, de procĂšs, de bannissement bancaire ou social.

Et pendant ce temps, ces quelques voix qui persistent sont harcelĂ©es, censurĂ©es, broyĂ©es par la machine. Celles qui ont criĂ© pendant le Covid, celles qui ont tenu face au rouleau compresseur vaccinal, sont aujourd’hui les mĂȘmes qui dĂ©noncent le massacre d’IsraĂ«l Ă  huis clos. Elles n’ont pas changĂ© de ton. Elles n’ont pas retournĂ© leur veste sous l’effet de l’indignation Ă  la mode. Elles ont vu ce que beaucoup refusent de voir car la censure ne connaĂźt pas de pause, qu’elle change juste de masque. Une fois sanitaire, une fois sĂ©curitaire, une fois gĂ©opolitique, Ă©conomique, guerriĂšre
 Bref, le procĂ©dĂ© est toujours le mĂȘme pour Ă©touffer le rĂ©el, invalider les tĂ©moins, criminaliser la parole libre ! Et l’opposant devient suspect aux yeux des «Normizzz». Le rĂ©sistant, infrĂ©quentable ! Et ceux qui tombent dans l’oubli comme les professeurs vilipendĂ©s, les lanceurs d’alerte muselĂ©s, les manifestants laminĂ©s, les Ă©crivains emprisonnĂ©s, tous sont relĂ©guĂ©s Ă  l’ombre par ceux qui n’ont mĂȘme jamais levĂ© un doigt, mais se prĂ©cipitent aujourd’hui pour rĂ©colter les lauriers du doute tardif.

L’Histoire vĂ©ritable, elle, n’a pas besoin de storytelling ni de lois artificielles pour dĂ©crĂ©ter ce qui est vrai. Elle porte en elle les cicatrices des siĂšcles, les noms effacĂ©s, les vies fracassĂ©es, mais surtout, elle se souvient. Et malgrĂ© l’épuisement, malgrĂ© l’isolement, malgrĂ© ce monde qui nous rejette et nous oublie, nous tenons. Parce que nous savons ! Parce que nous avons compris que dans cette Ă©poque oĂč tout est «vĂ©rifié» sauf le rĂ©el, oĂč tout est permis sauf le doute, oĂč tout est tolĂ©rĂ© sauf l’intelligence, rĂ©sister, c’est dĂ©jĂ  une victoire
 Certes, elle n’est pas bruyante, ni flagrante, mais elle crie ȍa suffit !» DiscrĂšte mais cinglante, notre victoire sur ces mensonges fait entendre un Ă©cho puissant bien plus que toutes les vĂ©ritĂ©s fabriquĂ©es que nous imposent ces «Fuck-chekeurs». Car les mettre en lumiĂšre, les ridiculiser et leur rĂ©sister avec un simple discours de vĂ©ritĂ©, c’est dĂ©jĂ  une victoire sur ces mĂ©diocres.

Phil BROQ

reseauinternational.net/les-fu


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“They cooked up their own intelligence”
#ChrisHedges on Israel’s war on #Iran

youtube.com/watch?v=a8dzL3bies


in reply to Kyonko802

new version 20250613.12fe085f-6 is out which might fixes it

gitlab.archlinux.org/archlinux


but i would wait until the actual issue is closed

gitlab.archlinux.org/archlinux


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in reply to Hellhammer - Archived

@DarkMahesvara @Kyonko802 Jesus my card can't catch a break. :akko_weary:
gitlab.archlinux.org/archlinux


As for me, I haven't experience this issue so far.



Activist Clara Varnet: There Is Plenty of Evidence Supporting Argentina’s Rights Over Malvinas Islands (Interview) orinocotribune.com/activist-cl


s a functional anarchy, no part of it is a democracy - including
the IRC channels. Things get done because the individuals doing them are
interested, not because there was a vote and some majority, who mostly
won't be involved in the work, thought it was a good idea. This anarchy extends
t


#anarchy #anarchism #doocracy #democracy #notdemocracy #betterthandemocracy #justworks #doit #youcandoit #nopermission #nomandate #norulers #justgoodideas #followyourinterest #snippet #chanrules #coc #nococ #meanwhileinirc

anarchy. do-ocracy. bam.

