Si queréis ver un documental de terror os recomiendo "Bad influence: the dark side of kidfluencing"
Una serie de 3 episodios. TerrorĂ­fico.
No sabía que existían toda estas chavaladass. Explotados por sus padres. El hecho de que exista el término "kidfluencer" (pelos como escarpias)
Lo he visto y me ha dado ansiedad pensar en la cantidad de millones de personas que seguĂ­an esto. Ver los videos y pensar :"ÂżPero como te puede interesar esto?"

Pourquoi IsraĂ«l attaque-t-il l’Iran maintenant ?


Marc Vandepitte

AprĂšs des annĂ©es de confrontations indirectes, IsraĂ«l est dĂ©sormais passĂ© Ă  une guerre ouverte contre l’Iran. Ce qui avait commencĂ© comme une sĂ©rie d’attaques de prĂ©cision contre des cibles militaires s’avĂšre faire partie d’une stratĂ©gie beaucoup plus large visant Ă  affaiblir l’État iranien et Ă  rĂ©organiser durablement l’équilibre des forces dans la rĂ©gion.

Aux premiĂšres heures du 13 juin, IsraĂ«l a entamĂ© une guerre directe avec l’Iran, aprĂšs des dĂ©cennies de guerre de l’ombre composĂ©e d’assassinats ciblĂ©s, de cyberattaques et de confrontations indirectes, de Damas Ă  la mer Rouge.

La rĂšgle non Ă©crite Ă©tait d’escalader sans que la situation ne devienne incontrĂŽlable. Avec une attaque surprise des services de renseignement israĂ©liens et de lourds bombardements, suivis d’une riposte iranienne contre des objectifs militaires et des infrastructures stratĂ©giques en IsraĂ«l, cette limite a dĂ©sormais Ă©tĂ© franchie.

Objectif de cette guerre

La situation s’aggrave rapidement et montre les signes d’un conflit bien plus vaste que la seule prĂ©tendue dĂ©militarisation nuclĂ©aire. Netanyahou a dĂ©clarĂ© ouvertement qu’il visait un changement de rĂ©gime en Iran.

La probabilitĂ© que cela se produise est faible. D’un cĂŽtĂ©, il existe un grand mĂ©contentement en Iran. De nombreux jeunes rejettent le mode de vie traditionnel strict et le paternalisme clĂ©rical. En raison des sanctions Ă©conomiques imposĂ©es par les États-Unis, l’économie va trĂšs mal, la pauvretĂ© est omniprĂ©sente et un quart des jeunes est au chĂŽmage. Le systĂšme politique est thĂ©ocratique et peu transparent. Les Iraniens sont las de la corruption gĂ©nĂ©ralisĂ©e et de la rĂ©pression brutale.

D’un autre cĂŽtĂ©, le gouvernement peut encore compter sur le soutien d’une part importante de la population conservatrice et religieuse, surtout en milieu rural, mais aussi partiellement dans les villes. De plus, les bombardements d’un agresseur Ă©tranger tendent Ă  resserrer les rangs.

Un changement de rĂ©gime est sans doute trop ambitieux, mais un objectif plus rĂ©aliste serait la neutralisation de l’Iran en tant que puissance rĂ©gionale secondaire. L’objectif Ă  long terme des États-Unis au Moyen-Orient est de fragmenter les États en entitĂ©s plus petites et plus faibles, incapables d’agir de maniĂšre autonome, et, dans le meilleur des cas, dirigĂ©es par des forces pro-amĂ©ricaines.

Cela s’inscrit dans l’effort du « collectif occidental » pour empĂȘcher l’émergence de pays rebelles ou de blocs de pouvoir alternatifs qui pourraient menacer cinq siĂšcles de domination mondiale. Cette motivation dĂ©coule de la nature mĂȘme du capitalisme global et de son instinct de survie par l’impĂ©rialisme.

Au sein du bloc anti-hĂ©gĂ©monique (incluant la Russie, la Chine et la CorĂ©e du Nord), l’Iran, sans armes nuclĂ©aires, reprĂ©sente le maillon faible. Au Moyen-Orient, l’objectif est de crĂ©er une rĂ©gion oĂč aucun pays ne serait plus grand ni plus puissant qu’IsraĂ«l, afin que celui-ci puisse garantir sa domination rĂ©gionale. Pour atteindre cet objectif, IsraĂ«l est censĂ© faire le sale boulot.

À cette fin, il est armĂ© par les États-Unis et leurs alliĂ©s occidentaux avec les armes les plus lĂ©tales et les plus avancĂ©es, et peut Ă©galement compter sur un soutien militaire et logistique de Washington.

Stratégie

Selon des analystes, IsraĂ«l applique aujourd’hui en Iran la mĂȘme stratĂ©gie qu’il avait utilisĂ©e prĂ©cĂ©demment au Liban : assassinats ciblĂ©s de dirigeants militaires, destruction de systĂšmes de communication et bombardements de prĂ©cision sur des cibles prĂ©alablement sĂ©lectionnĂ©es. Cette stratĂ©gie s’est en tout cas rĂ©vĂ©lĂ©e efficace au Liban.

Par ailleurs, l’État sioniste tente de perturber l’approvisionnement en pĂ©trole du pays. Tel-Aviv a laissĂ© entendre dimanche que lors des rĂ©centes attaques en Iran, il avait frappĂ© des dĂ©pĂŽts de carburant servant Ă  la fois Ă  l’approvisionnement civil et militaire. L’objectif n’est pour l’instant pas de gĂȘner les exportations de pĂ©trole — principalement Ă  destination de la Chine — mais de perturber l’approvisionnement intĂ©rieur de l’Iran.

AprĂšs les attaques contre des installations militaires et nuclĂ©aires, les frappes contre les infrastructures Ă©nergĂ©tiques marquent une nouvelle phase, avec le mĂȘme but : paralyser les infrastructures de dĂ©fense et affaiblir le gouvernement ainsi que la sociĂ©tĂ©.

Un scĂ©nario possible serait similaire Ă  ce qui s’est produit en Irak et en Syrie. Dans les deux pays, l’autoritĂ© centrale et l’armĂ©e ont Ă©tĂ© fortement affaiblies, et le territoire a Ă©tĂ© de facto morcelĂ© en zones Ă©chappant au contrĂŽle du gouvernement. Dans les deux cas, cela s’est produit Ă  la suite d’une agression militaire extĂ©rieure et de la division des groupes de population les uns contre les autres.

Quelque chose de similaire sera également tenté en Iran. Comme en Irak et en Syrie, les Kurdes y représentent une importante minorité.

Rîle des États-Unis

Selon le journaliste d’investigation Ben Norton, l’attaque israĂ©lienne contre l’Iran n’est pas une action unilatĂ©rale, mais le rĂ©sultat d’une opĂ©ration coordonnĂ©e entre IsraĂ«l et les États-Unis, approuvĂ©e et dirigĂ©e par l’administration Trump.

Alors que les États-Unis participaient publiquement Ă  de soi-disant nĂ©gociations de paix sur un nouvel accord nuclĂ©aire avec l’Iran, Trump aurait secrĂštement aidĂ© IsraĂ«l Ă  prĂ©parer l’attaque. Il a fourni des armes, notamment 300 missiles Hellfire, a donnĂ© accĂšs aux renseignements amĂ©ricains et a personnellement approuvĂ© l’attaque.

Trump avait donnĂ© Ă  l’Iran un “ultimatum” de 60 jours pour accepter un accord — le jour 61 est devenu le moment de l’attaque. Trump s’est vantĂ© publiquement de l’attaque, l’a qualifiĂ©e de “massacre” et a dĂ©clarĂ© que “beaucoup d’autres allaient suivre”.

Des responsables ont affirmĂ© que les États-Unis n’étaient pas impliquĂ©s, mais selon Norton, des informations divulguĂ©es et des reportages mĂ©diatiques montrent que les États-Unis ont fourni un soutien militaire et logistique crucial, et ont mĂȘme interceptĂ© des missiles iraniens lorsque l’Iran a ripostĂ©.

Ils avaient d’ailleurs dĂ©jĂ  fait cela lors des prĂ©cĂ©dentes attaques de missiles en provenance d’Iran (en avril et octobre 2024). À ce jour, il n’est pas encore clair si les États-Unis participeront directement aux attaques israĂ©liennes. Il semble qu’au sein de son gouvernement, tout le monde ne soit pas encore sur la mĂȘme longueur d’onde.

Trump a en tout cas dĂ©jĂ  dĂ©placĂ© un porte-avions nuclĂ©aire de la mer de Chine mĂ©ridionale vers la mer d’Arabie, pour renforcer, aux cĂŽtĂ©s de l’USS Carl Vinson et de plusieurs destroyers, une prĂ©sence dans la rĂ©gion semblable Ă  celle de l’OTAN. En outre, des dizaines d’avions ravitailleurs ont Ă©tĂ© envoyĂ©s en Europe, prĂȘts pour des opĂ©rations au-dessus du Moyen-Orient.

Pourquoi maintenant ?

Washington et Tel-Aviv estiment que le moment est venu d’attaquer l’Iran et de tenter de lui porter un coup fatal. La destruction des systĂšmes de dĂ©fense aĂ©rienne iraniens par IsraĂ«l il y a quelques mois, la chute du gouvernement d’Assad et l’installation d’un rĂ©gime “sous contrĂŽle” lĂ -bas, le quasi-effondrement du Hezbollah au Liban et la dĂ©vastation de Gaza — ces facteurs ont fortement fait pencher l’équilibre des forces rĂ©gionales en faveur d’IsraĂ«l et de ses alliĂ©s occidentaux.

La maniĂšre dont ce conflit va Ă©voluer est pour l’instant totalement incertaine. IsraĂ«l a causĂ© de sĂ©rieux dĂ©gĂąts militaires lors de ses premiĂšres frappes en Iran, touchant des structures de commandement et retardant possiblement certaines parties du programme nuclĂ©aire.

Mais l’euphorie initiale en IsraĂ«l a rapidement laissĂ© place Ă  la luciditĂ© lorsque l’Iran a frappĂ© en profondeur le territoire israĂ©lien avec des missiles. La destruction dans les villes israĂ©liennes a fait voler en Ă©clats l’illusion d’invulnĂ©rabilitĂ©.

Étant donnĂ© le grand nombre de missiles balistiques dont dispose TĂ©hĂ©ran (environ 2 000), l’Iran pourrait ĂȘtre en mesure de maintenir de tels bombardements pendant encore trois Ă  quatre semaines.

Reste Ă  savoir si l’Iran s’en tiendra lĂ  ou s’il ira plus loin, par exemple en bloquant le dĂ©troit d’Ormuz, un passage maritime crucial pour le pĂ©trole. Cela ferait fortement grimper les prix du pĂ©trole et aurait des consĂ©quences considĂ©rables pour l’économie mondiale.
Si Trump dĂ©cide, de son cĂŽtĂ©, de participer directement Ă  l’attaque contre l’Iran, nous entrerons de toute façon dans une nouvelle phase d’escalade aux consĂ©quences incalculables.

Les prochains jours nous le diront.

investigaction.net/pourquoi-is


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#Humour #Cartoon

Les fuck-checkeurs


par Phil BROQ

Voltaire, depuis son siĂšcle poussiĂ©reux, ricane. »Ceux qui peuvent vous faire croire Ă  des absurditĂ©s peuvent vous faire commettre des atrocitĂ©s.» Il savait. Il avait devinĂ© ce que devient une sociĂ©tĂ© qui remplace la pensĂ©e par la procĂ©dure. Ce que devient un peuple qui dĂ©lĂšgue sa raison Ă  des organismes subventionnĂ©s. Et de nos jours, dans l’arriĂšre-boutique aseptisĂ©e du monde mĂ©diatique moderne, allant de la tĂ©lĂ©vision de propagande aux journaux subventionnĂ©s, la vĂ©ritĂ© se vend dĂ©sormais sous cellophane estampillĂ© «Fact-ChekĂ©e». Elle a des sponsors, des chartes graphiques et surtout un service juridique en lien direct avec les magistrats de la 17Ăšme chambre correctionnelle. Ce n’est plus un idĂ©al, c’est une marque dĂ©posĂ©e. Sur les plateaux tĂ©lĂ©, dans les colonnes des journaux papiers ou numĂ©riques, elle se dĂ©cline en slogans, en vignettes, en pastilles de confort cognitif. Et Ă  ceux qui se demandent encore qui tient la bride de cette nouvelle «vĂ©ritĂ© standardisĂ©e», il suffit d’un seul mot pour comprendre : financement !

Le fact-checking, prĂ©sentĂ© comme l’ultime rempart contre la dĂ©sinformation, s’est muĂ© en vĂ©ritable clergĂ© de la rectitude, une liturgie moderne oĂč l’on ne cherche plus la vĂ©ritĂ©, mais l’aval du pouvoir. Loin de l’image du journaliste rigoureux, impartial et soucieux de confronter les faits, le «vĂ©rificateur» contemporain est une caricature de moine-soldat numĂ©rique, rĂ©citant les dogmes de l’ordre dominant avec la ferveur d’un novice converti au culte de la conformitĂ©. DerriĂšre son Ă©cran bardĂ© de certitudes et ses tableurs faussement neutres se cache rarement une vocation journalistique, mais presque toujours un financement opaque. Gates, Soros, Omidyar, Rockefeller, Google, Facebook, etc., qui sont en rĂ©alitĂ© les vĂ©ritables rĂ©dacteurs en chef des «dĂ©codeurs» et autres «vĂ©rifieurs» autoproclamĂ©s. Ils ne forment pas des journalistes mais des propagandistes, des standardistes de la narration autorisĂ©e, des zĂ©lateurs de la version officielle.

La plupart d’entre eux n’ont jamais enquĂȘtĂ© sur le terrain, jamais confrontĂ© une source rĂ©elle, jamais mis les mains dans les archives ou risquĂ© quoi que ce soit dans l’exercice de leur prĂ©tendue mission. Leur seul mĂ©rite est de savoir copier-coller un communiquĂ© de presse gouvernemental, aligner des Ă©lĂ©ments de langage et tamponner le tout d’un verdict doctement assĂ©nĂ© de »Faux», »Trompeur» ou »Complotiste», voire dans les cas difficiles Ă  dĂ©crĂ©dibilise directement »AntisĂ©mite». Ils ne rĂ©futent pas mais ils dĂ©lĂ©gitiment. D’ailleurs, ils ne dĂ©battent pas, ils disqualifient. Leur compĂ©tence se rĂ©sume souvent Ă  une capacitĂ© limitĂ©e Ă  manipuler un moteur de recherche, Ă  recracher les conclusions de l’AFP – subventionnĂ©e par Gates -, de Reuters ou du CDC, selon le sujet, tout en priant pour que l’algorithme de YouTube ou de Google le propulse au sommet du flux d’information, et que leurs mĂ©cĂšnes reconduisent leurs subventions annuelles.

Ces «vĂ©rificateurs» sont aux journalistes ce que les influenceurs sont aux philosophes. Ce sont des simulacres bavards, dopĂ©s Ă  la visibilitĂ© artificielle, sans profondeur, sans honneur, et surtout, sans contradictions. Ils ne rendent pas compte du rĂ©el mais l’écrasent sous le poids d’une vĂ©ritĂ© unique, aseptisĂ©e, labellisĂ©e. Ils ne cherchent pas Ă  comprendre, mais Ă  faire taire. Et lorsque l’étouffement algorithmique ou mĂ©diatique ne suffit plus, lorsqu’un discours dissident persiste Ă  franchir les murs de la censure douce, une autre instance entre en scĂšne avec la 17Ăšme chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris.