in reply to Spartacus

6 GBU-57 MOP ΌΔ Ï€Î”ÏÎŻÏ€ÎżÏ… 500 ΌύρÎčα Ï„Îż ÎșÎżÎŒÎŒÎŹÏ„Îč
ÎșαÎč 30 ΀όΌαχωÎș ΌΔ Μ.Ο. 4 ΌύρÎčα Ï„Îż ÎșÎżÎŒÎŒÎŹÏ„Îč

η Î»Ï…Ï€Î·Ï„Î”ÏÎź ΎλΎ Î”ÎŻÎœÎ±Îč 3 ÎŽÎčσ ÎșαÎč ÎșÎŹÏ„Îč ψÎčλΏ
Î ÎŹÏÏ„Ï… 🎉 ÎżÎč ΚÎčÎœÎ­Î¶ÎżÎč ΌΔ Ï„ÎżÎœ γΔλοίο đŸ€Ą

in reply to dougroudouvari

@dougroudouvari

ÎšÎŹÏ„ÏƒÎ” Μα ÎČÏÎżÏÎœ τα Ï€ÏÎ±ÎłÎŒÎ±Ï„ÎčÎșÎŹ ÎœÎżÏÎŒÎ”ÏÎ± ÎșαÎč ÎŒÎ”Ï„ÎŹ ÎșÎŹÎœÎżÏ…ÎŒÎ” ÎżÎčÎșÎżÎœÎżÎŒÎčÎșÎżÏÏ‚ Ï…Ï€ÎżÎ»ÎżÎłÎčÏƒÎŒÎżÏÏ‚.
ΑÎșόΌα ΌπΔρΎΔΌέΜα τα Î­Ï‡ÎżÏ…Îœ đŸ€ŁđŸ˜‚
kafeneio.social/@IAmSpartacus/



@nanook
Trump claimed to have hit 3 different locations tho
3 targets
4 B-2
8 Busterbunkers
30 hits.
The numbers don't match up.

#Laïcité vs #Chrétiens


Rappelons que dans l’AntiquitĂ© la religion et l’État ne faisaient qu’un, et qu’a Rome l’empereur Ă©tait considĂ©rĂ© comme un dieu. Or voici que le #Christ, en quelques mots, "rendez Ă  CĂ©sar ce qui est Ă  CĂ©sar et Ă  Dieu ce qui est Ă  #Dieu", allait briser cette alliance en proclamant que la religion n'est plus l’Etat et qu’obĂ©ir Ă  #CĂ©sar n’est plus la mĂȘme chose que d’obĂ©ir Ă  Dieu. C'est lĂ  des idĂ©es tellement nouvelles quelles Ă©taient difficiles Ă  comprendre pour ses contemporains. [... ]
C’est lĂ  une sĂ©paration fĂ©conde, comme l’a montrĂ© le professeur Harouel dans son livre Le Vrai GĂ©nie du #christianisme.

The international (dis)order that was is now a gaping, volatile, erupting fissure and there is no way back.

The global majority are already shaping a new world, despite the violence

Love and Community are your super power - use them to veto the violence.

thenational.scot/comment/25257


🟠 Israeli police in Tel Aviv are checking the IDs of foreign journalists, following orders aligned with Ben-Gvir’s efforts to block Al Jazeera from covering the Iranian missile strikes.

Local reporters were separated from foreign press before the checks began.

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Video #FediVideo

Salam Rezqallah, a young Palestinian woman, was detained last night by Israeli occupation forces during a raid on her family’s home in the village of Qaryout, in the central occupied West Bank.

(I hope you guys know what Israeli Sattlers do to women)

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Women #WestBank

📰 Seyed Abbas Araghchi, Iranian foreign minister, criticized the U.S. and Israel for repeatedly derailing diplomatic efforts.

đŸ”č “Last week, we were in negotiations with the U.S. when Israel blew up that diplomacy,” he said.
đŸ”č “This week, we held talks with the E3/EU when the U.S. did the same.”

He questioned EU and UK calls for Iran to “return” to the table, stating:
“How can Iran return to something it never left, let alone blew up?”