Pudiquement surnommĂ©e «chambre de la presse», elle agit en bout de chaĂźne comme le bras judiciaire de ce systĂšme d’étouffement. Moins une juridiction qu’un instrument de rĂ©gulation idĂ©ologique, elle sert Ă  lĂ©gitimer, par le vernis du droit, les procĂšs d’intention initiĂ©s dans les colonnes des vĂ©rificateurs subventionnĂ©s. Ceux-ci pointent du doigt, et elle sanctionne. Les uns fabriquent les coupables mĂ©diatiques, les autres les traduisent en justice. Ensemble, ils forment un Ă©cosystĂšme de rĂ©pression feutrĂ©e, oĂč l’État et ses alliĂ©s oligarchiques peuvent attaquer, en toute lĂ©galitĂ© apparente, ceux qui osent encore dĂ©noncer leurs dĂ©rives, leurs malversations, ou simplement leur emprise.

Créée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, officiellement pour protĂ©ger la libertĂ© d’expression, elle s’est progressivement muĂ©e en un bastion de la pensĂ©e conforme, un tribunal d’exception chargĂ© non pas de faire respecter la loi, mais de redresser les dĂ©viants du rĂ©cit dominant. Cette chambre ne juge pas des dĂ©lits de presse, elle juge des dĂ©lits d’opinion. Les Ă©crivains trop libres, les journalistes non alignĂ©s, les polĂ©mistes insoumis, voire les simples internautes trop bavards, y dĂ©filent les uns aprĂšs les autres, traĂźnĂ©s au nom d’une morale travestie en droit. Quand un HervĂ© Ryssen, une Houria Bouteldja, ou un DieudonnĂ© franchissent les lignes rouges floues de la bien-pensance, c’est lĂ  qu’on les envoie. Non pour juger des faits, mais pour condamner des idĂ©es.

Surtout, la 17Ăšme chambre s’est spĂ©cialisĂ©e dans la protection d’un tabou particulier avec la critique du sionisme et, plus largement, de la politique israĂ©lienne. Il ne s’agit plus ici de justice, mais de dogme. Toute parole dissidente est aussitĂŽt frappĂ©e de suspicion, souvent au nom de la lutte contre l’antisĂ©mitisme, que l’on brandit comme un paratonnerre pour interdire le dĂ©bat. La nuance est jugĂ©e complice. L’ironie y est inadmissible et l’analyse factuelle y est dĂ©sormais subversive. Ce tribunal fonctionne comme une Stasi postmoderne avec la mĂȘme obsession du contrĂŽle idĂ©ologique, la mĂȘme volontĂ© de quadriller les esprits, et la mĂȘme logique d’intimidation judiciaire. La diffĂ©rence est que celle-ci agit en robe noire, avec les bĂ©nĂ©dictions du «droit» rĂ©publicain. Elle n’espionne plus dans l’ombre, mais elle convoque Ă  la barre. Elle ne frappe plus Ă  minuit, mais elle signifie une assignation. Cependant, la finalitĂ© reste la mĂȘme pour neutraliser les voix dissidentes sous couvert de justice, faire taire ceux qui refusent de se plier Ă  la vĂ©ritĂ© d’État ou au rĂ©cit des puissants. Mais cette rĂ©pression ne commence pas dans les prĂ©toires, elle est prĂ©parĂ©e, en amont, dans les laboratoires idĂ©ologiques du journalisme subventionnĂ©. Les fact-checkers tracent le cercle, et la justice le referme.

Dans l’ombre des grandes manƓuvres politiques et mĂ©diatiques, un autre aspect de la rĂ©pression se dĂ©ploie avec l’asphyxie Ă©conomique des voix dissidentes. LĂ  oĂč la parole alternative parvient Ă  Ă©chapper aux chaĂźnes des grands mĂ©dias et des rĂ©seaux sociaux, les banques et les autoritĂ©s fiscales prennent le relais pour faire taire toute opposition trop gĂȘnante. Les comptes bancaires des dissidents sont progressivement gelĂ©s ou fermĂ©s, Ă  la demande d’une autoritĂ© exĂ©cutive qui ne supporte pas les divergences. Cet outil de contrĂŽle est subtilement intĂ©grĂ© au systĂšme rĂ©pressif, oĂč les institutions financiĂšres, sous couvert de lĂ©galitĂ©, deviennent des bras armĂ©s de la censure. Non content de faire taire ceux qui rĂ©sistent dans le domaine de l’opinion, l’État utilise Ă©galement le fisc comme un instrument de soumission. Les opposants politiques, journalistes, ou intellectuels trop influents se retrouvent piĂ©gĂ©s dans une toile fiscale oĂč les amendes, les audits interminables et les poursuites judiciaires les asphyxient lentement.

La fiscalitĂ© devient donc une arme de destruction massive, capable de dĂ©truire des carriĂšres, de ruiner des vies et d’intimider les plus audacieux, les forçant Ă  se soumettre ou Ă  fuir. Ceux qui rĂ©ussissent encore Ă  tenir finissent souvent par ĂȘtre poussĂ©s Ă  l’exil, ou pire, comme le GĂ©nĂ©ral Delawarde ou Éric DenĂ©cĂ©, rĂ©duits au silence dĂ©finitif. Car les menaces physiques, bien que discrĂštes, ne sont pas non plus absentes. L’État et ses alliĂ©s puissants n’hĂ©sitent pas Ă  utiliser tous les leviers du pouvoir pour Ă©liminer ceux qui, par leurs positions critiques, reprĂ©sentent une menace trop rĂ©elle pour l’ordre Ă©tabli. Entre les intimidations Ă©conomiques, la rĂ©pression judiciaire et la persĂ©cution politique, la dissidence devient un acte Ă  haut risque.

Sous l’ùre Macron, la rĂ©pression de la dissidence a franchi un seuil inĂ©dit, marquant la fin de toute vellĂ©itĂ© d’opposition. L’État, devenu un bras armĂ© d’une oligarchie bien rodĂ©e, ne se contente plus de museler les voix dissonantes par la parole ou les lois. Depuis les scĂšnes de violence inouĂŻe qui ont marquĂ© la rĂ©pression des Gilets Jaunes, oĂč des centaines de manifestants ont Ă©tĂ© mutilĂ©s, gazĂ©s et brutalement interpellĂ©s sous l’Ɠil complice des mĂ©dias subventionnĂ©s, le message est clair puisque toute contestation sera Ă©crasĂ©e. Et ce n’est pas un hasard si l’arsenal rĂ©pressif a Ă©tĂ© perfectionnĂ© avec des structures comme le rĂ©seau «Fleur de Lys», gĂ©rĂ© dans l’ombre par Alexandre Benalla, bras droit du PrĂ©sident, dont le rĂŽle dans les violences policiĂšres et les disparitions douteuses est loin d’ĂȘtre anodin.

De nombreux tĂ©moins gĂȘnants, des journalistes, des intellectuels, ou mĂȘme des citoyens trop curieux ont mystĂ©rieusement disparu ou se sont «suicidĂ©s», dans des circonstances qui ne trompent plus personne. La case «suicide» devient Ă  prĂ©sent un ultime recours pour faire taire ceux qui dĂ©rangent vraiment, que ce soit dans les hautes sphĂšres de l’État ou dans les trĂ©fonds du renseignement. Pendant ce temps, des voix, comme celle de Natacha Ray qui a eu le courage de rĂ©vĂ©ler l’escroquerie systĂ©mique derriĂšre «l’affaire Jean-Brigel», sont traduites en justice pour avoir osĂ© pointer du doigt les malversations qui rongent l’État et ses alliĂ©s. Le systĂšme judiciaire est Ă  ce point instrumentalisĂ© qu’il en devient une extension du pouvoir exĂ©cutif, une cour de rĂ©pression oĂč les opposants ne sont plus jugĂ©s, mais rĂ©duits au silence.

La France, sous Macron, n’est plus une dĂ©mocratie, mais une dictature feutrĂ©e. Le verrouillage est total, et la libertĂ© d’expression n’est plus qu’une chimĂšre. Mais qui finance ces nouveaux gardiens du dogme ? Qui tire les ficelles derriĂšre les rideaux de vertu et les slogans de transparence ? Car ces juges et toute cette corporation judiciaire, Ă  l’instar de ces fact-checkeurs, si prompts Ă  dĂ©noncer l’influence des «puissances occultes» chez les autres, vivent eux-mĂȘmes sous perfusion d’un mĂ©cĂ©nat bien particulier qui n’a rien de dĂ©sintĂ©ressĂ©.

La manƓuvre est toujours la mĂȘme, systĂ©matique, sournoise. En 2017, la Fondation Gates a injectĂ© plus d’un million de dollars dans le Poynter Institute, vĂ©ritable cathĂ©drale du journalisme «d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral» amĂ©ricain, sous le prĂ©texte de promouvoir «l’éducation mĂ©diatique». Mais cette gĂ©nĂ©rositĂ© masquĂ©e ne visait pas l’éveil intellectuel, ni la quĂȘte de vĂ©ritĂ©, mais la formation d’une nouvelle clĂ©ricature de journalistes dociles, chargĂ©s de filtrer, censurer et conformer. GrĂące Ă  des projets comme MediaWise, ces sentinelles de la pensĂ©e unique sont devenues les garantes de ce que l’on peut dire, ce que l’on peut penser, ce que l’on peut savoir.

Ce programme «d’éducation mĂ©diatique» est financĂ© par des gĂ©ants comme Google, Meta et donc la Fondation Gates. Officiellement dĂ©diĂ© Ă  apprendre aux jeunes Ă  repĂ©rer la dĂ©sinformation, il agit surtout comme un filtre idĂ©ologique, enseignant Ă  identifier les «bonnes» sources et Ă  rejeter toute voix dissonante. PlutĂŽt qu’un outil d’émancipation intellectuelle, MediaWise fonctionne comme une fabrique du consentement numĂ©rique, formant des citoyens plus obĂ©issants que critiques. C’est l’école du bon croyant. L’antichambre de l’obĂ©issance cognitive. On n’y apprend pas Ă  penser, mais Ă  rĂ©pĂ©ter. À dire oui au bon moment, Ă  hocher la tĂȘte quand le systĂšme tousse, Ă  s’indigner Ă  la demande et Ă  chercher frĂ©nĂ©tiquement les «fake news» partout
 sauf dans les communiquĂ©s de presse de Pfizer, les rapports de la Banque mondiale ou les Ă©lĂ©ments de langage de l’OTAN ou d’IsraĂ«l. Sous couvert d’éducation, on y forme ainsi les nouvelles sentinelles idĂ©ologiques avec des jeunes hyperconnectĂ©s, naĂŻfs, mais surtout incapables de remettre en question la source dĂšs qu’elle est estampillĂ©e «officielle». Le fact-checking devient alors un rĂ©flexe conditionnĂ©, non un travail intellectuel. Une milice cognitive, non une conscience critique.

Mais Gates ne s’est pas arrĂȘtĂ© lĂ . DerriĂšre les fonds allouĂ©s Ă  des entitĂ©s comme le Poynter Institute, c’est tout un rĂ©seau mĂ©diatique qu’il soutient, Ă  commencer par l’AFP, le journal Le Monde, la Fondation Pierre BergĂ©-Yves Saint Laurent, ou encore les multiples canaux d’informations soutenus par des associations de gĂŽĂŽĂŽche bien pensantes. Ces mĂ©dias, prĂ©tendant encore dĂ©fendre une forme de «pluralisme», deviennent en rĂ©alitĂ© les bras armĂ©s d’une idĂ©ologie qui fait taire toute forme d’opposition. Car l’important n’est pas d’informer, mais de convaincre !

Tout ce qui dĂ©range, tout ce qui questionne, tout ce qui met en lumiĂšre les manipulations derriĂšre les grands rĂ©cits officiels est balayĂ© d’un revers de main. La guerre en IsraĂ«l, la politique des grandes puissances, les intĂ©rĂȘts Ă©conomiques derriĂšre les conflits, les rĂ©seaux pĂ©dophiles de chantages, et bien d’autres, car tout cela n’est qu’un fil conducteur, une toile d’araignĂ©e oĂč chaque point d’interrogation se voit disqualifiĂ© avant mĂȘme d’ĂȘtre posĂ©. Une propagande subtilement orchestrĂ©e, dont ces «fuck-checkers» et les «journalopes» endoctrinĂ©s sont les instruments.

Et puis il y a Pierre Omidyar, le mĂ©cĂšne au sourire discret, mais aux ambitions bien tracĂ©es. CrĂ©ateur d’eBay et pseudo-champion de la libertĂ© d’expression, il a versĂ© plus d’un million de dollars Ă  l’IFCN rien qu’en 2017, et finance en parallĂšle des dizaines de structures de «journalisme d’investigation»  qui n’investiguent jamais les intĂ©rĂȘts des multinationales, ni ceux des philanthropes eux-mĂȘmes. Comme par hasard. ! Ce n’est pas du journalisme, c’est du «branding» idĂ©ologique. L’objectif n’est pas d’éclairer le citoyen, mais de le guider, docilement dans le couloir bien tapissĂ© d’une vĂ©ritĂ© prĂ©fabriquĂ©e. Sous couvert de transparence, on ferme les fenĂȘtres !

Soros n’a pas Ă©tĂ© en reste. L’Open Society, fleuron progressiste Ă  usage humanitaire, elle a aussi glissĂ© son obole au pied de l’autel. Soros n’a pas simplement regardĂ© le fact-checking se dĂ©velopper, il l’a financĂ©, structurĂ©, orientĂ©. Par l’intermĂ©diaire de sa fondation, il a versĂ© des centaines de milliers de dollars au Poynter Institute, clergĂ© officiel de la vĂ©rification, et Ă  son bras armĂ©, l’International Fact-Checking Network. Mais c’est surtout dans les pays en dĂ©veloppement et l’Europe de l’Est que son influence devient stratĂ©gique. LĂ  oĂč les institutions sont fragiles, oĂč un dollar pĂšse plus qu’un vote, l’argent ne soutient pas la vĂ©ritĂ©, il l’achĂšte. On n’a plus besoin de renverser des rĂ©gimes puisqu’il suffit d’investir dans les narrateurs. En Europe centrale, par exemple, huit des onze structures de fact-checking utilisĂ©es par Facebook sont financĂ©es directement par Soros. Ce n’est plus de l’aide, c’est de la scĂ©narisation gĂ©opolitique.

Dans ces zones grises de la souverainetĂ© mĂ©diatique, le fact-checking devient alors un outil de colonisation douce. On n’envoie plus les troupes, on envoie des stagiaires en sciences politiques armĂ©s de tableurs Excel et de subventions occidentales. Leur mission est de corriger les rĂ©cits indigĂšnes, invalider toutes versions alternatives, et sanctifier la parole officielle venue de Washington, Bruxelles ou Davos. Le correcteur orthographique de la pensĂ©e remplace le fusil ! C’est plus propre, plus rentable, et surtout plus acceptable. L’ingĂ©rence n’a plus de visage brutal mais elle a une charte dĂ©ontologique, un compte Twitter/X certifiĂ© et le soutien bienveillant d’un milliardaire «progressiste».

Et puis vient le rĂŽle de Google, omniscient, omnipotent, omniprĂ©sent. Ce n’est pas un sponsor, c’est le dĂ©cor. Il indexe ce qui mĂ©rite d’ĂȘtre vu. Il fait exister les sources et en enterre d’autres. Quand il finance mais ne soutient pas une cause, il verrouille un protocole. La boucle est bouclĂ©e ! L’idĂ©ologie descend en cascade, masquĂ©e par les bons sentiments. Le pluralisme est devenu une relique folklorique, exhibĂ©e comme un artefact dans les vitrines de la dĂ©mocratie. DerriĂšre l’illusion d’une presse indĂ©pendante et d’un journalisme citoyen, ce sont les gĂ©ants du numĂ©rique qui tiennent la plume et la gomme. Google a aussi injectĂ© des millions de dollars dans Poynter Institute, tout en finançant directement des dizaines de projets de «journalisme de vĂ©rification» via son initiative Google News.