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism

This entry was edited (1 month ago)

US-Trans-Aktivist:in ĂŒber neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“


US-Bundesstaaten dĂŒrfen laut Gerichtsurteil Geschlechtsangleichung bei Jugendlichen verbieten. FĂŒr einen Elternteil eines trans Sohnes, eine Katastrophe.
US-Trans-Aktivist:in ĂŒber neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“

N. E. Felibata đŸ‘œ reshared this.

█ Estudiants en risc de desnonament a Salt: "Ets a classe i el teu cap nomĂ©s pensa... on anirem?" ▓▒░ El programa "Solidaris" de Catalunya RĂ dio visita l'institut Vallvera per parlar amb alumnes afectats per la crisi de l'habitatge en un municipi on, de mitjana, hi ha dos desnon[
]
ccma.cat/324/estudiants-en-ris


#habitatge #racisme #324cat #educacio #migracions #pobresa

Han liberado a Mahmoud Khalil, activista por Palestina que fue detenido ilegalmente en USA hace tres meses. Su bebé nació mientras estaba detenido.

"Llevando una kufiya, Khalil, sonriente, levantó los puños al salir del centro de detención el viernes por la noche"

"My existence is a message" to the Trump administration, "All these attempts to suppress Pro-Palestinian voices have failed now."

bbc.com/news/articles/c70r839k


cnnespanol.cnn.com/2025/06/20/


#FreePalestine #USPol

Cuban Telecom Company Announces New Mobile Data Plans After Criticism From Students’ Organizations orinocotribune.com/cuban-telec


Israel Kills 26 Palestinians in Gaza, Including Starved Aid Seekers #Palestine qudsnen.co/israel-kills-26-pal


#IsraĂ«l a perdu son #raffinage de #pĂ©trole et est confrontĂ© Ă  une crise Ă©nergĂ©tique. Si la production de la raffinerie de #HaĂŻfa, touchĂ©e par des missiles iraniens, ne peut ĂȘtre rapidement rĂ©tablie, IsraĂ«l sera confrontĂ© Ă  de graves problĂšmes de carburant. Le pays est actuellement sans raffineries en activitĂ© pendant au moins plusieurs semaines.


R. Ferrario

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#Trump hat sich von #Netanyahu also in den Krieg gegen den #Iran hereinziehen lassen. Die #USA hat heute Nacht mit Marschflugkörpern von U-Booten aus und 30.000 Pfund Bomben aus B2-Bombern den Iran bombardiert

Ziel seien Atomanlagen gewesen. Illegal im internationalen Recht.
Nur der Kongress darf den Krieg erklÀren, es war also ein Bruch der US-Verfassung. Es ist ein Angrifsskrieg, also ein Bruch der UN-Charta.

Und da es ein NATO-Staat ist, ist Deutschland Komplize.

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#GutenMorgen, heute, #onthisday, am 22.06.1898 wurde Erich Maria Remarque, Schriftsteller und Pazifist, als Erich Paul Remark in OsnabrĂŒck geboren.

„Ich dachte immer, jeder Mensch sei gegen den Krieg, bis ich herausfand, dass es welche gibt, die dafĂŒr sind, besonders die, die nicht hingehen mĂŒssen.“
(28.01.1963)

#ErichMariaRemarque

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What do I see in my TL? Israelis crying because it is soooo awful to hear sirene alarm and the bombs are getting closer and they cannot work but have to hide in the shelter!
See how it feels! Our people in #Gaza live like this since 600 days and don't even have food and water, much less medicine and machines to dig out the victims under the rubble! And you cry after 9 days!

Max #Blumenthal
@MaxBlumenthal

Trump a proposĂ© l'armĂ©e amĂ©ricaine comme instrument pour #IsraĂ«l, un implant colonial Ă©tranger gĂ©nocidaire, pour attaquer un pays souverain qui ne reprĂ©sentait aucune menace pour les États-Unis.

#Trump a agi ainsi en violation de la Constitution et contre la volontĂ© de l’écrasante majoritĂ© du public amĂ©ricain.

Trump a permis Ă  IsraĂ«l d’exploiter la diplomatie amĂ©ricaine comme une ruse et n’a fait aucun effort pour expliquer la logique de la guerre au public amĂ©ricain.

Trump a mĂȘme terminĂ© son discours annonçant les attaques en dĂ©clarant : « Que Dieu bĂ©nisse IsraĂ«l ».
C'est désormais clair et incontestable : nous vivons sous un régime sioniste qui nous hait et qui nous sacrifiera pour son programme ethnosuprémaciste.

Et nous rĂ©colterons une tempĂȘte


#États-Unis #us #usa

Russia's Industrial Development Experience is Valuable for Africa, South African Trade Minister Says en.sputniknews.africa/20250621

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