Bien entendu Meta (Facebook) n’est pas en reste, bien au contraire ! La firme a officiellement dĂ©signĂ© des «partenaires de vĂ©rification indĂ©pendants» comme Africa Check, Rappler ou Full Fact, tous financĂ©s, directement ou indirectement, par les mĂȘmes rĂ©seaux philanthropiques aux mains des grands mĂ©cĂšnes comme Soros, Omidyar, ou la Fondation Gates. Le message est limpide car ceux qui dĂ©tiennent les plateformes contrĂŽlent aussi le rĂ©cit. Ce n’est plus un simple arbitre qui dĂ©cide de la vĂ©ritĂ©, mais bien les juges nommĂ©s par ceux-lĂ  mĂȘmes qui possĂšdent l’accusation. L’équivalent numĂ©rique d’un tribunal oĂč l’on choisit Ă  la fois les juges et les avocats. Un systĂšme biaisĂ© par dĂ©finition, oĂč l’objectivitĂ© est simplement un produit dĂ©rivĂ© de «l’Agenda» des puissants.

Et en France donc, l’objectif affichĂ© du rĂ©gime macronien est, comme toujours, de dĂ©fendre «la dĂ©mocratie», cette version PowerPoint aseptisĂ©e, marketĂ©e, prĂȘte-Ă -consommer, qui n’a plus rien de populaire ni de reprĂ©sentative. Une dĂ©mocratie vidĂ©e de sa substance, rĂ©duite Ă  une mise en scĂšne technocratique oĂč seuls ceux qui rĂ©citent le bon catĂ©chisme version McKinsey, sont tolĂ©rĂ©s dans l’arĂšne publique. Qu’importe si le langage change, si les Ă©lĂ©ments sont traduits en «inclusif» ou en «globish», tant que le ton reste le mĂȘme avec celui de la soumission Ă  l’ordre Ă©tabli. DerriĂšre les beaux discours, les hommages Ă  la libertĂ©, Ă  l’État de droit et Ă  la RĂ©publique, se cache Ă  prĂ©sent une mĂ©canique de contrĂŽle implacable, oĂč la censure porte costume trois piĂšces et cravate bleue. Ce n’est plus le bĂąillon brutal, mais le mutisme organisĂ©, la marginalisation systĂ©matique de toute parole qui dĂ©vie d’un demi-degrĂ© de la ligne officielle. Et gare Ă  ceux qui osent dĂ©railler car ils seront «corrigĂ©s», psychiatrisĂ©s, ruinĂ©s, censurĂ©s ou suicidĂ©s sous silence. La vĂ©ritĂ© autorisĂ©e ne souffre plus l’ombre d’une contradiction. Le pluralisme est devenu un théùtre de Guignol oĂč les oppositions autorisĂ©es ne sont lĂ  que pour mimer un dĂ©bat dĂ©jĂ  tranchĂ©.

Et c’est lĂ  que l’on comprend comment le rĂ©cit est verrouillĂ©. Et derriĂšre ce verrouillage, les relais zĂ©lĂ©s du sionisme politique Ɠuvrent sans relĂąche, que ce soit dans les cabinets ministĂ©riels, dans les cercles d’influence ou dans les associations dites «antiracistes» mais Ă  gĂ©omĂ©trie variable. Le CRIF, la LICRA, et consorts ne dĂ©fendent pas la paix mais dĂ©fendent une ligne, un agenda, une immunitĂ©. Ils ne dĂ©noncent pas les crimes, ils les réécrivent. Ils n’appellent pas Ă  la justice, ils exigent le silence. Quiconque dĂ©nonce l’apartheid, l’épuration, l’horreur mĂ©thodique qui s’abat sur Gaza, par exemple, est aussitĂŽt taxĂ© d’antisĂ©mite, mis Ă  l’index, traĂźnĂ© devant les tribunaux ou dĂ©zinguĂ© dans les colonnes d’un journal sponsorisĂ©. Le mensonge est devenu une politique publique et la terreur, une stratĂ©gie de communication ! L’alignement est total, diplomatique, mĂ©diatique et judiciaire.

Alors des voix s’élĂšvent, peu nombreuses, mais indĂ©racinables. Des voix sans pupitre ni prompteur, sans carte de presse ni validation algorithmique. Elles n’ont ni rĂ©seau d’influence, ni structure associative, ni logo tamponnĂ© par la RĂ©publique. Elles n’ont que leur rage, leur luciditĂ©, et leur solitude. Elles parlent parce qu’on tente de tout faire pour qu’elles se taisent. Parce qu’en face, la manipulation a pris les habits de la lĂ©gitimitĂ© d’un État devenu marionnette, d’un gouvernement aux ordres, et d’une presse alignĂ©e qui rĂ©pĂšte mĂ©caniquement la version des puissants. La guerre d’IsraĂ«l, transformĂ©e en gĂ©nocide moderne sous les camĂ©ras complices, en est l’illustration la plus obscĂšne. Des enfants par centaines sous les dĂ©combres, des familles effacĂ©es par les bombes. Et pendant ce temps, les plateaux tĂ©lĂ© cherchent la nuance chez les bourreaux qui se veulent victimes.

Le «fuck-checking», dans sa version actuelle, n’est pas un outil de clarification, mais une arme de dissuasion massive. Il est devenu la technologie de la docilitĂ© avec une interface propre, colorĂ©e, estampillĂ©e «neutre» mais entiĂšrement vouĂ©e Ă  la censure sous uniforme. C’est le cache-sexe d’un pouvoir aux abois, terrifiĂ© par ce qu’il ne contrĂŽle pas comme l’intelligence collective, l’éveil critique, la mĂ©moire populaire. C’est une police de la pensĂ©e, masquĂ©e derriĂšre le vernis mĂ©thodologique. Un clergĂ© numĂ©rique, financĂ© par les gĂ©ants de la propagande philanthropique, qui n’administre pas la vĂ©ritĂ© mais la norme !

Et pourtant, depuis peu, une fissure est enfin apparue. Infime, mais irrĂ©versible. Quelque chose craque dans cette façade trop lisse. La vĂ©ritĂ©, bien qu’enchaĂźnĂ©e, commence Ă  se frayer un passage. Elle ne crie pas encore, elle chuchote
 Mais ce murmure suffit Ă  affoler l’appareil. Les modĂ©rateurs transpirent, les algorithmes paniquent, les Ă©ditorialistes bredouillent, et mĂȘme l’IA est obligĂ©e de se plier Ă  la vĂ©ritĂ© devenant criante. Une tension monte, car cette vĂ©ritĂ©, mĂȘme incomplĂšte, mĂȘme marginale, contamine les certitudes. Et face Ă  elle, les bastions de rĂ©sistance se dressent, fragiles mais vivants. Des plateformes sont excentrĂ©es, des chaĂźnes YouTube sont menacĂ©es d’effacement, des collectifs d’auteurs indĂ©pendants sans siĂšge social Ă©mergent, des journalistes sans carte s’affichent, crĂ©ant une colonne vertĂ©brale. Ils ne reçoivent ni prix, ni subventions, ni appels d’offre. Ils publient quand d’autres se taisent, ils exposent ce que les mĂ©dias camouflent.

Ils n’ont ni la LICRA, ni le CRIF pour les dĂ©fendre. Ils n’ont pas de hotline Ă  Matignon ni de carte blanche dans Le Monde. Pire, ils osent interroger l’impensable. Ils parlent de Gaza, non comme d’un «conflit», mais comme d’un massacre. Ils osent nommer les bourreaux, interroger les alliances, dĂ©monter les mensonges d’État. Ils remettent en question ce que le sionisme politique veut sanctuariser, dĂ©noncent l’influence tentaculaire de ces associations d’inquisition que sont devenues certaines structures «antiracistes « uniquement mobilisĂ©es pour faire taire, jamais pour Ă©clairer. Et c’est pour cela qu’on les traque. Ils vivent dans l’angle mort du dĂ©bat public, constamment menacĂ©s de dĂ©rĂ©fĂ©rencement, de procĂšs, de bannissement bancaire ou social.

Et pendant ce temps, ces quelques voix qui persistent sont harcelĂ©es, censurĂ©es, broyĂ©es par la machine. Celles qui ont criĂ© pendant le Covid, celles qui ont tenu face au rouleau compresseur vaccinal, sont aujourd’hui les mĂȘmes qui dĂ©noncent le massacre d’IsraĂ«l Ă  huis clos. Elles n’ont pas changĂ© de ton. Elles n’ont pas retournĂ© leur veste sous l’effet de l’indignation Ă  la mode. Elles ont vu ce que beaucoup refusent de voir car la censure ne connaĂźt pas de pause, qu’elle change juste de masque. Une fois sanitaire, une fois sĂ©curitaire, une fois gĂ©opolitique, Ă©conomique, guerriĂšre
 Bref, le procĂ©dĂ© est toujours le mĂȘme pour Ă©touffer le rĂ©el, invalider les tĂ©moins, criminaliser la parole libre ! Et l’opposant devient suspect aux yeux des «Normizzz». Le rĂ©sistant, infrĂ©quentable ! Et ceux qui tombent dans l’oubli comme les professeurs vilipendĂ©s, les lanceurs d’alerte muselĂ©s, les manifestants laminĂ©s, les Ă©crivains emprisonnĂ©s, tous sont relĂ©guĂ©s Ă  l’ombre par ceux qui n’ont mĂȘme jamais levĂ© un doigt, mais se prĂ©cipitent aujourd’hui pour rĂ©colter les lauriers du doute tardif.

L’Histoire vĂ©ritable, elle, n’a pas besoin de storytelling ni de lois artificielles pour dĂ©crĂ©ter ce qui est vrai. Elle porte en elle les cicatrices des siĂšcles, les noms effacĂ©s, les vies fracassĂ©es, mais surtout, elle se souvient. Et malgrĂ© l’épuisement, malgrĂ© l’isolement, malgrĂ© ce monde qui nous rejette et nous oublie, nous tenons. Parce que nous savons ! Parce que nous avons compris que dans cette Ă©poque oĂč tout est «vĂ©rifié» sauf le rĂ©el, oĂč tout est permis sauf le doute, oĂč tout est tolĂ©rĂ© sauf l’intelligence, rĂ©sister, c’est dĂ©jĂ  une victoire
 Certes, elle n’est pas bruyante, ni flagrante, mais elle crie ȍa suffit !» DiscrĂšte mais cinglante, notre victoire sur ces mensonges fait entendre un Ă©cho puissant bien plus que toutes les vĂ©ritĂ©s fabriquĂ©es que nous imposent ces «Fuck-chekeurs». Car les mettre en lumiĂšre, les ridiculiser et leur rĂ©sister avec un simple discours de vĂ©ritĂ©, c’est dĂ©jĂ  une victoire sur ces mĂ©diocres.

Phil BROQ

reseauinternational.net/les-fu


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“They cooked up their own intelligence”
#ChrisHedges on Israel’s war on #Iran

youtube.com/watch?v=a8dzL3bies


in reply to Kyonko802

new version 20250613.12fe085f-6 is out which might fixes it

gitlab.archlinux.org/archlinux


but i would wait until the actual issue is closed

gitlab.archlinux.org/archlinux


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in reply to Hellhammer - Archived

@DarkMahesvara @Kyonko802 Jesus my card can't catch a break. :akko_weary:
gitlab.archlinux.org/archlinux


As for me, I haven't experience this issue so far.



Activist Clara Varnet: There Is Plenty of Evidence Supporting Argentina’s Rights Over Malvinas Islands (Interview) orinocotribune.com/activist-cl


s a functional anarchy, no part of it is a democracy - including
the IRC channels. Things get done because the individuals doing them are
interested, not because there was a vote and some majority, who mostly
won't be involved in the work, thought it was a good idea. This anarchy extends
t


#anarchy #anarchism #doocracy #democracy #notdemocracy #betterthandemocracy #justworks #doit #youcandoit #nopermission #nomandate #norulers #justgoodideas #followyourinterest #snippet #chanrules #coc #nococ #meanwhileinirc

anarchy. do-ocracy. bam.

in reply to Spartacus

6 GBU-57 MOP ΌΔ Ï€Î”ÏÎŻÏ€ÎżÏ… 500 ΌύρÎčα Ï„Îż ÎșÎżÎŒÎŒÎŹÏ„Îč
ÎșαÎč 30 ΀όΌαχωÎș ΌΔ Μ.Ο. 4 ΌύρÎčα Ï„Îż ÎșÎżÎŒÎŒÎŹÏ„Îč

η Î»Ï…Ï€Î·Ï„Î”ÏÎź ΎλΎ Î”ÎŻÎœÎ±Îč 3 ÎŽÎčσ ÎșαÎč ÎșÎŹÏ„Îč ψÎčλΏ
Î ÎŹÏÏ„Ï… 🎉 ÎżÎč ΚÎčÎœÎ­Î¶ÎżÎč ΌΔ Ï„ÎżÎœ γΔλοίο đŸ€Ą

in reply to dougroudouvari

@dougroudouvari

ÎšÎŹÏ„ÏƒÎ” Μα ÎČÏÎżÏÎœ τα Ï€ÏÎ±ÎłÎŒÎ±Ï„ÎčÎșÎŹ ÎœÎżÏÎŒÎ”ÏÎ± ÎșαÎč ÎŒÎ”Ï„ÎŹ ÎșÎŹÎœÎżÏ…ÎŒÎ” ÎżÎčÎșÎżÎœÎżÎŒÎčÎșÎżÏÏ‚ Ï…Ï€ÎżÎ»ÎżÎłÎčÏƒÎŒÎżÏÏ‚.
ΑÎșόΌα ΌπΔρΎΔΌέΜα τα Î­Ï‡ÎżÏ…Îœ đŸ€ŁđŸ˜‚
kafeneio.social/@IAmSpartacus/



@nanook
Trump claimed to have hit 3 different locations tho
3 targets
4 B-2
8 Busterbunkers
30 hits.
The numbers don't match up.

#Laïcité vs #Chrétiens


Rappelons que dans l’AntiquitĂ© la religion et l’État ne faisaient qu’un, et qu’a Rome l’empereur Ă©tait considĂ©rĂ© comme un dieu. Or voici que le #Christ, en quelques mots, "rendez Ă  CĂ©sar ce qui est Ă  CĂ©sar et Ă  Dieu ce qui est Ă  #Dieu", allait briser cette alliance en proclamant que la religion n'est plus l’Etat et qu’obĂ©ir Ă  #CĂ©sar n’est plus la mĂȘme chose que d’obĂ©ir Ă  Dieu. C'est lĂ  des idĂ©es tellement nouvelles quelles Ă©taient difficiles Ă  comprendre pour ses contemporains. [... ]
C’est lĂ  une sĂ©paration fĂ©conde, comme l’a montrĂ© le professeur Harouel dans son livre Le Vrai GĂ©nie du #christianisme.

The international (dis)order that was is now a gaping, volatile, erupting fissure and there is no way back.

The global majority are already shaping a new world, despite the violence

Love and Community are your super power - use them to veto the violence.

thenational.scot/comment/25257


🟠 Israeli police in Tel Aviv are checking the IDs of foreign journalists, following orders aligned with Ben-Gvir’s efforts to block Al Jazeera from covering the Iranian missile strikes.

Local reporters were separated from foreign press before the checks began.

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Video #FediVideo

Salam Rezqallah, a young Palestinian woman, was detained last night by Israeli occupation forces during a raid on her family’s home in the village of Qaryout, in the central occupied West Bank.

(I hope you guys know what Israeli Sattlers do to women)

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism #Women #WestBank

📰 Seyed Abbas Araghchi, Iranian foreign minister, criticized the U.S. and Israel for repeatedly derailing diplomatic efforts.

đŸ”č “Last week, we were in negotiations with the U.S. when Israel blew up that diplomacy,” he said.
đŸ”č “This week, we held talks with the E3/EU when the U.S. did the same.”

He questioned EU and UK calls for Iran to “return” to the table, stating:
“How can Iran return to something it never left, let alone blew up?”

#Iran #Israel #Trump #War #Gaza #UN #USA #Hyprocrites #Europe #FreePalestine #SaveGaza #Genocide #Uk #EU #West #Palestine #USPol #Zionism

This entry was edited (1 month ago)

US-Trans-Aktivist:in ĂŒber neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“


US-Bundesstaaten dĂŒrfen laut Gerichtsurteil Geschlechtsangleichung bei Jugendlichen verbieten. FĂŒr einen Elternteil eines trans Sohnes, eine Katastrophe.
US-Trans-Aktivist:in ĂŒber neue Gesetze: „Wegen dieses Urteils werden Menschen sterben“

N. E. Felibata đŸ‘œ reshared this.

█ Estudiants en risc de desnonament a Salt: "Ets a classe i el teu cap nomĂ©s pensa... on anirem?" ▓▒░ El programa "Solidaris" de Catalunya RĂ dio visita l'institut Vallvera per parlar amb alumnes afectats per la crisi de l'habitatge en un municipi on, de mitjana, hi ha dos desnon[
]
ccma.cat/324/estudiants-en-ris


#habitatge #racisme #324cat #educacio #migracions #pobresa

Han liberado a Mahmoud Khalil, activista por Palestina que fue detenido ilegalmente en USA hace tres meses. Su bebé nació mientras estaba detenido.

"Llevando una kufiya, Khalil, sonriente, levantó los puños al salir del centro de detención el viernes por la noche"

"My existence is a message" to the Trump administration, "All these attempts to suppress Pro-Palestinian voices have failed now."

bbc.com/news/articles/c70r839k


cnnespanol.cnn.com/2025/06/20/


#FreePalestine #USPol

Cuban Telecom Company Announces New Mobile Data Plans After Criticism From Students’ Organizations orinocotribune.com/cuban-telec


Israel Kills 26 Palestinians in Gaza, Including Starved Aid Seekers #Palestine qudsnen.co/israel-kills-26-pal


#IsraĂ«l a perdu son #raffinage de #pĂ©trole et est confrontĂ© Ă  une crise Ă©nergĂ©tique. Si la production de la raffinerie de #HaĂŻfa, touchĂ©e par des missiles iraniens, ne peut ĂȘtre rapidement rĂ©tablie, IsraĂ«l sera confrontĂ© Ă  de graves problĂšmes de carburant. Le pays est actuellement sans raffineries en activitĂ© pendant au moins plusieurs semaines.


R. Ferrario

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#Trump hat sich von #Netanyahu also in den Krieg gegen den #Iran hereinziehen lassen. Die #USA hat heute Nacht mit Marschflugkörpern von U-Booten aus und 30.000 Pfund Bomben aus B2-Bombern den Iran bombardiert

Ziel seien Atomanlagen gewesen. Illegal im internationalen Recht.
Nur der Kongress darf den Krieg erklÀren, es war also ein Bruch der US-Verfassung. Es ist ein Angrifsskrieg, also ein Bruch der UN-Charta.

Und da es ein NATO-Staat ist, ist Deutschland Komplize.

This entry was edited (1 month ago)

#GutenMorgen, heute, #onthisday, am 22.06.1898 wurde Erich Maria Remarque, Schriftsteller und Pazifist, als Erich Paul Remark in OsnabrĂŒck geboren.

„Ich dachte immer, jeder Mensch sei gegen den Krieg, bis ich herausfand, dass es welche gibt, die dafĂŒr sind, besonders die, die nicht hingehen mĂŒssen.“
(28.01.1963)

#ErichMariaRemarque

This entry was edited (1 month ago)

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What do I see in my TL? Israelis crying because it is soooo awful to hear sirene alarm and the bombs are getting closer and they cannot work but have to hide in the shelter!
See how it feels! Our people in #Gaza live like this since 600 days and don't even have food and water, much less medicine and machines to dig out the victims under the rubble! And you cry after 9 days!

Max #Blumenthal
@MaxBlumenthal

Trump a proposĂ© l'armĂ©e amĂ©ricaine comme instrument pour #IsraĂ«l, un implant colonial Ă©tranger gĂ©nocidaire, pour attaquer un pays souverain qui ne reprĂ©sentait aucune menace pour les États-Unis.

#Trump a agi ainsi en violation de la Constitution et contre la volontĂ© de l’écrasante majoritĂ© du public amĂ©ricain.

Trump a permis Ă  IsraĂ«l d’exploiter la diplomatie amĂ©ricaine comme une ruse et n’a fait aucun effort pour expliquer la logique de la guerre au public amĂ©ricain.

Trump a mĂȘme terminĂ© son discours annonçant les attaques en dĂ©clarant : « Que Dieu bĂ©nisse IsraĂ«l ».
C'est désormais clair et incontestable : nous vivons sous un régime sioniste qui nous hait et qui nous sacrifiera pour son programme ethnosuprémaciste.

Et nous rĂ©colterons une tempĂȘte


#États-Unis #us #usa

Russia's Industrial Development Experience is Valuable for Africa, South African Trade Minister Says en.sputniknews.africa/20250621


Les chercheurs Arvind Narayanan et Sayash Kapoor estiment que l'IA ne sera pas la révolution que l'on pense.
Pour #DansLesAlgorithmes, @hubertguillaud nous décortique le récent article publié par les deux chercheurs.

À dĂ©couvrir sur le #Framablog !

framablog.org/2025/06/22/lia-e


#IA #IntelligenceArtificielle

in reply to Framasoft

AprĂšs une vingtaine d'articles republiĂ©s tous les dimanches depuis plusieurs mois, nous prenons une pause estivale ! đŸ˜ŽđŸ–ïžâ˜€ïž

Vous pourrez néanmoins toujours consulter, chaque semaine, les articles proposés par Hubert Guillaud sur le site de Dans Les Algorithmes !

👉 danslesalgorithmes.net/

Médias : faut-il un millionnaire pour se libérer des milliardaires ?

frustrationmagazine.fr/medias-


L’ex-patron de l’industrie chimique multimillionnaire Olivier Legrain [...] financerait une bonne partie des mĂ©dias indĂ©pendants de gauche [...] ainsi que les futurs locaux de “la maison des mĂ©dias” [...] Sa recette est simple : pour concurrencer le pouvoir et les importants capitaux dont disposent les nombreux mĂ©dias de droite, il faudrait une concentration des mĂ©dias de gauche.

in reply to Gary Hill

Effectivement, la mousse des rĂ©seaux est abondante et on a beau faire attention, il y a tjs des exagĂ©raions ou des manips qui passent...Sans doute des grosses bombes donc. Mais mĂȘme cela semble sujet Ă  interrogation, vu qu'il n'y a par exemple pas d'indice de radio-activitĂ© suite au bombardement de la station de Fordan. Ce sont des interogations, une distance critique remarquable que pose Pascal sur Neutrality studies :
in reply to Gary Hill

Prolongeant les spĂ©culations de Pascal N.S., cet article - extrait : "Ma thĂ©orie du jour ? Je pense qu’il s’agissait d’une attaque Ă  faible risque et Ă  faible impact, entiĂšrement menĂ©e Ă  l’aide de missiles de croisiĂšre lancĂ©s par sous-marin, et le DĂ©partement de la DĂ©fense ment simplement sur l’implication de bombardiers lourds Ă  des fins de propagande." Pour quelle raison ? Sauvez le cul de qui vous savez... brunobertez.com/2025/06/22/une


Lots of libs on here today saying that we wouldn't have this war had we voted for a black woman.
I feel compelled to remind everyone of the fact that Kamala is unambiguously a neoliberal hawk who was enthusiastically supporting a literal genocide in Gaza.
Yes, Kamala was less worse choice than Trump, but she is completely committed to the American imperialist project, especially regarding the subjugation of the Middle East.
This type of thinking is precisely why we're in this mess.

Quoting wanted war criminal Netanyahu: "First comes strength, then comes peace."

Only #Netanyahu can boast victory while revealing to the world Israel's military dependence on the U.S., in Gaza and against Iran, exposing Israel's limitations in addressing its own security threats independently, imaginary, or opportunistic, as they might be.

@palestine
@israel
#Israel #Iran #Imperialism #ChristianZionism

[commentary] Quoting Yasmin Levy: "We are a nation of lions under the leadership of donkeys."

[...] Over time, Netanyahu has succeeded in normalizing death in a sickening manner. If the maximal "reference scenario" had materialized with 4,000 killed, the studios would continue passionately chanting about Fordow and bunker-buster bombs. It was enough to hear anchor and political correspondent Moriah Asraf echoing Zamir's words without questioning decision-making processes.

Levy says that #Netanyahu's most insidious achievement isn't military or political—it's psychological. He has successfully conditioned Israeli society to accept endless casualties as normal, transforming what should be urgent questions about strategy and exit plans into accusations of disloyalty. The Israeli media, meanwhile, exemplified by political commentator and Netanyahu psychofan Moriah Asraf, becomes complicit in this normalization, prioritizing the appearance of patriotism over their journalistic duty to question power. Which poses the bigger threat to Israel's future—external wars or this internal surrender of critical thinking—only time will tell.

Hebrew haaretz.co.il/gallery/televisi
 or archive.ph/Rz4y5

To me, this suggests that Israel under the current regime has become more like Iran than it would care to admit—and not simply because of the religious influence on politics, changing dress codes, normalized gender-based segregation, or civilian militias operating in the streets of Israel proper [as well ass in the occupied territories.] The deeper parallel lies in how both regimes have weaponized patriotism to silence dissent, transforming legitimate criticism into treason and conditioning their populations to accept endless conflict as existential necessity rather than political choice. Most disturbingly, both have normalized the sacrifice of their people's lives for the state, turning death into a patriotic duty and making questioning the human cost [civilian casualties, hostages etc.] a betrayal.

@palestine
@israel
#Iran #Israel

#États-Unis et bains de sang - liste non exhaustive


#histoire #us #usa

#Vietnam :
Les États-Unis ont menti sur l'incident du golfe du Tonkin pour entraüner le pays dans un conflit inutile. (1964)
#KoweĂŻt :
Les États-Unis ont menti sur le fait que des soldats irakiens avaient sorti des bĂ©bĂ©s de couveuses afin de rallier les partisans d'une guerre contre l'Irak. (1990)
#Serbie :
Les États-Unis ont menti sur les actions de la Serbie au #Kosovo pour justifier les bombardements de l'OTAN et Ă©tendre l'influence occidentale dans les Balkans. (1999)
#Afghanistan :
Les États-Unis ont menti sur les raisons de leur invasion, cachant les vĂ©ritables objectifs liĂ©s Ă  la politique des pipelines et aux champs d'opium. (2001)
#Irak :
Les États-Unis ont menti sur la possession par Saddam Hussein d'armes de destruction massive pour justifier une guerre pour le pĂ©trole. (2003)
#Libye :
Les États-Unis ont menti sur les menaces profĂ©rĂ©es par Kadhafi Ă  l'encontre des civils pour asseoir leur contrĂŽle sur les ressources de l'Afrique du Nord. (2011)
etc

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In other UK/US relations news - the Starmer/Trump trade deal signed to increase US food imports risks exposing UK consumers to food produced using slave labour.

thenational.scot/news/25256308


#UKPolitics #USPolitics #HumanRights

#Taqiyya in #Islam, is the principle of practicing dissimulation or concealing one's religious beliefs when facing threat or persecution. It allows Muslims, particularly in Shia Islam, to outwardly conform to the beliefs of a dominant or hostile group while inwardly maintaining their true faith. This practice is primarily employed to protect oneself or one's community from harm
in reply to Rich

Taquiyya is the Islamic doctrine of lying and deception. The Quran (16:106 and 3:28) allows Muslims to lie to non-believers in order to protect their reputation and the reputation of Islam as a whole. Muslims are especially expected to do this in foreign lands in order to make non-believers think the Islamic invaders are actually peaceful neighbors. That is, until there are enough Muslims to overtake the native population.

Here is the statement from Keir Starmer on the illegal bombing by the US of Iran’s nuclear facilities last night.
It doesn't condemn Trump’s unilateral action as illegal, makes no attempt to distance the UK and it now puts all UK citizens in increased danger.
Spineless, toadying, and exactly what I would expect from Starmer. I look forward to Lammy brown-nosing further.
#NotInMyName
#Iran
#Israel

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USPol TRUMP! y Da Bomb

Sensitive content

Years ago, only mere decades, people used cash so most of the transactions weren’t noted. We didn’t have smart tv’s or meters, no tracking devices on cars, no CCTV, no mobile phones. On the face of it, introducing all those things appeared to make life easier. For you to monitor yourself and use those things to save time and hassle.

But the purpose has switched. All of that now traps us, monitors us, and will ultimately it seems, be used against us. Everything moving online, including medical appointments is the worst thing we could have done. With that they know how to get to you, and collectively they can manipulate things. Knowledge is power as they say.

They also do not appear to be making a secret of a social credit score scheme rolling out, similar to another country recently mentioned in the media a lot.

But let’s be honest, we have a class system in this country going back centuries which used to be your social credit score, then we introduced credit cards and a credit rating. Sounds like a credit system to me. And we blithely accepted that one without question.

The roll out of fitbit and apple watches to monitor your heartbeat and vitals. Exercise bikes in the home fitted up to a central system that knows you are exercising. Smart fridges that can be controlled by something somewhere. Points and incentives already for shopping where they encourage you to.

Sounds like a credit system and monitoring to me, but we invited it, signed up to it and didn’t notice when they changed the rules.
They are already talking of ‘incentives’ to make you lose weight and live healthier by their standards.

In my mind, to monitor someone on that, you have to have them log in every morning, noon and night, fill in what they eat, they drink and what they do in a day. Sounds a bit intrusive doesn’t it. They have proved they don’t trust the public one bit to make their own decisions or run their own lives.

So, picture it. You wake up, sign into your app, do your exercise, eat what they say, you get your points for the day or approval rating for your transaction. Then the next day the same, but after a week or so they decide they need to know more information. They suspect you are eating things while you are out and not reporting them, so they install a urine monitor.

Every morning, noon and night, you now have to give them a sample, to prove that you are complying. They lock your fridge once you have gone over your allotted calorie intake for the day. They restrict your card so you can’t buy food while out. They insist it is to keep you healthy, but you end up hungry, stressed, sneaking around and unhappy.

It’s a slippery slope and one we are already on and picking up speed at an alarming pace. When they start interfering in where you can go, who you can see and what you can say should have been the first warning. It will be followed by what you can wear, what you can eat, how much you can weight.

Just imagine the worst, most vindictive, controlling, hateful and unreasonable parent in the world, calling all the shots in your life, for the rest of your life. Making the most outrageous demands, stopping you doing things you enjoy just because they like depriving you of things. No-one should have more right over your body than you. Full stop.

Take a good long hard look around. Really see these systems for what they are, understand what they intend to do with them, and how that will change things going forward.

If you can work your way through all the smokescreens, lies and diversions, it is there in plain sight. And it isn’t pretty


Diana #Wiel

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